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Sources
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Bibliographie
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D. M. Bailey, A Catalogue of the Lamps in the British Museum, t. II, London 1980, nos Q 797 et 837)
J. Babelon, « Diogène le Cynique », RN 18, 1914, p. 14-19
J. Babelon, « Diogène et la monnaie », Démaréteion I, 1935, p. 63-66
H. Bannert, « Numismatisches zur Biographie und Lehre des Hundes Diogenes », Mélanges R. Goebe = LNV 1, 1979, p. 49-63 ,Consulter la bibliographie sur les socratiques contenue dans le t. III de Giannantoni 3, celle de Paquet 20, p. 312-315
M. Billerbeck, Die Kyniker in der modernen Forschung, coll. « Bochumer Studien zur Philosophie » 15, Amsterdam 1991, p. 303-317.
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Biographie
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DPhA s.v. Diogène de Sinope : " En D. L. VI 75 sont mentionnés « un certain Onésicrite d’Égine » (→O 24) et ses deux fils : Androsthène (→A 182) et Philiscos (→P 133), et en VI 76 sont également cités l’homme politique bien connu Phocion Chrestos (→P 171), le philosophe mégarique Stilpon (→S 163) et « bien d’autres hommes politiques » Une autre liste commence en VI 82 , elle fait intervenir successivement Monime (→M 190), puis en VI 84 un second Onésicrite (→O 23), celui qui prit part à l’expédition d’Alexandre en Orient (certains le disent d’Égine, mais Démétrios de Magnésie le dit d’Astypalaea), enfin Ménandre surnommé « Bois de Chêne » (→M 104), Hégésias de Sinope surnommé « Collier de chien » (→H 19), Philiscos d’Égine déjà mentionné en VI 75, et en VI 85 Cratès de Thèbes (→C 205), le cynique le plus connu après Diogène Il faut ajouter encore les enfants de Xéniade (→X 5), dont Diogène fut le précepteur et à qui il faisait apprendre par cœur des passages de ses propres œuvres. , Son père passe pour avoir falsifié la monnaie (VI 20-21) et Diogène aurait été d’une façon ou d’une autre associé à cette falsification La biographie de Diogène fait état aussi des rencontres du philosophe avec Philippe de Macédoine et surtout avec le fils de celui-ci, Alexandre."
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