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Sources
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F. Hiller v. Gaertringen und C. Robert, « Relief von dem Grabmal eines rhodischen Schulmeister », Hermes 37, 1902, p. 121-146 (avec une planche et un appendice sur le patronyme et le demotique de Hieronymos) , Arrighetti 5, p. 123-127.
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Bibliographie
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Philosophie Antique n° 6 - Lire et interpréter Platon 2006
S. White 2004, Lyco of Troas and Hieronymus of Rhodes: Text, Translation, and Discussion
F. Hiller v. Gaertringen und C. Robert, « Relief von dem Grabmal eines rhodischen Schulmeister », Hermes 37, 1902, p. 121-146.
Arrighetti 5, p. 123-127.
P. M. Fraser, Rhodian funerary monuments, Oxford 1977, p. 34-36
F. Wehrli, Hieronymos von Rhodos , Kritolaos und seine Schüler , Rückblick : Der Peripatos in vorchristlicher Zeit , Register, coll. « Die Schule des Aristoteles » 10, Basel/Stuttgart 19692, p. 9-23 (fragments) , p. 29-44.
POxy. 3656 : 2 P. J. Parsons, dans H. M. Cockle, The Oxyrhynchus Papyri, vol. LII, coll. « Greco-Roman Memoirs » 72, London 1984, p. 47-50, repris dans 3 CPF I 1** (1992), p. 452-453 (F. Montanari).,R. Daebritz, art. « Hieronymos » 12, RE VIII 2, 1913, col. 1561-1564 , 5 G. Arrighetti, « Ieronimo di Rodi », SCO 3 [noté 2], 1955, p. 111-128 , 6 F. Wehrli « Der Peripatos bis zum Beginn der römischen Kaiserzeit », GGP, Antike 3, 1983, p. 575-576.
A. J. Podlecki, « The Peripatetics as literary critics », Phoenix 23, 1969, p. 114-137.
M. C. Dalfino, « Ieronimo di Rodi : la dottrina della vacuitas doloris », Elenchos 14, 1993, p. 277-304.
T. Dorandi, « Varietà ercolanesi, 6-10 », CronErc 21, 1991, p. 105-109.
C. Habicht, Untersuchungen zur politischen Geschichte Athens im 3. Jahrhundert v. Chr., coll. « Vestigia, Beiträge zur alten Geschichte » 30, München 1979, p. 72-73 , Id., « Hellenistic Athens and her philosophers », dans C. Habicht (édit.), Athen in hellenistischer Zeit, München 1994, p. 231-247 (p. 235) , (3) Ses relations (conflictuelles)
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Biographie
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DPhA s.v. Hiéronymos de Rhodes : "Hiéronymos a pu être introduit à la philosophie péripatéticienne par Praxiphane (→P 277) à Rhodes même, où une tradition aristotélicienne semble s’être développée après 322/1 sous l’impulsion de son compatriote Eudème [→E 93) (Wehrli 6, p. 575 , cf. R. Pfeiffer, History of classical scholarship, p. 266). Pour la chronologie, on se fonde principalement sur trois témoignages : (1) Ses relations avec Arcésilas de Pitane [→A 302] (fr. 4 et 6 Wehrli) , (2) Sa responsabilité dans l’organisation (avec Arcésilas [ ?], cf. Wehrli 1, p. 29 , mais les liens d’Arcésilas avec la cour de Pergame rendent sa participation active à l’organisation de ces festivités peu probable [→A 302, p. 329 Dorandi]) des fêtes annuelles organisées à Athènes à la mémoire d’Halcyoneus, fils d’Antigone Gonatas (→A 194), mort vraisemblablement en Attique au cours de la guerre de Chrémonidès (267/6-262 ?)"
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Commentaire
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