ID;Nom;DPhA;"Date de début";"Date de fin";École φ;"Commentaire sur l'école φ";"Région(s) → Cité(s)";"Commentaire sur le lieu";Sources;Bibliographie;Biographie;Commentaire;Inscriptions φ 292;"Zosimianos (Iulius) d’Athènes";Z43;135;200;Stoïcien;"Professeur de philosophie stoïcienne.";"Grèce → Athènes";;"IG II2 11551";"C. Riedweg et al., Grundriss der Geschichte der Philosophie. [Abteilung 1] Band 5 2: Die Philosophie der Antike Philosophie der Kaiserzeit und der Spätantike [...] 2018.";;"Si, dans d’autres formules, le mot διάδοχος peut désigner le chef d’une école philosophique (→P 158), ce n’est pas nécessairement le cas ici : Zosimianos peut avoir été simplement un professeur de philosophie stoïcienne.";"Épigramme, Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/14040?&bookid=5&location=1365 → διάδοχος τῶν ἀπὸ Ζήνωνος λόγων → Stèle funéraire, sobre épigramme" 291;"Zosimos d’Athènes";Z41;101;200;Platonicien;"Fait partie du groupe de platoniciens honorés ensemble à Delphes vers le milieu du IIe siècle";"Grèce → Delphes";;"FD III 4, 94";;"Inconnu par ailleurs, Zosimos, fils de Charopinos";"Nom : peut-être était-il plus connu sous son autre nom, qui était précisé dans le décret delphique, mais seule la première syllabe, So---, est assurée."; 290;"Zeuxippos de Sparte";Z30;50;120;Autre;"Philosophe ? Il se réfère très souvent à la doctrine épicurienne, qu’il semble parfaitement connaître et avec laquelle pourtant il prend très nettement ses distances dans le Non posse suaviter (cf. A. Barigazzi, Plutarco : Contro Epicuro, Florence,1978, p. XII).";"Grèce → Sparte";;"IG V 1, 97.";"K. Ziegler, s. v. « Plutarchos », RE XXI 1, 1951, col. 687 ; B. Puech, « Prosopographie des amis de Plutarque », dans ANRW II 33, 6, Berlin 1992, p. 4891-4892, et J.-S. Balzat, « Prosopographie des prêtres et prêtresses des Dioscures dans la Sparte d’époque impériale », dans A. Rizakis et C. E. Lepenioti (éds.), Roman Peloponnese III. Studies on Political, Economic and Socio-cultural History, coll. « Meletemata » 63, Athènes 2010, p. 344-346.";"Contemporain de Plutarque, qui le fait intervenir dans le De amore, le De tuenda sanitate et le Non posse suaviter (passim), il appartenait à l’aristocratie lacédémonienne : son fils et son petit-fils sont souvent mentionnés dans les inscriptions de Sparte ,";;https://epigraphy.packhum.org/text/30440?&bookid=11&location=1699 336;"Zénon de Kition";Z20;-334;-261;Stoïcien;"Fondateur du stoïcisme";"Grèce → Athènes";;"Décret athénien, conservé chez Diogène Laërce (fr. 32 Dorandi 1999 = Diogene Laerce 7. 10-12), daté par T. Dorandi de 262/1, qui lui octroie l'éloge et une couronne d'or, ainsi qu'un tombeau au Céramique au frais de l'Etat. Antigone de Caryste (DL 7, 12) mentionne une stèle érigée pour le remercier de la restauration d'un établissement des bains sur laquelle Zénon avait demandé qu'on rajoute, après ""Zénon le philosophe"" son ethnique ""de Kition"".";"L. Migeotte, Les souscriptions publiques dans les cites grecques, Geneve, 1992, n°14, p. 25-26.";;; 289;"Zénodote le Stoïcien";Z13;-200;-101;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 1006.";"M. N. Tod, « Sidelights on Greek Philosophers », JHS 77, 1957, p. 132-141, en partic. p. 137T; T. Dorandi, « Epigraphica philosophica », Prometheus 15, 1989, p. 38 ;M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 46-48 ; E. Perrin-Samindayar, Éducation, culture et société à Athènes. Les acteurs de la vie culturelle athénienne (229-88) : un tout petit monde, Paris, 2007, D 43.";"Stoïcien, disciple de Diogène de Babylonie, mentionné dans un décret en l""honneur des éphèbes athéniens, sous l’archonte Nicodème en 122/1), l. 19 et 64. Il avait enseigné aux éphèbes l’année précédente (123/2) dans le Ptolémaion et le Lycée, alors que d’autres philosophes enseignaient au Lycée et à l’Académie. Il est auteur d'une épigramme consacrée a Zenon de Kition, citée par Diogène Laërce 7, 30 et dans l’Anthologie Palatine VII 11).";;"Épigramme → https://epigraphy.packhum.org/text/3226?&bookid=5&location=1365 → épigramme consacrée à Zénon de Citium (ID DPhA :Z 20)" 322;"Xénocadès de Métaponte";X6;-500;-401;Pythagoricien;"Pythagoricien ancien";"Rome et Italie → Tarente";;"IG XIV 668, col. I, l. 5, defixio";"LGPN, t. III A, p. 334";;;"Liste → Liste comportant une quarantaine de noms, masculins et feminins, inscrits sur deux feuilles de plomb recueillies dans une tombe tarentine et datant des IVe-IIIe siecles (" 288;"Philosophes en rapport avec Xénophon (Claudius)";X18;-27;330;Autre;;"Asie Mineure → Poimanenon";"Sous-région = Mysie.";"F. W. Hasluck, JHS 24, 1904, p. 27-28; Th. Wiegang, MDAI(A) 29, 1904, p. 298.";;;; 287;"Xénon de Tyndarée";X14;-100;0;Autre;;"Rome et Italie → Rome";;"IGUR ΙΙ 823 = IG XIV 1887";;"fils d’Archiadas, de Tyndarée sur la côte nord de la Sicile";"Comme il est fréquent, le passant est interpellé et invité à se réjouir s’il est philosophe";"Inscription funéraire → Ξένων Ἀρχι[ά]δ[α] | Τυνδαρῖτᾳ | φιλόσοφε χαῖρε. → Inscription funéraire de Rome" 286;"Valerius (P. Avianius) d’Hadrianoi";V3;;;Stoïcien;"Très vraisemblablement stoïcien, comme son parent T. Avianius Bassus Polyainos (→B 17). T. Avianius Arrianus, c’était une véritable école stoïcienne qui s’était organisée dans la cité mysienne.";"Asie Mineure → Hadrianoi";"Sous-région = Mysie. Hadriani";"IK 33, 51";"R. Merkelbach et J. Stauber, SEGO 08/08/17";"fils de Lysimaque, actif dans la vie de sa cité (il avait mérité le titre de philopolis)";"Nom : . Avianius Arrianus qui lui a élevé sa statue à Hadriani (IK 33, 51) et qui porte le même gentilice que lui, le désigne comme son philos. La rareté du gentilice implique pourtant un lien de parenté.";"le terme philos se refere a l’appartenance a une meme communaute, en l’occurrence philosophique." 285;"Valerianus (L. Valerius) Dardanius";V2;201;267;Stoïcien;"Conception stoïcienne";"Rome et Italie → Puteoli";;"R. Duncan-Jones, « Praefectus Mesopotamiae et Osrhoenae », CPh 64, 1969, p. 229-233";"Johne 2008),R. Duncan-Jones, « Praefectus Mesopotamiae et Osrhoenae », CPh 64, 1969, p. 229-233, J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », dans ANRW II 36, 4, Berlin 1990, p. 2310. R. Duncan-Jones, « Praefectus Mesopotamiae et Osrhoenae : A Postscript », CPh 65, 1970, p. 107-109. M. P. Speidel, « Valerius Valerianus in charge of Septimius Severus’ Mesopotamian campaign », CPh 80, 1985, p. 321-326.";"Préfet de Mésopotamie et d’Osrhoène";"La première ligne, « Moi, Dardanius, j’ai été libre de l’avarice, de la crainte et de l’anxiété qui afflige les hommes », qui célèbre non pas les vertus du trépassé, mais l’absence chez lui de passions communes, révèlerait une conception stoïcienne";"Inscription funéraire → DARDANIVS. CARVI AVARITIA METV SOLLICITVDINE. HOMINVM || L. VALERIO. VALERIANO. V(IRO). P(ERFECTISSIMO). PRAEFECTO. MESOPOTAMIAE. ET. HOSROENAE. La premiere ligne, « Moi, Dardanius, j’ai ete libre de l’avarice, de la crainte et de l’anxiete qui afflige les hommes »" 278;"Théophraste d’Erèse";T97;-400;-201;Péripatéticien;"Succéda à Aristote à la tête du Lycée";"Grèce → Athènes Rome et Italie → Rome";"Rome, Villa Albani";"A. Alfoldi et E. Alfoldi, Die Kontorniat Medaillons 2, Mainz 1990, p. 97, n° 84a, pl. 214, 9 , 7 P. F. Mittag, Alte Kopfe in neuen Händen, Bonn 1999, p. 116 et 123, pl. 4 Hermes de la villa Albani, Rome (Inv. 1034 P. C. Bol, [edit], Forschungen zur Villa Albani. Katalog der Bildwerke, t. I, Berlin 1989, p. 463-466, n° 152, pl. 268 et 269)";"Couloubaritsis 1998 Theophrastus et Amigues 2003),Richter, Portraits, t. II, p. 176-178 fig. , 2 R. von den Hoff, Philosophenporträts des Früh- und Hochhellenismus, München 1994, p. 53-57, avec une longue liste de copies). L’identification du personnage représenté sur ces copies est assurée par un hermès de la Villa Albani à Rome (Inv. 1034) qui porte l’inscription ΘΕΟΦΡΑΣΤΟΣ ΜΕΛΑΝTA EPEΣIOΣ (3 P. C. Bol, [édit], Forschungen zur Villa Albani. Katalog der Bildwerke, t. I, Berlin 1989, p. 463-466, n° 152, pl. 268 et 269. A. Alföldi et E. Alföldi, Die Kontorniat Medaillons 2, Mainz 1990, p. 97, n° 84a, pl. 214, 9 , 7 P. F. Mittag, Alte Köpfe in neuen Händen, Bonn 1999, p. 116 et 123, pl. 4. M. Flashar et R. von den Hoff, « Die Statue des sog. Philosophen Delphi im Kontext einer mehrfigurigen Stiftung », BCH 117, 1993, p. 417, fig. 16, et p. 424";"disciple et collaborateur d’Aristote, auquel il succéda à la tête du Lycée";"type iconographique est connu par quatre répliques";"Inscription de statue → ΘΕΟΦΡ–ΑϹΤΟϹ ΘΕΟΦΡΑΣΤΟΣ ΜΕΛΑΝTA EPEΣIO" 277;"Théon de Smyrne";T90;101;200;Platonicien;"Très probablement professeur de philosophie platonicienne.";"Asie Mineure → Smyrne";;"IGR IV 1449";"Theon et al., Teone di Smirne: Expositio rerum mathematicarum ad legendum Platonem utilium: introduzione, traduzione, commento, 2012. A. Jones, Theon of Smyrna and Ptolemy on Celestial Modelling in Two and Three Dimensions, 2015. Argourd et al. 2000 L. Deitz, « Bibliographie du platonisme impérial antérieur à Plotin : 1926-1986 », dans ANRW II 36, 1, Berlin 1986, p. 162. J. Delattre-Biencourt, « Théon de Smyrne : modèles mécaniques en astronomie », dans G. Argoud et J.-Y. Guillaumin (édit.), Sciences exactes et sciences appliquées à Alexandrie, Actes du colloque international de Saint-Étienne (6-8 juin 1996), Saint-Étienne 1998, p. 371-395. J. Delattre-Biencourt et D. Delattre, « La théorie de la musique et de l’astronomie d’après Théon de Smyrne », dans C. Levy, B. Besnier et A. Gigandet (édit.), Ars et Ratio. Sciences, art et métiers dans la philosophie hellénistique et romaine, Actes du Colloque international organisé à Créteil, Fontenay et Paris du 16 au 18 octobre 1997, Bruxelles 2003, p. 243-258. M. A. H. Stuart Jones, A Catalogue of the Ancient Sculptures preserved in the Municipal Collections of Rome. The Sculptures of Museo Capitolino, Oxford 1912, réimpr. anastatique Roma 1969, p. 229-230,";"L’activité de ce philosophe se situait à Smyrne au début du IIe siècle apr. J.-C.";;"le buste porte l’inscription θέωνα πλατωνικὸν φιλόσοφον ὁ ἱερεὺς θέων τὸν πατέρα , pour la description et la datation du buste → Inscription sur un buste" 276;"Théodoridas de Lindos";T66;100;200;Autre;épicurien;"Asie Mineure → Oinoanda";;"M. F. Smith, Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Naples1993, fr. 63, l. 6'14 : lettre adressée par l'épicurien Diogène d'Oinoanda (DPhA, , 141) à son ami Antipatros (DPhA, Suppl. A 202a), reproduite dans l'inscription que Diogène avait fait graver et afficher dans sa cité d'origine.";"M. F. Smith, Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Naples1993, fr. 62-67 (lettre éditée p. 251-260, traduite p. 397-399, commentée p. 507-512).";"Diogène écrit à Antipatros, qui devait se trouver à Athènes, au sujet d'un traité sur l’infinité épicurienne des mondes qu’Antipatros avait sollicité dans une lettre antérieure. Ce traité serait le résultat des discussions récentes qu'il aurait eues sur la conception de la pluralité des mondes avec Théodoridas de Lindos, appelé hérairos, ayant récemment commencé l’étude de la philosophie et connu pat Antipatros.";"M. F. Smith, Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription, p. 35-48, date l'inscription vers l'an 120 ap. J.-C.";Lettre 273;"Taurinus (M. Valerius)";T5;135;200;Autre;philosophe;"Grèce → Corinthe";;"Corinth VIII 3, 268";"A.G. White, Where is the wise man? Graeco-Roman education as a background to the divisions in 1 Corinthians 1-4, 2018.";;;"Inscription honorifique" 275;"Thémistoclès (Statius?)";T39;201;267;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";;"B. Puech, Orateurs et sophises grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, coll. « Textes et traditions » 4, Paris 2002, p. 516-526 : « Les Flavii de Marathon et les Statii des Cholleides », notamment p. 526.";"Plutarchus, M. Casevitz, et R. Flacelière, Traité 72, Sur les notions communes, contre les Stoïciens 2002. B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’époque impériale, coll. « Textes et traditions » 4, Paris 2002, p. 516-526.";;"Il fit l’objet d’un oracle de la Pythie garantissant sa béatitude"; 284;"Tryphon (L. Septimius) d’Alexandrie";T179;168;251;Autre;"Apparaît comme « philosophe alexandrin » (un intellectuel du Musée?)";"Rome et Italie → Rome";;"IGR IV, 468.";"R. Merkelbach, « Eine Inschrift des Weltverbandes der dionysischen Technitai (CIG 6829) », ZPE 58, 1985, p. 136-138";"Son origine égyptienne est confirmée par la formule par laquelle il abrège l’énumération de ses noms.";;Dédicace 321;"Tisandros d’Aphidna";T170;-450;-380;Autre;;"Grèce → Athènes";;"IG II2, 1929";"U. Köhler [édit.], Inscriptiones atticae aetatis quae est inter Euclidis annum et Augusti tempora, II 2, Berolini 1883, n° 946, p. 361-362 , voir aussi Id. [édit.], MDAI (A) VII, 1882, p. 96-102";"DPhA s.v. Tisandre d’Aphidna : ""nous avons affaire à un homme riche, membre d’une famille de notables. D’ailleurs, Tisandre est le nom d’un partisan des tyrans, adversaire de Clisthène, de la fin du VIe siècle (cf. Aristote [?], Constitution d’Athènes XX 1-3 , Hérodote, Hist. V 66-73). Hérodote souligne la distinction de sa famille : οἰκίης… δοκίμου, même si, dit-il, il en ignore l’origine (V 66). Tisandre est aussi le nom de l’archonte éponyme de 508/7 (les deux étant d’ailleurs souvent identifiés, voir contra D. J. McCargar, « Isagoras, son of Teisandros, and Isagoras, eponymous archon of 508-7 : A case of mistaken identity », Phoenix 28, 1974, p. 275-281). Un autre Tisandre fut archonte un siècle plus tard (RE 2), et le nom se rencontre aussi dans l’entourage du fils de Périclès (RE 3).""";;"[ὁ δεῖνα — — — — — — ἀντὶ Τ]εισάνδρο το῀ Κηφισοδώρο Ἀφιδν → Plaque en marbre du Pentelique, brisée en trois morceaux,une série de trierarques sur une inscription" 283;"Thrasymaque de Chalcédoine";T128;-500;-401;Autre;"Disciple de Platon et d'Isocrate";"Asie Mineure → Chalcédoine";;"Néoptolème de Parion, FGrHist 702 F 1 (= Ath. X 454 F).";"M. Dana, Culture et société dans le Pont-Euxin. Approche régionale de la vie culturelle des cités grecques, Bordeaux, 2011, p. 282-284.";"Thrasymaque fut contemporain des sophistes rénommés, tels Gorgias de Léontinoi, Prodicos de Céos, Protagoras d’Abdère, Hippias d’Élis et Alcidamas d’Élée. Il finit ses jours dans sa patrie, comme témoigne l'épitaphe érigée à Chalcédoine où l'historien Néoptolème de Parion l'avait lue. C'est ce dernier qui transmets le contenu de cette épigramme.";"Il avait une réputation d'impétuosité, Platon le présentant même, dans le premier livre de la République, qu'il lui consacre, comme le plus radical et le plus agressif des sophistes.";"Épigramme → Epigramme mentionnee par Neoptoleme de Parion, Athenee X, 454F" 282;"Thrasyllos (M. Annius) des Cholléides";T127a;20;100;Platonicien;"Maître de Plutarque de Chéronée (→P 210)";"Grèce → Athènes";;"IG II2 1990";"C. P. Jones, « The teacher of Plutarch », HSCP 71, 1966, p. 207-213. Bernadette Puech, « Prosopographie des amis de Plutarque », dans ANRW II 33, 6, Berlin 1992, p. 4886-4889 (stemma p. 4888). S. G. Byrne, Roman citizens of Athens, coll. « Studia Hellenistica » 40, Leuven 2003, s.v. Annius 9, p. 55. G. C. R. Schmalz, Augustan and Julio-Claudian Athens : a new epigraphy and prosopography, coll. « Mnemosyne – Supplements » 302, Leiden 2009, nos 65, p. 54, et 224, p. 175-176. E. Kapetanopoulos et G. E. Malouchou, Horos 17-21, 2004-2009, [2010], n° 5, p. 185-190 et fig. 8, p. 195), signalée dans Bull. épigr. 2011, nos 172 et 263, l’autre à Éleusis (IG II2 3558). K. Clinton, Eleusis. The Inscriptions on Stone. Documents of the Sanctuary of the Two Goddesses and Public Documents of the Deme, coll. « The Archaeological Society at Athens Library » 236 et 259, Athens 2005-2008, n° 377, p. 335 et pl. 170)";"Fils de (M. Annius) Ammônios. Il intervient dans les Propos de table, VIII 3, 5 (Mor. 722 c-d), pour donner son explication du fait que les voix s’entendent plus clairement la nuit que le jour.,son père Ammônios stratège des hoplites";;"Dédicace → https://epigraphy.packhum.org/text/4227?&bookid=5&location=1365 → Double dédicace" 281;"Thrason Léon de Stratonicée";T121;101;200;Autre;"Honoré avec son frère comme des « fils philosophes », ils étaient encore à l’âge des études à l’époque du décret qui les mentionne";"Asie Mineure → Stratonicée";"Sous-région = Carie.";"I. Stratonikea (IK 22), 1028";"J. Strubbe, Young Magistrates in the Greek East, 2005.";"Son cadet Léon Thrason, fils d’Hiéroclès,il avait été introduit dès que possible dans la vie civique par son évergète de père, qui l’avait associé à ses fonctions de grand-prêtre du culte impérial et de prêtre de Zeus de Panamara";"Voir son frère Léon dans le DPhA (L37)";Décret 280;"Théoxénos de Patras";T110;201;300;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 10046a (GVI 393)";"R. Hoff, Philosophenporträts des Früh- und Hochhellenismus, 2015. A. D. Rizakis, Achaïe I. Sources textuelles et histoire régionale, coll. « Mélétèmata » 20, Athènes 1995, p. 390, n° 750).";"Fils d’Achille, de Patras";;"Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/12496?bookid=5&location=1365" 274;"Téléclès de Phocée";T11;-230;-166;Platonicien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 12764 = T 4 Mette";"H. J. Mette, Lustrum 27, 1985, p. 52. W. Görler, « Euandros, Hegesinos », GGP, Antike 4, 2, 1994, p. 834-836 . M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 104-106.";"DPhA s.v. Téléclès de Phocée : "" Téléclès naquit à Phocée. ,disciple et successeur, avec Évandros de Phocée (→E 65), de Lacydès (→L 11) comme scholarque de l’Académie""";;"Épigramme, Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/15273?&bookid=5&location=1365" 279;"Théotimos (Popillius)";T108;50;150;Épicurien;"scholarque épicurien";"Grèce → Athènes";;"IG II2, 1099";"H. Oliver, Greek Constitutions of Early Roman Emperors, Philadelphia 1989, p. 174-180, n° 73. S. Follet, « Lettres d’Hadrien aux Épicuriens d’Athènes », REG 107, 1994, p. 158-171. T. Dorandi, « Plotina, Adriano e gli Epicurei di Atene », dans « Epikureismus in der späten Republik und der Kaiserzeit », coll. « Philosophie der Antike » 11, Stuttgart 2000, p. 137-148.";D’Athènes;;https://epigraphy.packhum.org/text/3314?&bookid=5&location=1365 272;"[---]teis de Macédoine";T1;-200;-101;Autre;"Philosophe dont l’école philosophique est inconnue.";"Grèce → Haliarte";"Sous-région = Beotie.";"IG VII, 2849; SEG XLIV, 409b.";"M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 171-174.";"---]teis, fils de Xénocratès, originaire d’une cité de Macédoine dont le nom n'est pas indiqué.";"Il avait donné plusieurs conférences dans cette cité et il enseignait aux éphèbes dans le gymnase.";"Décret → https://epigraphy.packhum.org/text/146363?&bookid=13&location=11 → Décret honorifique" 335;Socrate;S98;-469;-399;Socratique;"Philosophe, né et mort à Athènes, maître de Platon. Son influence sur ce dernier fut décisive pour toute l’histoire de la philosophie.";"Proche Orient Ancien → Villa de Soueidie, pres de Baalbek";"Mosaique : Soueidie, dans la banlieue sud-est de Baalbeck,";"Richter, Portraits, I, fig. 574.";"J. Aliquot, ""Au pays des Bétyles : l’excursion du philosophe Damascius à Émèse et à Héliopolis du Liban"", dans Cahiers du Centre Gustave Glotz, 21, 2010. p. 305-328.";"Cf. notice DPhA";"Voir aussi les mosaïque d'Apanée (Richter, Portraits, I, fig. 569) et de Cologne (fig. 572. )";"Mosaïque → Σωκράτης Ἀθηναῖος" 264;"Sextus Empiricus";S75;101;300;Autre;"Médecin et philosophe grec sceptico-pyrrhonien";"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Mytilène";;"W. Wroth, Catalogue of the Greek Coins of Troas, Aeolis and Lesbos, Londres, 1894, p. 201, n° 173, planche XXXIX, 12 (au recto buste de Flavia Nichomachis de Mitylene).";"Sextus, Annas, et Barnes, Outlines of scepticism, 2000. L. Floridi, Sextus Empiricus: the transmission and recovery of pyrrhonism, 2002. R. La Sala, Die Züge des Skeptikers: der dialektische Charakter von Sextus Empiricus' Werk, 2005. D.E. Machuca, New essays on ancient Pyrrhonism, 2011. E. Richtsteig, « Bericht über die Literatur zu Sextos Empirikos aus den Jahren 1926-30 », JAW 238, 1933, p. 54-64. L. Ferraria et G. Santese, « Bibliografia sullo Scetticismo Antico (1880-1978) », dans 70 G. Giannantoni (édit.), Lo Scetticismo Antico. Atti del Convegno organizzato dal Centro di Studio del Pensiero Antico del C.N.R. (Roma 5-8 Novembre 1980), coll. « Elenchos » 6, en 2 vol., Napoli 1981, vol. II, p. 753-850 , 71 P. Misuri, « Bibliografia sullo scetticismo antico (1979-1988) », Elenchos 11, 1990, p. 257-334. W. Wroth, Catalogue of the Greek Coins of Troas, Aeolis and Lesbos, London 1894, p. 201, n° 173, planche XXXIX, 12 (au recto buste de Flavia Nichomachis de Mitylène).";;; 263;"Sextus (Q. Aufidenus) de Sparte";S72;168;234;Autre;"Le « très philosophe »";"Grèce → Sparte";;"ABSA 29, 1927/8, p. 33-34, n° 56";"Rizakis et al. 2001, Cartledge et Spawforth 2002. P. Cartledge et A. Spawforth, Hellenistic and Roman Sparta, London 1989, p. 263.";;"DPhA s.v. Sextus de Sparte (Q. Aufidenus –) : ""Q. Aufidenus Sextus a financé la statue que la cité de Sparte avait votée à son neveu, le philosophe Q. Aufidenus Quintus Nom : Le cognomen de ce dernier rend inutile l’hypothèse de P. Cartledge et A. Spawforth, Hellenistic and Roman Sparta, London 1989, p. 263, selon laquelle le nom de l’oncle, Sextus, serait un hommage au philosophe contemporain Sextus de Chéronée (→S 70)"""; 262;"Sextus de Chéronée";S70;101;200;Autre;;"Grèce → Eleusis";;"B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, p. 357-360, n° 180";"(Dana 2011),(Chausson 2007),Chr. Settipani, Continuité gentilice et continuité familiale dans les familles sénatoriales romaines à l’époque impériale, Oxford 2000, p. 477-483";"DPhA s.v. : ""Sextus était né vers 85 et qu’il avait au moins une fille qu’il avait mariée à un aristocrate thessalien. Mais il eut certainement une famille assez nombreuse puisque ce sont ses qualités de paterfamilias qui viennent presque en tête dans le portrait que dresse de lui Marc Aurèle (1). ,L’indication d’Apulée (2) qui donne à son héros une mère thessalienne descendant de Plutarque et du philosophe Sextus, son neveu, est confirmée par la revendication généalogique analogue, au IIIe siècle, du sophiste Nicagoras, « descendant de Plutarque et de Sextus » (5). Les découvertes archéologiques récentes ont d’ailleurs démontré qu’il fallait prendre très au sérieux les indications prosopographiques données par Apulée, qui se plaît, sous le couvert de la fiction, à se référer à des personnages réels,Un peu plus tard dans les années 160, Sextus semble, sinon s’être retiré en Achaïe, du moins y avoir séjourné. C’est probablement en Grèce, en effet, que se place la mort d’Elpinice, fille d’Hérode Atticus, à l’occasion de laquelle Sextus invita le sophiste à la retenue dans l’expression de son deuil""";"Nom : DPhA s.v. Sextus de Chéronée : ""Le prénom sous lequel il est connu était peut-être associé au gentilice Claudius, c’est ce que pourrait faire supposer la présence, parmi les descendants de Plutarque, de Sexti Claudii (→A 512) : néanmoins, si la formule ἀπὸ Πλουτάρχου n’implique pas absolument une descendance directe, leur silence à propos du philosophe Sextus fait davantage difficulté""";"Inscription de statue → Inscription de la statue du sophiste Nicagoras" 261;"Severus (Cn. Claudius)";S63;135;200;Péripatéticien;"Péripatéticien ? C’est Galien qui nous apprend que Severus « était un adepte de la philosophie d’Aristote » (cf. Nutton 11, p. 82, 6)";"Asie Mineure → Ephèse";;"B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, p. 284-285), qui accompagnait la dedicace d’une statue a un Severus identifie au fils de l’Arabianus, pour la premiere fois, par 2 E. Groag, « Cn. Claudius Severus und der Sophist Hadrian », WS 24, 1902, p. 261-264.";"V. Nutton [édit.], Galen, On prognosis, coll. CMG V 8, 1, Berlin 1979, p. 82, 6 [texte], avec le commentaire p. 166-167.";;"Dans la catégorie des sophoi, déjà dans le corpus de B. Puech";"Inscription honorifique" 260;"Sergius Paul(l)us (L.)";S58;101;200;Péripatéticien;"S’adonne à la philosophie, en particulier à celle d’Aristote";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 1803.";;"présenté comme un des membres les plus éminents de la haute société romaine aux côtés de l’ex-consul Flavius Boéthus (→B 49). C’est d’ailleurs ce dernier qui présenta Galien à Sergius Paulus dans la maison du philosophe péripatéticien Eudème (→E 92).";;"Hic consecrata est | Sex. Aeli. Terti. Coniunx | Sergia Syntyche Sergi | Pauli quondam praef. | Urb. Alumni Chrysippi | Alumna fecerunt Aelii | Tertius et Coma Incom|parabili Feminae." 258;Serenus;S54;-27;330;Péripatéticien;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Memoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, p. 39, n° 154.";"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, p. 39, n° 154.";;;"Signature → Σερηνὸς | περιπατητικὸς | ἰδὼν ἐθαύμασα → Inscription tombeau de Ramses IX" 257;"Seneca d’Alexandrie de Troade";S44;50;150;Socratique;"« astre de la sagesse socratique » (Σωκρατικῆς σοφίης ἄστρον) »";"Grèce → Athènes";;"IG II2 3795 (IK 53 T 177)";;;;"https://epigraphy.packhum.org/text/6079?&bookid=5&location=1365 → « astre de la sagesse socratique » (Σωκρατικῆς σοφίης ἄστρον), « fleur de la Troade » (Τρῳάδος ἄνθος)" 254;"Secundinus de Tralles";S43;101;200;Autre;"Philosophe, enseignait la philosophie à Éphèse";"Asie Mineure → Ephèse";;"I. Ephesos 4340";"J. Barnes, M. Bonelli, et J. Barnes, Method and metaphysics: essays in ancient philosophy I, 2011. M. Griffin, G. Clark, et T. Rajak, Philosophy and power in the Graeco-Roman world: essays in honour of Miriam Griffin, 2002. M. Trapp, Philosophy in the Roman Empire: Ethics, Politics and Society 2017.";;"Voir aussi son élève coellius Marcellinus dans le DPhA M25"; 255;"Secundus le Taciturne";"S36 et S36 comp.";;;Pythagoricien;"On lui attribue également une affiliation cynique.";"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Lemnos";;"Possible : IG II2 2023, 3008 ; IG XII 8, 39.";"B. Puech, ,Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d'époque impériale, Paris, 2002, p. 449-450 et 475 (n° 262).";"Il est difficile de l'identifier à plusieurs de ses contemporains : l’archonte athénien Didius Secundus de Sphettos (entre 112/3 et 114/5 ; IG II2 2023, 3008) ; le sophiste, maître d'Hérode Atticus de l'époque d'Hadrien (cf. G. W. Bowersock, Greek Sophists in Roman Empire, Oxford, 1969, p. 118-119), enterré près d'Eleusis ; le philosophe - - Σεκ[ουνδ -], fils de Μελιτ - ou Μελιτ[εύς], du dème de Mélitè, mentionné dans une inscription d’Hèphaistia de Lemnos (IIIe s. apr. J.-C., IG XII 8, 39).";;https://epigraphy.packhum.org/text/79222?&bookid=23&location=126 256;"Secundus (P. Octavius)";S35;1;100;Épicurien;"« philosophe épicurien »";"Rome et Italie → Rome";;"AE 1910, 47.";;;;"Inscription funéraire" 253;"Sebasmius de Rome";S33;301;400;Autre;"philosophe de l’aristocratie";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 2153, mentionne, avec un autre philosophe du nom d’Evagrius, dans un fragment de liste de sept prêtres et philosophes de l’aristocratie";"J. Rüpke, Fasti sacerdotum: a prosopography of pagan, Jewish, and Christian religious officials in the city of Rome, 300 BC to AD 49, 2008. E. Rebillard et J. Rüpke, Group identity and religious individuality in late antiquity, 2015.";;"Voir aussi Evagrius dans le DPhA ( E183)";"http://www.edr-edr.it/edr_programmi/res_complex_comune.php?do=book&id_nr=EDR144284 → Rufius Volusianus, v(ir) c(larissimus), XV[vir s(acris) f(aciundis)] Rufius Festus, v(ir) c(larissimus), XV(vir) s(acris) f(aciundis) Sebasmius philos[ophus ---] 5 〚[Aelius Dionysius?, v(ir) c(larissimus),?]〛 pon[tifex dei Solis?] Brittius Praesens, v(ir) c(larissimus), p(ontifex) m(aior) Evagrius philosopus [---] Fl(avius) Atticus, v(ir) c(larissimus), [---]," 252;"Saufeius (Lucius) de Préneste";S25;-100;0;Autre;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 3897, CIL XIV 2624";"Y. Benferhat, Cives Epicurei, coll. « Latomus » 292, Bruxelles 2005, p. 169-170). J.-L. Ferrary, Philhellénisme et impérialisme, p. 609.";"Disciple de Phaidros P107probablement à l’époque où celui-ci s’était réfugié à Rome pendant la tyrannie d’Aristion,Ami très proche de T. Pomponius Atticus (→A 505), le chevalier Lucius Saufeius est à ce titre fréquemment mentionné dans la correspondance de Cicéron";"DPhA s.v. Saufeius (Lucius –) de Préneste : ""souvent présenté comme un épicurien intraitable (Ad Atticum I 3 [8], 1, II 8 [35], 1, IV 6 [113], 1, XV 4 [750], 2-3,L’activité philosophique de Lucius a sans doute été déterminante dans son installation à Athènes, mais une branche de la famille était installée à Délos depuis le siècle précédent (ID 1754 et 1755). Lucius était en Grèce depuis déjà de longues années lorsqu’Atticus, selon Cornelius Nepos (Att. 12), intercéda pour lui auprès d’Antoine et protégea ses intérêts lors des proscriptions des triumvirs. On ne sait à quelle occasion la statue de Lucius fut offerte par sa mère Caelia au municipe de Tusculum""";https://epigraphy.packhum.org/text/6179?&bookid=5&location=1365 251;"Saufeius (Appius) de Préneste";S24;-100;0;Autre;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 3897";"M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 164 ; A. E. Raubitschek, Hesperia 18, 1949, p. 101, n° 1 (Agora XXXI 20).";"Appius paraît avoir été moins lié aux milieux épicuriens que Lucius, son frère.";"Moins célèbre que son frère Lucius.";"Dédicace → https://epigraphy.packhum.org/text/6179?&bookid=5&location=1365" 250;"Satyros d’Athènes";S22;-200;-101;Autre;"Philosophe dont l’école d’appartenance est inconnue";"Grèce → Larissa";"Sous-région = Thessalie. Larissa";"A. Tziafalias, J. L. García-Ramón et B. Helly, « Decrets inedits de Larissa [2] », BCH 130, 2006 [2008], p. 436-437, 439-456 = SEG LVI 636";"M. Haake, « Der Philosoph Satyros, Sohn des Philinos, aus Athen. Zu zwei neuen hellenistischen Ehrendekreten aus Larisa für einen bislang unbekannten Philosophen », Tyche 24, 2009 [2010], p. 49-57. A. Tziafalias, J. L. García-Ramón et B. Helly, « Décrets inédits de Larissa [2] », BCH 130, 2006 [2008], p. 436-437, 439-456 = SEG LVI 636 REG 124, p. 310.";"fils de Philinos";"Il fut honoré en Thessalie vers 170 av. J.-Chr. Il reçut le droit de cité et d’autres privilèges. Il fut ainsi honoré pour son comportement d’“homme de bien” pendant son séjour dans la capitale thessalienne, pour sa participation à la vie municipale et pour l’assistance qu’il apporta aux Larisséens au cours de la troisième guerre macédonienne"; 247;"Sabinus (C. Iulius)";S2;135;200;Platonicien;"Peu-être titulaire de la chaire officielle de philosophie d’Athènes";"Grèce → Athènes";;"IG II2 3803 ; IG II2 3740 ; IG II2 3694.";"Hutchinson, Greek to Latin: frameworks and contexts for intertextuality, 2013. C. P. Jones, Culture and Society in Lucian, Cambridge 1986, p. 20. J. H. Oliver, Athenian Expounders of the Sacred and Ancestral Law, Baltimore 1950, p. 160.";"Il peut donc parfaitement avoir connu Lucien lors des séjours de celui-ci à Athènes et être l’ami philosophe auquel l’écrivain adresse, dans les années 170, son Apologie, faisant de lui une sorte d’incarnation de la Philosophie demandant des comptes à l’auteur";"vraisemblablement identique à C. Iulius Sabinus de Péania, éphèbe en 142/3 (IG II2 3740), ce qui situe son activité dans la deuxième moitié du IIe siècle de notre ère Nom : désigné, par une formule onomastique abrégée, comme « Caius Iulius le platonicien »";"https://epigraphy.packhum.org/text/6024?&bookid=5&location=1365 https://epigraphy.packhum.org/text/6087?&bookid=5&location=1365" 320;"Syrianus d’Alexandrie";S181;368;437;Platonicien;"Philosophe et commentateur néoplatonicien.";"Grèce → Athènes";;"IG II2, 13451";"G. N. Kalliontzes, « Ἀττικὲς ἐπιγραϕὲς ἀπὸ τοὺς Ἀμπελοκήτους », Ὅρος 14-16, 2000-2003, p. 157-166. D. Fessel, BullÉpigr, no 533, REG 119, 2006, p. 751-753 G. Agosti, « Dal cielo alla terra : un epigramma epigrafico su Siriano », dans L. Cristante et I. Filip (édit.), Incontri triestini di filologia classica, VII - 2007-2008. Atti del III convegno : Il calamo della memoria. Riuso di testi e mestiere letterario nella tarda antichità. Trieste, 17-18 aprile 2008, coll. « Polymnia » 10, Trieste 2008, p. 103-115. E. R. Dodds, Proclus, Elements of Theology, Oxford 19632, p. XXIII-XXV. A. D. R. Sheppard, Studies on the 5th and 6th Essays of Proclus’ Commentary on the Republic, coll. « Hypomnemata » 61, Göttingen 1980, p. 39-42.";;;"Épigramme, Inscription funéraire → Peut-etre son épitaphe, Une épigramme en l’honneur de Syrianus (peut-etre son epitaphe), formée de deux distiques, métrique" 271;"Symmachos de Phlya";S176;135;167;Stoïcien;"Philosophe stoïcien, disciple du scholarque stoïcien Aurélius Héraclidès";"Grèce → Athènes";;"IG II2 3801";"R. Sorabji, Aristotle transformed: the ancient commentators and their influence, 2016.";"Disciple du diadoque stoïcien Aurélius Héraclidès (→H 56a , PA 6462) du dème attique des Eupyrides de la tribu Léontis Selon J. Kirchner, dans les notes sur IG II2 3801, Symmachos de Phlya serait le père de deux éphèbes (Πτολεμαίδος | Διόδωρος Συμμάχου | Δημήτριος Συμμάχου) répertoriés dans une liste d’éphèbe (IG II2 2111-2112, col. III 45-47) que l’on date maintenant de 185/6, ce qui fournit un élément de datation approximative.";"Le Φ majuscule vaut pour 500 et le signe sigma inversé après le nom de Symmachos indique l’homonymie : Symmachos étant le fils d’un autre Symmachos.";"https://epigraphy.packhum.org/text/6085?&bookid=5&location=1365 → « En vertu des decisions du clarissime Conseil des 500, Symmachos, fils de Symmachos, de Phlya, a consacre la statue de son maitre, Aurelius Heracleides des Eupyrides, diadoque de la doctrine reçue de Zenon (ID DPhA :Z 20) » (κατὰ τὰ δόξαντα τῇ | κρατίστῃ βουλῇ τῶν | Φ Αὐρ Ἡρακλείδην Εὐ|πυρίδην, τὸν διάδοχο[ν] | τῶν ἀπὸ Ζήνωνο[ς] | λόγων, Σύμμαχος Ͻ | Φλυεὺς τὸν διδάσκα|λον ἀρετῆς ἕνεκεν)." 107;"Stéphanos (Aurelius) de Dorylaion";S154;201;267;Autre;;"Asie Mineure → Dorylaion";"Sous-région = Phrygie.";"IGR IV 527 , SEGO III 16/34/06";;"DPhA s.v. Stephanos (Aurelius) de Dorylaion : "" fils de Stéphanos, citoyen de Dorylaion, s’occupa au nom de sa tribu, celle d’Apollon, de faire ériger, comme le firent aussi les autres tribus de la ville (six bases sont conservées), une statue de l’évergète Q. Voconius Aelius Stratonikos""";; 249;"Sarapion des Chollèides/Sarapion de Hiérapolis de Syrie";"S15 et S13";1;200;Stoïcien;"Poète et philosophe stoïcien";"Grèce → Athènes";;"SEG XXIX, 225";"H. Oliver, « Two Athenian Poets », Hesp. Suppl. 8, 1949, p. 243-246. R. Flacelière, « Le poète stoïcien Sarapion d’Athènes, ami de Plutarque », REG 64, 1951, p. 325-327. D. Babut, Plutarque et le stoïcisme, Paris 1969, p. 246-248. C. P. Jones, « Three foreigners in Attica », Phoenix 32, 1978, p. 228-231. B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscription d’époque impériale, coll. « Textes et traditions » 4, Paris 2002, p. 270-272 et 516-526. C. P. Jones, « Three foreigners in Attica », Phoenix 32, 1978, p. 228-231, et PIR2 S 185";"DPhA s.v. Sarapion des Chollèides : ""Ami de Plutarque, qui lui dédie « quelques-uns de ses dialogues pythiques », c’est-à-dire le De E delphico (384 E) et probablement aussi le De Pythiae oraculis, dont Sarapion est l’un des interlocuteurs. Il est également mentionné dans les Quaest. Conv. I 10.,Sarapion était vraisemblablement originaire d’Hiérapolis de Syrie : il est sans doute identique, en effet, au stoïcien Sarapion (→S 13) que Stéphane de Byzance (327-328 Meineke) mentionne parmi les citoyens illustres de cette ville (Jones 4, p. 229).,Il devint citoyen d’Athènes, où il fut inscrit dans le dème des Chollèides (SEG XXIX 225) et remporta une victoire aux Dionysies comme instructeur du chœur de sa tribu (Quaest. Conv. I 10).,Les descendants de Sarapion, parmi lesquels figure le philosophe T. Flavius Glaucos (➳G 23), partagèrent manifestement son intérêt pour la médecine : ils apparaissent fréquemment dans les inscriptions en rapport avec le culte et le sanctuaire d’Asclèpios (SEG XXIX 225 , IG II2, 3704, 3804 et 4532.""";"Sous Hadrien, La famille avait alors reçu la citoyenneté romaine, avec les noms Q. Statius."; 269;"Sospis (Claudius)";S126;201;234;Autre;"Philosophe renommé";"Grèce → Eleusis";;"SEG XXI, 748.";"Eshleman 2012, Geagan et American School of Classical Studies at Athens 2011. K. Clinton, The Sacred Officials of the Eleusinian Mysteries, coll. TAPhS, 64, 3, 1974, p. 85, n° 13.";"Membre de l’illustre famille des Claudii de Mélité, qui conserva une position dominante dans le sanctuaire d’Éleusis pendant plusieurs générations, Claudius Sospis, fils de Lysiadès, fut prêtre de l’autel au début du IIIe siècle il avait été l’élève du sophiste Chrestos de Byzance, avant de devenir un philosophe renommé.";"De l’épigramme qu’elle contenait il ne subsiste que d’infimes fragments, mais la formule qui la précède précise que la cité honorait le prêtre « pour son mérite et sa philosophie ».";"Épigramme → « pour son merite et sa philosophie »" 268;"Sosibios de Thessalonique (fils)";S116;201;267;Autre;Philosophe;"Grèce → Thessalonique";;"IG X 2, 145";;"fils d’un philosophe homonyme.";;https://epigraphy.packhum.org/text/137327?&bookid=14&location=1311 267;"Sosibios de Thessalonique (Père)";S115;201;267;Autre;"Philosophe macédonien";"Grèce → Thessalonique";;"IG X 2, 145";;"Père du philosophe homonyme.";;https://epigraphy.packhum.org/text/137327?&bookid=14&location=1311 266;"Sopatros d’Apamée de Syrie";S108;335;357;Autre;;"Proche Orient Ancien → Apamée";;;"C. Riedweg et al. 2018, Grundriss der Geschichte der Philosophie. [Abteilung 1] Band 5 2: Die Philosophie der Antike Philosophie der Kaiserzeit und der Spätantike [...] S. Olszaniec, Prosopographical studies on the court elite in the Roman Empire (4th century AD), 2013. C. Pepe, The genres of rhetorical speeches in Greek and Roman antiquity, 2013. J. Ch. Balty,Apamea in Syria in the Second and Third Centuries A.D., 1988.";"Fils de Sôpatros l’Ancien , frère d’Himérius (PLRE I :3) et oncle de Jamblique d’Apamée, est né à Apamée de Syrie, dont il sera décurion. Il organisa les Jeux Olympiques à Apamée en 361 (Libanius, Epist. 663 et 1172). Libanius lui adressa plusieurs lettres entre 359 et 364. Les lettres du Pseudo-Julien permettent de penser que Sôpatros fut, comme son père, le disciple de Jamblique de Chalcis à Apamée.";"DPhA s.v. Sôpatros d’Apamée : ""voir s’il ne faut pas lui attribuer la mosaïque d’Apamée, DPhA III, P. 828-829, s. v. Iamblichos de Chalcis, I 3, biographie et chronologie, annexes du tome VII, notice de Marco di Branco sur Apamée"""; 265;"Sopatros (M. Po[---]) d’Apollonia";S106;;;Pythagoricien;;"Illyrie → Apollonia d'Illyrie";;"I. Apollonia 260";"C. Patsch, Das Sandschak Berat in Albanien, Wien 1904, p. 180, P. Cabanes, Inscriptions d'Apollonia d’Illyrie, coll. « Études épigraphiques » 2, Athènes 1997.";"Sopatros, d’Apollonia d’Illyrie, était un makrobios,il a vécu 87 ans.";"Nom : C. Patschpropose avec hésitation de restituer son gentilice, abrégé dans l’inscription, en Po[r(cius)]. On ne peut pas exclure Po[p(illius)], attesté à Apollonia (I. Apollonia 248).";"Inscription funéraire" 245;"Rusticus (L. Iunius)";R15a;;;Stoïcien;;"Rome et Italie → Rome";Rome ?;"E. Q. Visconti, Iconographie romaine, t. I, Milano 1818, p. 429-430 (avec fac-simile du dessin d’Orsini, entre les p. 428 et 429) J. C. Orelli, Inscriptionum Latinarum Selectarum Amplissima Collectio ad illustrandam Romanae Antiquitatis disciplinam accomodata…, t. I, Turici 1828, p. 261, n° 1190 (avec reproduction du dessin d’Orsini, t. II, pl. T.XIV.E, n° 5).";"P. Vesperini, Droiture et mélancolie sur les écrits de Marc Aurèle, 2016. Campbell 2015, Sánchez-Lafuente, s. d.) Christian Huelsen, « Die Hermeninschriften berühmter Griechen und die ikonographischen Sammlungen des 16. Jahrhunderts » (1901), dans K. Fittschen (édit.), Griechische Porträts, Darmstadt 1988, p. 117-140, notamment p. 127. G.P. Bellori, Veterum illustrium philosophorum, poetarum, rhetorum et oratorum Imagines ex vetustis nummis gemmis, hermis, marmoribus aliisque antiquis monumentis desumptae, Romae 1739, pl. 31.";;;"L. Iunii Rustici || Philosophi Stoici || L. Iunius L(ucii) l(ibertus) || Myrinus p(atrono) p(osuit) → Inscription sur un hermes" 246;"Rufus (Ti. Iulius)";R14;68;134;Autre;;"Grèce → Delphes";;"FD III 4, 89";"C. Vatin, BCH 94, 1970, p. 683-686.";;"Le décret ne précise pas sa patrie d’origine, il se place dans les dernières années du règne de Trajan.";"Décret → https://epigraphy.packhum.org/text/240208?&bookid=452&location=11 → Décret gravé sur le monument d’Auguste" 244;"Quintus (Q. Aufidenus) de Sparte";Q3;-133;-68;Autre;;"Grèce → Sparte";;"ABSA 29, 1927/8, p. 33-34, n° 56 ,SEG XI 807";"S.B. Zoumbaki, The Composition of the Peloponnesian Elites in the Roman period and the Evolution of their Resistance and Approach to the Roman Rulers 2008. Rizakis et al. 2001, Roman Peloponnese. Cartledge et Spawforth, Hellenistic and Roman Sparta: a tale of two cities 2002.";"Fils de Sidectas,son oncle, Q. Aufidenus Sextus, qui, selon une formule à la mode à Sparte à cette époque, se qualifiait lui-même de « très philosophe »,famille très philosophique";"Nom : les prénoms Quintus et Sextus sont rarement utilisés comme cognomina à Sparte.";https://referenceworks-brillonline-com.janus.bis-sorbonne.fr/entries/supplementum-epigraphicum-graecum/seg-11-807-lakonia-unknown-provenance-honoratur-q-aufidenus-quinti-sidectae-f-philosophus-vix-ante-fin-s-iip-a11_807?s.num=1&s.f.s2_parent=s.f.book.supplementum-epigraphicum-graecum&s.q=philosophus 219;"Phanias de Milet";P94;120;180;Autre;"Philosophe, titulaire d’une chaire publique de philosophie (diadochos)";"Asie Mineure → Didymes";;"Didyma II 150";;;"Il était vraisemblablement identique au prophète connu dans le même sanctuaire par une dédicace à Zeus Kataibatès : Didyma II 127";https://epigraphy.packhum.org/text/247141?&bookid=489&location=14 217;"Pétronius Antigénidès";P86a;101;200;Autre;"Jeune élève qui a étudié le pytagorisme, âgé de 10 ans et deux mois";"Rome et Italie → Pisaurum";;"CLE 434 = CIL XI 6435";"P. Vesperini 2017) Annibale degli Abbati Olivieri, Marmora Pisaurensia notis illustrata, Pesaro 1738, p. 33 et 165-168. Pieter Burmann le Jeune, Anthologia ueterum latinorum epigrammatum et poematum siue catalecta poetarum latinorum, in VI. libros digesta ex Marmoribus & Monumentis Inscriptionum vetustis, & Codicibus MSS. eruta, II, Amsterdam 1773, p. 254-256. H.-I. Marrou, « Le symbolisme funéraire des romains (Deuxième et dernier article) [Franz Cumont. Recherches sur le Symbolisme funéraire des Romains] », JS, avril-juin 1944, p. 77-86. S. Mariotti, « La leggenda di Petronio Antigenide (sulla fortuna di un carme epigrafico pesarese) », AC 25-26 (1973-1974), p. 395-416 (= Scritti medievali e umanistici, Roma 1994, p. 321-347. G. Cresci Marrone et G. Mennella, Pisaurum, t. I : Le iscrizioni della colonia, Pisa 1984, p. 384-387. Courtney, Musa Lapidaria. A Selection of Latin Verse Inscriptions, Atlanta 1995, p. 86-87 et 290-292. U. Agnati, Per la storia romana della provincia di Pesaro e Urbino, Roma 1999, p. 184-185. A. Trevisiol, Fonti letterarie ed epigrafiche per la storia romana della provincia di Pesaro e Urbino, Roma 1999, p. 90-91.";"Antigénidès était l’esclave de Pétronius Hilarus.,Antigénidès a donc pu naître dans la maison d’Hilarus, issu d’une de ses esclaves (sans forcément qu’Hilarus en soit le père), devenant ainsi son esclave. Il a pu être acheté par Hilarus. Mais Hilarus a très bien pu recueillir un enfant abandonné, faisant de lui son esclave";"Le nom d’Hilarus étant fréquent chez les esclaves, et la présence d’affranchis étant particulièrement élevée dans les inscriptions de Pisaurum (Agnati 7, p. 188), on peut supposer, mais sans certitude, qu’Hilarus lui-même était un affranchi. Antigénidès, nom qu’Hilarus avait donné à son esclave, est en effet presque inexistant dans l’épigraphie latine occidentale. Le CIL n’en contient qu’un seul autre exemple (II 6161). Il est donc probable qu’Hilarus avait choisi ce nom pour faire allusion au célèbre aulète du IVe siècle av. J.-C. Antigénidas (RE Antigenidas 3), dont le souvenir s’était conservé à Rome sous les Antonins (Apulée, Flor., 4, Aulu-Gelle, XV 17)";"Épigramme → http://db.edcs.eu/epigr/bilder.php?bild=Pisaurum_00155.jpg → D(is) M(anibus) / Petroni Antigenidis / tu pede qui stricto vadis per semita viator / siste rogo titulumque meum ne spreveris oro / bis quinos annos mensesq(ue) duo duo soles / at superos feci tenere nutritus amatus / dogmata Pythagorae sensusq(ue) meavi sophorum / et lyricos legi legi pia carmina Homeri / s{c}iv quid(!) Euclides abaco praescripta tulisset / delicias habui pariter lususque procaces / haec Hilarus mihi contulerat pater ipse patronus / si non infelix contraria fata habuissem / nunc modo ad infernas sedes Acherntis ad undas / t{a}etraque Tartarei sidera possideo / effugi tumidam vitam spes et fortuna valete / ni(hi)l mihi vobiscum est alios deludite quaeso / hac domus aeterna hic sum situs hic ero semper « Aux dieux mânes,de Petronius Antigenides.,Passant qui marches a pas serres (stricto pede) sur ce chemin arrete-toi, je te le demande, et ne meprise pas mon inscription, s’il te plait.,Deux fois cinq ans, deux mois et deux soleils voila ce que j’ai vecu chez ceux d’en haut, tendrement nourri, aime.,J’ai connu les enseignements de Pythagore et les pensees des sages Et j’ai lu les lyriques, j’ai lu les poemes où Homere enseigne la justice (pia carmina).,J’ai su les figures qu’Euclide avait tracees sur l’abaque.,J’ai connu egalement les plaisirs et les jeux licencieux.,Voila tout ce que m’avait donne Hilarus, qui fut mon pere et mon patron si seulement je n’avais pas connu, infortune, un destin contraire.,Mais je descends aux enfers, aux ondes de l’Acheron et j’habite les astres hideux du Tartare.,J’ai quitte la vie et ses tempetes (tumidam uitam). Espoir, fortune, adieu.,Il n’y a plus rien entre nous, allez en tromper d’autres, je vous prie.,Voici mon eternelle maison, je suis ici enseveli, j’y serai toujours ». → En vers latins, metrique" 216;"Perseus de Sinope";P84a;-27;330;Cynique;"Philosophe cynique : « « maître de la pensée cynique » »";"Asie Mineure → Sinope";;"W. Peek, Griechische Vers-Inschriften, n° 1837. S. Follet, « Les Cyniques dans la poesie epigrammatique a lʼepoque imperiale », dans M.-O. Goulet-Caze et R. Goulet (edit.), Le Cynisme ancien et ses prolongements, Paris 1993, p. 368-369.";"M. Dana, Culture et mobilité dans le Pont-Euxin: approche régionale de la vie culturelle des cités grecques, 2011, p. 233.";;;"Épigramme, Inscription funéraire → « maitre de la pensee cynique » (πρ[ο]πετὴ[ς] … κυνικῆς ἐπινοίης), « portant le havresac et, pour equivalent du bâton, la faucille » (ὅττι φέρεν κίβισιν, βάκτρῳ δ’ ἅρπην ἰσόμοιρον), « prophete de sagesse » (σοφίης ὑποφήτην), (nouvel) Homere de la cite de Sinope, la nouvelle Tarse ([ἥ]δ’ … πόλις [Τάρσ]ος)" 215;"Pemptidès (T. Flavius) de Thèbes";P78;35;100;Épicurien;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"SEG, 22, 414";"B. Puech, « Prosopographie des amis de Plutarque », dans ANRW II 33, 6, Berlin 1992, p. 4866-4867. S. Koumanoudis, « Πεμπτίδης », dans Χαριστήριον εις Αναστάσιον Κ. Ορλάνδον [A. K. Orlandos], coll. « Βιβλιοθήκη της εν Αθήναις Αρχαιολογικής Εταιρείας » 54, t. II, Athènes 1966, p. 1-21 Sprache und Literatur (Allgemeines zur Literatur des 2. Jahrhunderts und einzelne Autoren der trajanischen und frühhadrianischen Zeit [Schluss])";"Grand-prêtre municipal du culte impérial à Thèbes sous Galba";"Il devint probablement, sous Domitien, hiérarque des Cabires"; 214;"Paullinus (Ti. Claudius) d’Antioche de Pisidie";P62;135;167;Autre;;"Asie Mineure → Antioche de Pisidie, Pergame";;"Inschr. Asklepieions 32; CIL III 302 = CIL III 6850 = ILS 7777";;"Honoré d'une statue à Pergame, sous Hadrien, il bénéficie d'une épitaphe dans sa cité d'origine, Antioche de Pisidie, où il apparaît comme (dat.) ""philosopho hero"".";; 213;Patricius;P56;335;400;Platonicien;;"Proche Orient Ancien → Villa de Soueidie, pres de Baalbek";;"ISyrie VI, 2886";"L. Cracco Ruggini, « Sulla cristianizazzione della cultura pagana », Athenaeum 43, 1965, p. 8-10,B. Puech, notice « Eudoxius » E 99, DPhA III, 2000, p. 302-303";"Fils d’Olympius, propriétaire d’une villa à Souaidié près de Baalbek (Héliopolis)";"La demeure pourrait être en fait le lieu de réunion d’une communauté de philosophes (d’autres détails dans B. Puech, s.v. « Eudoxius » (E 99), DPhA III, 2000, p. 302-303).";"Épigramme → « digne dans sa sagesse d’Eudoxius, le sage descendant de Platon » et « digne des Anciens par la piete de son esprit » → Epigramme dans mosaique" 311;"Parm(én)iscos de Métaponte";P42;-600;-401;Pythagoricien;"Pythagoricien ancien";"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Délos";;"IG XI 2, n° 161 B 17";"(Bonnechere 2003),LGPN3, t. I, p. 363";;"L’inventaire du temple d’Artémis dans cette meme île, datant de 279 av. J.-Chr., qui fait état de l’offrande de Parmiscos";"Inventaire → Inventaire du temple d’Artemis" 212;"Parménidès (Avidius) de Thespies";P41;68;134;Autre;philosophe;"Grèce → Thespies";;"IThesp, 361 (= IG VII 2519, completee par A. Plassart, BCH 50, 1926, p. 433), et Arch. Eph. 1934/5, chron. 15, n° 184";;"son fils Archestratos, également philosophe, fille d’Archestratos, Avidia Iulia";"La seule mention de ce philosophe est l’indication du patronyme de son fils Archestratos";"Inscription de statue → https://epigraphy.packhum.org/text/146021?&bookid=13&location=11 → Base de statue" 211;"Paramonos de [Tarse ?]";P39;-133;-100;Stoïcien;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes";;"Inscription publiee par Vassa Kontorini, Rhodiaka, I : Inscriptions inedites relatives a l’histoire et aux cultes de Rhodes au IIe et au Ier siecle av. J.-C., coll. « Publications d’histoire de l’art et d’archeologie de l’Universite catholique de Louvain » 47 - « Archaeologia Transatlantica », Louvain-la-Neuve/Providence, Brown Univ. 1983, n° 1, p. 19-28 ,mentionne dans l’Ind. Stoic. Herc., col. 74, 5-6 (p. 124 Dorandi)";"M. Haake, « Der Panaitiosschüler Paramonos aus Tarsos, der Kappadokische König Ariarathes VI. und eine rhodische Inschrift. Zu Rhodiaka I 1 = SEG XXXIII 642 und Philod. Stoic. Hist. col. LXXIV, II. 5 s. u. col. LXXVII, II. 1-3 », Epigraphica 74, 2012, p. 43-58 Les élites et leurs facettes: les élites locales dans le monde hellénistique Vassa Kontorini, Rhodiaka, I : Inscriptions inédites relatives à l’histoire et aux cultes de Rhodes au IIe et au Ier siècle av. J.-C., coll. « Publications d’histoire de l’art et d’archéologie de l’Université catholique de Louvain » 47 - « Archaeologia Transatlantica », Louvain-la-Neuve/Providence, Brown Univ. 1983, n° 1, p. 19-28.,Jean-Louis Ferrary, Philhellénisme et impérialisme. Aspects idéologiques de la conquête romaine du monde hellénistique, de la seconde guerre de Macédoine à la guerre contre Mithridate, coll. BEFAR 271, Paris 1988, p. 461-462.";"DPhA s.v. Paramonos de [Tarse ?] : ""disciple de Panétius de Rhodes,on croit comprendre que ce disciple aurait enseigné, comme assistant, dans l’école de Panétius et que Dikaios de Tarse (→D 96) fut son élève""";;"Παράμο|[νος Ταρσ]εύς,λιπεν δὲ τὸ τῷ Παναι|τίῳ Παράμονον προ|εξάγειν (comp. col. 60, , le sens serait, d’apres Usener : « alicuius scholae tirones docere » : voir aussi Dorandi, note sur col. 60, 4, p. 168) καὶ τὸ Δίκαιον | αὐτοῦ Ταρσέα γεγονέναι | [μα]θη[τ]ήν. T. Dorandi traduit le passage de la façon suivante : « (Permise) que Paramono tenesse corsi introduttivi alla scuola di Panezio e che Diceo di Tarso fosse sui discepolo… »" 310;"Paralios d’Anagyrunte";P38;-434;-368;Autre;"Philosophe ? soutien à Socrate";"Grèce → Athènes";;"IG II2 1400";"LGPN II 1 D. Nails, The People of Plato, p. 216.";"DPhA s.v. Paralios d’Anagyrunte : ""fils de Démodocos (→D 72) et frère de Théagès (→T 26), du dème d’Anagyrunte (Théagès 127 e), est cité par Socrate parmi ceux qui sont venus lui apporter leur soutien.""";;"Παράλιος Ἀναγυράσιος comme tresorier (ταμίας τῶν ἱερῶν χρημάτων τῶν τῆς Ἀθηναίας καὶ τῶν ἄλ[λων θεῶν]) pour l’annee 390/389." 243;"Python de Chytroi";P344;-234;-168;Épicurien;;"Chypre → Chytroi";;"SEG XXV:1138 ,BCH 92, 1968, p. 79-80, n° 5. BCH 92 (1968) 79, 5.";"T. Dorandi, Philosophie et philosophes a Chypre entre l'Hellénisme et l' époque romaine, Flor. Il., 21, 2010, p. 119-131. M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 207-208. J. Młynarczyk, Nea Paphos in the Hellenistic period, 1990.";"Fils d’Aristocratès, fut enterré dans le caveau familial de Chytroi (Chypre), comme son frère Scythinos et sa sœur Apollonia, vers le début du IIe siècle av. J.-C. Mort à 78 ans ou en l'an 78 ?";;"Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/303624?hs=216-227 → Πύθων Ἀριστοκράτου, ἀδελφὸς Σκυθίνου, φιλόσοφος ἐπικούρειος, (ἐτῶν) οηʹ → Inscription sur une plaque de calcaire blanc" 210;"Papinius de Smyrne";P34;170;250;Autre;philosophe;"Asie Mineure → Smyrne";;"IK 24, 725";;;"Connu par sa piété envers Sarapis et les Nemeseis poliades,: en 211/2, à la faveur du don par Caracalla d’un emplacement voisin du sanctuaire des Nemeseis, il avait enrichi celui-ci d’un bâtiment élevé sur ce terrain";https://epigraphy.packhum.org/text/255655?&bookid=525&location=1694 242;"Pythagore de Samos";P333;-600;-401;Pythagoricien;"Philosophe « présocratique », fondateur controversé d’une communauté mi-philosophique mi-politique en Italie du Sud.";"Thrace → Abdère";;"Monnaies d’Abdere. Il s’agit de tétradrachmes en argent frappes ca 430-425 av. J.-C.";;"Maître de sagesse charismatique et philosophe « présocratique » Son nom est lié à l’introduction de la croyance en la métempsycose dans le monde grec, mais aussi aux mathématiques, à la philosophie des nombres et à la notion d’harmonie céleste – notions ou domaines qui furent approfondis davantage par ses disciples et épigones, les pythagoriciens. Devenue vite légendaire, sa figure inspira plusieurs philosophes, notamment de matrice platonicienne, et sa pensée connut une réception particulièrement longue et variée à travers les siècles.";; 240;"Pythagoras de Philadelphie";P331;-33;34;Autre;"Philosophe lydien";"Asie Mineure → Philadelphie";"Sous-région = Lydie.";"SEGO I 04/24/02 , TAM V 3, 1895c";"C.H. Kahn, Pythagoras and the Pythagoreans: a brief history, 2001. J. Luchte, PYTHAGORAS AND THE DOCTRINE OF TRANSMIGRATION wandering souls;wandering souls. 2012. C.A. Huffman, A history of Pythagoreanism, 2014. Pomeroy, Pythagorean women: their history and writings, 2013. M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 317-319. G. Petzl, « Zum neupythagoreischen Monument aus Philadelphia », EA 20, 1992, p. 1-5. A. Brinkmann, « Ein Denkmal des Neupythagoreismus », RhM 66, 1911, p. 616-625";;"Voir Hippocrate l’hyppiatre Il l’avait exprimé d’abord dans le choix du nom sous lequel il exerça son activité et sur lequel il attire fièrement l’attention dans son épigramme funéraire ,Prendre un nom en rapport avec son activité était habituel, notamment dans les milieux intellectuels (voir les exemples rassemblés, pour les philosophes, par M. Haake, Der Philosoph in der Stadt, München 2007, p. 317-319";"Épigramme, Inscription funéraire → « Ma naissance n’a pas fait de moi, Pythagore, l’illustre Samien, mais le meme nom m’est echu naturellement, a cause de ma sagesse, pour avoir juge que la peine s’impose comme un choix de vie… »" 241;"Pythagoras (Iulius) d’Héraclée";P330;-27;330;Autre;philosophe;"Asie Mineure → Héraclée du Pont";;"IK 47, 4";;"sa fille, Ol(l)ia";"La seule mention de ce philosophe est le patronyme de sa fille, Ol(l)ia";https://epigraphy.packhum.org/text/265206?&bookid=555&location=1673 239;"Prytanis de Carystos";P310;-300;-201;Péripatéticien;"Philosophe péripatéticien et législateur.";"Grèce → Athènes";;"A. G. Woodhead (edit.), The Athenian Agora, t. XVI, 1997, n° 224, p. 321-324 (une traduction italienne figure dans L. Moretti, Iscrizioni storiche ellenistiche, testo critico, traduzione e commento a cura di L. M., Firenze 1967, n° 28, p. 60-63 , le texte grec et une traduction française se lisent dans 7 S. Le Bohec, Antigone Doson, roi de Macedoine, coll. « etudes anciennes » 9, Nancy 1993, p. 185-187 , commentaire, p. 41 et p. 187-189)";"Robert L. Notes d'épigraphie hellénistique, XLI-XLV.. In: Bulletin de correspondance hellénique. Volume 59, 1935. pp. 421-437.,(Cébeillac-Gervasoni, Lamoine, et École française de Rome 2003),(Nourrisson et Colloque Le Barbare, l’Etranger: Images de l’Autre 2005)";"DPhA s.v. Prytanis de Carystos : "" Prytanis est le fils d’Astyleidès de Carystos dans l’île d’Eubée selon un décret honorifique découvert en 1933 sur l’Agora d’Athènes et daté de septembre 226 av. J.-C. (les deux références au roi macédonien Antigone Dôsôn [† 221] ont été grattées sur la pierre, comme marque de damnatio memoriae),De son activité littéraire Plutarque (Quaest. conv. 612 d [préface]) nous apprend seulement que Prytanis s’était illustré dans le genre du « banquet », comme d’autres représentants du Péripatos, Aristote en tête et Hiéronymos de Rhodes (→H 129).,Ce philosophe faisait partie, nous dit Polybe, « des hommes en vue, issus de l’école péripatéticienne » (τῶν ἐπιφανῶν ἀνδρῶν ἐκ τοῦ Περιπάτου καὶ ταύτης τῆς αἱρέσεως). Parmi ses disciples on ne connaît que le poète Euphorion de Chalcis (→E 127) en Eubée, dont la Souda nous dit qu’il aurait eu comme maîtres en philosophie l’académicien Lacydès (→L 11) et Prytanis (E 3801 « Εὐφορίων »""";;Décret 238;"Propas (L. Petitius) de Corinthe";P298;1;67;Autre;philosophe;"Grèce → Olympie";;"I. Olympia 453 (A. D. Rizakis et S. Zoumbaki, Roman Peloponnese I, coll. « Meletemata » 31, Athenes 2001, p. 510 et 512, n° 290 et 298)";"A. D. Rizakis et S. Zoumbaki, Roman Peloponnese I, coll. « Meletèmata » 31, Athènes 2001, p. 510 et 512, n° 290 et 298";"Sa mère Occia Prisca";"Nom : Vu la rareté en Grèce de son gentilice et de celui de sa mère, le philosophe était certainement issu d’une famille italienne récemment installée dans la colonie de Corinthe."; 237;"Praxiphane de Mytilène";P277;-334;268;Péripatéticien;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Délos";;"IG XI 4, n° 613";"Lefebvre 2016. H. Gottschalk, art. « Praxiphanes », NP X, 2001, col. 279-280.";"il est né à Mitylène sur l’île de Lesbos, mais qu’il s’est établi à Rhodes où il a exercé une activité philosophique en tant que péripatéticien";;"Décret → https://epigraphy.packhum.org/text/63097?&bookid=17&location=915" 236;"Praetextatus (Vettius Agorius)";P274;301;400;Autre;"étude en privé de la philosophie et de la littérature";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 1777-1779";"Kahlos 2016. J. Nistler, « Vettius Agorius Praetextatus », Klio 10, 1910, p. 462-475. T. W. J. Nicolaas, Praetextatus, Nijmwegen/Utrecht 1940, 1-117. W. Enßlin, art. « Praetextatus », RE XXII 2, 1954, col. 1575-1579. M. Kahlos, Vettius Agorius Praetextatus. Senatorial Life in Between, coll. « Acta Instituti Romani Finlandiae » 26, Roma 2002, p. 28-49.";"DPhA s.v. Praetextatus (Vettius Agorius –) : ""Sénateur romain, praefectus praetorio en 384, praefectus urbi en 367-368, il mourut alors qu’il était consul designatus pour l’année 385.,Il était l’un de ces sénateurs romains cultivés qui, à la manière de Nicomachus Flavianus (→N 49) et Mallius Theodorus (→T 64), consacraient leur otium à l’étude en privé de la philosophie et de la littérature. Les activités philosophiques de Praetextatus sont attestées par le passage de Boèce cité plus haut et par son épitaphe (CIL VI 1779) sa femme Fabia Aconia Paulina.""";"La seule certitude dont nous disposons concernant ses activités philosophiques est qu’il s’occupait en quelque façon de la logique d’Aristote";"Épigramme, Inscription funéraire, Poème → http://www.tertullian.org/rpearse/mithras/display.php?page=cimrm420 → Epigramme formee de deux distiques elegiaques" 337;"Potamon d'Alexandrie";P272;1;100;Autre;"He is the only philosophers associated with an ἐκλεκτικὴ αἵρεσις (Diog Laert 1.21)";"Asie Mineure → Ephèse";;"SEG 1988 1177 Ephesos. Honorary inscriptions for Potamon ( ?),";;;; 235;"Posidonius d’Apamée";P267;-200;0;Stoïcien;"Fonda sa propre école philosophique";"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes";;"Inscription sur son buste : Richter, Portraits, t. III, p. 282, fig. 2020 , Buste de Posidonius. Naples, Musee National, Inv. 6142 (copie d’epoque augusteenne d’un original de la premiere moitie du Ier siecle av. J.-Chr.). (Photo D-DAI-ROM-62.0860)";"Boeri et Salles, Los Filósofos Estoicos: Ontología, Lógica, Física y Ética.: Traducción, comentario filosófico y edición anotada de los principales textos griegos y latinos, 2014. J. Riser 2014 K. Reinhardt, art. « Poseidonios von Apameia », RE XXII 1, 1953, col. 558-826. P. Steinmetz, « Poseidonios aus Apameia », dans H. Flashar (édit.), GGP, Antike 4 : Die Hellenistische Philosophie, Basel 1994, p. 670-705. G. Kidd, art. « Posidonius » 2, dans S. Hornblower et A. Spawforth (édit.), OCD, 3rd edition, Oxford 1996, p. 1231-1233. B. Inwood, art. « Poseidonios » 3, NP X, 2001, col. 211-215. K. A. Algra, art. « Posidonius », dans E. Craig (édit.), The Routledge Encyclopedia of Philosophy, London 1998, p. 555-558. J. Malitz, Die Historien des Poseidonios, München 1983, p. 5-33. T. Dorandi, « Chronology », dans K. A. Algra, J. Barnes, J. Mansfeld et M. Schofield (édit.), The Cambridge History of Hellenistic Philosophy, Cambridge 1999, p. 37-43. Strabon qui connaissait bien l’œuvre de Posidonius, rapporte que Posidonius était originaire d’Apamée, une cité hellénisée de Syrie, mais qu’il devint un citoyen de Rhodes, où il travailla également en tant que philosophe (XIV 2, 13 = T2a EK).";"DPhA s.v. Posidonius d’Apamée : ""Posidonius ne retourna jamais à Apamée, mais s’installa à Rhodes, où il fonda sa propre école philosophique et devint rapidement l’un des principaux philosophes de son temps. Il obtint la citoyenneté à Rhodes et occupa la charge politique la plus élevée (prytanis), à une époque où Rhodes était une alliée indépendante de Rome. ,Les leçons de Posidonius étaient réputées. Nous savons que certaines furent consignées par écrit par son ami ou disciple Phanias [→P 93] (D.L. VII 41 = T 43), procédé qui rappelle la publication par Arrien des Dissertations d’Épictète. Après la mort de Posidonius son école continua à exister sous la direction de son disciple Jason de Nysa (Souda, s.v. Ἴασων = T 40 EK). Un autre de ses disciples important fut Asclépiodote (→A 456), une des sources de Sénèque (→S 43) dans ses Naturales Quaestiones.""";; 234;"Pontianos de Nicomédie";P260;168;234;Autre;;"Grèce → Athènes";;"Voir si identification possible avec IG II 3265.";"Dana 2016. Athenaeus et B. Louyest, Mots de poissons: le banquet des sophistes, livres 6 et 7 d'Athénée de Naucratis, 2009. D. Lenfant, Athénée et les fragments d'historiens: actes du colloque de Strasbourg (16-18 juin 2005), 2007. R. Nadeau, Les manières de table dans le monde gréco-romain, 2010. A. M. Desrousseaux (édit.), Athénée de Naucratis, Les Deipnosophistes, Livres I et II, coll. CUF, t. I, Paris 1956, p. XVIII.";"DPhA s.v. Pontianus de Nicomédie : "" Un des interlocuteurs (fictifs ?) du banquet décrit dans les Deipnosophistes d’Athénée (→A 482), lequel est censé avoir eu lieu dans la maison d’un riche et illustre haut fonctionnaire romain, P. Livius Larensis, et auquel Athénée lui-même (F II – D III) avait participé Il est originaire de Nicomédie, la capitale de la province de Bithynie, en Asie Mineure,Pontianus fait partie, en compagnie de son compatriote Démocrite (→D 70a) et de Philadelphius de Ptolémaïs (→P 110), des trois « philosophes » (non cyniques) présents au banquet,On découvre chez Pontianus un certain antiplatonisme à la lecture de sa longue intervention dans le livre XI, 504 b-509 e, où il critique de nombreux passages de Platon.""";"A. M. Desrousseaux (édit.) 1956, p. XVIII, imagine que le nom ne serait qu’une transposition de celui de Nicomède II de Nicomédie (RE 4), tout comme le nom de Philadelphe de Ptolémaïs (→P 110) serait formé sur le modèle de Ptolémée Philadelphe."; 209;"Panétius de Rhodes";P26;-180;-110;Stoïcien;"Philosophe stoïcien, scholarque de la Stoa.";"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes";;"I.Lind. 223 ; cf. aussi I.Lind 129.";"(Boeri et Salles 2014) Voir M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 141-145 et p. 198-205. Haake, p. 199-202 Les stoïciens, Tome II,C Veillard – 2015 Christelle Veillard, « Comment définir son devoir ? », Philosophie antique, 14 | 2014, 71-109 Ch. Blinkenberg, Lindos. Fouilles de l’Acropole 1902-1914, vol. II : Inscriptions, Berlin/Copenhagen 1941, t. I, col. 117 et 423 F. G. van Lynden, Disputatio historico-critica de Panaetio Rhodio philosopho stoico, Lugduni Batavorum 1802, XIII-122 p.,. N. Tatakis, Panétius de Rhodes. Le fondateur du Moyen Stoïcisme. Sa vie et son œuvre, coll. « Bibliothèque d’histoire de la philosophie », Paris 1931, II-234 p.,A.-J. Voelke, Les rapports avec autrui dans la philosophie grecque d’Aristote à Panétius, coll. « Bibliothèque d’histoire de la philosophie », Paris 1961, 206 p.,A. Puhle, Persona. Zur Ethik des Panaitios, coll. « Europäische Hochschulschriften : Reihe 20, Philosophie » 224, Frankfurt am Main 1987, 290 p.,E. Lefèvre, Panaitios und Ciceros Pflichtenlehre. Von philosophischen Traktat zum politischen Lehrbuch, coll. « Historia Einzelschriften » 150, Stuttgart 2001, 226 p.,T. Tieleman, « Panaetius’ Place in the History of Stoicism, with Special Reference to His Moral Psychology », dans A. M. Ioppolo et D. N. Sedley (édit.), Patricians, Platonizers, and Pyrrhonists. Hellenistic Philosophy in the Period 155-86 BC, Napoli 2007, p. 103-142.,LGPN, t. I : The Aegean Islands, Cyprus, Cyrenaica, Oxford 1987, p. 358,T. Dorandi, Filodemo. Storia dei filosofi : la Stoà da Zenone a Panezio (PHerc. 1018), coll. « Philosophia antiqua » 60, Leiden 1994, col. LV-LXXVII, p. 106-126.";"DPhA s.v. Panétius de Rhodes : ""né à Lindos sur l’île de Rhodes vers 180a, scholarque de la Stoa dans l’avant-dernière décennie du IIe siècle avant J.-C Panétius était l’aîné des trois fils de Nicagoras (Stoic. hist., col. LV, li. 2, p. 106 Dorandi). Il fit un an de service militaire dans la flotte rhodienne et fit ensuite un voyage à Athènes (Stoic. hist., col. LVI, li. 4-8, p. 106 Dorandi). Il étudia tout d’abord, probablement après 168/7 selon Haake 39, p. 201, à Pergame auprès du grammairien Cratès de Mallos (→C 203), du moins s’il faut en croire Strabon XIV 5, 16 (= test. 5), puis à Athènes, après 155, où il fut le disciple de Diogène de Babylonie (→D 145) et d’Antipatros de Tarse (→A 205), qu’il assista dans son enseignement (Stoic. hist., col. LX, li. 3-4, p. 110 Dorandi) et auquel il succéda comme scholarque (cf. Souda Π 184, t. IV, p. 20 Adler = test. 8, et Philodème, Stoic. hist., col. LIII, li. 1-5, p. 104 Dorandi = test. 7). Sans doute après 146, il séjourna longuement à Rome, où il devint l’ami de Scipion Émilien (Publius Cornelius Scipio Aemilianus Africanus) et fréquenta le cercle de dirigeants que ce dernier animait, ce qui a entraîné chez des auteurs tardifs l’idée, inexacte, qu’il aurait été le maître (praeceptor, καθηγησάμενος) d’Émilien (cf. par exemple, Pomp. Porph., Comm. in Horat. I 29, 13-14 = test. 29, et Souda Π 1941, t. IV, p. 162 Adler = test. 28).""";"Panétius exerçait son activité professorale dans un esprit d’ouverture et accordait parfois une place aux contributions philosophiques des autres écoles, en particulier aux doctrines de la tradition platonicienne et aristotélicienne"; 233;"Politus (M.) de Téménothyres";P221;101;200;Autre;;"Asie Mineure → Téménothyres de Lydie";"Sous-région = Lydie.";"IGR IV 628 , SEGO III 16/08/07.";;;;"Inscription funéraire" 319;"Polémarchos de Tarente";P215;;;Pythagoricien;"Pythagoricien ancien";"Rome et Italie → Tarente";;"IG XIV, 668, col. I, 1 (defixio sur plomb)";"LGPN, t. III A, p. 366,. Wuilleumier, Tarente, des origines à la conquête romaine, coll. BEFAR 148, Paris 1939.";;"Selon notice DPhA (Constantinos Macris) Fraser-Matthews proposent (sans fondement) une datation trop haute, au VIe siècle av. J.-Chr. Sur la forme du nom de Polémarchos, cf. 6 Fr. Bechtel, Die historischen Personennamen, p. 374.";"Liste → Liste comportant une quarantaine de noms, masculins et feminins, inscrits sur deux feuilles de plomb recueillies dans une tombe tarentine et datant des IVe-IIIe siecles" 232;"Plutarque de Chéronée";P210;45;125;Platonicien;Néoplatonicien;"Grèce → Thèbes";;"Syll. 3, 844-845 (la famille de Plutarque): CID IV 150 ; CID IV 151 (le philosophe) ; IG VII 3422 (le philosophe) ; IG VII 3423 ; IG IX 1, 61 ; IG VII 3424 ; IG VII 3425 ; IG II2 3814.";;"Elève du platonicien Ammonios d'Athènes (DPhA I, A 138).";; 318;"Plutarque d’Athènes";P209;350;432;Platonicien;"Philosophe néoplatonicien, scholarque de l’école d’Athènes.";"Grèce → Athènes";;"IG II2 5, 13532";"S. Slaveva-Griffin et P. Remes, The Routledge Handbook of Neoplatonism, 2014. I. Hadot et M. Chase, Athenian and Alexandrian Neoplatonism and the harmonization of Aristotle and Plato, 2015. L. Robert, « Épigrammes relatives à des gouverneurs », dans Id., Hellenica, t. IV : Épigrammes du Bas-Empire, Paris 1948, p. 35-114, en part. p. 55-59. É. Évrard, « Le maître de Plutarque d’Athènes et les origines du néoplatonisme athénien », AC 29, 1960. A. Frantz, « Pagan Philosophers in Christian Athens », PAPhS 119, 1975";;"Nom : Robert 1948, p. 102, « le nom de Ploutarchos n’est nullement, au IVe siècle, un nom très répandu » (remarque confirmée par la consultation du LGPN I-IV : aux IVe et Ve siècles, les seuls Plutarque dont on ait connaissance sont ceux de la famille de Plutarque d’Athènes, auxquels on ne peut ajouter que le Plutarque de l’épitaphe IG II2 5, 13532 [= II2 3, 2, 12473], jeune athénien qui était allé à Rome pour y faire carrière, cf. LGPN II, s.v. Πλούταρχος, nos 3-7 et 22, p. 369), les deux Plutarque mentionnés dans nos trois inscriptions doivent être liés plus ou moins directement à Plutarque d’Athènes."; 231;"Plous de Paphos";P207;-100;0;Épicurien;"L'attribution à l'école épicurienne est restituée.";"Chypre → Paphos";;"Inscription inédite, mentionnée par T. B. Mitford, dans J. Pouilloux 'éd.), Salamine de Chypre. Histoire et archéologie: états des recherches, Actes du colloque de Lyon, 13-17 mars 1978, Paris 1980, p. 281, n. 38 (SEG 30, 1627).";"T. B. Mitford, ""Roman Cyprus"", ANRW II 7.2, 1980, p. 1285-1384, p. 1352 n.° 321.";;;"Dédicace → [Ἀφροδίτη]ι̣ Παφίαι [τòν δεῖνα Ἀπολλω]νίου, τ[ò]ν καὶ Πλοῦν [τòν ἐκ Σεβαστῆ]ς̣ Πάφου φιλόσοφο[ν] [Ἐπίκούρειον (?),ἀρχι]ερ̣έ̣α̣ διὰ βίου θ[εοῦ] [Αὐτοκράτορος Καίσ]αρος Σεβασ[τοῦ] [ἄρξαντα (?), γυμνασιαρχήσ]αντα (?),ἄθ[λοις] . . . . . . . . . . . . . . . . .  . . . . . .ΗΣ ἐξ α[ὐτοῦ] ? [Σεβαστὴ Πάφος τόν ἑαυτῆς εὐε]ργέτ[ην]" 317;"Plotina (Pompeia)";P206;1;200;Autre;"Impératrice romaine, l’intérêt pour la philosophie et les sympathies épicuriennes de l’impératrice sont prouvées de manière irréfutable";"Grèce → Athènes";;"IG II2 1099, SEG 3, 226 + IG II2 1097, dossier de deux lettres";"Oliver, The Empress Plotina and the Sacred Thymelic Synod, 1975. C. J. Castner, Prosopography of Roman Epicureans from the Second Century B.C. to the Second Century A.D., Frankfurt am Main/Bern/New York/Paris 1989, p. 51-55. H. Temporini, Die Frauen am Hofe Traians, Berlin 1978. H. Temporini-Gräfin Vitzthum, art. « Plotina », NP IX, 2000, col. 1146";"Impératrice romaine, femme de l’empereur Trajan.";"DPhA s.v. Plotina (Pompeia –) : ""Elle fut divinisée, devint diva mater d’Hadrien et fut honorée de son vivant et après son décès par de nombreuses inscriptions et monnaies (liste dans PIR2 P 679 et Temporini 4, aussi 14 M.-Th. Boatwright, « The Imperial Women of the Early Second Century a. C. », AJPh 112, 1991, p. 513-540). Son urne a peut-être été placée à côté de celle de Trajan dans la base de la colonne et elle a eu droit à un culte parallèlement à son mari à Rome d’après CIL VI 966""";"Lettre → Lettres de Plotine à Hadrien et aux epicuriens avec la réponse favorable de l’empereur" 230;"Pleistarchos (Pompeius) d’Athènes";P202;135;200;Autre;philosophe;"Grèce → Eleusis";;"IEleusis 487";"B. Dignas et K., Trampedach Practitioners of the divine: Greek priests and religious officials from Homer to Heliodorus, 2008. K. Clinton, The Sacred Officials of the Eleusinian Mysteries, coll. TAPS 64, 3, Philadelphia 1974, p. 30-31.";"mariage de sa fille, Pompeia Polla, à un membre d’une famille sacerdotale d’Éleusis, T. Flavius Euthycomas";"DPhA s.v. Pleistarchos (Pompeius –) d’Athènes : ""K. Clinton 974, p. 30-31, a attiré l’attention sur le nom de l’un des fils nés de ce mariage, Ménandros (IEleusis 488) : il n’est pas exclu que la famille de Pleistarchos lui-même, ou celle à laquelle il s’est allié par le mariage de sa fille, ait eu un lien de parenté – biologique ou spirituelle – avec celle d’un autre philosophe athénien de la fin du Ier siècle, T. Flavius Ménandros (→M 106 et P 30). Nom : Quant au gentilice Pompeius, fort rare à Athènes, il pourrait être en rapport avec le poète pergaménien Q. Pompeius Capito, qui était devenu Athénien sous le règne d’Hadrien (IG II2 3800).""";https://epigraphy.packhum.org/text/346949?&bookid=876&location=648 315;"Philonidès de Laodicée";P159;-200;-125;Épicurien;"Philosophe et mathématicien épicurien.";"Grèce → Eleusis";;"IG II2 1236 = IEleusis 221, l. 2-21";"I. Savalli-Lestrade, Les philoi royaux dans l'Asie hellénistique, 1998. R. Koch, Comment peut-on être dieu: La secte d'Epicure, 2005. K. Clinton, Eleusis, the inscriptions on stone. Documents of the Sanctuary of the Two Goddesses and public documents of the deme, coll. « The Archaeological Society at Athens Library » 236 et 259, Athens 2005, t. I, p. 247-248, avec le commentaire t. II, p. 269-271. A. Bielman, Retour à la liberté. Libération et sauvetage des prisonniers en Grèce ancienne. Recueil d’inscriptions honorant des sauveteurs et analyse critique, coll. « Études épigraphiques » 1, Lausanne 1994, p. 202-205, n° 56 et planche XXII.";;;"Décret → « …et (Philonides) soutenait avec zele les ambassadeurs depeches par notre peuple aupres des rois , le peuple, en reponse a ces actions et a tous les autres bienfaits qu’il a accomplis en sa faveur, lui a octroye le droit de cite ainsi qu’a ses fils Philonides et Dikaiarchos et l’a couronne d’abord d’une couronne de feuillage puis d’une couronne d’or qu’on a consacrees dans le sanctuaire du Demos et des Charites, conformement au desir de (Philonides) lui-meme , le peuple l’a egalement sauve de la captivite en prenant grand soin de lui , lorsqu’il vint dans notre cite en compagnie de son fils aine Philonides, les prytanes les presenterent au peuple parmi les membres des colleges sacerdotaux (ἐν ἱεροῖς) et apres que (Philonides) eut parle des sentiments de bienveillance qu’ils eprouvaient envers tous les Atheniens, le peuple les accueillit avec bonte et jugea digne de les inviter au prytanee a la table publique du peuple. Afin donc que nous, Eumolpides et Kerykes, honorions de façon manifeste (Philonides) et ses descendants pour leur piete envers les deux deesses et afin que nous devenions emules des hommes qui se montrent bons envers nos envoyes. A la Bonne Fortune. Plaise aux gene qui envoyent en ambassade les spondophores de louer Philonides de Laodicee et ses fils Philonides et Dikaiarchos et de couronner chacun d’eux de la couronne de myrte offerte traditionnellement aux bienfaiteurs des deux gene. Qu’il soit donne a Philonides et a ses descendants, s’ils conservent la meme bienveillance envers le peuple, de recevoir tous les autres biens dont ils paraitront dignes. Que l’archonte des gene fasse transcrire ce decret sur une stele de marbre… Que la depense consecutive soit portee au compte des gene »." 228;"Philocratès de Sidon";P139;-100;0;Épicurien;"Attachement aux préceptes d’Épicure";"Grèce → Orchomène";"Sous-région = Beotie.";"G VII 3226 , GVI 1516 , 1 W. Peek, Griechische Grabgedichte, Berlin 1960, n° 201.";"P. Vesperini et École française de Rome, Philosophari: usages romains des savoirs grecs sous la République et sous l'Empire, 2017. R. Koch, Comment peut-on être dieu: La secte d'Epicure, 2005. M. Sartre, D'Alexandre à Zénobie: histoire du Levant antique, IVe siècle avant J.-C.-IIIe siècle après J.-C, 2001. W. Peek, Griechische Grabgedichte, Berlin 1960, n° 201. M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 175-176. N. Belayche et S. C. Mimouni (édit.), Entre lignes de partage et territoires de passage. Les identités religieuses dans les mondes grec et romain. Paganismes, judaïsmes, christianismes, coll. « Collection de la Revue des Études Juives », Paris/Louvain 2009, p. 121-137.";;;"Épigramme, Inscription funéraire → « Elle n’a pas denature le cours anterieur de ta vie, Philocrates, l’œuvre que tu as menee a terme, en aiguisant ton esprit a de sages reflexions , car c’est, en verite, depuis ta prime jeunesse que tu t’es interesse, comme il se doit, aux profonds preceptes d’epicure. Et puis, abandonnant encore au gouvernail de la Fortune ton existence errante, c’est chez les Minyens que tu as entraine les mortels a la competition , et tu reposes aupres de ton fils, tes membres tout contre lui, heureux de quitter la vie pour le rejoindre, lui qui t’a devance dans la mort. »" 227;"Philiscos de Thessalie";P135;-133;-68;Autre;"Sophiste, occupa pendant sept ans (peut-être à partir de 212) la chaire de sophistique d’Athènes, obtenue de l’empereur Caracalla grâce à l’impératrice Julia Domna";"Grèce → Delphes";;"Une inscription de Delphes, FD III 4, n° 273, p. 294, revue par W. Peek et commentée par B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’époque impériale, Paris 2002, p. 376-377, formée de deux distiques élégiaques, évoque l’honneur accorde par les délégués des Grecs (ici les Amphictions) a Philiscos, « de haute sagesse » (τὸν μέγαν ἐν σοφίῃ) Philiscos est cite par Philostrate, V. Soph. II 11, 1, parmi les plus illustres disciples de Chrestos de Byzance, lui-meme disciple d’Herode Atticus, qui enseignait a Athenes dans les annees 170.,Le premier editeur de l’inscription, R. Flaceliere, BCH 73, 1949, n° 11, p. 473-475";"A. Billault, L'univers de Philostrate, 2000. F. Solmsen, art. « Philiskos » 10, RE XIX 2, 1938, col. 2387-2388. G. W. Bowersock, Greek sophists in the Roman Empire, Oxford 1969, p. 40, 103-104. H. Bouvier, « Poètes et prosateurs de Thessalie dans les inscriptions », dans B. Helly (édit.), La Thessalie. Actes de la Table ronde 21-24 juillet 1975, « Coll. de la Maison de l’Orient méditerranéen » 6, série archéologique 5, Lyon/Paris 1979, p. 257-264. B. Helly, « La Thessalie à l’époque romaine », MemCentreJPal 2, Saint-Étienne 1980, p. 49-50. Swain, « The Reliability of Philostratus’s Lives of the Sophists », ClAnt 10, 1991, p. 158. G. Anderson, The Second Sophistic. A Cultural Phenomenon in the Roman Empire, London/New York 1993, p. 31-35. L. Petersen, art. « Philiscus », PIR2 VI, 1998, p. 142, n° 367 , 10 M. Weissenberger, art. « Philiskos » 8, NP IX, 2000, col. 815 , Puech 1, p. 4-5, 15, 25, 28, 75, 126 n. 3, 376-377.";;;"Épigramme → Ἐν θίῳ δαπέδῳ με | κριτοὶ στήσαντο | Φιλίσκον, |,[ἄν]δρες ἀφ’ Ἑλλήνων, | τὸν μέγαν ἐν σοφίῃ, |,ᾧ καὶ Θεσσαλίης ἱππο-|κρότου ἄστεσι κρεί-|νειν |,[σ]κ[η]πτοῦ[χ]οι βασιλῆς | δῶκαν ὑπὲρ κτε-||άνων Sur le sol divin, des hommes choisis parmi les Grecs ont dresse ma statue, a moi, Philiscos, de haute sagesse, a qui les rois porte-sceptre ont donne aussi le pouvoir d’arbitrage sur les domaines, dans les cites de la Thessalie qui resonne du fracas des chevaux (trad. B. Puech). → Epigramme formee de deux distiques elegiaques" 225;"Philippos (Aurelius Bèlios) d’Apamée de Syrie";P129;-133;-68;Épicurien;;"Proche Orient Ancien → Apamée";;"J.-P. Rey-Coquais, « Inscriptions d’Apamee », AAAS 23, 1973, p. 66-68.";"J. Balty, Le sanctuaire oraculaire de Zeus Bêlos à Apamée, 1997. Aneziri et al., Idia kai dèmosia Les cadres ""privés"" et ""publics"" de la religion grecque antique, 2013 J.-P. Rey-Coquais, « Inscriptions d’Apamée », AAAS 23, 1973, p. 66-68. M. F. Smith, « An Epicurean Priest from Apamea in Syria », ZPE 112, 1996, p. 120-130. J. Hahn, Der Philosoph und die Gesellschaft, Stuttgart 1989, qui a rassemblé, p. 123-125.";"Prêtre de Bèl, divinité poliade de sa patrie, et portait aussi le nom théophore Bèlios. C’est sur l’ordre du dieu, qui délivrait des oracles, qu’il s’était acquitté d’une consécration.";"DPhA s.v. Philippos (Aurelius Bèlios –) d’Apamée de Syrie : ""L. Robert, Bull. 1976, n° 720, exprimaient leur étonnement devant l’implication de l’épicurien Philippos dans le culte de Bèl, on a constaté un certain nombre de cas d’épicuriens attestés comme prêtres civiques. Smith 2, en a relevé trois, ceux d’Héraclite de Rhodiapolis (→H 65), de Tiberius Claudius Lepidus d’Amastris (→L 47) et de Philidas de Milet (→P 117), ce dernier étant particulièrement proche de celui de Philippos par le prestige de la prêtrise et la nature oraculaire du culte. Une liste de cas analogues a été dressée par R. Koch Piettre, « Des épicuriens entre la vie retirée et les honneurs publics », dans V. Dasen et M. Piérart (édit.), Idia kai dèmosia. Les cadres « privés » et « publics » de la religion grecque antique, coll. « Kernos, Suppl. » 15, Liège 2005, p. 266-269. Il faut probablement ajouter le cas de Flavius Pemptidès (→P 78) de Thèbes, ami de Plutarque et, selon toute vraisemblance, hiérarque du sanctuaire des Cabires.""";Dédicace 226;"Philippos (Domitius ?) de Macédoine";P128;-133;-68;Pythagoricien;"Philosophe ? est-ce un pythagoricien ou un mathématicien qui peut être caractérisé, à cette époque, par son expertise dans la sagesse (ou science) d’Ionie ?";"Rome et Italie → Suessa Aurunca";"Sous-région = Campanie.";"IG XIV, 888";;"Originaire de Macédoine, Philippos s’était installé en Italie, où il finit ses jours.";"DPhA s.v. Philippos (Domitius ? –) de Macédoine : "" « L’illustre père d’Antigonos, consul d’Ausonie ». Cette dernière indication a depuis longtemps amené (PIR2 D 573) à un rapprochement avec Domitius Antigonos, tribun militaire originaire de Macédoine, remarqué et admis au Sénat par Caracalla (Dion Cassius LXXVII 8, 1-2). Sur la carrière de ce personnage, consul suffect après 230, voir en dernier lieu C. Petolescu, « Notes prosopographiques », Dacia n. s. 43-45, 1999-2001, p. 232-233. Deux fragments de dédicace(s) latine(s) de Rome confortent ce rapprochement, comme l’a souligné leur éditrice, A. Illuminati (dans S. Panciera [édit.], Iscrizioni greche e latine del Foro romano e del Palatino, coll. « Tituli » 7, Roma 1996, p. 208, n° 64) : même s’il convient d’observer la plus grande prudence quant aux restitutions possibles, on y reconnaît clairement un hommage du sénateur Antigonos à son père.""";"Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/141123?&bookid=26&location=8 → « expert dans la sagesse d’Ionie »,« l’illustre pere d’Antigonos, consul d’Ausonie »" 224;"Philinos (Τ. Flavius) de Τhespies";P119;68;100;Pythagoricien;"Philosophe néopythagoricien";"Grèce → Thespies";;"IThesp, 381";"B. Puech, « Prosopographie des amis de Plutarque », dans ANRW II 33, 6, Berlin 1992, p. 4869 IThesp, 367-393. H. Müller, « Marcus Aurelius Olympiodorus ἔκγονος ἱπποδρόμου », ZPE 3, 1968, p. 197-220. C. P. Jones, « A Leading Family of Roman Thespiae », HSCP 74, 1970, p. 223-255, et Id., « Prosopographical Notes on the Second Sophistic », GRBS 21, 1980, p. 377-379.";"DPhA s.v. Philinos de Τhespies (Τ. Flavius –) : ""il appartenait à une célèbre famille de la cité, dont 27 inscriptions permettent de suivre l’histoire au cours des trois premiers siècles de notre ère ,sa fille Flavia Eupraxis ami proche de Plutarque de Chéronée, qu’il considérait comme son bienfaiteur (Syll.3 843 B). Il intervient fréquemment dans les Moralia (Quaest. Conv. I 6, II 4, V 10, VIII 7, De soll. an. 976 B , De Pyth. or.). Plutarque souligne sa fidélité scrupuleuse à la discipline de vie pythagoricienne et son attachement un peu superstitieux à la religion traditionnelle.""";;https://epigraphy.packhum.org/text/315265?&bookid=785&location=1702 223;"Philidas de Milet";P117;-33;0;Épicurien;;"Asie Mineure → Didymes";;"Didyma II 285";"J. Bergemann et K. Fittschen, Wissenschaft mit Enthusiasmus: Beiträge zu antiken Bildnissen und zur historischen Landeskunde: Klaus Fittschen gewidmet 2001, notice « Aurelius Bèlios Philippos », p. 129. R. Koch Piettre, « Des épicuriens entre la vie retirée et les honneurs publics », dans V. Dasen et M. Piérart (édit.), Idia kai dèmosia. Les cadres « privés » et « publics » de la religion grecque antique, coll. « Kernos, Suppl. » 15, Liège 2005, p. 266-269.";"Fils d’Héracléon, issu d’une famille aristocratique qui prétendait descendre d’Ajax, exerçait la fonction très prestigieuse de prophète de l’oracle de Didymes";"DPhA s.v. Philidas de Milet : ""prophète de l’oracle de Didymes : Didyma II 285. C’est une preuve supplémentaire, s’il en était encore besoin, que les disciples d’Épicure ne voyaient aucune incompatibilité entre leurs convictions philosophiques et les responsabilités dans les cultes civiques Les philosophes, toutes écoles confondues, sont d’ailleurs très présents à Didymes : voir le prophète stoïcien Aelius Aelianus (→A 61) et le prophète Phanias (→P 94), probablement platonicien.""";https://epigraphy.packhum.org/text/247279?&bookid=489&location=14 222;"Philétos de Limyra (Lycie)";P116;201;400;Autre;"Professeur de philosophie";"Rome et Italie → Rome";;"IGUR 1351 et 1352";"G. H. R. Horsley, New Documents Illustrating Early Christianity 4, Macquarie 1987, p. 32-33.";"Mort à Rome, où son épouse Abascantis a élevé son tombeau";"Son épigramme funéraire exprime sa défiance envers la métaphysique, ainsi que son attachement à la sagesse traditionnelle, elle suggère qu’il avait aussi composé des arétalogies";"Épigramme, Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/189000?&bookid=250&location=1308 → « … sans exces d’orgueil, considerant toutes choses comme mortelles, je suis venu, je m’en suis alle, irreprochable, sans avoir examine les questions interdites : si j’existais auparavant, si j’existerai a l’avenir , j’ai reçu l’education, j’ai eduque, j’ai soumis le cercle (?) de l’univers, expliquant aux mortels, de la part des immortels, les divines vertus… » https://epigraphy.packhum.org/text/189001?&bookid=250&location=1308" 221;"Philératidas (Iulius) de Sparte";P115;135;200;Autre;;"Grèce → Sparte";;"IG V 1, 116, l. 14";;"fils d’Hippodamos,Parmi les gérontes lacédémoniens de la liste";;https://epigraphy.packhum.org/text/30459?&bookid=11&location=16, 220;"Philagrios d’Athènes";P111;301;400;Autre;"médecin et philosophe athénien ([ἰ]ατροφιλόσ[ο]φος [Ἀ]θηναῖος),iatrophilosophos";"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, fasc. 2, n° 1298. E. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 494, n° 433.";"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, fasc. 2, n° 1298 (É. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 494, n° 433";;"Les médecins de la même époque connus sous ce nom, comme le commentateur d’Hippocrate abondamment cité dans la littérature médicale qui, d’après la Souda (Φ 295 Adler), était établi à Thessalonique, ou comme l’ami de Grégoire de Nazianze (Anth. Pal. VIII 100), ne semblent pas s’être jamais installés à Athènes.";"Signature → ([ἰ]ατροφιλόσ[ο]φος [Ἀ]θηναῖος)" 218;"Phaidros d’Athènes";P107;-138;0;Épicurien;;"Grèce → Athènes";;"Les inscriptions relatives a Phedre sont repertoriées dans J.S. Trail, Persons of Ancient Athens, t. XVII, Toronto 2008, p. 50-51 (n° 912450) , elles sont présentées et commentées par 5 A. E. Raubitschek, « Phaidros and his Roman pupils », Hesperia 18, 1949, p. 96-103. R. Koch, Comment peut-on être dieu ? La secte d’epicure, coll. « L’Antiquité au présent », Paris 2005, dans son dossier épigraphique , Haake 2, p. 159-166.";"T. Dorandi, « Lucrèce et les Épicuriens de Campanie », dans K. Algra, M. Koenen et P. Schrijvers [édit.], Lucretius and his Intellectual Background, Amsterdam 1997, p. 35-48. M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 159-166). R. Koch, Comment peut-on être dieu ? La secte d’Épicure, coll. « L’Antiquité au présent », Paris 2005.";"Phèdre, membre d’une grande famille athénienne du dème des Bérénicides, éphèbe en 119/8, naquit vers 138. Petit-fils d’Agathoclès du dème des Bérénicides, fils de Lysiadès, sans doute l’archonte éponyme de 149/8, frère d’un certain Callithéos, et le père d’au moins deux enfants : Lysiadès et Chrysothémis.";; 312;"Phèdre de Myrrhinonte";P106;-434;-368;Autre;;"Grèce → Athènes";;"IG I2 325, mentionné dans trois dialogues de Platon : le Protagoras, le Banquet et le Phèdre (auquel il donne son nom).";"LGPN II 19, 1. D. Nails, The People of Plato, p. 232-234 , L. Brisson, Platon, Phèdre. Traduction inédite, introduction et notes, coll. GF 488, Paris 1989, 2004, Introduction, p. 19-22. P. Mureddu, « Φιλία: Dieci contributi per Gabriele Burzacchini / a cura di Mauro Tulli , con la collab. di Massimo Magnani e Anika Nicolosi. Ed. Tulli, Mauro, Magnani, Massimo & Nicolosi, Anika (Eikasmos. Studi, 25), Bologna : Pàtron, 2014. XXI-155 p.";"fils de Pythoclès";"DPhA s.v. Phèdre de Myrrhinonte : ""Phèdre fut du nombre de ceux qu’on accusa s’avoir profané les Mystères d’Éleusis. En 415a, un métèque du nom de Teucros vint, après s’être assuré de l’impunité, dénoncer, devant le Conseil, un certain nombre de gens dans le cadre de deux affaires, l’une relative à une parodie des Mystères d’Éleusis à laquelle il avait lui-même pris part, et l’autre relative à la mutilation des Hermès, la veille du départ de l’expédition athénienne contre la Sicile. Mis en cause, Phèdre put s’enfuir avec ses complices."""; 208;"Ouranios Kynikos";O49;300;400;Cynique;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Tombeaux, n° 562";;;;Signature 207;"Ortyx de Parion";O46;168;200;Autre;"Philosophe ? « sage autodidacte » & sophos pourrait bien être, comme souvent dans les épigrammes, la forme abrégée de philosophos.";"Asie Mineure → Parion";;"IK 25, 53";"Voir B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’époque impériale, Paris 2002, n° 190.";"fils de Gratus";"Sophos, catégorie à part, à utiliser pour l’introduction";Épigramme 206;"Oppia (Aurelia) de Sparte";O31;201;267;Autre;"Qualifiée de « très philosophe ».";"Grèce → Sparte";;"IG V, 1 598";;"DPhA s.v. Oppia (Aurelia –) de Sparte : ""son père Calli[cratès ?] (→C 18a) et à sa fille Aurelia Héracleia""";Femme;"Épigramme → https://epigraphy.packhum.org/text/30961?hs=127-134%2C891-898 → Epigramme qui suit l’inscription en prose" 205;"Olympiodoros (M. Aurelius)";O14;201;267;Autre;philosophe;"Grèce → Trézène";;"IG IV 796";"Müller, Helmut. “Marcus Aurelius Olympiodorus, Ἐϰγονοϛ ῾Ιπποδρόμου.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 3, 1968, pp. 197–220 Le développement de la double citoyenneté à Éphèse à travers quelques cas d’époque impériale,Francois Kirbihler Puech 2002 Lafond 2006 La mémoire des cités dans le Péloponnèse d'époque romaine,A. Heller & A.-V. Pont 2009, Patrie d'origine et patries électives";"curator par la cité de Trézène";"DPhA s.v. Olympiodoros (M. Aurelius —) : ""Le même qualificatif est en effet appliqué à son père Calli[cratès ?] (→C 18a) et à sa fille Aurelia Héracleia (→H 44).,L’épigramme insistant, au-delà de la sophrosunè, sur sa sophia, montre que la famille revendiquait véritablement une supériorité intellectuelle et culturelle. Oppia est honorée par la cité du titre de « nouvelle Pénélope », dont héritera sa fille Héracleia, et de celui de « nouvelle Laodamie ».""";https://epigraphy.packhum.org/text/28324?&bookid=6&location=16 204;"Novius (P.)";N65a;;;Autre;"Médecin et philosophe";"Rome et Italie → Venafrum (Venafro)";"a proximite de la colonie antique de Venafrum (Venafro)";"CIL X, 4918";;;"Il était probablement originaire de la région, car le gentilice Novius était courant en Italie centrale.";"Inscription funéraire" 203;"Nicostratos (Claudius) d’Athènes";N55;135;167;Platonicien;"« Philosophe platonicien d’Athènes »";"Grèce → Delphes";;"F. Delphes III 4, 34 (Syll. IIe 868 = Gaius T 2 Gioe) philosophe plusieurs fois cite dans le Commentaire de Simplicius (ID DPhA :S 92) sur les Categories d’Aristote (CAG VIII)";"Philosophie et philosophes a Chypre,entre hellénisme et l' époque romaine T. Dorandi, Platonici minores 1. Jh.v.Chr. - 2. Jh.n.Chr: Prosopographie Fragmente und Testimonien mit deutscher Übersetzung K. Praechter, « Nikostratos der Platoniker », Hermes 57, 1922, p. 481-517. Kleine Schriften, herausgegeben von H. Dörrie, coll. « Collectanea » 7, Hildesheim 1973, p. 101-137. K. von Fritz, art. « Nikostratos » 36, RE XVII 1, 1936, col. 547-551.,A. Gioè (édit.), Filosofi medioplatonici del II secolo D. C. Testimonianze e frammenti. Gaio, Albino, Lucio, Nicostrato, Tauro, Severo, Arpocrazione, coll. « Elenchos » 36, Napoli 2002, p. 155-219.";"DPhA s.v. Nicostratos d’Athènes (Claudius –) :""ses collègues Bacchius de Paphos [→B 2] (maître de Marc Aurèle [→M 39], cf. In semetipsum I 6), Zosime ou Sotime (→Z 41) et M. Sextius Cornelianus de Mallos (→C 188)""";;"Décret → https://epigraphy.packhum.org/text/240141?&bookid=452&location=1316 → Decret date de l’archontat d’Euboulides, fils d’Euboulides (vers 150-160)" 202;Nicomédès;N51b;101;200;Épicurien;"Médecin et peut être épicurien ? « a pu professer des sympathies épicuriennes en raison de la formule « je n’étais pas et je suis né, je ne suis plus et ne m’en afflige pas » (οὐκ ἤμην καὶ ἐγένομην, οὐκ εἰμὶ καὶ οὐ λυποῦμαι, li. 12-14, trad. Samama) : celle-ci témoignerait d’une absence de croyance en la survie de l’âme et d’une sérénité face à la mort typiquement épicuriennes. »";"Rome et Italie → Rome";;"IGUR III 1283 , E. Samama, Les medecins dans le monde grec, Genève, 2003, p. 520-521, n° 476.";"E. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 520-521, n° 476. M. Kobayashi et A. Sartori, « I medici nelle epigrafi, le epigrafi dei medici », Acme 52, 1999, p. 249-258. N. Massar, « Les médecins dans la documentation épigraphique grecque : reflets changeants d’un métier honorable », AC 74, 2005, p. 257-266. J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », dans ANRW II 36, 4, Berlin 1990, p. 2298.";"Médecin mort à 44 ans et 23 jours d’après sa stèle funéraire retrouvée à Rome. Il a donc vécu dans cette ville.";"Voir Samama n° 476 et 477";"Épigramme, Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/188923?&bookid=250&location=1308 → Stèle funéraire,inscription en vers, métrique" 347;Nicidion;N40;-330;-250;Épicurien;Hétaïre;"Grèce → Athènes";;"SEG XVI, 300, l. 6.";"C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS 23, 1982, p. 51-57.";;Dédicace.; 201;"Nicétès (Iulius) de Bithynion";N36;101;167;Autre;philosophe;"Asie Mineure → Claudiopolis";"Sous-région = Bithynie.";"IK 31, 67";;"Il était un notable de sa cité de Bithynion-Claudioupolis, qui l’honora d’une statue";; 200;"Nicagoras (Ιunius) d’Athènes";N29;201;400;Platonicien;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"IG II2 3814 , B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 180 OGIS 720 , J. Baillet, Tombeaux, n° 1265 OGIS 721 , J. Baillet, Tombeaux, n° 1889";"Pour un arbre généalogique de cette famille, voir J. Schamp, notice « Himérius », H 136, DPhA III 2000, p. 721.";"DPhA s.v. Νicagoras (Ιunius –) d’Athènes : "" Petit-fils du sophiste homonyme titulaire de la chaire athénienne, qui se disait lui-même « descendant de Plutarque (→P 210) et de Sextus » [→S 70],le fils du sophiste Minucianus qui était à son acmè sous Gallien et le beau-père du sophiste Himèrios [→H 136] (Or. VII, 4 et VIII, 21) Pour un arbre généalogique de cette famille, voir J. Schamp, notice « Himérius », H 136, DPhA III 2000, p. 721 Il était dadouque (principal ministre des mystères d'Éleusis) à Éleusis lorsqu’il visita les tombeaux de la Vallée des Rois, transformant cette visite en un pélerinage sur les traces de Platon (→P 195). Il était d’ailleurs apparemment accompagné d’autres philosophes platoniciens qui, comme lui, laissèrent leur signature dans la tombe de Ramsès VI, près du tableau de la Métempsycose (→B 29 et 57 , →I 43).""";;"Signature → https://epigraphy.packhum.org/text/6098?&bookid=5&location=1365 → « Moi, le dadouque des tres saints mysteres d’eleusis, fils de Minucianus, Athenien, en contemplant les syringes, bien des annees apres le divin Platon venu d’Athenes, j’ai admire et rendu grâces aux dieux et au tres pieux empereur Constantin, qui m’a fourni l’occasion de cette visite »,« qu’ici aussi, Platon nous soit propice »" 188;"Méléagre de Séleucie (Cilicie)";M91;1;100;Stoïcien;;"Asie Mineure → Séleucie du Calycadnos";"Sous-région = Cilicie. ";"S. Hagel et K. Tomaschitz, Repertorium der westkilikischen Inschriften, Wien 1998, n° 61, p. 358";;"fils d’Apollonios, de Séleucie du Calycadnos";; 187;"Méléagre de Gadara";M90;-130;-60;Cynique;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Cos";;"Epigramme funéraire transmise par l'Anthologie Palatine VII 419. Qualifié de cynique par Athenée XI, 502 c (Μελέαγρος δ’ ὁ Κυνικός, et IV, 157 b (où la courtisane Nicion s’adresse a des cyniques qui participent au banquet et leur parle de leur « ancêtre » Méléagre : ὁ πρόγονος ὑμῶν Μελεάγρος ὁ Γαδαρεύς)";"P. Chiron 2001, Un rhéteur méconnu: Démétrios (ps.-Démétrios de Phalère) : essai sur les mutations de la théorie du style à l'époque hellénistique H. Ouvré, Méléagre de Gadara, Paris 1894 , 2 K. Radinger, Meleagros von Gadara, Innsbruck 1895. J. Geffcken, art. « Meleagros » 7, RE XV 1, 1931, col. 481-488 , 4 F. Susemihl, GGLA, t. I, p. 46-47 , t. II, p. 555-557. A. Wifstrand, Studien zur griechischen Anthologie, coll. « Lunds Universitets Årsskrift » 23, 3, Lund/Leipzig 1926. D. R. Dudley, A History of Cynicism, p. 121-122 . A. Cameron, The Greek Anthology from Meleager to Planudes, Oxford 1993 , 8 Kathryn J. Gutzwiller, Poetic Garlands. Hellenistic Epigrams in Context, coll. « Hellenistic Culture and Society ». Berkeley 1998. K. Döring, dans GGPh, Antike 2/1, Basel 1998, p. 314.";"DPhA s.v. Méléagre de Gadara : "" Poète et épigrammatiste,fils d’Eucratès (VII 417, 3 et 418, 5-6), naquit dans la célèbre ville de Gadara (Γαδάρων κλεινὰ πόλις en VII 418, 1), « la nouvelle Attique des Syriens, Gadara » (VII 417, 2), mais qu’il fut élevé à Tyr (VII 417, 1 et 419, 5 , cf. XII 256, 11).,Méléagre devait côtoyer la communauté juive, à en juger par ses allusions quelque peu ironiques au sabbat (V 160).,Quand l’âge vint, il se retira à Cos, devenant ainsi concitoyen des Méropes (VII 418, 4-5). C’est à Cos qu’il mourut, selon ce que dit le lemmatiste du proème de la Couronne (Stadtmüller 10, t. I, p. 81).""";"L’épigramme se clôt sur une triple interjection : Σαλάμ en syrien, Αὐδονίς en phénicien et χαῖρε en grec, par laquelle le poète défunt interpelle les passants";"Épigramme, Inscription funéraire" 186;"Mélanion d’Iasos";M81;-100;0;Autre;"apprenti philosophe idéal";"Asie Mineure → Iasos";;"IK 28, 98";;"fils de Théodoros, d’Iasos,éphébarque";"DPhA s.v. Mélanion d’Iasos :""On ne sait pas si Mélanion se consacra à la philosophie une fois parvenu à l’âge adulte. Mais au temps de ses études, au Ier siècle avant notre ère, c’est dans cette discipline qu’il avait particulièrement brillé.""";"https://epigraphy.packhum.org/text/258955?&bookid=497&location=1040 → « qui, depuis sa prime jeunesse, s’est pris de zele pour la perfection et a frequente le gymnase, où il a manifeste son goût de l’effort et de l’etude et s’est applique a la perfection , qui, en se consacrant aux disciplines propres a son âge, et parce qu’il a tout particulierement, dans la discussion philosophique, acquis a force de progres une competence efficace, se comporte de maniere raisonnable et de nature a susciter l’emulation, fournissant ainsi une belle illustration de sa regle de vie philosophique … »" 182;"Maximus (T. Flavius)";M73;-27;330;Autre;philosophe;"Proche Orient Ancien → Césarée";;"ZPE 99, 1993, p. 291";;"Il était le patron de Varius Séleucos, curateur des bateaux à Césarée de Palestine, qui lui éleva à ce titre une statue, à une date inconnue entre 71 et 282";; 181;"Maximus (T. Coponius) d’Hagnonte";M72a;50;150;Stoïcien;"Chef de l’école stoïcienne (διάδοχος Στωικός)";"Grèce → Athènes";;"IG II2, 3571";"Christoph Riedweg, Horn Christoph, Dietmar Wyrwa 2018, Grundriss der Geschichte der Philosophie. Begründet von Friedrich... / Die Philosophie der Kaiserzeit und der Spätantike: Die Philosophie der Antike / Teilband 1 PAA 12, 633035 et 633045. G. C. R. Schmalz, Augustan and Julio-Claudian Athens. A new epigraphy and prosopography, coll. « Mnemosyne Suppl. » 302, Leiden 2009, p. 91.";"Issu d’une famille de notables athéniens,fils d’un héraut sacré d’Éleusis";"Lors de son archontat, entre 96 et 102 (IG II2, 1072), Coponius n’exerce pas encore la fonction de prêtre du Dèmos et des Charites, mentionnée dans IG II2 3571";"https://epigraphy.packhum.org/text/5852?&bookid=5&location=1365 → chef de l’ecole stoicienne (διάδοχος Στωικός)" 180;"Maximus (Quinctilius)";M72;68;134;Épicurien;;"Asie Mineure → Alexandrie de Troade";;"CIL III 384 = ILS 1018 = I. Alex. Troas, 39";"E. Groag, JÖAI 21-22, 1922-1924, Beiblatt, p. 435 sqq.,H. Halfmann, Die Senatoren aus dem Östlichen Teil des Imperium Romanum bis zum Ende des 2. Jahrhunderts n. Chr., coll. « Hypomnemata » 58, Göttingen 1979, n° 40, p. 136 , E. Guerber, « Les correctores dans la partie hellénophone de l’Empire romain du règne de Trajan à l’avènement de Dioclétien : étude prosopographique », AnatAnt 5, 1997, p. 211-248 , PIR2 Q 25.";"DPhA s.v. Maximus (Quinctilius –) :sénateur originaire de la colonie romaine d’Alexandrie de Troade Son fils homonyme (H. Halfmann, op. cit., n° 48 , PIR2 Q 26) fut notamment questeur et légat propréteur de la province d’Achaïe. Son cursus complet figure dans une inscription de Tusculum (CIL XIV 2609). Il est nommé à Sparte sur une statue de Trajan en 116/7 (IG V 1, 380). Deux de ses petits-fils, « les Quintilii », exerceront aussi des fonctions importantes en Achaïe (voir stemma dans PIR2 Q 25, p. 17), célèbres eux aussi pour leur richesse, leur culture et leur influence politique.""";"DPhA s.v. Maximus (Quinctilius –) : ""Selon Épictète, Maximus n’est pas un épicurien orthodoxe : il est marié et père d’un fils pour lequel il a fait en plein hiver la traversée jusqu’à Cassopée en Chalcidique, il est riche et il fait carrière au service des empereurs romains, le philosophe lui reproche donc seulement de professer une doctrine qui est en désaccord avec sa vie."""; 185;"Maxime de Tyane";M68;-27;330;Autre;Philosophe;"Grèce → Athènes";;"IG II2 3820";;;"Connu uniquement par cet autel érigé à Athènes.";https://epigraphy.packhum.org/text/6104?&bookid=5&location=1365 184;"Maxime (T. Flavius) de Gortyne";M65;101;200;Autre;;"Afrique proconsulaire → Carthage";;"CIL VIII Suppl. 1, 12924";;"Il mourut à Carthage, à l’âge de quarante-huit ans";"Voir un homonyme honoré à Césarée de Palestine."; 183;"Maxime d’Antioche";M61;101;300;Platonicien;"Philosophe. Platonicien ? : Le titre de philosophe était suivi d’un sigle qui, malgré les réticences de G. Daux, doit être interprété comme l’abréviation de πλατωνικός, comme l’ont indiqué J. et L. Robert, Bull. Épigr. 1961, 346.";"Grèce → Delphes";;"FD III 1, 199, completee par G. Daux, BCH 83, 1959, p. 493-494";"S. Métivier , La Cappadoce (ive-vie siècle): Une histoire provinciale de l’Empire romain d’Orient H. Bouvier, « Hommes de lettres dans les inscriptions delphiques », ZPE 58, 2005, p. 119-135";"M. Atilius Maximus d’Antioche.";;https://epigraphy.packhum.org/text/238795?&bookid=452&location=1316 179;Maxime;M58;301;400;Autre;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Tombeaux, n° 150-151";"A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.";;; 178;"Maximianus de Nicomédie";"M48 (Matinianus)";-27;330;Autre;;"Asie Mineure → Nicomédie";;"H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112";"D. Dana, “Notices Épigraphiques Et Onomastiques III.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 198, 2016, pp. 145–161. J. Covel (J.-P. Grélois, Dr. John Covel. Voyages en Turquie 1675-1677, Paris 1998, p. 253-254 et n° 58 p. 384 , voir Bull. Épigr. 2000, 33.";;"DPhA s.v. Matinianus de Nicomédie : "" Le nom, sur la copie, se lit Mateinianos, H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112, exclut toute autre solution. L’épitaphe recommandait d’avoir « des amis et non de l’argent ».""";"Inscription funéraire → Stèle funéraire" 172;"Macedo (C. Calpurnius Collega)";M4;301;400;Platonicien;"Rhéteur, médecin et philosophe, il professait la doctrine « de Socrate et de Platon »";"Asie Mineure → Antioche de Pisidie";"Sous-région = Pisidie.";"SEG XXXVII 1302 ; B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 69, p. 178-180. Samama, n° 334.";"N. Massar, “Les Médecins Dans La Documentation Épigraphique Grecque : Reflets Changeants D'un Métier Honorable.” L'Antiquité Classique, vol. 74, 2005, pp. 257–266. M. Dana (2007), « Traditions de fondation dans l'épigraphie de Sinope », REG 120-2, p. 511-525. A.Laniado 2002, Recherches sur les notables municipaux dans l'Empire protobyzantin. C. P. Jones, « A Family of Pisidian Antioch », Phoenix 36, 1982, p. 264-271. F. R. Trombley, Hellenic religion and christianization c. 370-29, coll. « Religions in the Graeco-Roman world » 115, 1, Second edition, Leiden 1995, t. I, p. 172-174. E. Samama, p. 432.";"Mort à trente ans, appartenait à une famille aisée et cultivée d’Antioche de Pisidie,premier médecin de sa cité";"Voir aussi E. Samama";"Inscription funéraire" 177;"Marcellinus (Coelius)";M25;101;200;Autre;;"Asie Mineure → Ephèse";;"I. Ephesos 498";;"Elève du platonicien Secundinus de Tralles à Ephèse";; 309;"Musonius Rufus (C.)";M198;35;100;Stoïcien;;"Grèce → Athènes Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Délos";;"IG II2 2472 (Athenes); Delos : (F. Dürrbach, « Fouilles de Delos », BCH 28, 1904, p. 184 n. 60)";"Boeri et Salles 2014 Laurand, Lévy, et Musonius Rufus 2014 Dillon 1996, F. Dürrbach, « Fouilles de Délos », BCH 28, 1904, p. 184 n. 60. M.-O. Goulet-Cazé, L’ascèse cynique, coll. « Histoire des doctrines de l’Antiquité classique », 10, Paris 1986, p. 185-188.";"Philosophe stoïcien d’origine toscane, fils d’un certain Capito (Souda, M 1305, t. III, p. 416, 5 Adler), il faisait partie de l’ordre équestre (Tacite, Histoires III 81, 1 : « Musonius Rufus equestris ordinis »).";;"IG II2 2472 : Μουσώνιος Ῥοῦϕ[ος], Delos : Γά(ϊος) Μουσώνιος Ῥοῦϕος" 199;"Musa (Antonius)";M196a;-100;0;Autre;"Médecin, sympathie épicurienne possible, en raison de son statut de disciple de l’épicurien notoire Asclépiade";"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Samos";;"IG XII 6, 1, 363 ; E. Samama, Les medecins dans le monde grec, Geneve 2003, p. 292, n° 169.";;"Médecin du Ier s. av. J.-C., contemporain d’Auguste. l avait un frère, Euphorbos, devenu médecin du roi Juba";"son nom laisse à penser qu’il s’agit d’un affranchi du triumvir Antoine";https://epigraphy.packhum.org/text/343762?&bookid=874&location=167 198;"Mospos de Cirta";M195;101;200;Autre;;"Afrique proconsulaire → Cirta";;"ILA II, 823";;;;"Inscription funéraire → épitaphe de sa femme" 197;Monime;M189;301;400;Autre;Philosophe;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Tombeaux, n° 631";"J. Baillet, Tombeaux, n° 631";"sa femme, morte à vingt-deux an.";"philosophe apparemment inconnu par ailleurs";Signature 196;"Mnasagoras d’Alexandrie";M175;-200;-101;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 1938, 8";"P. Gauthier et al. “BULLETIN ÉPIGRAPHIQUE.” Revue Des Études Grecques, vol. 112, no. 2, 1999, pp. 568–714. G. Romeyer-Dherbey, Jean-Baptiste Gourinat., Les stoiciens, Vrin, 2005 – W. Crönert (« Eine attische Stoikerinschrift », SPAW, 1904, p. 479.";"disciple de Diogène de Séleucie.";;https://epigraphy.packhum.org/text/4172?&bookid=5&location=1365 195;"Mithridate V (Ariarathès Eusébès Philopator)";M174;-165;-120;Autre;"Philosophe ? « s’appliqua à la philosophie (ϕιλοσοϕίᾳ προσανέχων) » (DS, 31, 19, 7-8)";"Grèce → Athènes";;"IG II 1 2, 1330 ; U. Kohler, « Basis des Karneades », MDAI(A) 5, 1880, p. 284-286. (Voir IG 1406) Il etait le destinataire de lettres de Carneade [ID DPhA :C 42] (mort en 129/8 a) adressees a « Ariarathes, roi de Cappadoce » (Diogene Laerce IV 65).";"D. Sviatoslav. “Cappadocian Dynastic Rearrangements on the Eve of the First Mithridatic War.” Historia: Zeitschrift Für Alte Geschichte, vol. 55, no. 3, 2006, pp. 285–297. B. Niese, art. « Ariarathes » 4, RE II 1, 1893, col. 818-819.";"DPhA s.v. Mithridate (Ariarathès V Eusébès Philopator) : ""Ariarathès reçut une éducation à la grecque (παιδείας τε Ἑλληνικῆς μετασχεῖν), « fit montre d’une manière de vivre des plus dignes et s’appliqua à la philosophie (ϕιλοσοϕίᾳ προσανέχων ,Fils d’Ariarathès IV Eusébès, roi de Cappadoce (ca 220-ca 163), et d’Antiochis, fille d’Antiochus le Grand, il accéda au trône sous le nom d’Ariarathès à la mort de son père vers 163 a. Il mourut vers 130 dans un combat contre Aristonicos Sa femme Nysa""";;"Dédicace → s’appliqua a la philosophie (ϕιλοσοϕίᾳ προσανέχων)" 194;"Métrophanès (Aelius) de Sparte";M161;201;267;Autre;"Jeune homme en formation, conduite philosophique de sa vie : « se distinguait parmi ceux de son âge par la conduite philosophique de sa vie »";"Grèce → Sparte";;"IG V 1, 63";"B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’époque impériale, Paris 2002, n° 174. Philosophari. Usages romains des savoirs grecs sous la République et sous l’Empire";"Ephèbe qui avait particulièrement brillé dans ses études. Il appartenait à une famille influente de Sparte";;"https://epigraphy.packhum.org/text/30403?&bookid=11&location=1699 → « se distinguait parmi ceux de son âge par la conduite philosophique de sa vie, sa culture et son eloquence », → Statue" 176;Mammarion;M16;-330;-250;Épicurien;Hétaïre;"Grèce → Athènes";;"IG II2, 1534, l. 27.";"Sur les hétaïres du Jardin, voir DPhA III, 2000, p. 169. C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS, 23, 1982, p. 51-57";"Hétaïre du Jardin d’Epicure.";"DPhA s.v. Mammarion : ""voir aussi Hédeia, H 14, Erotion, E 55, et Nicidion, N 40,les noms de ces quatres hétaïres apparaissent sur des inscriptions du IVe s. aC, voir C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS, 23, 1982, p. 51-57, voir article Masson sur les noms des hétaïres)"" Dédicace."; 334;"Métrodore de Lampsaque";M152;-331;-277;Épicurien;"Philosophe épicurien de la première génération, mort avant Épicure";"Grèce → Athènes Gaule lyonnaise → Augustodunum";;"Métrodore : un philosophe, une mosaïque, Autun, Musée Rolin, 1992 (catalogue d'exposition).";"A. Blanchard, « Épicure, “Sentence Vaticane” 14 : Épicure ou Métrodore ? », REG 54, 1991, p. 394-409. M. Capasso, « L’instrumentum scriptorium nel nuovo mosaico di Metrodoro », Rudiae 4, 1992, p. 39-45. M. Blanchard-Lemée, A. Blanchard, ""Epicure dans une anthologie sur mosaïque à Autun"", CRAI, 1993. p. 969-984 R. Koch-Piettre, Epicure, Paris, 2017, p. II, fig. 2 bis. .";"DPhA s.v. Métrodore de Lampsaque : ""Selon, Diogène Laërce, X 22-24, il est originaire de Lampsaque, dans la Propontide et serait né en 331/0. Il serait devenu disciple d'Epicure lors du séjour de ce dernier à Lampsaque. Selon D.L. X, 23, Métrodore serait mort sept ans avant son maître (qui consacra à la mémoire de son disciple le 20e jours du mois, cf. D.L. X, 18), à l'âge de 53 ans.""";"DPhA s.v. Métrodore de Lampsaque : ""Son nom apparaît sur la célèbre mosaïque d'Autun, où il est représenté vêtu d'un manteau blanc, tenant un rouleau de papyrus fermé dans la main gauche. Le portrait est entouré d'une sentence d’Épicure : « Nous sommes nés une fois pour toutes, une deuxième naissance est impossible. Et toi qui n’es pas maître du lendemain, tu ajournes ce qui apporte la joie , mais la vie, dans le délai, se perd, et chacun de nous, dans son manque de disponibilité, meurt. » (trad. Alain Blanchard, p. 52)."""; 193;Mennéas;M131;101;134;Épicurien;"Epicurien ? Ses amis le sont sans doute";"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes";Rhodes?;"Son nom apparait au vocatif dans le fr. 122 II, li. 4-5 Smith (Μεν-|νέα ϕίλτατε). Il est associe dans la lettre a Carus (ID DPhA :C 49) et Dionysios (ID DPhA :D 183)";"C. Diskin. “APPENDIX: A PARTIAL CENSUS OF KNOWN AND SUSPECTED EPICUREANS GREEK AND ROMAN 100 BC-200AD.” Bulletin of the Institute of Classical Studies. Supplement, n° 94, 2007, p. 639–643.";"Ami et correspondant de Diogène d’Oinoanda amis, sans doute épicuriens (Carus de Rhodes, Dionysios de Rhodes)";;Lettre 175;"Mènios d’Apollonia";M128;-27;330;Autre;philosophe;"Asie Mineure → Apollonia de Mysie";;"IGR IV 125";;"DPhA s.v. Mènios d’Apollonia : ""Originaire d’Apollonia de Mysie, gendre du philosophe Magnus, de la même cité (→M 12), sa femme Magnilla d’Apollonia M11""";; 174;"Magnus d’Apollonia";M12;-27;330;Autre;philosophe;"Asie Mineure → Apollonia de Mysie";;"IGR IV 125";;;; 192;Ménécratès;M111;1;100;Autre;"Médecin et philosophe.";"Asie Mineure → Sosandra (Marmara)";"Sous-région = Lydie";"IGR IV 1359 (= TAM V 1, 650); Samama, n° 231.";"A. Gerhard et A. Baumeister, Bericht über die Verhandlungen der kön. Preuss. Akad. d. Wiss., 1855, p. 194, n. 16. J. Keil et A. von Premerstein, « Bericht über eine Reise in Lydien und der südlichen Aiolis », DAWW 53, 1908, p. 62, n. 126 (IGR IV, 1359). TAM V, 1 : Tituli Lydiae, Inscription n° 650, 1981, dernière édition de référence pour cette inscription. M. N. Tod, « Sidelights on Greek Philosophers », JHS 77, 1957, p. 139. J. et L. Robert, « Bulletin épigraphique », REG 71, 1958, n° 84, p. 199. L. Moretti, « Epigraphica », RFIC 103, 1975, n° 13, p. 189-190. V. Nutton, « Menecrates of Sosandra, doctor or vet ? », ZPE 22, 1976, p. 93-96. J. et L. Robert, « Bulletin épigraphique », REG 90, 1977, n° 455, p. 409. J. Benedum, « Zur lydischen Arztinschrift IGRR IV 1359 », ZPE 29, 1978, p. 115-121.";;"Mentionné dans l’inscription en tant que héros (ἥρωα) ayant rempli d’éminentes fonctions civiques (stratège, gymnasiarque, prytane et agônothète). Voir Samama n° 231 = Ménécratès de Daldis, M114";"Inscription honorifique → https://epigraphy.packhum.org/text/264077?&bookid=534&location=1223 → Μενεκράτ[ην] | Πολυ(είδ)ου, μ[έγαν ?] | ἰατρ(ὸν κ)αὶ ϕιλ[όσο-] | ϕον" 173;"Magnilla d’Apollonia";M11;-27;330;Autre;"porte le titre de philosophe";"Asie Mineure → Apollonia de Mysie";;"IGR IV 125";"B. Dignas, K. Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus";"femme et fille de philosophes,son père Magnus,son mari Mènios";Femme; 191;Ménéclès;M109;1;100;Autre;;"Asie Mineure → Cymè";"Cyme ou Phocee";"IK 5, 48";;;"Les Pyrrhoniastes devaient être comparables aux Diogénistes, Antipatristes et Panétiastes évoqués par Athénée (V, 186 a).";"Épigramme, Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/268319?&bookid=556&location=1468 → « Moi qui conduisais les chants par la Grece, moi qui ai totalement aplani ce qui touche a la raison, qui ai parcouru, parmi les mortels, le chemin de la tranquillite, je suis, moi que voici, Menecles le pyrrhoniaste »." 190;"Ménandros (T. Flavius)";M106;50;120;Autre;"Philosophe, diadoque titulaire d’une chaire publique de philosophie.";"Grèce → Athènes";;"SEG XXI, 703";"J. McK. Camp, dans S. Walker et A. Cameron, The Greek Renaissance in the Roman Empire, coll. « BICS Suppl. » 55, London 1989, p. 51). A. W. Parsons, Hesp. Suppl. VIII, 1949, p. 268-272.";"Son fils est T. Flavius Pantainos de Gargettos, dédicataire de la bibliothèque";"La bibliothèque pourrait d’ailleurs avoir été une adjonction à l’établissement où enseignait Ménandros";"Dédicace → Ἀθηνᾷ Πολιάδι καὶ Αὐτοκράτορι Καίσαρι Σεβασστῷ Νέρβᾳ Τραϊανῷ Γερμανικῷ καὶ τῇ πόλι τῇ Ἀθηναίων ὁ ἱερεὺς Μουσῶν φιλοσόφων Τ. Φλάβιος Πάνταινος Φλαβίου Μενάνδρου διαδόχου υἱὸς τὰς ἔξω στοάς, τὸ περίστυλον, τὴν βυβλιοθήκην μετὰ τῶν βυβλίων, τὸν ἐν αὐτοῖς πάντα κόσμον, ἐκ τῶν ἰδίων μετὰ τῶν τέκνων Φλαβίου Μενάνδρου καὶ Φλαβίας Σεκουνδίλλης ἀνέθηκε. → Dédicace de la bibliotheque construite, sous Trajan, par son fils, T. Flavius Pantainos de Gargettos (ID DPhA :P 30), en bordure de l’agora d’Athenes" 189;Ménandre;M102;-340;-270;Péripatéticien;"Elève de Théophraste.";"Grèce → Athènes";;"IG XIV 1184 ; IG II2 3777";"Barigazzi, La formazione spirituale di Menandro, Torino 1965.,T. B. L. Webster, Studies in Menander, Manchester 19501, 19602. A. W. Gomme, F. H. Sandbach, Menander. A Commentary, Oxford 1973. A. Blanchard, Essai sur la composition des comédies de Ménandre, Paris 1983. N. Zagagi, The Comedy of Menander. Convention, Variation & Originality, London 1994. S. Lape, Reproducing Athens. Menander’s Comedy, Democratic Culture, and the Hellenistic City, Princeton/Oxford 2004. M. Tierney, « Aristotle and Menander », PRIA 43 C, 6, 1936, p. 241-254. L. A. Post, « Aristotle and Menander », TAPhA 69, 1938, p. 1-42. K. Büchner, « Epikur bei Menander », SFIC 14, 1937, p. 151-166. M. Pohlenz, « Menander und Epikur », Hermes 78, 1943, p. 270-275. N. W. de Witt, « Epicurus and Menander », dans Studies Norwood = Phoenix Suppl. I, Toronto 1952, p. 116-126. P. Steinmetz, « Menander und Theophrast. Folgerungen aus dem Dyskolos », RhM 103, 1960, p. 185-191. S. Luria, « Menander kein Perpatetiker und kein Feind der Demokratie », dans F. Zucker (édit.), Menanders Dyskolos als Zeugnis seiner Epoche, Berlin 1965, p. 23-31. K. Gaiser, « Menander und der Peripatos », A&A 13, 1967, p. 8-40. F. Wehrli, « Menander und die Philosophie », dans E. G. Turner (édit.), Ménandre, coll. « Entretiens de la Fondation Hardt » 16, Genève 1970, p. 147-155. G. Ricciardelli Apicella, « Epicuro e Menandro », RCCM 10, 1968, p. 3-26. W. W. Fortenbaugh, « Theophrastus and Menander », résumé dans BICS 20, 1973, p. 163-164. M. Gigante, « Menandro e il Peripato », dans R. B. Palmer, R. Hamerton-Kelly (édit.), Philomathes. Studies Ph. Merlan, The Hague 1971, p. 461-484. J. Martínez Gásquez, « Menandro y Teofrasto », BIEH 5, 1971, p. 43-47. M. Marcovich, « Aristotle and Menander on education », ZAnt 33, 1983, p. 131-132.";"DPhA s.v. Ménandre : ""Poète de la Comédie Nouvelle, élève de Théophraste,Ménandre, fils de Diopeithès, du dème de Céphisia, et d’Hégestrate,Né apparemment dans une famille aisée, il put faire des études au Lycée.,Élève de Théophraste (D. L. V 36 = 1 T 8, citant l’érudite du siècle de Néron, Pamphilè (→P 12), dans le livre XXXII de ses Notes), il eut la joie de voir un autre auditeur du maître, son ami Démétrius de Phalère [→D 54] (D. L. V 79 = 1 T 9), de quelques années plus âgé, diriger Athènes de 317 à 307 , il avait alors de 25 à 35 ans, et il remporta plusieurs victoires au théâtre , en particulier, nous le savons maintenant, son Bourru (Dyscolos) obtint le premier prix en 316 (cf. la didascalie de la pièce conservée par le P. Bodmer IV). Mais, au terme de dix ans de ce que certains ont appelé une tyrannie (cf. Paus. I 25, 6, et, à un moindre degré, Plut., Demetr. 10, 2)""";"Selon Strabon, XIV 1, 18, Ménandre fut le « synéphèbe » d’Épicure à Athènes.";https://epigraphy.packhum.org/text/141227?&bookid=26&location=8 170;Lysimaque;L99;201;400;Platonicien;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Tombeaux, n° 1281";"A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.";;;"Signature → Λυσίμαχος πλατωνικὸς ϕιλόσοϕος" 169;"Lycon d’Alexandrie de Troade";L83;-299;-225;Péripatéticien;"Demeura à la tête de l’École pendant 44 ans";"Grèce → Athènes";;"SIG t. I, n° 461 [Pomtow] , cf. Lefevre, p. 178, qui reprend la lecture proposee en 1929 par E. Bourguet dans FD III 1, p. 142-143 SIG3 n° 491 = SEG XXXII, 1982, n° 118 , cf. SEG XLVI, 1996, n° 138";"G. M. A. Richter, The Portraits of the Greeks, t. II, p. 178 et les figures 1031-1036. H. Sonnabend, Die Freundschaften der Gelehrten und die zwischenstaatliche Politik im klassischen und hellenistischen Griechenland, coll. « Altertumswissenschaftliche Texte und Studien » 30, Hildesheim 1996, p. 272-274. Ch. Habicht, Athènes hellénistique. Histoire de la cité d’Alexandre le Grand à Marc Antoine, trad. M. et D. Knoepfler, Paris 2000,F. Wehrli, Lykon und Ariston von Keos, coll. « Die Schule des Aristoteles » 6, 2e éd., Basel/Stuttgart 1968. P. Stork, W. W. Fortenbaugh, J. M. van Ophuijsen, T. Dorandi, « Lyco of Troas. The sources, text and translation », dans W. W. Fortenbaugh and St. A. White (édit.), Lyco of Troas and Hieronymus of Rhodes. Text, translation and discussion, coll. RUSCH 12, New Brunswick/London 2004, p. 1-78. T. Dorandi, chap. « Chronology », dans K. Algra, J. Barnes, J. Mansfeld et M. Schofield (édit.), The Cambridge History of Hellenistic Philosophy, Cambridge 1999, p. 31-54. M. Ricl, The Inscriptions of Alexandreia Troas, coll. IGSK 53, Bonn 1997.";"DPhA s.v. Lycon d’Alexandrie (?) de Troade : ""Successeur de Straton de Lampsaque (→S 171) à la tête du Péripatos à Athènes À partir de lui on constate une certaine décadence scientifique de l’école péripatéticienne (cf. la célèbre formule de Wilamowitz, sans doute excessive, selon laquelle, avec Lycon, commence pour deux siècles un « Totenschlaf der aristotelischen Philosophie », Wilamowitz-Moellendorff 6, p. 83).,fils d’Astyanax (Wehrli 1, fr. 2 et 14), était originaire de la Troade (Wehrli 1 fr. 1 , 2, 28). Il y a de bonnes chances pour que nous connaissions aussi sa cité d’origine : Alexandrie en Troade,SIG t. I, n° 461 [Pomtow] , cf. Lefèvre 10, p. 178, qui reprend la lecture proposée en 1929 par E. Bourguet dans FD III 1, p. 142-143 , Ricl 12, p. 250 Il demeura à la tête de l’École pendant 44 ans,Il appartient à une famille aisée, ce dont témoigne son style de vie, ses intérêts commerciaux et l’importance de ses biens,De ses maîtres, en dehors du Péripatos, nous ne connaissons qu’un nom, celui du “dialecticien” (ὁ διαλεκτικός) mal connu Panthoïdès""";;"Λύκων Ἀστυάνακ[τος ca 12-15 | ἐ]ξ Αἰολίδος Λύκων ϕιλόσο(ϕος)" 308;Lyciscos;L78a;-300;-101;Péripatéticien;"Philosophe péripatéticien ? scholarques du Péripatos";"Grèce → Athènes";;"IG II2, 1938, col. II, li. 43 ,";"T. Dorandi, « La Vita Hesychii d’Aristote », SCO 52, 2006, p. 87-106. I. Düring, Aristotle in the ancient biographical tradition, Göteborg 1957, p. 82, 90. M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 141-146 et 288-294.";"Le nom de Lyciscos est mentionné uniquement dans la liste de scholarques du Péripatos conservée dans la Vita Hesychii (Vita Menagiana) 9.";"Le nom n’apparaît pas dans la RE";"Λυκίσκος ἐξ Οἴου" 168;"Lupus (P. Cornelius) de Nicopolis";L77;68;100;Autre;"Philosophe et amphictyon";"Grèce → Delphes";;"FD III 4, 115";"J. Barnes 2011, Method and Metaphysics: Essays in Ancient Philosophy I.";"délégué de Nicopolis à l’Amphictionie delphique, comme l’avaient été auparavant deux de ses parents (FD III, 4, 114)";;https://epigraphy.packhum.org/text/240236?&bookid=452&location=1316 167;Lupus;L76;168;234;Platonicien;;"Rome et Italie → Rome";;"G. Cordiano et G. L. Gregori, « Iscrizioni e materiali marmorei da Roma nella collezione di Carlo Borra a Trevignano Romano », Bullettino comunale archeologico di Roma 95, 1993, p. 153-157 (Bulletin épigraphique 1997, 24). K. J. Rigsby, « A Roman Epigram for Asclepius », ZPE 134, 2001, p. 107-108 (Bulletin épigraphique 2003, 59).";"G. Cordiano et G. L. Gregori, « Iscrizioni e materiali marmorei da Roma nella collezione di Carlo Borra a Trevignano Romano », Bullettino comunale archeologico di Roma 95, 1993, p. 153-157 (Bulletin épigraphique 1997, 24). K. J. Rigsby, « A Roman Epigram for Asclepius », ZPE 134, 2001, p. 107-108 (Bulletin épigraphique 2003, 59).";"Lupus ne paraît pas connu par ailleurs.";"Voir aussi son amie Arria la platonicienne (femme). Le texte, mieux établi et interprété, comprend quatre trimètres ïambiques (métrique).";"Épigramme → Ἐνταῦθ’ ἀκέσατο Λοῦπο[ν] ἐν λυγρᾶι ϕθόηι,χειμῶνι Παιὰν Θύβρ[ις ἑκ]ατὸν ἤμασιν.,Βωμὸν δ’ ἐδείματ’ Ἀρρία Πλατωνική τιμῶσ’ ἑταῖρον χ’ εἱλεουμένη θεόν « Ici le guerisseur du Tibre (Asclepios) a gueri Lupus d’une terrible phtisie, en hiver, en cent jours , Arria la platonicienne a fait construire un autel pour honorer son compagnon et rendre le dieu propice. » → Gravée sur un autel trouve à Rome près de la via Cassia" 166;"Liberalis (Aebutius)";L54;1;100;Stoïcien;;"Rome et Italie → Rome";;"CIL III, suppl. 9973";"A. Vitti, « Seneca ep. 91 : Liberale e l’incendio di Lione », Paideia 52, 1997, p. 397-406).";"DPhA s.v. Liberalis (Aebutius –) : ""ami de Sénèque (→S 43) dans les dernières années de la vie du philosophe, il est le dédicataire du De beneficiis, où son nom apparaît à plusieurs reprises, notamment en V 1, 3, où Sénèque fait son éloge et le qualifie de « nature d’élite portée à la bienfaisance » (homini natura optimo et ad beneficia propenso), VI 1, 1 , 12, 1 , 42, 1. Établi à Rome mais originaire de Lyon, il est très affecté par l’incendie qui, en une nuit, détruit entièrement sa ville natale en août 64, très peu de temps après celui qui a ravagé Rome thèmes stoïciens exposés dans cette lettre à l’intention de Liberalis à la suite de ce gigantesque incendie""";"DPhA s.v. Liberalis (Aebutius –) : Voir identification avec le centurion Q. Aebutius Liberalis Déjà avancé dans la sagesse en 64 (lettre 91, 1), il peut, grâce à ses richesses et sans la moindre ostentation, mettre en pratique les maximes de la bienfaisance stoïcienne et, par ses probables fonctions de jurisconsulte, contribuer peut-être à les faire pénétrer dans le droit romain (voir l’introduction de F. Préchac à l’édition du De beneficiis, tome I, CUF, Paris 1926, 7 e éd. 1972, p. XL, XLI)."""; 165;"Lépidus d’Amastris";L47;135;167;Épicurien;"Philosophe épicurien, profession d’épicurisme";"Asie Mineure → Amastris";;"CIG III 4149 = IGR III 88";"M. Dana 2011, Culture et mobilité dans le Pont-Euxin: approche régionale de la vie culturelle des cités grecques. C. Marek, Stadt, Ära und Territorium in Pontus-Bithynia und Nord-Galatia, coll. « Istanbuler Forschungen » 39, Tübingen 1993, Amastris n° 12 (p. 162). U. Victor, Lukian von Samosata, Alexandros oder der Lügenprophet. Eingeleitet, herausgegeben, übersetzt und erklärt von U. V., coll. « Religions in the Graeco-Roman World » 132, Leiden 1997, p. 151.";"Dans une autre inscription honorant sa fille Claudia Lepida (CIG III 4150), on apprend le nom de son épouse Claudia Marcianè et celui de son gendre L. Vidius Euphrôn.";"Erreur dans le DPhA qui écrit Amastrée"; 163;"Léon Thrason de Stratonicée";L37;101;200;Autre;"Philosophe, qualifié de philosophe dans le décret de Stratonicée honorant son père, sous le règne d’Antonin";"Asie Mineure → Stratonicée";"Sous-région = Carie.";"IK 22, 1, 1028";"L. Robert, BCH 102, 1978, n. 57 p. 402 = Documents d’Asie Mineure, Athènes 1987, p. 98.";"DPhA s.v. Léon de Stratonicée : ""Léon Thrason, fils d’Hiéroclès, appartenait à une famille d’évergètes de Stratonicée , Comme son frère Thrason Léon (→T 121), il était encore adolescent lorqu’il fut qualifié de philosophe dans le décret de Stratonicée honorant son père, sous le règne d’Antonin""";"Il fut grand-prêtre municipal des empereurs et prêtre de Zeus Chrysaorieus.";Décret 164;"Léon (P. Memmius) de Nicopolis";L35;201;300;Autre;;"Grèce → Iannina";"Sous-région = Epire.";"BCH 1, 1877, p. 294";"L. Moretti, Iscrizioni agonistiche greche, Roma 1953, p. 205-206. Dion Cassius LI 1 Beate Dignas, Kai Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus";"DPhA s.v. Léon (p. Memmius –) de Nicopolis :""Si la lecture de Cyriaque est exacte, l’activité de ce philosophe se place dans le deuxième et le troisième quarts du IIIe siècle, car les Actia, dont la première célébration doit dater de 27a, étaient un concours pentétérique""";"agonothète des Actia lors de la soixante-huitième célébration de ces concours"; 162;"Leitè (Aurelia –)";L27;268;300;Autre;"Philosophie comme vertu de femme.";"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Paros";;"IG XII 5, 292";"M. B. Fant, M. R. Lefkowitz, Women's Life in Greece and Rome: A Source Book in Translation, 2016.";"DPhA s.v. Leitè (Aurelia –) : ""Évergète de la cité de Paros, dont elle avait notamment, en tant que gymnasiarque, fait restaurer l’un des gymnases, épouse d’un grand-prêtre municipal du culte impérial, Aurelia Leitè est honorée par sa patrie pour ses vertus familiales et son dévouement à la patrie.""";"Femme, philosophie comme vertu de femme";"Épigramme → https://epigraphy.packhum.org/text/77514?&bookid=21&location=6 → Inscription en prose rédigée par la cite ,distique élégiaque que son époux avait fait graver au-dessus (IG XII 5, 292)" 161;Lampon;L15;101;167;Autre;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Tombeaux, n° 1548";;"Il paraît douteux qu’il puisse être identique, comme le proposait J. Baillet, à l’homonyme connu de Galien (Topiques I 1 et III 3), qui était médecin à Péluse (RE 5).";;"Signature → Signature dans la tombe dite « de Memnon », tombeau de Ramses VI" 160;"Laetus (Ofellius)";L13;1;100;Platonicien;;"Grèce → Athènes Asie Mineure → Ephèse";;"IG II2 3816 (Athenes); I. Ephesos 3901 (voir J. Nolle, ZPE 41, 1981, p. 197-206)";"Bull. Épigr. 1981, 481,J. Nollé, ZPE 41, 1981, p. 197-206. J. Nollé “Ofellius Laetus, Platonischer Philosoph.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 41, 1981, pp. 197–206. P. T. Keyser, Georgia L. Irby-Massie 2008, Encyclopedia of Ancient Natural Scientists: The Greek Tradition and its Many Heirs.";"DPhA s.v. Laetus (Ofellius –) : ""ce personnage est très probablement identique à l’auteur Laitos, cité à deux reprises par Plutarque dans son traité Sur les causes physiques (911 F, 913 F), en des termes qui suggèrent qu’il avait pu l’entendre personnellement."" Il appartenait à la famille d'Ofellii d'Ephèse.";"L'inscription d'Athènes est antérieure à celle d'Ephèse.";"Épigramme → https://epigraphy.packhum.org/text/6100?&bookid=5&location=1365 → Un distique commun aux deux epigrammes : « si l’âme, selon la doctrine de Pythagore, passe en un autre corps, en toi, Laetus, c’est Platon qui se revele et vit a nouveau » → Deux epigrammes" 171;"Lysis d’Aixoné";L103;-500;-401;Autre;"Adolescent pourvu d’excellentes dispositions pour la philosophie, plus jeune interlocuteur de Socrate. Lors de l’entretien avec Socrate (→S 98) rapporté dans le Lysis, Lysis est un jeune adolescent qui n’a pas encore atteint l’âge auquel un jeune devient son propre maître et où il n’est plus accompagné d’un pédagogue (Lysis 208 c), il doit avoir aux alentours de 16 ans. Avec Ménexène (→M 126), il serait l’un des plus jeunes interlocuteurs de Socrate. Jeune, beau, timide et modeste, Lysis, à la différence de Ménexène qui est présenté comme un “éristique”, paraît pourvu d’excellentes dispositions pour la philosophie, ces dispositions rapidement perçues par Socrate (207 a) seront confirmées par la suite dans le cours de la discussion (213 d, 222 a).";"Grèce → Athènes";;"IG II2 7045, li. 5 : SEG 29, 203 , 34, 109";"R. S. Stroud, « The Gravestone of Socrates’ Friend, Lysis », Hesperia 53, 1984, p. 355-360.";"DPhA s.v. Lysis d’Aixoné : ""Lysis qui est du dème d’Aixoné est le fils de Démocrate, peut-être celui qui, aux alentours de 430, fut l’amant d’Alcibiade (Plutarque, Alcibiade 3, 1) et le petit-fils d’un Lysis (205 c) qui faisait remonter sa famille aux amours de Zeus avec la fille du fondateur de leur dème (pour un stemma hypothétique, voir Debra Nails, The People of Plato, s. v. « Lysis I » et « Lysis II »).""";;https://epigraphy.packhum.org/text/9404?&bookid=5&location=1365 304;"Iason (Jason) de Nysa";I8;-67;35;Stoïcien;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes";;"IG XII 1, n° 46";"A. Preus, Historical dictionary of ancient Greek philosophy, 2015. M. Haake 2007,A. Gercke, « War der Schwiegersohn des Poseidonios ein Schüler Aristarchs ? », RhM 62, 1907, p. 116-122 (arbre généalogique, p. 122) F. Jacoby, art. « Iason » RE IX 1, 1914, col. 780-781 , Rosa Giannattasio Andria, I frammenti delle “Successioni dei filosofi”, coll. « Università degli studi di Salerno – Quaderni del dipartimento di scienze dell’antichità » 5, Napoli 1989, p. 161-162";"disciple et successeur de Posidonius [→P 267] (mort vers 50a) dans son école de Rhodes.,Il était également, par sa mère, petit-fils du philosophe (θυγατριδοῦς). Il était de Nysa par son père Ménécrate et Rhodien par sa mère (Souda, s. v. Ἰάσων, I 52 , t. II, p. 605, 7-11 = Posidonius T 40 Edelstein-Kidd). « Il écrivit des Vies d’hommes illustres (Βίοι ἐνδόξων), des Successions des philosophes (Φιλοσόϕων διαδοχαί), une Vie de la Grèce (Βίος Ἑλλάδος) en quatre livres – selon certains. Il écrivit également sur Rhodes ».";"Un ou plusieurs Jason, fils de Ménécrate, sont attestés dans une inscription de Rhodes du Ier siècle av. J.-C. (IG XII 1, n° 46)."; 158;"Iulianus (Julien) l’Empereur";I46;331;363;Autre;"Passionné de philosophie, élève des philosophes";"Asie Mineure → Ephèse, Iasos, Pergame";;"OGIS 520 , CIL III, Suppl. 1, 7088 ,a Ephese, I. Ephesos II (IK 12) 313 A et VII (IK 17) 3021 , a Pergame, Inschr. von Pergamon 633 : domino, a Iasos, I. Iasos I (IK 28, 1) 14 , B. PUECH]";"E. Soler,D'Apollonios de Tyane à l'empereur Julien, l'importance d'Antioche comme lieu de pèlerinage et centre philosophique grecs. In: Topoi. Orient-Occident. Supplément 5, 2004. Antioche de Syrie. Histoires, images et traces de la ville antique Gauthier Nancy. Les initiations mystériques de l'empereur Julien. In: Mélanges Pierre Lévêque. Tome 6 : Religion. Besançon : Université de Franche-Comté, 1992. pp. 89-104. (Annales littéraires de l'Université de Besançon, 463). P. Célérier, L’ombre de l’empereur Julien: Le destin des écrits de Julien chez les auteurs païens et chrétiens du IVe au VIe siècle, 2014. J. Arce Martínez, Estudios sobre el Emperador Fl. Cl. Juliano. Fuentes literarias, epigraficas, numismaticas, coll. « Anejos de AEA » 8, Madrid 1984, 258 p P. Athanassiadi-Fowden, Julian and Hellenism, an Intellectual Biography, Oxford 1981. J. Bouffartigue, L’Empereur Julien et la culture de son temps, « Collection des Études Augustiniennes », Série Antiquité 133, Paris 1992, 752 p. L. Cohen, « Sur l’iconographie de Julien », dans Braun et Richer 23, p. 213-227, et 55 P. Lévêque, « De nouveaux portraits de l’empereur Julien », Latomus 22, 1963, p. 74-84 (trad. allemande dans Klein 22, p. 305-317). H. von Heintze, « Nordsyrische Elfenbeinstatuetten. Zu den Bildnissen des Kaisers Julian », dans O. Feld et Urs Peschlow (édit.), Studien zur spätantiken und byzantinischen Kunst, Friedrich Wilhelm Deichmann gewidmet, Bonn 1986, t. III, p. 31-41.";"DPhA s.v. Iulianus (Julien) l’Empereur : ""Flavius Claudius Iulianus, né en 331 / 2, empereur romain du 3 novembre 361 au 26 juin 363 ,Désireux d’accomplir des études philosophiques, il se rendit d’abord, selon Eunape (loc. cit.), à Pergame pour y suivre l’enseignement d’Aidésios (→A 56), disciple de Jamblique, ainsi que de Chrysanthe de Sardes (→C 116) et Eusèbe de Myndos (→E 156), disciples d’Aidésios. Il finit par savoir qu’un autre disciple d’Aidésios, Maxime, enseignait à Éphèse, et que dans son enseignement entrait la théurgie, condamnée par Eusèbe. Il partit alors pour Éphèse et devint l’élève de Maxime. Chrysanthe vint lui aussi à Éphèse pour collaborer à l’éducation philosophique du prince.""";"DPhA s.v. Iulianus (Julien) l’Empereur : ""On note au contraire que Julien parle de lui-même comme d’un catéchumène de la philosophie. Il a, dit-il, la réputation de philosophe sans en avoir la qualité (Éloge d’Eusébie 13, 120 b), il n’est pas parvenu jusqu’à la philosophie (Lettre à Thémistios 12, 266 d). D’une manière encore plus significative, il affirme (Contre Héracleios 23, 235 a) qu’il n’a atteint que l’antichambre (τὰ πρόθυρα) de la philosophie : il fait sûrement allusion ici à son cursus d’études philosophiques (cf. Proclus, Commentaire sur l’Alcibiade 61, 16-17 Segonds). Julien n’a pas atteint, selon ses propres dires, le degré suprême de l’initiation philosophique. Il fut en effet obligé d’interrompre ses études lorsqu’à la fin de 354 Constance le fit placer sous surveillance avant de le convoquer à la Cour de Milan Julien reprit ses études l’année suivante à Athènes. Mais son séjour dans cette ville fut très bref : il n’a pu durer plus de cinq mois. Aucune de nos sources ne permet de dire qu’il s’inscrivit durant cette période à un cours de philosophie. Socrate (III 1, 379 C) est le seul à parler de philosophie à propos de ce séjour, en déclarant que Julien a reçu de Constance la permission d’aller à Athènes étudier la philosophie. En tout cas, Julien n’a pas fréquenté l’école de Priscos à Athènes puisqu’il déclare à ce dernier, dans la Lettre 12, p. 19, 16 Bidez, qu’il est son « disciple sans titre ».""";"« dont le regne est un produit de la philosophie » (ἐκ ϕιλοσοϕίας βασιλεύοντα, OGIS 520),filosofiae magistro (CIL III, Suppl. 1, 7088) virtutum omnium magistro, philosophiae principi, venerando et piissimo imperatori domino totius orbis, filosofiae magistro" 157;"Iulianus (Iulius)";I44;201;300;Autre;"« philosophe de premier rang »";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 9783";"Dessau (ILS 7778) , J. Hahn, Der Philosoph und die Gesellschaft, Stuttgart 1989, p. 171.";"Il a trouvé la mort aux portes de Rome";"Il a trouvé la mort aux portes de Rome dans un conflit au cours duquel la ville avait été sinon assiégée, du moins menacée";"Épigramme → DMS. Iulio Iuliano, viro magno, philosop(h)o primo. Hic cum lauru(m) feret Romanis iam relevatis, reclusus castris inpia morte perit → Distique gravé sur le monument funéraire" 156;Iulianus;I43;301;400;Autre;"Philosophe ? sophiste ?";"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, Le Caire 1923, n° 1255.";"J. Baillet n° 1265 et G. Fowden, « Nicagoras of Athens and the Lateran Obelisk », JHS 107, 1987, p. 51-57.";;"Julianus faisait partie de ces intellectuels venus en nombre, au IVe siècle, faire le pèlerinage des Tombeaux des Rois, en souvenir de celui que la tradition prêtait à Platon";"« Tu as eu le bonheur d’admirer cela, sage Platon , si tu avais pu toi aussi, philosophe Julianus, voir le voyage du sage ! »" 305;Issos;I39;-400;-301;Platonicien;"Philosophe académicien ?";"Grèce → Epidaure";;"IG IV 2, n° 96";;;"DPhA s.v. Issos : ""Ce nom ne semble attesté en grec que pour la ville de Cilicie, lieu de la victoire d’Alexandre sur Darius en 333a. “Isos” est cependant le nom d’un fils de Priam tué par Agamemnon (Il. XI 101). Walzer (p. 54) signale que cette forme est employée par Flavius Josèphe, Antiquités juives X 8, 6, pour un nom d’origine juive. Il apparaît également dans une inscription de l’Asclépieion d’Épidaure (première moitié du IIIe s. av. J.-C.) comme le nom du père de deux proxènes d’origine crétoise (IG IV 2, n° 96). Comme l’Eroticos est un dialogue composé sans doute alors qu’Aristote était encore membre de l’Académie, Walzer en conclut que Is(s)os était un membre de l’Académie tardive d’origine crétoise."""; 155;"Isidore de Thmouis";I35;101;300;Platonicien;;"Grèce → Delphes";;"FD III 2, 116";;"reçut le droit de cité à Delphes";;"https://epigraphy.packhum.org/text/239410?&bookid=452&location=1316 → Gravé sur l’un des blocs d’architrave du Trésor des Atheniens" 154;"Isée l’Assyrien";I27;68;134;Autre;Sophiste;"Grèce → Eleusis";;"IG II2 3632, 7";"C. Jouanno, “Les Byzantins et la seconde sophistiques : étude sur Michel Psellos” Revue Des Études Grecques, vol. 122, no. 1, 2009, pp. 113–143. A. N. Sherwin-White, The Letters of Pliny. A historical and social commentary, Oxford 1966, p. 147-148 . P. Grimal, « Deux figures de la Correspondance de Pline : le philosophe Euphratès et le rhéteur Isée », Latomus 14, 1955, p. 381-383. J. Ferguson, A Prosopography to the Poems of Juvenal, coll. « Latomus » 200, Bruxelles 1987, p. 121-122 . G. Anderson, Philostratus. Biography and Belles Lettres in the Third Century A. D., London/Sydney/Dover 1986, passim (voir l’index). P. Graindor, Chronologie des archontes athéniens sous l’Empire, Gand 1922, p. 229-235 , Id., Marbres et textes antiques d’époque impériale, coll. « Université de Gand. Recueil de travaux publiés par la Faculté de Philosophie et Lettres » 50, Gand 1992, p. 69-72. J. H. Oliver, « Two Athenian Poets », Hesperia Suppl. 8, 1949, p. 243-258 , K. Clinton, The Sacred Officials of the Eleusinian Mysteries, coll. « Transactions of the American Philosophical Society » 64, 3, Philadelphia 1974, p. 88. S. Follet, Athènes au IIème et au IIIème siècle. Études chronologiques et prosopographiques, « Collection d’études anciennes », Paris 1976, p. 262-267.";"DPhA s.v. Isée l’Assyrien : "" originaire de Syrie du Nord, il vint à Rome à plus de soixante ans. Vers 97-100, Pline le Jeune (Ep. II 3) recommande à son ami Nepos d’aller l’entendre. Juvénal (Sat. III 74) fait allusion à son éloquence torrentielle. Philostrate, dans la biographie qu’il lui consacre (V. soph. I 20, 2 , voir aussi I 22, l), loue son talent d’improvisateur et son art de concentrer une argumentation en une brève formule. Il eut pour disciples Denys de Milet (→D 182), Lollianus d’Éphèse (Philostrate, V. soph. I 23, 2 , Souda I 620), Marc de Byzance (V. soph. I 24, 1) et l’empereur Hadrien (IG II2 3632, 5-9). Philostrate le met aussi en relation avec le rhéteur Ardys. Plusieurs épigrammes d’Éleusis permettent de suivre ses descendants, dont deux hiérophantides, sur cinq générations (IG II2 3709, 3632, 3662) , son arrière-petite-fille Eunice épousa le frère du philosophe Fl. Callaischros (→C 13).""";"DPhA s.v. Isée l’Assyrien : "" Isée mérite une place parmi les philosophes, malgré une vie consacrée surtout aux belles-lettres, en raison de sa conversion à l’ascétisme après une jeunesse vouée aux plaisirs (Philostrate, loc. cit., d’où Souda I 620), son allusion aux “jardins de Tantale”, ses formules “j’ai cessé d’avoir les yeux malades” (πέπαυμαι ὀϕθαλμιῶν) et “tous les plaisirs ne sont qu’ombres et songes” (σκιὰ καὶ ὀνείρατα αἱ ἡδοναὶ πᾶσαι) paraissent avoir été célèbres. Sa “sagesse” est confirmée par une épigramme d’Éleusis, le qualifiant de σοϕίαις ὑπάτου (IG II2 3632, 7) et une remarque de Pline, qui le présente comme un homme d’école (scholasticus), mais ajoute : quo genere hominum nihil aut sincerius aut simplicius aut melius (Ep. II 3, 5).""";"Épigramme → https://epigraphy.packhum.org/text/5916?&bookid=5&location=1365" 152;"Iamblichos d’Apamée";I2;335;400;Autre;"Philosophe ? Avant de se fixer à Athènes, il a apparemment nourri le projet d’aller apprendre la philosophie en Égypte (Libanios, Ep. 385, 2, datée de 358). Dans une autre de ses lettres (Ep. 1466, 1, lettre datée de 365), Libanios emploie l’expression « vous autres les philosophes », et le déclare familier de Pythagore, Platon, Aristote, ainsi que de « son homonyme » (ibid., 4).";"Grèce → Athènes";;"A. E. Raubitschek, « Iamblichos at Athens », Hesperia 33, 1964, p. 63-68";"Henry J. Blumenthal, E. Gillian Clark, 1993, The Divine Iamblichus: Philosopher and Man of Gods.";"Fils d’un certain Himérius (PLRE I :3), il était le petit-fils du philosophe Sopatros d’Apamée [→S 107] (RE 11 , PLRE I :1) et le neveu du fils de ce dernier, Sopatros [→S 108] (RE 12 , PLRE I :2), correspondant de Libanios (→L 52). Il était également parent du rhéteur Libanios (Libanios, Ep. 571, 1 , 576, 1 , 801, 3). Contemporain de ce dernier, qui lui écrivit plusieurs lettres et le recommanda à un certain nombre de ses correspondants, il était encore vivant en 391 (Libanios, Ep. 1007, datée de 391 par O. Seeck, Die Briefe des Libanius zeitlich geordnet, Leipzig 1906). Une partie de sa vie s’est certainement déroulée à Antioche, où il fut en relation étroite avec Libanios : la séparation évoquée par les lettres de Libanios à partir du moment où Jamblique se met à voyager le laisse en tout cas penser. Ses voyages le conduisirent à Athènes, où il finit par s’installer pour un long séjour (Libanios, Ep. 801, datée de 362/3) Voir arbre généalogique de Jamblique d’Apamée.";"C’est sans doute lui que Symmaque (→S 177), dans une de ses lettres, range parmi les studiosos sapientiae viros (Ep. IX 2)"; 153;"Iollas de Sardes";I17;-100;0;Platonicien;Académicien;"Asie Mineure → Sardes";"Sous-région = Lydie.";"I. Sardis 27";"W. H. Buckler, D.M. Robinson. “Greek Inscriptions from Sardes II Honorific Inscriptions.” American Journal of Archaeology, vol. 17, no. 1, 1913, pp. 29–52. A. Heller, Anne-Valérie Pont 2012, Patrie d'origine et patries électives: les citoyennetés multiples dans le monde grec d'époque romaine : actes du colloque international de Tours, 6-7 novembre 2009. P. Baker, G. Thériault. “Les Lyciens, Xanthos et Rome dans la première moitié du Iers, Revue Des Études Grecques, vol. 118, no. 2, 2005, pp. 329–366. C. Habicht, « Der Akademiker Iollas von Sardis », ZPE 74, 1988, p. 215-218. T. Dorandi (édit.), Filodemo : Platone e l’Academia, p. 80 n. 296.";"DPhA s.v. Iollas de sardes : ""disciple d’un philosophe inconnu (Antiochos d’Ascalon [→A 200] ?), mentionné dans l’Academicorum historia de Philodème (→P 142), col. 34, 7, p. 171""";;"Ἰόλλας [ὁ] Ϲαρδιανό[ς]" 302;"Harpocration d’Argos";H9;168;200;Platonicien;Moyen-platonicien;"Grèce → Athènes";;"Peut-être identique au philosophe mentionné dans IG II2 10826 (Harpocration d'Athènes, H7)";"D. Rankin, Athenagoras: philosopher and theologian 2016, Timaeus (auteur) ; J. Barnes & M. Bonelli (éds), Lexique platonicien, 2007, Montanari, Matthaios, et Rengakos, Brill's companion to ancient Greek scholarship, 2015 H. von Arnim, art. « Harpokration » 2, RE VII 2, 1912, col. 2411 , Westerink 3, p. 12-13 J.M. Dillon, The middle platonists: a study of platonism, 80 B.C. to A.D. 220, p. 258-262 L. Deitz, « Bibliographie du platonisme impérial antérieur à Plotin : 1926-1986 », dans ANRW II 36, 1, 1987, p. 151.";"Elève d’Atticus, auteur des commentaires sur Platon.";; 144;"Hermocratès (Flavius) de Phocée";H87;135;167;Autre;;"Asie Mineure → Phocée";;"IGR IV 1324 , plutot que IGR IV 1326, voir CIG Add. 3414 et Mouseion II 2, 1, 1875/76, p. 11, avec la correction d’H. Engelmann, ZPE 42, 1981, p. 202-208";"J. Fournier, “LES ‘SYNDIKOI’, REPRÉSENTANTS JURIDIQUES DES CITÉS GRECQUES SOUS LE HAUT-EMPIRE ROMAIN.” Cahiers Du Centre Gustave Glotz, vol. 18, 2007, pp. 7–36. Campanile Domitilla. Athanasios D. Rizakis & Francesco Camia (Ed.), Pathways to Power. Civic Elites in the Eastern Part of the Roman Empire. Proceedings of the International Workshop held at Athens, Scuola archeologica italiana di Atene, 19 december 2005, 2008. In: L'antiquité classique, Tome 78, 2009. pp. 587-589. E. Ziebarth, Wiss. Beiläge zum Jahresber. Wilhelms-Gymnasiums Hamburg 1903, p. 10.";"Sa femme : Vibia Polla.";; 143;"Hermoclès d’Alexandrie";H86a;-100;0;Platonicien;"philosophe académicien";"Rome et Italie → Neapolis";;"I. Napoli II 119";"Voir l’article de M. Haake";"Fils d’Euphèmos, d’Alexandrie. Rien n’est connu de sa vie, mais il est probable qu’il enseignait la philosophie à Naples.";"inscription funéraire à Naples connue uniquement grâce à un manuscrit inédit d’un savant napolitain moderne ,l’épitaphe d’Hermoclès fournit actuellement l’unique attestation de l’adjectif ‘académicien’ dans les sources épigraphiques (Ἑρμοκλῆς Εὐφήμου | Ἀλεξανδρεὺς | φιλόσοφος ἀκαδημεικός).";"Inscription funéraire → Ἑρμοκλῆς Εὐφήμου | Ἀλεξανδρεὺς | φιλόσοφος ἀκαδημεικός" 142;"Hermias d’Atarnée";H80;-420;-340;Péripatéticien;"Hermias représente l’idéal du roi-philosophe, qui avait organisé un État gouverné de manière modérée (πραοτέρα δυναστεῖα)";"Asie Mineure → Atarnée";;"SIG 3, 229";"P. Debord 2019, L’Asie Mineure au IVe siècle: (412-323 a.C.) M. N. Tod, A Selection of Greek Historical Inscriptions, t. II, Oxford 1948, n° 165. H. Bengston, Die Verträge der griechisch-römischen Welt von 700 bis 338 v. Chr. München 1962, n° 322 P. Natorp, art. « Hermias » 11, RE VIII 1, 1912, col. 831-832. P. Von der Mühll, art. « Hermias » 11, RESuppl. III, 1918, col. 1126-1130. D. E. W. Wormell, « The literary tradition concerning Hermias of Atarneus », YClS 5, 1935, p. 59-92. G. Pasquali, Le lettere di Platone, Firenze 1938, 2e éd. 1967, p. 210-225 , 5 I. Düring, Aristotle in the ancient biographical tradition, Göteborg 1957, p. 272-279. H. Berve, Die Tyrannis bei den Griechen, München 1967, t. I, p. 332-335. M. Isnardi Parente, Studi sull’Accademia platonica antica, coll. « Saggi filosofici » 1, Firenze 1979, p. 293-294. A. Wörle, Die politische Tätigkeit der Schüler Platons, Darmstadt 1981, p. 128-139 , 9 T. Dorandi (édit.), Filodemo : Platone e l’Academia, p. 32. R. D. Milns, « Hermias of Atarneus and the fourth Philippic speech », dans Studi F. della Corte, I, Urbino 1987, p. 287-302 . B. Meißner, Historiker zwischen Polis und Königshof, Göttingen 1992, p. 377-383.";;"DPhA s.v. Hermias d’Atarnée : ""Tyran d’Atarnée (en Mysie, face à Lesbos)., Inscription avec le traité qu’il signa Erythrées , Par la suite, Hermias entra en contact avec Philippe II de Macédonie et soutint son projet de rendre aux Grecs l’Asie Mineure. Le roi de Perse, Artaxerxès III Ochos, en apprenant le fait, ordonna au satrape Mentor de Rhodes de capturer Hermias. Hermias ne céda pas, même sous la torture, et il fut finalement exécuté""";"Traité → Traité qu’il signa avec Erythrees" 141;"Hermarque de Mytilène";H75;-400;-201;Épicurien;"Premier scholarque du Jardin à la suite d’Épicure";"Rome et Italie → Herculanum";;"Richter 10, p. 204, n° 10";"P. Ismard 2019, La cité des réseaux: Athènes et ses associations, VIe-Ier siècle av. J.-C. Épicure : Oeuvres majeures et annexes (annotées, illustrées): Lettre à Pythoclès, Lettre à Ménécée, Lettre à Hérodote, Maximes capitales, Testament, 2019. K. Krohn, Der Epikureer Hermarchos, Berlin 1921 , F. Longo Auricchio, Ermarco. Frammenti, Edizione, traduzione e commento, coll. « La Scuola di Epicuro » 6, Napoli 198 , 3 H. von Arnim, art. « Hermarchos » 1, RE VIII 1, 1913, col. 721-722 , 4 R. Philippson, PhW 43, 1923, col. 1-10 (c.-r. de Krohn 1). E. Bignone, L’Aristotele perduto e la formazione filosofica di Epicuro, Firenze 1936, 2e éd. 1973. I. Gallo, Ermarco e la polemica epicurea contro Ermarco, dans l’ouvrage collectif, Esistenza e destino nel pensiero greco arcaico, Napoli 1985, p. 33-50. D. Obbink, « Hermarchos, Against Empedocles », CQ 38, 1988, p. 428-435. P. A. Vander Waerdt, « Hermarchus and the Epicurean Genealogy of morals », TAPA 118, 1988, p. 87-106 . F. Longo Auricchio, Bilancio su Ermarco, dans l’ouvrage collectif, Ercolano 1738-1988 : 250 anni di ricerca archeologica, Roma 1993, p. 273-276. M. Erler, GGP, Antike 4, p. 227-234. 8.";"DPhA s.v. Hermarque de Mytilène : ""Hermarque naquit à Mytilène, sur l’île de Lesbos, à une date non précisée (12 A. Angeli, CronErc 11, 1981, p. 91 n. 533, propose ca 325a). Il était, de toute façon, plus ou moins contemporain d’Épicure. Son père s’appelait Agémortos (D. L. X 24 = F 1 et D. L. X 14-15 = F 8). Dans sa jeunesse, Hermarque avait étudié la rhétorique. Il rencontra Épicure à Mytilène vers 310, pendant son séjour dans l’île de Lesbos, mais il n’adhéra probablement pas tout de suite à sa philosophie et il ne suivit Épicure que lorque ce dernier retourna à Athènes : c’est ce que l’on peut déduire du fait qu’Épicure lui écrivit encore pour le détourner de la rhétorique et l’inviter à se vouer définitivement à la philosophie (F 53 = Diog. Oen. F 127 Smith. Cf. 13 M. F. Smith, Diogenes of Oenoanda. The Epicurean Inscription, Napoli 1993, p. 559 sq.). Peut-être n’a-t-il rejoint Épicure à Athènes qu’après la fondation du Jardin (306).""";"DPhA s.v. Hermarque de Mytilène : ""premier scholarque du Jardin à la suite d’Épicure , sur la graphie du nom, cf. 11 F. Longo Auricchio, dans Studi Gigante, Napoli 1994, p. 384 sq. n. 12 souvent mentionné dans les sources anciennes, avec Épicure, Métrodore (→M 152) et Polyen (→P 242), comme l’un des quatre ‘guides’ (καθηγεμόνες ou ἄνδρες) du Jardin La mort d’Hermarque représenta une ligne de partage des eaux dans l’histoire du Jardin, entre la première génération d’épicuriens, qui avaient écouté directement la parole du maître, et les suivants, y compris, peut-être, Polystrate lui-même (cf. T. Dorandi, Ricerche sulla cronologia dei filosofi ellenistici, p. 49. Sur la position d’Hermarque à l’intérieur du Jardin, cf. Longo 2, p. 27-32)."""; 140;"Herennianus de Dion";H71a;101;300;Autre;"Philosophe ? Il pourrait s’agir d’un philosophe, qui aurait vécu à la fin du IIe et au début du IIIe siècle, mais il n’est pas exclu que le personnage soit plutôt un notable de la cité ayant contribué à l’embellissement du complexe thermal.";"Grèce → Dion";"Sous-région = Pierie.";"SEG 49, 696";"D. Pandermalis, Δῖον. Η ανακαλυψή, Athènes 1999, p. 158-159.";;; 131;"Harpocration d’Athènes";H7;201;300;Autre;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 10826 , W. Peek, GVI 588";;;;"Épigramme, Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/13303?&bookid=5&location=1365 → σμεικρὸς οὐ σμικρὸν καλύπτω | τύμϐος ἄνδρ’ ἐπεὶ σοϕῶν | δῶρα Μουσέων μέγιστα, τῶν | ὅδ’ ἔξοχον λαχών | Ἁρποκρατίων πρὸς ἀστῶν | τρὶς μάκαρ κληίζεται | οὕνεκ’ ἦν ῥήτωρ μὲν εἰπεῖν, | ϕιλόσοϕος δ’ ἃ χρῆ νοεῖν." 139;"Héraclite de Rhodiapolis";H65;50;150;Épicurien;;"Asie Mineure → Rhodiapolis";"Sous-région = Lycie.";"TAM II 910; E. Samama, n° 290 (cf. aussi n° 289).";"L. Robert, « Deux poètes grecs à l’époque impériale », dans Stèlè [Mélanges Kondoléon], Athènes 1977, p. 14 = Opera Minora VII, p. 582 P. Vesperini, La Philosophie antique, 2019 A. Bresson et al. , Scripta anatolica. Hommages à Pierre Debord, 2018. E. Samama, Les médecins dans le monde grec : sources épigraphiques sur la naissance d'un corps médical, Genève, 2003, n° 290 (cf. aussi 289) , p. 396-399.";;"DPhA s.v. Héraclite de Rhodiapolis : ""Médecin, poète et philosophe épicurien. Prêtre d’Asclépios dans sa cité natale de Rhodiapolis, ce médecin avait acquis une vaste célébrité : l’inscription de sa statue dans sa patrie précise qu’il avait été pareillement honoré à Rhodes (dont il avait été fait citoyen), à Alexandrie et à Athènes""";https://epigraphy.packhum.org/text/141214?&bookid=26&location=8, 138;"Héraclite d’Ephèse";H64;-600;-401;Socratique;"Philosophe présocratique";"Rome et Italie → Rome Chypre → Paphos";;"IG XIV n° 1159 Buste à Paphos (250-200 av. J.-C.) : T. B. Mittford, ""The Hellenistic Inscriptions of Old Paphos"", BSA, 56, 1961, p. 1-41, ici n° 11 ; J.-B. Cayla, Les Inscriptions de Paphos. La cité Chypriote sou la domination lagide et à l’époque impériale, 2018, n° 239, fig. 241.";"Henk Kubbinga 2001, L'Histoire du concept de 'molécule R. Zaborowski 2008, « Sur le fragment DK 22 B 85 d'Héraclite d'Éphèse », Organon 32, E. N. Roussos, Heraklit-Bibliographie, Darmstadt 1971, et 20 F. De Martino, L. Rossetti, P. Rosati, Eraclito. Bibliografia 1970-1984 e complementi 1621-1969, Napoli 1986. L. Paquet, M. Roussel et Y. Lafrance, Les Présocratiques. Bibliographie analytique (1879-1980), t. 1, Montréal/Paris 1988, p. 444-555, et 22 L. Paquet et Y. Lafrance, Les Présocratiques. Bibliographie analytique (1450-1879), t. 3, Supplément, [Montréal], 1995 (cf. index). M. Marcovich, art. « Herakleitos », RESuppl. X, 1965, col. 246-320, Mouraviev 16, vol. I Numismatique : Bürchner dans ZN 9, 1882, p. 123-124, pl. IV, 21 , 94 H. von Fritze dans H. Diels 132 [cf. infra], 1re éd. p. XI-XII (avec description de huit émissions différentes) , cf. Id. ap. DK 4, vol. I, p. 144 , II, p. 3 , 95 J. J. Bernoulli, Griechische Ikonographie, t. I, München 1901, p. 84, n° 341, pl. II 4 , 96. R. Delbrück, Antike Porträts, pl. 16 , 97 K. Schefold, Die Bildnisse der antike Dichter, Redner und Denker, Basel 1943, p. 172-173 n° 16 , p. 220 n° 16 , 98 British Museum Catalogue, Ionia, p. 98 n° 341, pl. XIV 12 , 99 G. Richter, The Portraits of the Greeks, London 1965, t. I, p. 80 et n° 313.";;;https://epigraphy.packhum.org/text/141214?&bookid=26&location=8, 137;"Héracleidès (Aurelius) d’Athènes";H56;101;200;Stoïcien;"Ttitulaire d’une chaire de philosophie stoïcienne (διάδοχο<ς> τῶν ἀπὸ Ζήνωνος λόγων)";"Grèce → Athènes";;"IG II2 3801 ; IG II2 3989";"G. Romeyer-Dherbey, J.-B. Gourinat 2005, Les stoïciens . S. Follet, Athènes au II ème et au III ème siècle, Paris 1976, p. 9. R. W. Sharples, « The School of Alexander ? », dans R. Sorabji (édit.), Aristotle transformed, London 1990, p. 92-94. Dahan, Goulet, et Institut des Traditions Textuelles 2005 G. Vitelli, « Frammenti di Alessandro di Afrodisia nel cod. Ricard. 63 », SIFC 3, 1895, p. 379-381 , Id., « Due frammenti di Alessandro di Afrodisia », dans Festschrift Theodor Gomperz dargebracht zum siebzigsten Geburtstag am 29. März 1902, Wien 1902, p. 90-93. Traduction : R. W. Sharples (édit.), Alexander of Aphrodisias, Quaestiones 2.16-3.15, coll. ACA, London 1994, p. 92-93, avec la note 413 (p. 144-145).";"du dème des Eupyrides. Il aurait attaqué la doctrine du cinquième élément et montré qu’Aristote divergeait d’avis par rapport à Platon sur les dieux et l’immortalité de l’âme.";"DPhA s.v. Héraclide d’Athènes (Aurelius –) : ""Ce pourrait être sous le règne de Marc Aurèle qu’avait eu lieu sa nomination, si le disciple qui a fait élever le monument, Symmachos de Phlya (→S 176), est bien, comme le supposait J. Kirchner, le père de deux éphèbes de 185/6"" DPhA s.v. Héraclide : ""R. W. Sharples, « The School of Alexander ? », dans R. Sorabji (édit.), Aristotle transformed, London 1990, p. 92-94, l’identifie à Aurelius Héracleidès, du dème athénien des Eupyrides (→H 56 A), titulaire d’une chaire de philosophie stoïcienne (τὸν διάδοχο[ν] τῶν ἀπὸ Ζήνωνο[ς] λόγων) à Athènes (IG II2 3801 : stèle élevée par son disciple Symmachus de Phlya (→S 176), Sharples envisage aussi de rattacher à ce personnage IG II2 3989, où on lit κατὰ τὰ δόξαντ[α τῇ] | ἐξ Ἀρείου [πάγου βουλῇ] | Αὐρ · Ἡρακλ[είδην …․] | Κλ Κ — — — — — — | [․]ην — — — — — —).""";"https://epigraphy.packhum.org/text/6085?&bookid=5&location=1365 → κατὰ τὰ δόξαντ[α τῇ] | ἐξ Ἀρείου [πάγου βουλῇ] | Αὐρ · Ἡρακλ[είδην …․] | Κλ Κ — — — — — — | [․]ην — — — — — —) → Stèle" 136;"Héracleia (Aurelia)";H44;201;300;Autre;"pas véritable philosophe (f.)";"Grèce → Sparte";;"IG V 1, 599";"J. A. Straus, L'achat et la vente des esclaves dans l'Egypte romaine, 2004.";"sa mère, Aurelia Oppia (→O 31), son grand-père maternel Aurelius Calli[cratès] (IG V 1, 598)";"Femme. Plutôt la sagesse qui convient à une femme, pas véritable philosophe,« nouvelle Pénélope », l’épigramme funéraire vante sa mètis et la sagesse de son esprit.";"Épigramme, Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/30962?hs=107-116 → ϕιλοσοϕωτάτη → Gravée a la suite du décret" 135;"Héraclamon Léonidès (M. Eustorgius)";H42;201;400;Autre;"Épicurien, douteux, maximes inspirées par l’épicurisme populaire";"Afrique proconsulaire → Hadrumete";;"BACTH 1955-1956, p. 40-46";"J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », ANRW II 36, 4, 1990, p. 2320";"Sa femme : Concordia Exuperantia.";;"Maximes → Sur tombeau familial" 134;Héliodore;H28;101;134;Épicurien;"Diadoque de l’école épicurienne d’Athènes";"Grèce → Athènes";;"IG II2 l099";"S. Follet, « Lettres d’Hadrien aux épicuriens d’Athènes (14.2-14.3.125) : SEG III 226 + IG II2 1097 », REG 107, 1994, p. 158-171. Renée Koch 2005, Comment peut-on être dieu: La secte d'Epicure.";"Successeur de Popillios Théotimos.";;https://epigraphy.packhum.org/text/3314?&bookid=5&location=1365 133;"Hégésinos de Pergame";H21;-250;-170;Platonicien;"Philosophe académicien, scholarque";"Grèce → Athènes";;"IG II2 886";"D. Knoepfler, « Épigraphie et histoire des cités grecques », L’annuaire du Collège de France [En ligne], 113 | 2014. H. von Arnim, art. « Hegesinos » RE VII 2, 1912, col. 2610 , W. Görler, GGP, Antike 4, p. 835 sq. H. J. Mette, « Weitere Akademiker heute. Von Lakydes bis zu Kleitomachos », Lustrum 27, 1985, p. 52. C. Habicht, Hellenistic Athens and her philosophers, Princeton 1988, p. 13 = Athen in hellenistischer Zeit, München 1994, p. 241. Eric Perrin-Saminadayar, 2008, Éducation, culture et société à Athènes: les acteurs de la vie culturelle athénienne, 229-88 : un tout petit monde";"Scholarque académicien à la suite d’Évandre (E 65) et de Téléclès";;https://epigraphy.packhum.org/text/3106?&bookid=5&location=1365 151;"Hostilianus (C. Tutilius) de Crotone";"H172 et H171";35;100;Stoïcien;;"Rome et Italie → Rome";"Environ de Rome";"CIL VI 9785";"F. Bücheler, RhM 63, 1908, p. 194. B. Levick 1999, Vespasian Gillian Clark and Tessa Rajak 2002, Philosophy and Power in the Graeco-Roman World: Essays in Honour of Miriam Griffin";"Exilé par Vespasien en raison des positions qu’il avait exprimées sur le pouvoir monarchique (Dion Cassius LXVI 13, 2, résumé par Xiphilin LXV 11, 2)";"DPhA s.v. Hostilianus de Cortone (C. Tutilius –) : ""Il fait partie des philosophes expulsés de Rome par Vespasien en 74. Il fut envoyé en même temps que Démétrios le Cynique dans les îles (Dion Cassius LXVI 13, 2).""";"http://db.edcs.eu/epigr/bilder.php?bild=CIL_06_09785.jpg,pp&nr=1 → Inscription sur un cippe" 150;Hortensinus;H168;101;200;Autre;"Médecin et philosophe : avait dû donner des conférences sur des sujets touchant aussi bien à la philosophie qu’à la médecine";"Rome et Italie → Rome";;"IGUR 835";"P. Vesperini 2019, La Philosophie antique.";"Médecin, mort à Rome à 52 ans.";;"Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/188473?&bookid=250&location=1308 → ἐν λόγοις ϕιλοσόϕοις καὶ ἦθει θαυμαστός" 149;"Hippias de Ptolémaïs";H146;301;400;Platonicien;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, Le Caire 1923, n° 1984";"B. Puech, art. « Bèsas de Panopolis », B 29, DPhA II, p. 106-107.";;"DPhA s.v. Hippias de Ptolémaïs : ""Une datation précise est impossible, mais c’est surtout au IVe siècle que le pèlerinage de Thèbes semble avoir été de tradition dans les milieux platoniciens (voir B. Puech, art. « Bèsas de Panopolis », B 29, DPhA II, p. 106-107)."""; 346;Hédeia;H14;-330;-250;Épicurien;Hétaïre;"Grèce → Athènes";;"SEG XVI, 300, l. 9 ; IG II2 1534, l. 41.";"C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS 23, 1982, p. 51-57";;Dédicaces.; 148;"Hiéronymos de Rhodes";H129;-300;-201;Péripatéticien;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes";;"F. Hiller v. Gaertringen und C. Robert, « Relief von dem Grabmal eines rhodischen Schulmeister », Hermes 37, 1902, p. 121-146 (avec une planche et un appendice sur le patronyme et le demotique de Hieronymos) , Arrighetti 5, p. 123-127.";"Philosophie Antique n° 6 - Lire et interpréter Platon 2006 S. White 2004, Lyco of Troas and Hieronymus of Rhodes: Text, Translation, and Discussion F. Hiller v. Gaertringen und C. Robert, « Relief von dem Grabmal eines rhodischen Schulmeister », Hermes 37, 1902, p. 121-146. Arrighetti 5, p. 123-127. P. M. Fraser, Rhodian funerary monuments, Oxford 1977, p. 34-36 F. Wehrli, Hieronymos von Rhodos , Kritolaos und seine Schüler , Rückblick : Der Peripatos in vorchristlicher Zeit , Register, coll. « Die Schule des Aristoteles » 10, Basel/Stuttgart 19692, p. 9-23 (fragments) , p. 29-44. POxy. 3656 : 2 P. J. Parsons, dans H. M. Cockle, The Oxyrhynchus Papyri, vol. LII, coll. « Greco-Roman Memoirs » 72, London 1984, p. 47-50, repris dans 3 CPF I 1** (1992), p. 452-453 (F. Montanari).,R. Daebritz, art. « Hieronymos » 12, RE VIII 2, 1913, col. 1561-1564 , 5 G. Arrighetti, « Ieronimo di Rodi », SCO 3 [noté 2], 1955, p. 111-128 , 6 F. Wehrli « Der Peripatos bis zum Beginn der römischen Kaiserzeit », GGP, Antike 3, 1983, p. 575-576. A. J. Podlecki, « The Peripatetics as literary critics », Phoenix 23, 1969, p. 114-137. M. C. Dalfino, « Ieronimo di Rodi : la dottrina della vacuitas doloris », Elenchos 14, 1993, p. 277-304. T. Dorandi, « Varietà ercolanesi, 6-10 », CronErc 21, 1991, p. 105-109. C. Habicht, Untersuchungen zur politischen Geschichte Athens im 3. Jahrhundert v. Chr., coll. « Vestigia, Beiträge zur alten Geschichte » 30, München 1979, p. 72-73 , Id., « Hellenistic Athens and her philosophers », dans C. Habicht (édit.), Athen in hellenistischer Zeit, München 1994, p. 231-247 (p. 235) , (3) Ses relations (conflictuelles)";"DPhA s.v. Hiéronymos de Rhodes : ""Hiéronymos a pu être introduit à la philosophie péripatéticienne par Praxiphane (→P 277) à Rhodes même, où une tradition aristotélicienne semble s’être développée après 322/1 sous l’impulsion de son compatriote Eudème [→E 93) (Wehrli 6, p. 575 , cf. R. Pfeiffer, History of classical scholarship, p. 266). Pour la chronologie, on se fonde principalement sur trois témoignages : (1) Ses relations avec Arcésilas de Pitane [→A 302] (fr. 4 et 6 Wehrli) , (2) Sa responsabilité dans l’organisation (avec Arcésilas [ ?], cf. Wehrli 1, p. 29 , mais les liens d’Arcésilas avec la cour de Pergame rendent sa participation active à l’organisation de ces festivités peu probable [→A 302, p. 329 Dorandi]) des fêtes annuelles organisées à Athènes à la mémoire d’Halcyoneus, fils d’Antigone Gonatas (→A 194), mort vraisemblablement en Attique au cours de la guerre de Chrémonidès (267/6-262 ?)""";;"Ἱερωνύμου τοῦ Σιμυλίνου Τλώιου· « Hieronymos, fils de Simylinos, du deme Tloien → Figurant sur le linteau d’un monument funeraire rhodien" 147;"Hiérax (Flavius)";H117;135;167;Autre;"Membre du Musée d’Alexandrie";"Égypte → Alexandrie";;"F. Kayser, Recueil des inscriptions grecques et latines d’Alexandrie imperiale, Le Caire 1994, n° 98 , voir APf 2, 1902/1905, n° 127";"F. Kayser, Recueil des inscriptions grecques et latines d’Alexandrie impériale, Le Caire 1994, n° 98 , voir APf 2, 1902/1905, n° 127). H. Halfmann, Éphèse et Pergame. Urbanisme et commanditaires en Asie mineure romaine. Bordeaux, Ausonius - Paris, De Boccard, 2004.";"Comme l’a indiqué C. P. Jones, Démétrios est très vraisemblablement l’ami de Favorinus (→F 10) mentionné par Galien (t. XIV, p. 627 Kühn).";"Flavius Hiérax avait fait exécuter la statue offerte par les « philosophes » du Musée au rhéteur Aelius Démétrios"; 146;"Hestiaios de Milet";H110;-300;-201;Platonicien;;"Asie Mineure → Milet";;"W. Peek, GVI 2018.";"W. Peek, GVI 2018 ; G. Petzl, “Furchterregende Götter? Eine Notiz Zu Diogenes Von Oinoanda NF 126.” ZPE, 153, 2005, p. 103–107.";"Fils de Ménandros.";"DPhA s.v. Hestiaios de Milet : ""Son épigramme dénote un ton polémique, assez peu habituel dans les épitaphes, qui est une attaque contre les épicuriens : « Ce n’est pas selon de vaines doctrines qu’il a mené sa vie, celui qu’a accueilli ce tombeau ancestral, mais selon celles qui procèdent de la sagesse, les doctrines hautement inspirées reçues de Socrate et de Platon, et non l’hédonisme impie des épicuriens ».""";"Épigramme, Inscription funéraire" 145;"Hérodotos (Flavius?) de Smyrne";H104;101;200;Autre;;"Asie Mineure → Pergame";;"MDAI(A) 35, 1910, p. 485 n° 80 , IGR IV 1690";;"Sa fille : Flavia Apphion Cornèlianè.";;"Inscription honorifique" 132;"Hauranus (C. Stallius)";H10;;;Épicurien;"Epicurien ? Appartient au « chœur des Épicuriens, qui mène joyeuse vie »";"Rome et Italie → Neapolis";;"CIL X 2971";"J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », ANRW II 36, 4, 1990, p. 2262. K.J. Rigsby, “Hauranus the Epicurean.” The Classical Journal, vol. 104, no. 1, 2008, pp. 19-22. K.J. Rigsby, Hauranus the EpicureanAuthor(s): The Classical Journal, Vol. 104, No. 1 (Oct. - Nov., 2008), p. 19-22. P. Kruschwitz 2007, Die metrischen Inschriften der römischen Republik Stuart Gillespie, Philip Hardie 2007, The Cambridge Companion to Lucretius.";;;"Stallius Gaius has sedes Hauranus tuetur / ex Epicurio gaudivigente choro" 130;"Granios de Ptolémaïs";G33a;101;200;Platonicien;;"Grèce → Athènes";;"G. Karo, AA 45, 1930, p. 98 ,G. C. Mandl, « Die unbeachtete Herme eines Platonikers aus der athenischen Akademie », Thetis 11-12, 2005, p. 78-82";"G. C. Mandl, « Die unbeachtete Herme eines Platonikers aus der athenischen Akademie », Thetis 11-12, 2005, p. 78-82";"fils de Simon, de Ptolémaïs";; 129;"Graecinus (Iulius) de Fréjus";G33;1;100;Stoïcien;"Philosophe stoïcien ? Peu d’indices toutefois permettent de préciser quelle école philosophique sut retenir l’attention de Iulius Graecinus, mais son souci d’une morale exigeante, ainsi que l’intérêt que lui porte Sénèque, peuvent le rapprocher du stoïcisme, intérêt manifeste pour la philosophie, Tacite, (Agricola 4, 1)insiste sur son « goût pour l’éloquence et la sagesse », il faut entendre par là un intérêt manifeste pour la philosophie";"Rome et Italie → Rome";;"Annepigr, 1946, n° 94";"C. Monceix Chulsky, Traces sénatoriales en Narbonnaise à travers la population affranchie. In: Revue archéologique de Narbonnaise, tome 49, 2016. p. 75-83 M. Christol, Une histoire provinciale: La Gaule narbonnaise de la fin du IIe siècle av. J.-C. au IIIe siècle ap. J.-C., 2019";"Père de Cn. Iulius Agricola, le beau-père de l’historien Tacite , riginaire de Fréjus, fils d’un procurateur de César (Tacite, Agricola 4, 1), il fut lui-même de rang sénatorial et atteignit la préture (voir l’inscription trouvée à Rome, AnnÉpigr, 1946, n° 94). Intéressé par l’agriculture";; 128;"Gorgos de Sparte";G30;-167;101;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";"Sous-région = Attique.";"IG II2 1938, l. 55 ,Index Stoicorum de Philodeme (ID DPhA :P 142), col. LXXVI 5-6 (p. 124 Dorandi)";"B. D. Meritt, Hesperia 33, 1964, p. 207 , B. D. Meritt, « Athenian Archons 347/6 – 48/7 B. C. », Historia 26, 1977, p. 161-191 C. Habicht, « The Eponymous Archons of Athens from 159/8 to 141/0 B. C. », Hesperia 57, 1988, p. 237-247 T. Dorandi, Ricerche sulla cronologia dei filosofi ellenistici, p. 35-38) W. Crönert, « Eine attische Stoikerinschrift », SPAW 1904, I, p. 471-483.";"mentionné comme disciple de Panétius de Rhodes";;"https://epigraphy.packhum.org/text/4172?&bookid=5&location=1365 → Γόργος Λακεδαι|μ[ό]νιος" 127;"Glaucos (T. Flavius) de Marathon";G23;101;300;Platonicien;"Philosophe, platonicien ? Était peut-être lui-même platonicien, comme son oncle le sophiste T. Flavius Callaischros";"Grèce → Athènes";;"IG II2 3704 , IG II2 3632, 3661, 3662, 3709, [3811 ?] , I. Olympia 457) et l’Anthologie Palatine (IX 774, 775 , App. 111";"P. Nowakowski, The family of Titus Flavius Glaukos, procurator of βυθίη Κύπρος. In: Cahiers du Centre d'Etudes Chypriotes. Volume 41, 2011. p. 283-288 C. Davenport, A History of the Roman Equestrian Orde Fergus Millar 2005, Rome, the Greek World, and the East: Volume 2: Government, Society, and Culture in the Roman Empire, 2018 M.-C. Ferriès, Les partisans d’Antoine, 2019 E. Bowie, « Greek Sophists and Greek Poetry in the Second Sophistic », ANRW II 33, 1, 1989, p. 236-244. Voir aussi J. H. Oliver, « Two Athenian poets », Hesperia Suppl. 8, 1949, p. 243-258.";"Arrière-petit-fils du stoïcien Statius Sarapion (→S 15) et fils de Glaucos de Marathon, hiérophante";;"Épigramme → https://epigraphy.packhum.org/text/5988?&bookid=5&location=1365 https://epigraphy.packhum.org/text/5916?&bookid=5&location=1365 https://epigraphy.packhum.org/text/5945?bookid=5&location=1365 https://epigraphy.packhum.org/text/5946?&bookid=5&location=1365 https://epigraphy.packhum.org/text/5993?&bookid=5&location=1365" 126;"Gellius Publicola (L.) de Rome";G12;-100;0;Autre;"? Philosophe ? Si la carrière politique de L. Gellius fut importante, son activité philosophique est plus limitée. Elle se réduit à une réunion regroupant des philosophes à Athènes, en 93a. Cette réunion est mentionnée dans le De legibus (I 20, 53) par Atticus (→A 505) qui déclare tenir cette affirmation de Phèdre (→P 107), le philosophe épicurien.";"Grèce → Athènes";;"IG IX 483 = Dittenberger, Sylloge 327";"J.M. Hellegouarc'h, La conception de la « nobilitas » dans la Rome républicaine. In: Revue du Nord, tome 36, n°142, Avril-juin 1954. Mélanges offerts à Louis Jacob à l'occasion de son 70e anniversaire. p. 129-140 C. Settipani 2000, Continuité gentilice et continuité familiale dans les familles sénatoriales romaines à l'époque impériale: mythe et réalité F. Münzer, art. « L. Gellius Poplicola » 17, RE VII 1, 1910, col. 1001-1003, et RESuppl. III, 1918, col. 542";;; 125;"Gellius (L.) de Corinthe";G11;101;167;Autre;;"Grèce → Corinthe";;"PIR2 C 670, 675";"D. Dana, M. Dana, « Arrien avant Arrien : une jeunesse entre Bithynie, Grèce et Rome », dans A. Hostein, S. Lalanne (éds.), Le monde d’Arrien de Nicomédie. Actes de la journée d’études du 7 décembre 2012, Paris (Ktèma, 39, 2014), p. 19-35. G. W. Bowersock, « A New Inscription of Arrian », GRBS 8, 1967, p. 279-280 , J. H. Oliver, « Arrian and the Gellii of Corinth », GRBS 11, 1970, p. 335-338 L. Moretti, « Epigraphica », RFIC 103, 1975, p. 182-186 ,B. D. Meritt, Corinth VIII 1, 82 et 83 , cf. B. Puech, « Grands prêtres et helladarques d’Achaïe », REA 85, 1983, p. 17-21";"appartient sûrement à la grande famille corinthienne des Gellii, attestée du Ier au IIIe siècle , Avec L. Gellius Justus, qui est probablement son fils, il honore Cn. Cornelius Pulcher, futur archonte des Panhellènes (B. D. Meritt, Corinth VIII 1, 82 et 83 , cf. B. Puech, « Grands prêtres et helladarques d’Achaïe », REA 85, 1983, p. 17-21";; 124;"Fundanus (C. Minicius) de Ticinum";"F25 et 25 comp.";1;200;Stoïcien;"Pline présente Fundanus comme un sage, adonné à la philosophie dès son jeune âge, dont la force d’âme stoïcienne fut néanmoins profondément ébranlée par la mort de sa fille (V 16)";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 16631 et 16632 , ILS 2002 et 3541 , CIL XIV 2242 , Gnomon 31, 1959, p. 515-516";"J. Bodel, “Minicia Marcella: Taken before Her Time.” The American Journal of Philology, vol. 116, no. 3, 1995, p. 453–460. M. Griffin, « The Younger Pliny's Debt to Moral Philosophy,« Harvard Studies in Classical Philology,Harvard Studies in Classical Philology »,Vol. 103 (2007), p. 451-481. D. Babut, Plutarque et le stoïcisme, Paris 1969, p. 185 et 240. C. P. Jones, Plutarch and Rome, Oxford 1971, p. 58 , R. Syme, Tacitus, Oxford 1958, p. 650 et 801. A. N. Sherwin-White, The Letters of Pliny, Oxford 1966, p. 291 , W. Eck, Senatoren von Vespasian bis Hadrian, München 1970, p. 193, 218 et 223.";"Il semble avoir été un élève de Musonius ,ami de Tacite et de Pline le Jeune.";;"D(is) M(anibus) / Miniciae / Marcellae / Fundani f(iliae) / v(ixit) a(nnos) XII m(enses) XI d(ies) VII" 122;"Fronton (Domitius) d’Hippone";F21;;;Stoïcien;;"Afrique proconsulaire → Hippone";;"BACTH 1954, p. 188-189";"P. Grimal, La civilisation romaine, coll. « Les grandes civilisations » 1, Paris 1960, p.184 et 185 (pl. 75).";;; 121;"Fronton d’Alexandrie";F20;101;300;Autre;"pensionnaire du Musée d’Alexandrie";"Asie Mineure → Maionia";"Sous-région = Lydie. region de Maionia";"TAM V 498";"S. Aubert-Baillot, La philostorgia chez Fronton, une vertu sans équivalent latin ? Revue électronique ""Aitia. Regards sur la culture hellénistique au XXIe siècle"", n° 1, 2011 J. Keil et A. von Premerstein (Bericht über eine zweite Reise in Lydien II, Wien 1911, p. 107-108 n° 210.";;; 120;"Flavius [---]cratès (Ti.) de Messène";F15a;101;200;Platonicien;;"Grèce → Messène";;"PraktAkadAth 158, 2003 [2006], p. 27-28, par A. P. Matthaiou, B. Bardani et A. Makri, d’où SEG LII, 406 , LIII 1, 404.";"Ergon 50, 2003 (Athènai 2004), p. 31-32 et fig. 22 par P. Themelis, puis par B. Ch. Petrakos dans Ergon 52, 2005, Athènai 2006, p. 46.";;;"Ti. Flavius […]crates, « heros, sage, nouveau Platon »" 119;"Flavius [---] de Lilybée";F15;301;400;Autre;philosophe;"Rome et Italie → Lilybée";;"IG XIV 278 (IGR I 500)";;;;https://epigraphy.packhum.org/text/140581?&bookid=26&location=8 118;"Flavianus Sulpicius (C. Aelius) d’Ancyre";F14;201;300;Autre;"Philosophe, πολυστέϕανος ϕιλόσοϕος";"Asie Mineure → Ancyre";;"IGR III 196 et 197 , Mordtmann, Marmora Ancyrana, Berlin 1874, p. 21, n° 8 , JHS 44, 1924, p. 42-43.";"J.H. Mordtmann, Marmora Ancyrana, Berlin 1874, p. 21, n° 8.";;;"πολυστέϕανος ϕιλόσοϕος" 111;"Eudoxios de Syrie";E99;335;400;Platonicien;"""Sage descendant de Platon"" (épigramme)";"Proche Orient Ancien → Villa de Soueidie, pres de Baalbek";;"I. Syrie VI, 2886";"M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 235 M. Chéhab et R. Mouterde, Mosaïques du Liban, Bull. du Musée de Beyrouth 14-15, 1957, p. 43-46 et pl. 21 ,W. Peek, « Mosaik-Inschrift aus Heliopolis », ZPE 21, 1976, p. 188";;;Épigramme 110;"Eucratidas de Rhodes";E85;0;200;Épicurien;;"Rome et Italie → Brundisium";;"IG XIV 674 = CIL IX 48";;"Fils de Peisidamos, de Rhodes, enterré à Brindisi.";;"Inscription funéraire → https://epigraphy.packhum.org/text/141006?&bookid=26&location=8" 108;"Euandros de Phocée";E65;-300;-101;Platonicien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 886 , FGrHist 244 F 47 ap. Philod., Acad. hist. 28, 9 sq. = Lacydes T 2a 25 Mette";"C. Habicht, Hellenistic Athens and her philosophers, Princeton 1988, p. 13 = Athen in hellenistischer Zeit, München 1994, p. 241  H. von Arnim, art. « Euandros » 8, RE VI,1, 1907, col. 842 H. J. Mette, Lustrum 27, 1985, p. 52 , T. Dorandi (édit.), Filodemo : Platone e l’Academia, p. 64-65 W. Görler, GGP Antike 4, 2, p. 834-836.";"DPhA s.v. Evandros de Phocée : "" disciple et successeur, avec Téléclès, de Lacydès comme scholarque de l’Académie (D. L. IV 60 = T 1a Mette). Euandros naquit à Phocée et il entra en contact avec les souverains de Pergame""";;https://epigraphy.packhum.org/text/3106?&bookid=5&location=1365 333;Epicure;E36;-342;-270;Épicurien;"Fondateur du Jardin à Athènes, dont il fut le scholarque jusqu’à sa mort.";"Grèce → Athènes Chypre → Paphos Gaule lyonnaise → Augustodunum";;"M. Blanchard-Lemée, A. Blanchard, ""Epicure dans une anthologie sur mosaïque à Autun"", CRAI, 1993. p. 969-984. Paphos, buste d'Epicure (première moitié ou milieu du IIIe s. av. J.-C.) : T. B. Mittford, ""The Hellenistic Inscriptions of Old Paphos"", BSA, 56, 1961, p. 1-41, ici n° 10 ; J.-P. Cayla, Les Inscriptions de Paphos. La cité Chypriote sou la domination lagide et à l’époque impériale, 2018, n° 240, fig. 242-243.";"R. Koch-Piettre, Epicure, Paris, 2017, p. II, fig. 2.";;"Buste à Paphos; mosaïque à Autun.";ΕΠΙΚΟΥΡΟΣ 301;Epictète;E33;1;200;Stoïcien;"Il est considéré (avec Sénèque [→S 43]) comme le représentant le plus important du stoïcisme impérial, ce qu’on appelle la « Nouvelle Stoa »";"Grèce → Epidaure";;"IG IV 12, 683";"M.D. Boeri et R. Salles, Los filòsofos estoicos, 2014 T. Bénatouil et C. Enaudeau, Musonius, Èpictète, Marc Aurèle 2009 B. Inwood 2003, The Cambridge companion to the Stoics A. A. Long 2002, Epictetus: a Stoic and Socratic guide to life Scaltsas et Mason, The philosophy of Epictetus 2007 J.-F. Mattéi, art. « Épictète », Dictionnaire des Philosophes, I, Paris 1984, p. 859-866 Rocca-Serra, art. « Épictète », Encyclopédie philosophique universelle, III : Les Œuvres philosophiques. Dictionnaire, volume dirigé par J.-F. Mattéi, t. I : Philosophie occidentale : IIIe millénaire av. J.-C. - 1889, Paris 1992, p. 133 C. Martha, Les moralistes sous l’empire romain (philosophes et poètes), Paris 1865, p. 191-208 (« La vertu stoïque : Épictète ») A. Bonhöffer, Epictet und die Stoa. Untersuchungen zur stoischen Philosophie, Stuttgart 1890, réimpr. Stuttgart/Bad Cannstatt 1968 , 19 Id., Die Ethik des Stoikers Epictet. Anhang : Exkurse über einige wichtige Punkte der stoischen Ethik, Stuttgart 1894, réimpr. Stuttgart/Bad Cannstatt 1968 , J. Xenakis, Epictetus, philosopher-therapist, The Hague 1969";"Nos connaissances sur la vie d’Épictète sont très pauvres.";"DPhA s.v. Epictète : "" Épictète fut honoré, au sanctuaire d’Épidaure, d’un hermès (IG IV 12, 683) élevé par un ami qui n’a pas jugé nécessaire de préciser son nom. Cette omission ne peut s’expliquer que si le donateur était d’un rang suffisamment élevé pour ne pas être astreint aux usages qui s’imposaient aux dédicants ordinaires : Blinkenberg (NT 3, 1895, p. 157) a sans doute eu raison de reconnaître en lui l’empereur Hadrien.""";"Inscription de statue → Hermès" 106;"Epicratès d’Héraclée";E32;-300;-101;Péripatéticien;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Samos";;"MDAI(A) 44, 1919, n° 14 p. 29 , SEG I 368";"P. Scholz, Peripatetic philosophers as wandering scholars: some remarks on the socio-political conditions of philosophizing in the third century BCE,In: Fortenbaugh, William W. , White, Stephen A. (Hrsgg.): Lyco of Troas and Hieronymus of Rhodes. Text, Translation, and Discussion. New Brunswick, London 2004, pp. 315-353 , 476-480 W. Ameling, « Prosopographia Heracleotica », dans Lloyd Jones, The Inscriptions of Heraclea Pontica, coll. IK, 47, Bonn 1994, p. 135";"Fils de Démétrius.";;"Décret → https://referenceworks-brillonline-com.janus.bis-sorbonne.fr/entries/supplementum-epigraphicum-graecum/seg-1-368-samos-epicrates-demetrii-f-heracleota-philosophus-a-samiis-honoratur-c-a-200-a1_368?s.num=0&s.f.s2_parent=s.f.book.supplementum-epigraphicum-graecum&s.q=philosophus → [Ἔδοξε τῶι δήμωι, γνώμη πρυτάνεων·| ὑπὲρ ὧν προεγρά-, ψαντο] Ἐπιφῶν | [τοῦ δεῖνος] Σ[τ]α̣σίλας Φιλίστου, ὅπως| 5, [Ἐ]πικράτει Δημητρίου Ἡρακλεώτει ‖ [π]εριπατητικῶι πλείονα, χρόνον ἐν | [τῆι] πόλει ἡμῶν παρεπιδεδημηκό|[τι κ]αὶ διὰ τῆς, αὑτοῦ παιδείας πολ[λὰ] τοὺς νέους εὐεργετηκότι δοθῆι | [πολι]- 10, τεία καθότι ἂν τῆι βουλῆι καὶ ‖ [τῶι δή]μωι δόξει, καὶ ἡ, βουλὴ προεβούλευ|[σεν] λ̣έ̣γ̣ειν ἐν ταῖς ἀρχαιρεοίαις· | [ἐπειδὴ, Ἐπικ]ράτης Δημητρίου Ἡρακλε|[ώτης περ]ιπατητικὸς πλείονα 15, χρόνον | [παρεπιδε]δήμηκεν ἡμῶν ἐν τεῖ πόλει ‖ [καὶ διὰ τῆς], αὑτοῦ παιδείας πολλὰ | [τοὺ]ς ν̣έου̣ς εὐεργέτηκεν χαρίζεσ|[θαι, βο]υλόμενος καὶ ἰδίαι τοῖς ἀπαντῶ|[σι τ]ῶν συσχολαζόντων 20, ἑαυτῶι καὶ |[κοιν]ῆι τῶι δήμωι, μεταδιδοὺς ἀφθόνως‖[τῆς καθ’, αὑτὸν παιδείας τοῖς βουλομέ|[νοις] μετέχειν τῶμ πολιτῶν τοῖς, τε | [μὴ] δυναμένοις τῶ[ν] δ[η]μοτῶν τελεῖν | [τὸν] ἐκκείμενον, ὑφ’ αὑτοῦ μισθὸν προῖκα | [σχο]λάζων· ὅπως οὖν καὶ ἡμεῖς 25, φαινώμε‖[θα το]ὺς ἀγαθοὺς καὶ ἀξίους ἄνδρας | [καὶ δ]υνα-, μένους ὠφελεῖν τῶν νέων | [τοὺς] φιλομαθοῦντας, προεστη-, κότα̣[ς | . . . .] τ̣ου καὶ βίου δέοντας τιμῶν[τες, | δεδόχθαι] 30, τῶι δήμωι· δοῦναι Ἐπ[ικράτει‖πολιτείαν ἐ]φ’ ἴσαι καὶ ὁμοίαι ὁ δὲ γ[ραμμα|τεὺς τῆς β]ουλῆς Νικόμαχος [ἐπικληρω|σάτω, Ἐπικράτ]ην ἐπὶ φνλὴν [καὶ χιλιαστύν]." 117;"Exuperantia (Concordia)";E188;268;334;Épicurien;"Philosophe (f.), épicurienne";"Afrique proconsulaire → Hadrumete";;"BACTH 1955/6, p. 40-46";"J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », ANRW II 36, 4, 1990, p. 2320";"Son mari : M. Eustorgius Héraclamon Léonidès.";;"Inscription funéraire" 109;"Evaretus (Q. Aelius Egrilius)";E186;135;167;Autre;philosophe;"Germanie Inférieure (Allemagne) → Wesseling";;"CIL XIII 8159 = ILS 7776";"C. Raïos, De Smyrne à Philae: contacts et rencontres de P. Ælius Aristide en Égypte.Archimède: archéologie et histoire ancienne, UMR7044 - Archimède, 2019,: La République “ gréco-romaine ” des lettres: construction des réseaux savants et circulation des savoirs dans l’Empire romain,HS N°1, p. 68 à 81 M. Christol et T. Drew-Bear, The Greco-Roman East: Politics, Culture, Society, 2004, p. 99 J. Bodel, Epigraphic Evidence: Ancient History From Inscriptions, 2012, p. 90";"Ami de Salvius Iulianus.";; 116;"Evagrius de Rome";E183;320;330;Autre;;"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 2153";;;;"http://www.edr-edr.it/edr_programmi/res_complex_comune.php?do=book&id_nr=EDR144284 → Rufius Volusianus, v(ir) c(larissimus), XV[vir s(acris) f(aciundis)] Rufius Festus, v(ir) c(larissimus), XV(vir) s(acris) f(aciundis) Sebasmius philos[ophus ---] 5 〚[Aelius Dionysius?, v(ir) c(larissimus),?]〛 pon[tifex dei Solis?] Brittius Praesens, v(ir) c(larissimus), p(ontifex) m(aior) Evagrius philosopus [---] Fl(avius) Atticus, v(ir) c(larissimus), [---]" 115;"Euphrosynè de Rome";E136;;;Autre;"Philosophe (f.)";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 33898";;"Morte à Rome à vingt ans.";;"Inscription funéraire → Philosophe dont l’épitaphe célèbre aussi la piété et la culture étendue (docta novem musis) Euphrosyne / pia / docta novem Musis / philosopha v(ixit) ann(os) XX → Epitaphe en latin" 331;"Euphratès (Mestrius) de Tyr";E132;30;121;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 3945 ; SEG LIII 27 ; SEG LVII 190.";"C.P.Jones, ZPE 144 (2003) 160-162.";;;"Inscription de statue → https://referenceworks-brillonline-com.janus.bis-sorbonne.fr/entries/supplementum-epigraphicum-graecum/seg-57-190-athens-statue-base-honoring-mestrios-euphrates-hadrianic-a57_190?s.num=1&s.rows=20&s.mode=DEFAULT&s.f.s2_parent=supplementum-epigraphicum-graecum&s.start=0&s.q=stoics → Base de statue" 114;"Eumènes (L. Vibius ) de Phocée";E118;101;200;Autre;;"Asie Mineure → Phocée";;?;;"DPhA s.v. Eumènes (L. Vibius ) de Phocée : "" Le philosophe L. Vibius Euménès exerça à Phocée, sous le Haut-Empire, de nombreuses fonctions publiques : voir BE 1971, n° 553 et EA 18, 1991, p. 81 n° 4. Peut-être appartenait-il à la même famille de Vibii que la femme du philosophe Hermocratès de Phocée (→H 87).""";; 113;"Eumélos (M. Iulius)";E116;101;200;Autre;;"Asie Mineure → Ancyre";;"RECAM II, n° 519";;;;"Inscription funéraire → Honoré par ses enfants sur un monument funéraire a Alaca au nord-est d’Ancyre" 112;"Eugénès (C. Valerius) de Selgé";E109;168;200;Autre;« philosophe »;"Asie Mineure → Selgé";"Sous-région = Pisidie.";"I. Selge (IK 37), 17 et 19.";;"Son épouse : Poplia Plancia Aurelia Magnianè Motoxaris, qui est la sœur de Périclès.";;"https://epigraphy.packhum.org/text/282635?hs=1019-1026 → φιλοσό|[φου" 99;"Diaphanès de Temnos";D93;-267;-201;Stoïcien;;"Asie Mineure → Ilion";;"P. Frisch, Die Inschriften von Ilion, coll. IK 3, Bonn 1975, p. 111-112 (n° 40)";"M. Cébeillac-Gervasoni, Laurent Lamoine 2003, Les élites et leurs facettes: les élites locales dans le monde hellénistique et romain P. Frisch, Die Inschriften von Ilion, coll. IK 3, Bonn 1975, p. 111-112 (n° 40)  W. Crönert, « Eine attische Stoikerinschrift », SBAW 1904, p. 471-472  T. Dorandi, « Epigraphica Philosophica », Prometheus 15, 1989, p. 37";"DPhA s.v. Diaphanès de Temnos : "" mentionné dans une section de l’Ind. Stoic. Herc., col. 46, 5-6 (p. 96 Dorandi), consacrée aux disciples de Chrysippe , W. Crönert, propose de l’identifier avec un certain Diaphénès de Temnos, fils de Pollès, hôte d’un souverain non identifié (διατρίϐων παρὰ τῶι βασιλεῖ), honoré par un décret gravé sur une stèle de marbre à Ilion""";; 98;"Dialogos d’Athènes";D92;101;200;Platonicien;"Platonicien ? L’appartenance philosophique n’est pas précisée (voir les commentaires de Boeckh, CIG 938, et de Kaibel, Epigr. Gr. 104), ni la crémation ni le dualisme âme-corps ni l’expression ἀσκητὴς σοϕίης ne sont propres à une école : G. Wolff, dans son édition de Porphyre, De philosophia ex oraculis haurienda, Berlin 1856 (réimpr. Hildesheim 1962), p. 178-180, cite de nombreux parallèles. Le nom Dialogos, pourtant, fait supposer plutôt un platonicien.";"Grèce → Athènes";;"IG II2 11140 = W. Peek, GVI 1971";"G. Wolff, dans son édition de Porphyre, De philosophia ex oraculis haurienda, Berlin 1856 (réimpr. Hildesheim 1962), p. 178-180";;;"Épigramme → https://epigraphy.packhum.org/text/13614?&bookid=5&location=1365 → Ἐνθάδε Διάλογος καθαρῷ πυρὶ γυῖα καθήρας, ἀσκητὴς σοϕίης ὤιχετ’ ἐς ἀθανάτους.,« C’est ici que Dialogos, apres avoir purifie ses membres L’homme qui s’entrainait a la sagesse, est parti chez les immortels. »,2. Ἐνθάδε Διαλόγοιο σαόϕρονος ὀστέα κε(ῖται), γυμνά, ὃς ἀμϕ’ ἀρετὴν ἔπλετο καὶ σοϕίην.,Ἀλλὰ τὰ μὲν κεύθει μικρὰ κόνις ἀμϕιχυθεῖσα ψυχὴν δ’ ἐκ μελέων οὐρανὸς εὐρὺς ἔχει.,« Ici gisent les os du sage Dialogos Mis a nu , il s’exerçait a la vertu et a la sagesse.,Mais si un peu de poussiere repandue recouvre ses os L’âme qui a quitte ses membres, c’est le vaste ciel qui l’abrite. » Κεύθει, v. 1, doit etre un lapsus pour κεῖται. On a parfois corrige Γυμνά en Γυμνὰ <ς>, v. 2, interprete comme un feminin designant le gymnase (Jacobs) ou un masculin appose a Dialogos ou attribut de ὃς (editeurs modernes)" 92;"Démétrios Tullianos";D63;201;300;Autre;philosophe;"Asie Mineure → Epiphaneia (Cilicie)";"Sous-région = Cilicie. pres du site d’epiphaneia";"D. Feissel dans G. Dagron et D. Feissel, Inscriptions de Cilicie, Paris 1987, p. 211, n° 125 et pl. LI";"E. Akgün Kaya II. Sofistik Dönem: Lykia, Pisidia, Pamphylia ve Kilikia –,Isauria Bölgesi Filizofları, Sofistleri ve Retorları, 2015";;;Dédicace 91;"Démétrios de Tarse";D57;35;100;Stoïcien;;"Bretagne → Eboracum (York)";;"IG XIV 2548 , Rom. Inscr. Britain I 662 et 663";"B. Puech, « Prosopographie des amis de Plutarque », ANRW II 33, 6, 1992, p. 4844-4845 R. Hirzel, Der Dialog, t. II, Leipzig 1895, p. 195-196  D. Babut, Plutarque et le stoïcisme, Paris 1969, p. 242-243 R. M. Ogilvie, « The date of the De defectu oraculorum », Phoenix 21, 1967, p. 108-119 D. Paola Orsi, « Scribonio Demetrio e Demetrio di Tarso », AFLB 19/20, 1976/77, p. 173-178";;;https://epigraphy.packhum.org/text/143368?&bookid=26&location=8 299;"Démétrios de Phalère";D54;-334;-268;Péripatéticien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2, 1201 = fr. 12 Wehrli";"Knoepfler 2012 O’Sullivan, The regime of Demetrius of Phalerum in Athens, 317-307 BCE a philosopher in politics, 2009 Chiron et Demetrius, Un rhéteur méconnu: Démétrios (Ps.-Démétrios de Phalère): essai sur les mutations de la théorie du style à l'époque hellénistique, 2001 C. Mossé, « Démétrios de Phalère : un philosophe au pouvoir », dans Alexandrie au IIIe siècle av.J.-C. (Éditions Autrement, 1992), p. 83-92 Ch. Picard, dans J. Ph. Lauer, Ch. Picard, Les statues ptolémaïques du Sarapieion de Memphis, coll. « Publications de l’Institut d’art et d’archéologie de l’Université de Paris » 3, Paris 1955, p. 69-89, pl. 8-9 K. A. Esdaile, « A bronze-statuette in the British Museum and the ‘Aristotle’ of the Palazzo Spada », JHS 34, 1914, p. 53.";;;"αἱ]ρεθεὶς ὑπὸ τοῦ δήμο[υ)" 90;"Démétrios (Aurélius) de Nicomédie";D53;300;300;Stoïcien;"Philosophe, Stoïcien ?";"Asie Mineure → Nicomédie";"Sous-région = Bithynie. ";"ZPE 47, 1982, p. 43-44";;;;"Dédicace → dedicace « a Zeus, pere de ce monde »" 105;"Dorothéos d’Oropos";D222a;-100;100;Autre;"Orateur ou philosophe";"Grèce → Athènes";;"P. Agallopoulou, ArchDelt 52, 1997, Chronika II 1, Athenès, 2002, p. 99. B. Ch. Petrakos, Οἱ ἐπιγραφὲς τοῦ Ὠρωποῦ, coll. « Βιβλιοθήκη τῆς ἐν Ἀθήναις Ἀ ρχαιολογικῆς Ἑταιρείας » 170, Athenes, 1997, n° 584 α, p. 449.";"P. Agallopoulou, ArchDelt 52, 1997, Chronika II 1, Athènes, 2002, p. 99. B. Ch. Petrakos, Οἱ ἐπιγραφὲς τοῦ Ὠρωποῦ, coll. « Βιβλιοθήκη τῆς ἐν Ἀθήναις Ἀ ρχαιολογικῆς Ἑταιρείας » 170, Athènes, 1997, n° 584 α, p. 449.";"DPhA s.v. Dorothéos d’Oropos : "" Il était le fils d’un certain Pélopidès (ou –das) d’Oropos, et peut-être père d’un Symmachos d’Oropos sur une colonnette funéraire attribuée au Ier s. av. ou apr. J.-Chr. (IG II2 10520).""";;"Dédicace → Δωροθέωι | Πελοπίδου | οἱ μαθηταί," 104;"Dionysodoros (Flavius Maecius Se[verus] ou Se[renus]), d’Antinooupolis";D190;135;200;Platonicien;"Très vraisemblablement identique, comme l’ont indiqué P. Cauderlier et K. A. Worp, au médio-platonicien Severus.";"Égypte → Antinooupolis";;"Sammelbuch III 6012 ; IBM IV 1076.";"P. Cauderlier et K. A. Worp, « Unrecognized evidence for a mysterious philosopher », Aegyptus 62, 1982, p. 72-79. A. Bernand, Les portes du désert, Paris,1984, n° 14, p. 96-97 ; J. M. Dillon, The Middle Platonists., 80 B.C. to 220 A.D., Ithaca (NY), 1977, p. 262. A. Gioè, Filosofi medioplatonici del II secolo D. C. Testimonianze e frammenti. Gaio, Albino, Lucio, Nicostrato, Tauro, Severo, Arpocrazione, coll. « Elenchos » 36, Napoli 2002, p. 377-393 (texte et traduction italienne), p. 395-433 (commentaire).";"DPhA s.v. Dionysodoros (Flavius Maecius Se[verus] ou Se[renus]), d’Antinooupolis : "" Bouleute de la cité, identique sans doute à Severus, commentateur de Platon. Thomas Auffret, « Serenus d’Antinoë dans la tradition gréco-arabe des coniques », ASPh 24, 2014, p. 181-209, considère qu'il doit être identifié au géomètre et platonicien Serenus (DPhA, VI , S56; DPhA, VII, S56 comp.). Par conséquent, il suggère de restituer son cognomen sous la forme Se[renus].""";"Voir DPhA, VI, s.v. Severos (S61).";Dédicace 97;"Dionsysios de Rhodes";D183;101;134;Épicurien;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes";;"M. F. Smith (edit.), Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Napoli 1993, 660 p., date l’inscription vers l’an 120 de notre ere (p. 35-48)";"M. F. Smith (édit.), Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Napoli 1993, 660 p., date l’inscription vers l’an 120 de notre ère (p. 35-48)";"DPhA s.v. Dionsysos de Rhodes : "" Cet ami de Diogène d’Oinoanda [→D 141] (fr. 122 : Διονυσίου τοῦ | ἡμετέρου) faisait partie de la communauté épicurienne de Rhodes , il était également le dédicataire d’une autre lettre – de contenu philosophique – de Diogène (fr. 68-74 Smith). Lors d’un de ses séjours à Rhodes, Diogène avait été soigné par une dame à qui il avait été recommandé par Carus et Dionysios.""";; 95;"Dionysios (Aelius) d’Halicarnasse";D178;135;167;Autre;"Philosophe du Musée (Alexandrie)";"Asie Mineure → Halicarnasse";;"B. Haussoullier, BCH 4, 1880, p. 405";"N. Lewis, « Literati in the service of Roman Emperors. Politics before culture », dans Numismatic and other studies in honour of B. L. Trell, Detroit 1981, p. 155 , C. Scherer, De Aelio Dionysio musico, Bonn 1886.";;; 94;"Dionysios (T. Pompeius) d’Athènes";D176;201;267;Autre;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 3810; IG II2 1826";"S. Follet, Athènes au II e et au III e siècle, Paris 1976, p. 518  N. Lewis, « Literati in the service of Roman Emperors. Politics before culture », dans Numismatic and other studies in honour of B. L. Trell, Detroit 1981, p. 149-166  Marcus Aurelius, coll. « Hesp. Suppl. » 13, 1970, p. 106 AJPh 98, 1977, p. 166 P. Graindor, « Le nom de l’Université d’Athènes sous l’Empire », RBPH 17, 1938, p. 207-212 J. P. Lynch, Aristotle’s school, p. 174-176";"Son acmè se place vers le premier quart du IIIe s. : il est nommé dans une liste de prytanes des environs de 220";;"https://epigraphy.packhum.org/text/4056?&bookid=5&location=1365 → τῶν ἀπὸ Μουσείου ϕιλόσοϕον https://epigraphy.packhum.org/text/6094?&bookid=5&location=1365" 93;"Dionysios d’Athènes";D173;-200;0;Stoïcien;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Délos";;"ID 1801";;"Le document datant de l’époque de la colonie athénienne, l’activité de Dionysios se place soit vers la seconde moitié du IIe s. av. J.-C., soit vers le premier quart du Ier.";;"Dédicace → Dédicace à Hermès" 103;"Dion d’Ephèse";D163;-334;-268;Autre;;"Rome et Italie → Rome";;"IG XIV 1149 = IGUR IV 1491";"G. de Luca, Altertümer von Pergamon XI 4 : Das Asklepieion 4 Via Tecta und Hallenstraße, die Funde, 1984, p. 105, S 27, pl. 48 Chr. Habicht, Altertümer von Pergamon VIII 3 Die Inschriften des Asklepieions, 1969, p. 162 : Richter, Portraits II, p. 244.";"DPhA s.v. Dion d’Ephèse : "" pas connu par ailleurs,Le seul élément qui permette de le situer est la signature du sculpteur Sthennis : l’activité de cet artiste se place entre le règne d’Alexandre et les environs de 280a , voir G. Richter, Portraits, t. II, p. 244. Le philosophe que Sthennis avait représenté devait être l’un de ses contemporains, tombé ensuite dans l’oubli. La base était d’époque impériale mais, d’après G. Richter, elle devait porter non pas une copie mais l’œuvre originale de Sthennis""";;"Δίων ϕιλόσοϕος Ἐϕέσιος. | Σθέννις vac. ἐποίει. → Base appartenant a une serie aujourd’hui perdue, vue autrefois a la Villa Mattei" 101;"Diogène de Sinope";D147;-412;-321;Cynique;"Cynique, (Premier ?) philosophe cynique";"Asie Mineure → Sinope";;;"D. M. Bailey, A Catalogue of the Lamps in the British Museum, t. II, London 1980, nos Q 797 et 837)  J. Babelon, « Diogène le Cynique », RN 18, 1914, p. 14-19  J. Babelon, « Diogène et la monnaie », Démaréteion I, 1935, p. 63-66 H. Bannert, « Numismatisches zur Biographie und Lehre des Hundes Diogenes », Mélanges R. Goebe = LNV 1, 1979, p. 49-63 ,Consulter la bibliographie sur les socratiques contenue dans le t. III de Giannantoni 3, celle de Paquet 20, p. 312-315 M. Billerbeck, Die Kyniker in der modernen Forschung, coll. « Bochumer Studien zur Philosophie » 15, Amsterdam 1991, p. 303-317.";"DPhA s.v. Diogène de Sinope : "" En D. L. VI 75 sont mentionnés « un certain Onésicrite d’Égine » (→O 24) et ses deux fils : Androsthène (→A 182) et Philiscos (→P 133), et en VI 76 sont également cités l’homme politique bien connu Phocion Chrestos (→P 171), le philosophe mégarique Stilpon (→S 163) et « bien d’autres hommes politiques » Une autre liste commence en VI 82 , elle fait intervenir successivement Monime (→M 190), puis en VI 84 un second Onésicrite (→O 23), celui qui prit part à l’expédition d’Alexandre en Orient (certains le disent d’Égine, mais Démétrios de Magnésie le dit d’Astypalaea), enfin Ménandre surnommé « Bois de Chêne » (→M 104), Hégésias de Sinope surnommé « Collier de chien » (→H 19), Philiscos d’Égine déjà mentionné en VI 75, et en VI 85 Cratès de Thèbes (→C 205), le cynique le plus connu après Diogène Il faut ajouter encore les enfants de Xéniade (→X 5), dont Diogène fut le précepteur et à qui il faisait apprendre par cœur des passages de ses propres œuvres. , Son père passe pour avoir falsifié la monnaie (VI 20-21) et Diogène aurait été d’une façon ou d’une autre associé à cette falsification La biographie de Diogène fait état aussi des rencontres du philosophe avec Philippe de Macédoine et surtout avec le fils de celui-ci, Alexandre.""";; 102;"Diogène d’Oinoanda";D141;50;150;Épicurien;;"Asie Mineure → Oinoanda";"Sous-région = Lycie.";"M. F. Smith, Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro », Suppl. 1, Naples, 1993.";"J. Hammerstaedt, P.-M. Morel, R. Güremen (éds.), Diogenes of Oinoanda – Diogène d’Œnoanda. Epicureanism and Philosophical Debates – Épicurisme et controverses, Leuven, 2017. A. Etienne, D. O'Meara, La philosophie épicurienne sur pierre: les fragments de Diogène d'Oinoanda, Fribourd-Paris, 1996.";"Diogène, grand notable de sa patrie du IIe s. ap. J.-C., fut l'auteur de plusieurs traités épicuriens qu'il fit graver sur un mur, sur l'agora.";; 100;"Diodoros Callimédès (M. Aurelius) d’Aphrodisias";D133;168;234;Autre;"Philosophe, « véritable philosophe » (τὸν ὄντως ϕιλόσοϕον)";"Asie Mineure → Aphrodisias";;"MAMA VIII n° 400, p. 109-110 et pl. 20";"L. Robert, Hellenica XI/XII, 1960, p. 551";"DPhA s.v. Diodoros Callimédès (M. Aurelius) d’Aphrodisias : "" Il appartenait à une famille de petits notables qui exerçaient régulièrement des responsabilités politiques mais qui n’étaient pas citoyens romains avant la génération de Diodoros. Comme cette accession à la civitas se traduit par les noms Marcus Aurelius, elle n’est sûrement pas antérieure au dernier tiers du IIe s. et pourrait bien être l’effet de la constitution de Caracalla : l’activité de Diodoros se place donc vers la fin du IIe siècle ou dans la première moitié du IIIe.""";;"« veritable philosophe » (τὸν ὄντως ϕιλόσοϕον)" 298;"Damon d’Athènes";D13;-467;-435;Pythagoricien;"Musicien et philosophe, sans doute pythagoricien.";"Grèce → Athènes";;"IG I2, 912";"A. Leroi-Cortot, Influences croisées entre les traditions musicales perses et européennes. Les fondements d’une esthétique musicale commune, 2009 D. Laborde, Des passions de l'âme au discours de la musique, 1994 L. Brisson, Platon, Pythagore et les pythagoriciens, 2007 J. Carcopino, L’Ostracisme athénien, Paris 1909, 2e éd. 1935, p. 125-142 (reprise de REG 18, 1905, p. 415";"DPhA s.v. Damon d’Athènes : ""Comme musicien, Damon a suivi les leçons d’Agathoclès (→A 37), soit directement (Platon, Lach. 180 d), soit par l’intermédiaire d’un disciple de celui-ci, Lamproclès (Scholie à Platon, Alc. Maj. 118 c). Au dire de Plutarque (Péricl. 4), Aristote (fr. 401 Rose) lui attribuait comme maître l’aulète Pythoclidès de Céos [→P 337] (désigné par Platon, Protag. 316 e, comme un « grand philosophe » (μέγας σοϕιστής). Ce pythagoricien, inventeur de la musique noble (μουσικὴ σεμνή), aurait lui-même enseigné la musique à Agathoclès (Scholie à Platon déjà citée).""";;"Ostrakon → Δαμον Δαμονιδο" 77;"Charilampianè Olympias (Aurelia) d’Héraclée du Pont";C98;200;300;Autre;"Philosophe ? sans doute pas car il y a de fortes chances pour que le mot désigne ici une sagesse pratique traduite dans le comportement quotidien plutôt qu’une activité intellectuelle précise.";"Asie Mineure → Héraclée du Pont";;"I. Heracleia, 10";"Beate Dignas, Kai Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus";"Parents : Aurelius Thrasymèdianos Hérakleidès, d’Héraclée du Pont & Aurelia Charilampianè Olympias.";;"Inscription funéraire" 76;"Charax (A. Claudius) de Pergame";C94;135;167;Autre;"Historien (et philosophe ?)";"Asie Mineure → Pergame";;"IG V 1, 71, col. III, li. 5, 18, 25 (Sparte) , (4) AvP VIII 3, n° 8 (Pergame) , (5) AvP VIII 3, n° 141 (Pergame) , (6) IGR IV 494, corrigée par H. Hepding, MDAI(A) 32, 1907, p. 354 (Pergame) , (7) IGR IV 283, corrigée par Chr. Habicht, MDAI(I) 9/10, 1959/60, p. 119 (Pergame) , (8) MDAI(I) 9/10, 1959/60, n° 1, p. 110 (SEG XVIII 557 : Pergame) , (9) Not. Scav. 15, 1939, p. 363 (A. Degrassi, Fasti consolari, Roma 1952, p. 42 : Rome). ,F. Jacoby (edit.), FGrHist II 103, p. 482-493.";"C. Habicht, „Iulius Maior aus Nysa, Eponym in Kyzikos“, Hyperboreus 11, 114-119 E. Schwartz, RE III 2, 1899, col. 2122-2123 F. Jacoby (édit.), FGrHist II, Berlin 1926, Komm. n° 103, p. 312-319 C. Habicht, « Zwei neue Inschriften aus Pergamon », MDAI(I) 9/10, 1959/60, p. 109-127 R. Hanslik, RESuppl. XII, 1970, col. 148 W. Eck, RESuppl. XIV, 1974, col. 99-100 H. Halfmann, Die Senatoren aus dem östlichen Teil, Göttingen 1979, n° 73, p. 161-162 O. Andrei, A. Claudius Charax di Pergamo. interessi antiquari e antichità cittadine nell’età degli Antonini, coll. «Opuscula philologica » 5, Bologna 1984 W. Ameling, compte rendu de Andrei 7 dans Gnomon 58, 1986, p. 465-468 A. Chaniotis, Historie und Historiker in den griechischen inschriften, Stuttgart 1988, p. 318-320 M. Le Glay, « Hadrien et l’Asklèpieion de Pergame », BCH 100, 1976, p. 369";"DPhA s.v. Charax de Pergame : ""Historien (et philosophe ?), dont l’acmè se situe sous le règne d’Antonin , Issu d’une famille de notables pergaméniens, l’historien fut membre du Sénat romain et les inscriptions, en mentionnant les principales étapes de son cursus, permettent de situer son activité à la fin du règne d’Hadrien et sous celui d’Antonin. Questeur de Sicile en 137 au plus tard""";;Dédicace 62;"Cailianos (T. Varius)";C9;101;134;Autre;"titulaire à Athènes d’une chaire de philosophie (diadochos)";"Grèce → Athènes";;"J. H. Oliver, « Philosophers and Procurators. Relatives of the Aemilius Juncus of Vita Commodi 4, 11 », Hesperia 36, 1967, p. 42-56";"H. Halfmann, Die Senatoren aus dem östlichen Teil des Imperium Romanum bis zum Ende des 2. Jahrhunderts n. Chr., coll. « Hypomnemata » 58, Göttingen 1979, n° 55, p. 145-146.";"DPhA s.v. Cailianos (T. Varius) : ""Sa fille Varia Archélais, avait épousé L. Aemilius Juncus. Or ce sénateur originaire de Tripolis, consul suffect à la fin de 127, avait été, de 129 à 135 au moins, envoyé spécial d’Hadrien en Achaïe, avec le titre de legatus pro praetore, pour régler les litiges entre les cités libres ,Qu’il ait eu ou non le droit de cité à Athènes (dans une inscription privée, l’absence de démotique ne constitue pas la preuve absolue qu’y trouvait J. H. Oliver), Cailianos n’était peut-être pas d’origine athénienne.""";;"Inscription funéraire" 75;"Chabrias d’Athènes";C86;-367;-301;Platonicien;"Platonicien ? Célèbre général athénien, Plutarque, Contre Colotès, 1126 c, rappelle qu’il « venait de l’Académie » et le cite au nombre des philosophes platoniciens qui ont rendu de grands services à leur patrie";"Grèce → Athènes";;"Voir IG XIV 1222 , IG II2 21 , IG II2 1606, 1607 , A. P. Burnett et C. N. Edmonson, Hesperia 30, 1961, p. 74-91 , voir aussi AJA 67, 1963, p. 411-413 , Hesperia 41, 1972, p. 466-474";"J. Kirchner, RE III 2, 1899, col. 2017-2021 J. Cargill, The Second Athenian League, Berkeley 1981 (p. 100-101 , 152-153 , 171 , 190-191)  A. Fol dans Studia in honorem Veselini Besevliev, Sofia 1978, p. 429-434 A. G. Woodhead, « Chabrias, Timotheus and the Aegean Allies », Phoenix 16, 1962, p. 258-266)";"Fils de Ctèsippos, d’Aixonè.";;"Dédicace → https://epigraphy.packhum.org/text/2239?&bookid=5&location=1365 https://epigraphy.packhum.org/text/3828?&bookid=5&location=1365 https://epigraphy.packhum.org/text/3829?&bookid=5&location=1365" 74;"Censorinus, fils de Censorinus, d’Athènes";"C76 = le meme que C77";135;200;Platonicien;;"Grèce → Athènes";;"J. Kirchner (IG II2 4200/01) et complétée par M. Th. Mitsos, ArchDelt 27, 1970, n° 3, p. 30 et pl. 14  S. Follet, Athènes au II e et au IIIe siècle. études chronologiques et prosopographiques, Paris 1976, p. 124 n. 5 SEG 26, 1976-1977, n° 260, p. 80-81, date d’avant 212 , mentionné par Alexandre d’Aphrodise (ID DPhA :A 112) dans ses Problèmes physiques I 13 (p. 25-26 ed. I. Bruns, « Supplementum Aristotelicum » II 2, Berlin 1892)";"L. Moretti, « Epigraphica 21 », RFIC 109, 1981, p. 259 n. 3 (= Tra epigrafia e storia. Scritti scelti e annotati, coll. « Vetera » 5, Roma 1990, p. 381";;;"https://epigraphy.packhum.org/text/6487?&bookid=5&location=1365 → Ce[n]sorinus, fils de Censo[r]inus, vvΠλατ[ωνικὸν | vvϕιλόσοϕον] → Inscription attique gravée sur un hermes ou une base de statue honorifique" 72;"Celer (C. Artorius)";C63;-27;330;Épicurien;;"Afrique proconsulaire → Sicca Veneria (El Kef)";;"ILTun 1614 = AE 1937, 34";"ILTun 1614 = AE 1937, 34. R.M.Q. Grant, Augustus to Constantine: The Rise and Triumph of Christianity in the Roman World, 2004. H. Temporini, Aufstieg und Niedergang der römischen Welt: Geschichte und Kultur Roms im Spiegel der neueren Forschung, 1900.";"DPhA s.v. Celer (C. Artorius) : ""Il s'agit d'une double épitaphe affichée sur le même cippe funéraire : la première concerne un membre de la famille du philosophe, Artorius Celer Munatianus, décédé à 22 ans, la seconde est érigée pour notre personnage, C. Artorius Celer, tous les deux de la tribu Papiria, philosophe épicurien, mort à 32 ans. Un troisième membre de la famille, L. Artorius Florentinus, de la même tribu, avait son tombeau dans la même région (Lalla Dahlia, Afrique proconsulaire, CIL VIII, 27708).";"C. Artorius Celer, philosophus Epicureus pius phi/losophus / Epicureus";"Inscription funéraire → https://edh-www.adw.uni-heidelberg.de/edh/inschrift/HD023160 → D(is) [M(anibus)] s(acrum) / [- Art]ori/[us - f(ilius) P]ap(iria) / [C]el[er] Mu/natianus / pius vixi[t] / ann(os) XXII // D(is) M(anibus) s(acrum) / C(aius) Artori/us C(ai) f(ilius) Pap(iria) / Celer phi/losophus / Epicureus / pius vix(it) an(nos) / XXXII h(ic) s(itus) e(st)" 71;Carus;C49;-100;200;Épicurien;;"Rome et Italie → Rome";;"R. Heberdey et E. Kalinka, « Die philosophische Inschrift von Oinoanda », BCH 21, 1897, p. 346-443 ,cité par Diogène d’Oinoanda [ID DPhA :D 141] (fr. 122 Smith, II 7-10)";"L. Canfora, « Diogene di Enoanda e Lucrezio », RFIC 120, 1992, p. 52-53  R. Heberdey et E. Kalinka, « Die philosophische Inschrift von Oinoanda », BCH 21, 1897, p. 346-443  A. Körte, « Titus Lucretius Carus bei Diogenes von Oinoanda ? »";;; 70;"Carnéade de Cyrène";C42;-300;-101;Platonicien;"Philosophe académicien";"Grèce → Athènes";;"U. Kohler, « Basis des Karneades », MDAI(A) 5, 1880, p. 284-286 , Richter, Portraits II, p. 250, n° 8, fig. 1681. SIG3 666 , IG II2 3781";"H. von Arnim, RE X 2, 1919, col. 1964-1985 A. Weische, RESuppl. XI, 1968, col. 853-856 B. Wiśniewski, Karneades. Fragmente. Text und Kommentar, coll. «rchivum Filologiczne » 24, Varsovie 1970 M. Dal Pra, Lo scetticismo greco, 2e éd., Roma/Bari 1975, p. 167-285 J. Glucker, Antiochus, passim A. Russo, Scettici antichi, Torino 1978, p. 215-383 T. Dorandi, La ‘Cronologia’ di Apollodoro nel PHerc. 1021, Napoli 1982, p. 23 sq. L. Ferraria et G. Santese, « Bibliografia sullo scetticismo antico 1880-1978 », dans les Actes du Congrès Lo Scetticismo antico publiés sous la direction de G. Giannantoni, Napoli 1981, t. II, p. 753-850 A. M. Ioppolo, Elenchos 1, 1980, p. 76-91 H. J. Mette, « Weitere Akademiker heute. Von Lakydes bis zu Kleitomachos », Lustrum 27, 1985, p. 53-141 H. Tarrant, Scepticism or Platonism ? The philosophy of the Fourth Academy, Cambridge 1985, p. 2-41, 89-94, 122 sq. A. M. Ioppolo, Opinione e scienza. Il dibattito tra Stoici e Accademici nel III e II secolo a. C., Napoli 1986 Dorandi (édit.), Filodemo : Platone e l’Academia, p. 68-71 , 14 Id., Cronologia, p. 11-16  H. B. Mattingly, Historia 20, 1971, p. 30-32 B. D. Meritt, Historia 26, 1977, p. 165-166 P. Gauthier, Les cités grecques et leurs bienfaiteurs (IV e–Ier siècle av. J.-C.). Contribution à l’histoire des institutions, coll. « BCH Suppl. » 12, Paris 1985, p. 209 P. Bernard, « Les rhytons de Nysa. I. Poétesses grecques », JS 1985, p. 81 n. 155";"Qcholarque à la suite d’Hégésinos";;https://epigraphy.packhum.org/text/10367?&bookid=5&location=1365 69;"Capito (Sex. Iulius)";C39;135;167;Platonicien;platonicien;"Asie Mineure → Pergame";Pergame ?;"IGR IV 386 , IGR IV 353, ligne 30 , MDAI(A) 37, 1912, p. 1911, n° 15 , AvP VIII 2, 327 , AvP VIII 2, 478 ,discours 47 d’Aelius Aristide";"C. A. Behr, Aelius Aristides and the Sacred Tales, Amsterdam 1968 J. S. Kloppenborg, S. G. WilsonRoutledge, Voluntary Associations in the Graeco-Roman World, 2002";"DPhA s.v. Capito (Sextus Iulius) : ""ami d’Aelius Aristide , Capito appartenait à une cité qui célébrait des Olympia, dont il semble avoir lui-même été agonothète (p. 423 Dindorf) ,fils de Mènophantès, boukôlos de Dionysos Kathègèmôn sous Trajan""";;Discours 68;"Callisthène d’Olynthe";C36;-367;-335;Péripatéticien;"Philosophe, élève d’Aristote : Callisthène est souvent appelé ϕιλόσοϕος (aussi σοϕιστής) par les Anciens";"Grèce → Delphes";;"SIG3 275";"H. Berve, Das Alexanderreich auf prosopographischer Grundlage, München 1926, t. II, p. 191-199, 434 (n° 408)  W. Spoerri « Épigraphie et littérature : à propos de la liste des Pythioniques à Delphes », dans D. Knoepfler (édit.), Comptes et inventaires dans la cité grecque. Actes du colloque international d’épigraphie tenu à Neuchâtel du 23 au 26 septembre 1986 en l’honneur de Jacques Tréheux, coll. « Recueil de travaux publiés par la Faculté des Lettres de l’Université de Neuchâtel » 40, Neuchâtel/Genève 1988, p. 111-140  A.-H. Chroust, « Aristotle and Callisthenes of Olynthus », dans A.-H. Chroust, Aristotle. New light on his life and on some of his lost works, t. I, London 1973, p. 83-91, 330-336 P. Pédech, Historiens compagnons d’Alexandre. Callisthène – Onésicrite – Néarque – Ptolémée – Aristobule, « Collection d’Études anciennes », Paris 1984 (c.r. par 16 G. Wirth, Gnomon 58, 1986, p. 230-237)";"Callisthène vécut chez son parent Aristote.";; 67;"Callisthène d’Olbia";C35;-133;-68;Autre;philosophe;"Pont-Euxin → Olbia du Pont";;"B. Latyschev, IOSPE I n° 42 , voir les remarques de L. Robert, Hellenica II, 1946, p. 142";"P. Veyne, Le pain et le cirque, Paris 1976, p. 306, n. 316";"DPhA s.v.Callisthène d’Olbia : ""fils de Callisthène ,Il était né dans une famille riche, l’une des plus influentes d’Olbia : ses ancêtres, qui avaient rendu de grands services dans des circonstances critiques et mérité le titre de « fondateurs de la cité », étaient « connus et estimés des empereurs », sans d’ailleurs être citoyens romains""";;Décret 341;"Taurus (L. Calvenus)";C339;101;200;Platonicien;;"Grèce → Delphes";;"Syll. 3, 868 ; FD III, 4, 91.";"BE1974, 297.";;;"Λ. Καλβήνῳ Ταύρῳ Βηρυτίῳ φιλοσόφῳ πλατωνικῷ" 66;"Callipos d’Athènes";C31;-367;-335;Platonicien;;"Grèce → Athènes";;"IG2 1609, l. 96 ; Diogène Laërce III 46; Souda, s. v. Κάλλιππος, Κ 237, t. III, p. 20, 18-20.";"Stähelin, art. « Kallippos » 1, RE X 2, 1919, col. 1664-1666. A. Wörle, Die politische Tätigkeit der Schüler Platons, coll. « Göppinger Akademische Beiträge » 112 Darmstadt 1981, p. 88-97 J. Kirchner, PA I 536, 8065 , J. K. Davies, APF, n° 8065, p. 274-275 R. Develin, Athenian Officials 684-321 B. C., Cambridge 1989, p. 472";;; 89;"Cyrion (P. Aelius) d’Ancyre, frère de Cyrillos";C232;101;300;Autre;"Professeur de philosophie à Ancyre";"Asie Mineure → Ancyre";Ancyre;"S. Mitchell, AS 27, 1977, n° 12, p. 81-82";;"Frère de Cyrillos.";;"Inscription funéraire" 88;"Cyrilllos d’Ancyre";C231;101;300;Autre;"chaire de philosophie ? Les derniers mots du texte, καταξιωθέντες διαδοχῆς, appliqués aux deux frères de Cyrillos qui ont ramené son corps d’Alexandrie, ne peuvent faire allusion à un héritage mais évoquent plutôt la succession dans un enseignement philosophique. Sans doute faut-il comprendre que les jeunes gens avaient été choisis pour occuper, à la suite de leur frère, une chaire municipale de philosophie à Ancyre";"Asie Mineure → Ancyre";Ancyre;"S. Mitchell, AS 27, 1977, n° 12, p. 81-82";;"Frère de Cyrion.";;"Inscription funéraire" 86;"Ctésiphon de Thasos";"C225a + C225a comp.";101;300;Autre;philosophe;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Thasos";;"BCH 118, 1994, p. 407-410";"J. Pouilloux, Recherches sur l’histoire et les cultes de Thasos, t. II : De 196 avant J.-C. jusqu’à la fin de l’Antiquité, coll. « Études thasiennes » 5, Paris 1958, p. 285. cf. T. IV, p. 870 (citer : DphA 2003, vol. Supplement, p. 86-87)";"Fils de Némonios, il appartenait à une famille de notables de Thasos.";; 332;"Critolaos de Phasélis";"C219 (sans mention d'inscription)";-200;-120;Péripatéticien;"Philosophe péripatéticien, membre de l’ambassade des trois philosophes envoyés par Athènes à Rome en 156-155 av. J.-C.";"Grèce → Olympie";;"Kl. Hallof, Kl. Herrmann, S. Prignitz, « Alte und neue Inschriften aus Olympia, I », Chiron 42 (2012), 213-238 . (BE 2013, 149).";;;"Le nom et l'affiliation du philosophe (Κριτόλαος, ἵστορ᾽ Ἀριστοτέλους) apparaît sur une base de statue d'Olympie, signée par le sculpteur [Εὔχειρ Εὐβου]λίδου Ἀθηναῖος ; il est possible que les deux autres membres de l’ambassade, Carnéade et Diogène, aient figuré sur le même monument.";"Inscription de statue → Κριτόλαος, ἵστορ᾽ Ἀριστοτέλους → Base de statue" 297;"Critobule d’Alopékè";C217;-434;-401;Socratique;"Philosophe il appartient au cercle de Socrate.";"Grèce → Athènes";"Sous-région = Attique.";"IG II2 ,1611.";"J. Laurent, La mesure de l'humain selon Platon, 2002 Frisch, Magnus, Die Tollkühnheit, einen schönen Menschen zu küssen: philosophische Ansätze bei der Textinterpretation am Beispiel von Xenophon, Memorabilia 1, 3, 8-15, 57:5 (2014) 42-49, ill Kirchner, PA I, 8802, cf. 8801 G. Giannantoni, SSR VI B 32-39, t. II, p. 634- L. Brisson Platon, Pythagore et les pythagoriciens, 2007 D. Laborde, Des passions de l'âme au discours de la musique, 1994 A. Leroi-Cortot Influences croisées entre les traditions musicales perses et européennes. Les fondements d’une esthétique musicale commune, 2009,635.";"DPhA s.V. Critobule d’Alopékè : "" Critobule est le fils de Criton (→C 220), du dème d’Alopékè, et donc, si on veut bien en croire D. L. (II 121), le frère d’Hermogène (→H 94), d’Épigène (→E 38) et de Ctésippe (→C 227).""";"DPhA s.v. Critobule d’Alopékè: "" Dans l’Économique, où il en fait l’interlocuteur principal de Socrate (→S 98) tout au long des six premiers chapitres, Xénophon nous apprend que la fortune de Critobule s’élevait à 500 mines (= 8 talents + 2 000 drachmes = 50 000 drachmes, 1 drachme représentant le salaire quotidien moyen d’un ouvrier qualifié à Athènes au Ve et au IVe siècle). Cette information, jointe au catalogue des liturgies auxquelles il était ou pouvait être astreint (Économique II 5 sq.), implique comme une quasi-certitude que ce Critobule est le même que celui qui fut victorieux comme chorège pour la tribu Antiochide à un concours de dithyrambe pour les hommes organisé lors des Dionysies (J. Kirchner, PA I 8801) au début du IVe siècle (IG II2 1611)."""; 65;"Call[icratès] de Sparte";C18a;101;300;Autre;"Philosophe : Le « très philosophe » Calli[cratès ?]";"Grèce → Sparte";;"IG IV 59.";;"Sa fille est Aurelia Oppia Sa petite-fille est Aurelia Héracleia";;"Épigramme → Inscription en prose suivi d’un epigramme" 85;"Cornélianus (M. Sextius) de Mallos";C188;101;167;Platonicien;;"Grèce → Delphes";;"FD III 4, 94";"T. Dorandi, Philosophie et philosophes a Chypre, entre l'Hellénisme et l'époque romaine, 2010";"DPhA s.v. Cornélianos (M. Sextius) de Mallos : "" En compagnie de trois autres philosophes de la même école, Bacchios de Paphos (→B 2), Zosimos (→Z 41) et Nicostratos d’Athènes""";; 84;"Coriscos de Scepsis";C187;-367;-335;Platonicien;académicien;"Grèce → Athènes";;"W. Jaeger, Aristotle. Fundamentals of the history of his development. Translated with the author’s corrections and additions by R. Robinson, 2e ed., Oxford 1962, p. 111-123. Jaeger (p. 112) fait appel a une inscription éditée par A. Boeckh (« Hermias von Atarneus und Bündniss desselben mit den Erythräern », APAW 1853, p. 133-157, repris dans Gesammelte kleine Schriften, t. IV, Leipzig 1872, p. 185-210, notamment p. 189), où apparait plusieurs fois la formule Ἑρμίας καὶ οἱ ἑταῖροι pour designer les signataires d’une alliance avec la cite d’Erythree en Ionie Dittenberger, Sylloge inscriptionum Graecarum, Leipzig 19153, t. I, n° 229 , 8 IBM IV 2, 1916, n° 1017 M. N. Tod, A Selection of Greek Historical inscriptions, t. II : From 403 to 323 B. C., Oxford 1948, n° 165, p. 188-190 , 10 H. Bengtson, Die Verträge der griechisch-romischen Welt von 700 bis 338 v. Chr., München 1962, n° 322 (t. II, p. 299-301).";"G. Malavassi-Vargas,""Aristoteles."" Acta Académica, no. 26, 2000, p. 189 O. Battistini, « Autour de la philia d’Aristote et d’Alexandre », Commentaire, vol. numéro 169, no. 1, 2020, pp. 89-96. Brisson (édit.), Platon. Lettres. Traduction inédite, introduction, notices et notes par L. B., coll. GF, Paris 1987, p. 127-128 A. Wörle, Die politische Tätigkeit der Schüler Platons, Darmstadt 1981, p. 128-139  A. Brinckmann, « Ein Brief Platons », RhM 66, 1911, p. 227-230, notamment p. 226 sqq.) W. Jaeger (Die Entstehungsgeschichte der Metaphysik des Aristoteles, Berlin 1912, p. 34 sqq.)";"DPhA s.v. Coriscos de Scepsis: "" mentionné, avec son compatriote Érastos [→E 49] (RE 3), dans la liste des disciples de Platon (→P 195) transmise par Diogène Laërce (→D 150) III 46 : Ἔραστος καὶ Κορίσκος Σκήψιοι.""";; 83;"Cor[---] de Pergame";C185;101;200;Autre;;"Asie Mineure → Pergame";;"AvP VIII 2, 484; IGR IV, 469";;;;Dédicace 82;"Cléombrotos de Sparte";C160;35;100;Autre;"Philosophe ? Des choix philosophiques proches de ceux de Plutarque, qui aurait ainsi voulu marquer sa considération et sa sympathie pour le philosophe lacédémonien, Il est donc plus que douteux que Cléombrotos ait été, du moins aux yeux de ses contemporains les plus avertis, un vrai philosophe.";"Grèce → Sparte";;"ABSA 26, 1923/1925, p. 165, B1";"F. E. Brenk, in Mist apparelled, Leiden 1977, p. 91 H. Dörrie, « Der “Weise” vom Roten Meer », dans Festschrift für R. Muth, Innsbruck 1983, p. 97";;; 81;"Clémentianè (Flavia)";C155;150;230;Autre;;"Grèce → Eleusis";;"IG II2 4251/3 ; I. Eleusis 470.";;"DPhA, s.v. Clémentianè (Flavia) : "" Petite-fille d’Arrien de Nicomédie , fille et petite-fille de deux consuls du nom d’Arrien, qui ont ajouté à leur richesse et leur naissance l’éclat de leur sagesse ».";;"Dédicace → https://epigraphy.packhum.org/text/6538?&bookid=5&location=1365 → σωϕροσύνης καὶ σοϕίας ἕνεκα" 64;"Callias d’Aixôné";C15;-467;-435;Autre;"Homme politique";"Grèce → Athènes";;"IG II2 5430 ,IG I2 91 = Sylloge3 91";"D. Ackermann, Une microhistoire d’Athènes. Le dème d’Aixônè dans l’Antiquité, Athènes, 2019 (Bibliothèques des Ecoles Françaises d’Athènes et Rome, 379 J. Kirchner, PA I 7827 , J. Kirchner, art. « Kallias » 6 RE X 2, 1919, col. 1622-1623 ,H. Gärtner, art. « Kallias », KP III, 1969, p. 67 G. Vlastos, « Plato’s testimony concerning Zeno of Elea », JHS 95, 1975, Appendix : “Alcibiades I, 119 A 1-6”, p. 155-161 [Vlastos semble avoir confondu Callias d’Aixônè avec Callias d’Alopékè] M. Caveing, Zénon d’Élée, Prolégomènes aux doctrines du continu. Étude historique et critique des fragments et témoignages, coll. « Histoire des doctrines de l’Antiquité classique » 7, Paris 1982, p. 154-157. D. M. Lewis, « Double representation in strategia », JHS 81, 1961, p. 118-119";"Fils de Calliadès, du dème d’Aixônè.";; 80;Cléa;C134;50;130;Autre;;"Grèce → Delphes";;"IG IX 1, 61";"E. Kapetanopoulos, « Klea and Leontis : Two ladies from Delphi », BCH 90, 1966, p. 119-130.";"DPhA s.v. Cléa : "" Elle figurait parmi les esprits cultivés qui se groupaient autour de Plutarque (→P 210) à Chéronée ou à Delphes, sa fille Eurydice, qui elle-même se verra dédier, avec son mari Pollianos, fils d’un intime de l’écrivain, les Préceptes conjugaux ,Elle était apparemment une proche parente de Memmia Léontis, dont la mort avait été l’occasion d’un entretien philosophique avec l’écrivain. Comme elle avait épousé un Memmius, ainsi que le prouve le gentilice de sa fille Eurydice, j’avais supposé (5, p. 4857) qu’il s’agissait d’un fils de Léontis. Mais Delphes comptait plusieurs familles de Memmii, et Cléa pouvait également être issue de l’une d’elles et être la fille de Léontis. Dans ce cas, sa qualité de fille et petite-fille de prêtres d’Apollon l’aurait tout naturellement destinée à la fonction d’archèis, et tout aussi naturelle aurait été l’allusion de Plutarque au rôle joué par les parents de Cléa dans son initiation aux mystères d’Isis : il connaissait Léontis et avait dû connaître Memmius Critolaos, l’un de ses prédécesseurs au service d’Apollon"".";; 79;"Claudius Caecus (Appius)";C133;-400;-201;Pythagoricien;"Philosophe ? pythagoricien ? : « Fut-il également un philosophe ? La question est plus difficile à résoudre. », qualifié de pythagoricien par Cicéron : « Cicéron dans les Tusculanes (IV 2, 4) invite à le croire : « A mon avis, le poème d’Appius Claudius, dont Panétius (→P 26) fait un vif éloge dans une lettre adressée à Q. Tubéron (→T 181), est aussi pythagoricien » »";"Rome et Italie → Rome";;"CIL I, 2, p. 192";"M. Humm 2005, Appius Claudius Caecus: La République accomplie L. Ferrero, Storia del pitagorismo nel mondo romano, Torino 1955  C. Nicolet, « Appius Claudius et le double forum de Capoue », Latomus 20, 1961, p. 683-720 F. D’Ippolito, Giuristi e sapienti in Roma arcaica, Bari 1986, p. 50-61 H. Bardon, La littérature latine inconnue, Paris 1952, t. I, p. 23-25  G. Garbarino, Roma e la filosofia greca, Torino 1973, p. 224-226 P. Lejay, « Appius Claudius Caecus », RPh 44, 1920, p. 92-141";;; 63;"Callaischros (T. Flavius) d’Athènes";C13;-133;-68;Platonicien;"« Le maître illustre d’une sagesse qu’il avait cueillie chez Platon""";"Grèce → Athènes";;"IG II2 3709 Philostrate, V. Soph. II 11, qui le cite au nombre des philosophes réputés et indique qu’il avait été l’élève du sophiste Chrestos de Byzance";"J. H. Oliver, « Two Athenian poets », Hesperia Suppl. 8, 1949, p. 243-258. S. Follet, Athènes au IIe et au IIIe siècle, Paris 1976, p. 262.";"DPhA s.v. Callaischros (T. Flavius) d’Athènes : ""il était le frère de Glaucos de Marathon, hiérophante, à un âge avancé, entre 210 et 230 ,Sa famille, alliée à la descendance du sophiste Isée (→I 27) et à celle du philosophe stoïcien Sarapion (→S 13 = 15 ?), est connue par une série de dédicaces métriques d’Éleusis, composées par le neveu de Callaischros, T. Flavius Glaucos de Marathon, lui-même philosophe autant que poète et rhéteur (cf. J. H. Oliver, « Two Athenian poets », Hesperia Suppl. 8, 1949, p. 243-258).""";;"Poème → https://epigraphy.packhum.org/text/5945?&bookid=5&location=1365 https://epigraphy.packhum.org/text/5993?&bookid=5&location=1365" 344;"Chrysippe de Soles";C121;-285;-205;Stoïcien;;"Chypre → Salamine";;"Un hermès portant son nom a été retrouvé à Salamine de Chypre (époque impériale).";"J. Pouilloux, P. Roesch, J. Marcillet-Jaubert, XIII. Testimonia Salaminia 2. Corpus épigraphique. Paris : de Boccard, 1987.";"Disciple de Zénon.";"Nous avons indiqué l'identifiant DPhA mais cette inscription ne figure pas dans le DPhA."; 78;"Chrémonidès d’Athènes";C114;-251;-249;Stoïcien;"philosophe stoïcien, disciple de Zénon de Kition, puis homme politique.";"Grèce → Athènes";;"D. L. VII 17 (SVF I 286, p. 65, 30-33). Ajouter IG II2 687, daté par J. Kirchner de 266/5, mais par B. D. Meritt, « Athenian Archons 347/6-48/7 B. C. » Historia 26, 1977, p. 174, de 265/4 (archonte Peithidemos)";"J. Kirchner, art. « Chremonides », RE III 2, 1899, col. 2446-2447 W. S. Ferguson, Hellenistic Athens. An historical essay, London 1911 W. W. Tarn, Antigonos Gonatas, Oxford 1913, p. 275-310 T. C. Skeat, The reigns of the Ptolemies, München 1954 F. Sartori, « Cremonide : un dissidio fra politica e filosofia », dans Miscellanea di studi alessandrini in memoria di A. Rostagni, Torino 1963, p. 117-151 P. Jouguet, L’impérialisme macédonien et l’hellénisation de l’Orient, Paris 1972, p. 199 E. Will, Histoire politique du monde hellénistique (323-30 av. J.-C.), 2e éd., Nancy 1979, t. I, p. 219-233 (« La guerre chrémonidéenne »).";"DPhA s.v. Chrémonidès d’Athènes : ""Fils d’Étéoclès, du dème des Aithalides ,Chrémonidès fut le condisciple de Cléanthe (→C 138) et jouissait de la grande faveur de son maître Zénon de Kition (D. L. VII 17 = SVF 1 286).";;"Éloge → https://epigraphy.packhum.org/text/2906?&bookid=5&location=1365" 55;B[an]non;B9;-27;330;Stoïcien;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, fasc. 2, n° 1097";;;; 54;"Balbillus (Ti. Claudius)";B6;35;67;Stoïcien;"École philosophique incertaine";"Asie Mineure → Ephèse";;"Ephesos 3041 , Ephesos 3042 , ZPE 31, 1978, p. 186-187 , ID 1861 , OGIS 666 A. et E. Bernand, Inscriptions du Colosse de Memnon, Paris 1960, n° 29, p. 86-92 E. Bernand, Recueil des inscriptions grecques du Fayoum, t. I, Leiden 1975, n° 99, li. 8.";"F. Davide. “Carriere Parallele: Cn. Vergilius Capito e Ti. Claudius Balbillus.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 199, 2016, p. 213–217 C. Cichorius, « Der Astrologe Thrasyllos und sein Haus », dans Römische Studien, Berlin 1922, p. 390-398 A. Piganiol, « Balbillus », dans Mélanges G. Glotz, t. II, Paris 1932, p. 723-730 J. Schwartz, « Ti. Claudius Balbillus », BIAO 49, 1950, p. 45-55 F. H. Cramer, Astrology in Roman Law and Politics, Philadelphia 1954, p. 112-139 H. G. Pflaum, Les carrières procuratoriennes équestres, t. I, Paris 1960, n° 15, p. 34-42 J. Gagé, Basileia, Paris 1968, p. 75-124 et 158-163 P. Grimal, « Le De clementia et la royauté solaire de Néron », REL 49, 1971, p. 205-207 M. -F. Baslez, Saint Paul, Paris 1991, p. 216-217 et 292 S. Demougin, Prosopographie des chevaliers romains julio-claudiens, Rome 1992, n° 538, p. 447-449.";;; 61;"Bourikhios d’Ascalon";B57;301;400;Platonicien;"attaché à la philosophie platonicienne";"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, fasc. 2, nos 1266, 1279, 1405";;;;"Dialogue énigmatique" 348;Boïdion;B51;-330;-250;Épicurien;Hétaïre;"Grèce → Athènes";;"SEG XVI, 300, l. 12";"C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS 23, 1982, p. 51-57.";;Dédicace.; 60;"Bésas de Panopolis";B29;301;400;Platonicien;;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, fasc. 2, Le Caire 1923, n° 1266";"G. Seure, « Les impromptus touristiques aux tombeaux des rois », REA 29, 1927  E. Bernand, Inscriptions métriques de l’Égypte gréco-romaine, Paris 1969, n° 147, p. 434-545  M.N. Tod, « Notes on some Greek graffiti », JEA 11, 1925, p. 258";"Fils cadet de Kolanthos.";; 59;Bésas;B28;335;400;Cynique;cynique;"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, fasc. 2, Le Caire 1923, n° 1381 , n° 1380, republiée par E. Bernand, Inscriptions métriques de l’Egypte gréco-romaine, Paris 1969, n° 150, p. 547-548";"M.-O. Goulet-Cazé, « Le cynisme à l’époque impériale », ANRW II 36, 4, p. 2734-2735";;;Épigramme 58;Bésarion;B27;335;400;Cynique;"Philosophe ? Cynique ?";"Égypte → Thèbes, Vallée des rois";;"J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, fasc. 2, Le Caire 1923, n° 1519";;;; 53;"Bacchios de Paphos";B2;101;167;Platonicien;;"Grèce → Delphes";;"FD III 4, 94";;"DPhA s.v. Bacchios de Paphos : ""Bacchios, à la suite de son patronyme, fait préciser qu’il a été adopté par Gaius. Faut-il reconnaître en ce père adoptif le platonicien (→G 2), attesté par Galien et Proclus, qui devait enseigner au début du siècle (J. M. Dillon, The Middle Platonists, p. 266-267) ?""";;Décret 57;"Bassus Polyainos (T. Avianius) d’Hadrianoi";B17;135;200;Stoïcien;;"Asie Mineure → Hadrianoi";"Sous-région = Mysie.";"E. Schwertheim, Die Inschriften von Hadrianoi, coll. IK 33, Bonn 1987, n° 52, p. 43-44";"P.A. Harland, North Coast of the Black Sea, Asia Minor, 2014";;;Dédicace 56;"Basileidès du Pirée";B15;-167;-135;Autre;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 1938";"T. Dorandi, « Contributo epigrafico alla cronologia di Panezio », ZPE 79, 1989, p. 87-92";;;https://epigraphy.packhum.org/text/4172?&bookid=5&location=1365 6;"Alcman (M. Antonius) ?";A97;201;300;Autre;;"Rome et Italie → Rome";;"CIG 6698";"Marinus, Frat. Arv., p. 659 et 821 Frat. Arv = I. Paladino, Fratres Arvales. Storia di un collegio sacerdotale romano";"Inscription considérée comme un faux";; 5;"Albinus (Ceionius Rufius)";A79;335;357;Autre;"Qualifié de philosophe";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 1708 (ILS 1222)";"Mélanges de l'Ecole française de Rome, 2000, p. 860-861. F. Chausson 2007, Stemmata aurea, p. 130.";"Fils de Volusianus";;"Ceionius Rufius Albinus philosophus Ceionium Rufium Albinum v(irum) c(larissimum) cons(ulem) [ordinarium praefectum urbi] / philosophum Rufi Volusiani bis ordinarii cons(ulis) [bis praefecti urbi praef(ecti) praetorio] / filium senatus ex consulto suo quod eius liberis [quaesturam petentibus interventu eius] / post Caesariana tempora id est post annos CCCLXXX et I [primum sibi quaestorum omnium creandorum] / auctoritatem decreverit [statua honoravit] / Fl(avius) Magnus Inuarius v(ir) c(larissimus) curator statuarum [ponendam curavit et dedicavit]" 4;"Aisimos (Claudius) de Pergame";A75;201;300;Autre;"L’inscription ne précise pas à quelle tendance philosophique il se rattachait";"Asie Mineure → Pergame";;"Inscription de Pergame, Altertümer von Pergamon VIII 2, 605";"C.H. Beck 2009, Selbstdarstellung und Kommunikation, p. 372 Inscription de Pergame, Altertümer von Pergamon VIII 2, 605 Chr. Habicht, Alt. von Pergamon, VIII 3, p. 85-87";"son fils Silianos,famille pergamenienne bien connue : Claudii Silani";;"Dédicace → Autel" 2;"Ailianos (Aelius) de Milet";A61;201;300;Stoïcien;;"Asie Mineure → Didymes";;"Didyma II 310";;"Inscription de Didymes, APAW 1911, Anhang I, p. 70-71 son beau-père : Aelius Chairémon";; 3;"Agrippinus (Q. Paconius)";A52;0;100;Stoïcien;;"Rome et Italie → Rome";;"IGR I 980, I 1013 ; Tacite, Annales, XVI 28, 1.";"O. Devillers, Tacite et les sources des Annales : enquêtes sur la méthode historique, 2003, Louvain-Paris, p. 266. R. Hanslik, s.v. ??? (A???), RE XVIII 2, 1942, col. 2125-2126. E. Cizek, L’époque de Néron et ses controverses idéologiques, Leyde, 1972, p. ???.";"Fils de M. Paconius.";; 52;"Avienus (Rufus Festus)";A515;335;357;Stoïcien;;"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 537, traduite et commentée par 1 J. Soubiran, Avienus, Les Phénomènes d’Aratos, CUF, Paris 1981, 318 p., Appendice I. (double inscription métrique)";"L..J. Dorfbauer, “Der Dichter Und Zweimalige Proconsul Postumius Rufius Festus Signo Avienius.” Mnemosyne, vol. 65, no. 2, 2012, pp. 251–277. F. Marx, art. « Rufius Festus Avienus » 3, RE II 2, 1896, col. 2388).";;;"Dédicace → R(ufius) Festus v(ir) c(larissimus) de se ad deam Norti[am] / Festus Musoni suboles prolesque Avieni / unde tui latices traxerunt Caesia nomen / Nortia te veneror Lari cretus Vlsiniensi / Romam habitans gemino proconsulis auctus honor[e] / carmina multa serens vitam insons integer aev(u)m / coniugio laetus Placidae numeroq(ue) frequenti / natorum exsultans vivax sit spiritus ollis / cetera composita fatorum lege trahentur / sancto patri filius Placidus / ibis in optatas sedes nam Iuppiter aethram / pandit Feste tibi candidus ut venias / iamq(ue) venis tendit dextras chorus inde deorum / ex toto tibi iam plauditur ecce polo // R(ufi) Festi Avieni v(iri) c(larissimi) / bis proconsulis / et celebris poetae / insignis memoria → Dedicace de huit hexametres faite par le clarissime R. Festus a Nortia, deesse etrusque du destin, et de l’epitaphe versifiee (deux distiques) de Placidus a son pere" 51;"Autoboulos (Sex. Claudius) de Chéronée";A512;201;300;Platonicien;"certainement platonicien, comme son aïeul Plutarque (→P 210), dont il était le descendant à la sixième génération.";"Grèce → Chéronée";"Sous-région = Beotie.";"IG VII 3425 (Syll. 3 844 B)";"C. Bady, Plutarque et le symposion.Statuts et liens interpersonnels dans les espaces de banquet à la haute époque impériale, in Alain Duplouy éd Élites, cités et citoyens dans la Grèce archaïque.Apports récents et mise au point historiographique, p185-212";"DPhA, s.v. Autoboulos de Chéronée (Sextus Claudius) : ""son aïeul Plutarque, dont il était le descendant à la sixième génération.""";; 50;"Autoboulos (Mestrius) de Chéronée";A511;101;200;Platonicien;;"Grèce → Chéronée";"Sous-région = Beotie.";"IG VII 3425 (Syll. 3 844 B)";"A. Andurand, C. Bonnet. Le “ divin ” Platon à la table des Grecs et des Romains:Dynamiques et enjeux de la fabrique d’une mémoire savante dans l’Empire gréco-romain. Figures mythiques et discours religieux dans l’Empire gréco-romain, 2019";"DPhA, s.v. Autoboulos de Chéronée (Mestrius) : ""son petit-fils Flavius Autoboulos , Il était sans aucun doute le fils de Plutarque, mentionné à plusieurs reprises dans les Moralia, où il apparaît déjà comme un philosophe confirmé (voir Quaest. Conv. VIII 10)""";; 49;"Aurélianus (Sex. Claudius) de Smyrne";A510;-27;330;Pythagoricien;;"Grèce → Delphes";;"FD III 1, 203";"J. Barnes Method and Metaphysics: Essays in Ancient Philosophy I Beate Dignas, 2008 Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus Philosophy and Power in the Graeco-Roman World: Essays in Honour of Miriam GriffinMiriam Tamara Griffin, 2002";;; 48;"Atticus (Flavius)";A504;201;400;Autre;"Incertain, car la pierre est brisée";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI, 2153";;;;"http://www.edr-edr.it/edr_programmi/res_complex_comune.php?do=book&id_nr=EDR144284 → Rufius Volusianus, v(ir) c(larissimus), XV[vir s(acris) f(aciundis)] Rufius Festus, v(ir) c(larissimus), XV(vir) s(acris) f(aciundis) Sebasmius philos[ophus ---] 5 〚[Aelius Dionysius?, v(ir) c(larissimus),?]〛 pon[tifex dei Solis?] Brittius Praesens, v(ir) c(larissimus), p(ontifex) m(aior) Evagrius philosopus [---] Fl(avius) Atticus, v(ir) c(larissimus), [---]" 47;"Attia de Nicée";A503;301;400;Autre;"ϕιλοσόϕισσα : le mot a certainement ici le sens chrétien de « moniale ».";"Asie Mineure → Nicée";;"(MDAI(A) 36, 1911, n° 14, p. 103 [Nikaia I 550])";;;; 46;"Attalos de Gythion";A502;-100;-68;Autre;"Éphèbe de quinze ans dont une mort prématurée avait interrompu les études, l’inscription célèbre, à deux reprises, sa sagesse (σοϕία)";"Grèce → Gythion";"Sous-région = Laconie.";"M. N. Tod, JHS 77, 1957, p. 140.";;;;"Épigramme, Inscription funéraire" 45;"Athénion d’Athènes";A485;-33;0;Péripatéticien;;"Grèce → Athènes";;"D. J. Geagan, Hesperia 40, 1971, p. 101-108, témoigne d’une révision, sous le contrôle de l’Areopage, d’une constitution établie antérieurement par un collège de nomothetes";"E. Badian, « Rome, Athens and Mithridates », AJHA 1, 1976, p. 116-117 J. H. Oliver, « A Peripatetic Constitution », JHS 100, 1980, p. 199-201";"DPhA, s.v. Athénion d’Athènes : ""Sa mère était une esclave égyptienne au service d’Athénion (→A 484), qui fréquentait l’école du péripatéticien Érymneus , il épousa une jolie fille qui lui attira des élèves et lui permit de se faire sophiste. Il pratiqua à Messène et à Larisse, puis, fortune faite, revint à Athènes. Il fut envoyé comme ambassadeur chez Mithridate (VI), dont il devint l’intime.""";;Décret 44;"Ateinianus (M.), de Nicée";A468;;;Autre;;"Asie Mineure → Nicée";;"Inscription inédite de Nicée citée par Robert , L. Robert, BE 1958, p. 84.";;;; 43;"Asclépiodote de Nicée";A455;-133;-100;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 1938, l. 5 (catalogue des hiéropes).";;"Fils d’un certain Asclépiodote et disciple de Panétius de Rhodes.";;https://epigraphy.packhum.org/text/4172?&bookid=5&location=1365 37;"Asclépiadès de Phlionte";A449;-350;-250;Autre;;"Grèce → Erétrie";;"Epitaphe inédite mentionnée dans s.v. Ménédème, DPhA, IV, M116 (cf. BullEp 2019, 386 : Eubée, Eretrie, épitaphe inédite pour le philosophe Asclépiadès de Phlionte, DPhA I, A449)";"P. Briant, P. Lévêque, P. Brulé, R. Descat, Marie Madeleine Mactoux, Le monde grec aux temps classiques: Le IVe siècle, Paris, 2004. G. Giannantoni, Socraticorum Reliquiae, t. I, p. 179-180, sub n° III G.";"DPhA s.v. Asclépiadès de Phlionte : ""Ami de Ménédème d’Eretrie. Ménédème et Asclépiadès épousèrent la mère et la fille (D. L. II 137). Après la mort de sa femme, Asclépiadès prit celle de Ménédème, lequel, devenu un homme politique important, épousa une femme riche, originaire d’Oropos, dont il eut trois filles (II 138). Comme tous partageaient la même maison, Ménédème confia l’administration de cette maison à sa première femme (II 137). Asclépiadès, qui vécut avec Ménédème une vie simple, malgré les moyens dont ils disposaient (II 138), était l’amant de Ménédème, comme le montre une anecdote obscène mettant en scène Cratès de Thèbes que D. L. VI 91 emprunte à Dioclès de Magnésie (D 115). L’affection que Ménédème portait à Asclépiadès est comparée à celle de Pylades [pour Oreste] (II 137).""";;"Inscription funéraire" 41;"Asclépiadès d’Apamée en Syrie";A447;-167;-135;Platonicien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 1938, l. 64 = FGrHist 244 T 3";;"Mentionné parmi les disciples de Carnéade (C 42) dans l’Ind. Acad. Herc., col. XXIV, 4-5 (p. 86 Mekler = Carnéade, T 3b, 17 s. Mette).";;https://epigraphy.packhum.org/text/4172?&bookid=5&location=1365 39;Asclépiadès;A441;150;250;Platonicien;"Philosophe néoplatonicien";"Rome et Italie → Rome";;"IGUR 1163";"P. Boyancé, Le culte des Muses, Paris 1937, p. 284-289 H.-I. Marrou, ΜΟΥΣΙΚΟΣ ΑΝΗΡ, Étude sur les scènes de la vie intellectuelle figurant sur les monuments funéraires romains, Grenoble 1938, p. 241 M. Guarducci, RPAA 23-24, 36437-36439, p. 210.";;;"Épigramme, Inscription funéraire → Gravée sur son autel funéraire" 38;"Asclépiadès de Pruse";"A439 et A450";-101;0;Autre;;"Rome et Italie → Rome";;"IG XIV, 1142";"Richter, Portraits, t. III, p. 288-289. D. Gourevitch, « Asclépiade de Bithynie dans Pline. Problèmes de chronologie », Helmantica 37, 1986, p. 67-81 . G. Harig, « Die philosophischen Grundlagen des medizinischen Systems des Asklepiades von Bithynien », Philologus 127, 1983, p. 43-60.";;; 36;"Asclépiacos de Cyzique";"A437 (A. de Pruse)";50;200;Pythagoricien;;"Asie Mineure → Cyzique";;"I. Kyzikos (IK 18), 500 ; SEGO II, 08/01/35 ; Peek, GV, 1805. Hommage Vermaseren (1978), t. III, p. 998-1000 (cf. BE 1979, p. 368)";"J. Fabricius, Die hellenistischen Totenmahlreliefs..., 1999, p. 309.";"Fils de Télesphoros.";;Épigramme 35;"Artémidore d’Amblada";A428;-27;330;Autre;;"Asie Mineure → Amblada";;"AS 18, 1968, n° 22, p. 57-92";"AS 18, 1968, n° 22, p. 57-92";"Fils d’Agrippa.";; 34;"Arrien de Nicomédie";A425;1;200;Stoïcien;"philosophe stoïcien et historien";"Grèce → Athènes";;"inscription d’Athènes publiée par D. Peppa-Delmousou, AAA 3, 1970, p. 377-380";"M.D. Boeri et R. Salles, Los Filósofos Estoicos: Ontología, Lógica, Física y Ética.: Traducción, comentario filosófico y edición anotada de los principales textos griegos y latinos, 2014 E. Schwartz, art. « Arrianus » 9, RE II 1, 1895, col. 1230-1247, repris dans Griechische Geschichtschreiber, Leipzig 1957, p. 130-155, G. Wissowa, art. « Arrianus » 12, RE II 1, 1895, col. 1247 , W. Eck, art. « Flavius » 44, RESuppl. XIV, 1974, col. 120 , A. Stein, PIR2 III, 36433, F 219, p. 137-139. G. W. Bowersock, « A New Inscription of Arrian », GRBS 8, 1967, p. 279-280 , D. Peppa-Delmousou, AAA 3, 1970, p. 377-380  A. N. Oikonomides, « Flavius Arrianus and the Inscriptions », AncW 3, 1980, p. 94-96 , G. Wirth, « Ἀρριανὸς ὁ ϕιλόσοϕος », Klio 41, 1963, p. 220-233  S. Follet, Athènes au II ème et au III ème siècle. Études chronologiques et prosopographiques, « Collection d’études anciennes », Paris 1976, p. 209-212";"DPhA s.v. Arrien de Nicomédie : ""un L. Flavius Arrianus de Paiania, prytane en 166/7 et 169/70 (IG II2 1773, 10 , 1776, 10, repris dans B. D. Meritt et J. S. Traill, The Athenian Agora XV : Inscriptions. The Athenian Councillors, Princeton 1974, n° 369, p. 269 , n° 378, p. 275-276), doit être le fils de l’historien plutôt que l’historien lui-même, et une certaine Clémentianè (→C 155), « initiée à l’autel » à Éleusis au début du IIIe s., se dit « petite-fille et fille de consuls nommés Arrien, sages, riches et bien nés » (IG II2 4251/3).""";; 33;Arria;A423;168;200;Platonicien;"Selon Galien, ""elle pratiquait la philosophie avec rigueur et aimait surtout les doctrines de Platon""";"Rome et Italie → Brixia";;"CIL V 4864 = ILS 3986. Galien, Ad Pisonem de theriaca 2, t. XIV, p. 218-219 Kühn.";"G. W. Bowersock, Greek Sophists in the Roman Empire, Oxford, 1969, p. 84.";"Peut-être identique à l’épouse homonyme du consul de 154, M. Nonius Macrinius, amie de Galien.";;"Dis / Conservatorib(us) / pro salute / Arriae suae / M(arcus) Nonius / Macrin(us) consecr(avit)" 32;"Arria (maior)";A421;1;34;Stoïcien;;"Rome et Italie → Rome";;"CIL X, 5920 = ILS 6261.";"M. Cébeillac-Gervasoni, L. Lamoine, F. Trément, Autocélébration des élites locales dans le monde romain: contextes, images, textes, IIe s. av. J.-C.-IIIe s. ap. J.-C. : [actes du colloque qui s'est tenu à Clermont-Ferrand du 21 au 23 novembre 2003], Presses Univ Blaise Pascal, 2004, p. 177. P. von Rohden, art. « Arrius » 39, RE II 1, 1895, col. 1259, et stemma, col. 1259-1260. E. Groag, PIR 2 I, 1933, A 1113, p. 218 ,J. M. C. Toynbee, « Dictators and Philosophers in the First Century A. D. », G&R 13, 1944, p. 43-58. D. McAlindon, « Senatorial opposition to Claudius and Nero », AJPh 77, 1956, p. 113-132. R. MacMullen, Enemies of the Roman Order. Treason, Unrest, and Alienation in the Empire, Cambridge (Mass.) 1966, p. 38-45 (stemma, p. 43), 54-57, 79-80. A. N. Sherwin-White, The Letters of Pliny. A Historical and Social Commentary, 2e éd., Oxford 1985, p. 248-250.";"DPhA s.v. Arria (maior)""Epouse du stoïcien Aulus Caecina Paetus , mère d’Arria minor , belle-mère du stoïcien Thrasea Paetus , grand-mère de Fannia, stoïcienne, seconde épouse de Helvidius Priscus.""";;"Épigramme, Inscription funéraire" 295;"Aristote de Stagire";A414;-384;-322;Péripatéticien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 4261";"M. Piérart, Aristote et Athènes =: Aristotles and Athens: Fribourg (Suisse) 23-25 mai 1991 1993 Shields 2012 Anagnostopoulos, Aristotle’s Parmenidean Dilemma, Archiv für Geschichte der Philosophie, 95, 2013(3) W. K. C. Guthrie, A History of Greek Philosophy, t. VI, p. 18-45 (« Aristotle’s life and philosophical pilgrimage ») E. Voutyras [ΒΟΥΤΥΡΑΣ], « Ἀριστοτέλης καὶ Ἀλέξανδρος », dans ΑΜΗΤΟΣ. ΤΙΜΗΤΙΚΟΣ ΤΟΜΟΣ ΓΙΑ ΤΟΝ ΚΑΘΗΓΗΤΗ ΜΑΝΟΛΗ ΑΝΔΡΟΝΙΚΟ [Mélanges M. Andronikos], t. I, Thessalonique 1987, p. 179-185 et pl. 28 A. Wartelle, Inventaire des manuscrits grecs d’Aristote et de ses commentateurs. Contribution à l’histoire du texte d’Aristote, 1963";;;"Hermes iconique d’Aristote, dont le fût inscrit et acéphale a été retrouvé dans la stoa d’Attale sur l’Agora d’Athènes" 296;"Aristote le Jeune (Aristotélès)";A407;-467;-400;Autre;Philosophe;"Grèce → Athènes";"Sous-région = Attique.";"IG I2 220 = IG I3 1, 285";;"L’interlocuteur de Parménide (→P 40) dans la seconde partie du Parménide";"DPhA, s.v. Aristote le Jeune (Aristotélès) : ""L’interlocuteur de Parménide dans la seconde partie du Parménide est un certain Aristote, qui, écrit Platon, deviendra l’un des Trente (Parm. 127 d) en 404a. Ce nom figure effectivement dans la liste des tyrans transmise par Xénophon (→X 19), Helléniques II 3, 2 (voir aussi II 2, 18, II 3, 13 et 46) Parménide lui-même présente Aristote comme le plus jeune de ceux qui l’entourent (Parm. 137 b, cf. 137 c). Aristote se trouve donc être le cadet de Socrate (→S 98), lequel devait avoir, à l’époque, entre 16 et 20 ans (Parm. 127 c). Dans cette hypothèse, la scène se situe entre 450 et 445 av. J.-C.""";"(…Ἀριστοτέλες | [Θοραιεύς…])" 31;"Aristocréon de Soles ou de Séleucie de Calycandos";A374;-234;-168;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 785 et 786 = Sylloge3 474 et 475";"Boeri et Salles 2014 Ch. Marek, Die Proxenie, coll. « Europäische Hochschulschriften » Reihe, 213, Frankfurt 1984 ,Ph. Gauthier, Les cités grecques et leurs bienfaiteurs (IVe-Ier s. avant J.-C). Contribution à l’histoire des institutions, BCH Suppl. XII, 1985.";"Neveu et disciple de Chrysippe";;"Décret → https://epigraphy.packhum.org/text/3003?&bookid=5&location=1365a → Décrets honorifiques" 30;"Aristoclès (Ti. Claudius) de Pergame";A370;135;167;Péripatéticien;"Philosophe péripatéticien, puis sophiste";"Asie Mineure → Pergame";;"W. Dittenberger et K. Purgold, Inschriften von Olympia, Berlin 1896, n° 462, col. 553-554 Inscription de Pergame, MDAI(A) 32, 1907, n° 52, p. 324-325 , cf. MDAI(I) 9-10, 1959-1960, n° 36, p. 121 (Ch. Habicht)";"L. Pernot, La rhétorique de l'éloge dans le monde gréco-romain: Les valeurs, 1993 B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d'époque impériale, 2002, p. 145 W. Schmid, art. « Aristokles » 19, RE II 1, 1895, col. 937 , A. Stein, PIR2 II, 1936, C 789 (avec une confusion) K. Treu, Synesios von Kyrene. Ein Kommentar zu seinem Dion, coll. « Texte und Untersuchungen » 71, V. Reihe, Bd. 16, Berlin 1958, p. 31-32 G. W. Bowersock, Greek Sophists in the Roman Empire, Oxford 1969, p. 19 et 22, avec le c.r. de T. R. S. Broughton, Phoenix 24, 1970, p. 361 G. Alföldy, Konsulat und Senatorenstand unter den Antoninen. Prosopographische Untersuchungen zur senatorischen Führungsschicht, coll. « Antiquitas » I, 27, Bonn 1977, p. 202 et 322 I. Avotins, « The Sophist Aristocles and the Grammarian Phrynichos », PP 33, 1978, p. 181-191 H. Halfmann, Die Senatoren aus dem östlichen Teil des Imperium Romanum bis zum Ende des 2. Jh. n. Chr., coll. « Hypomnemata » 58, Göttingen 1979, n° 121, p. 193 P. Moraux, Aristotelismus, t. II, p. 84-85 et 90-91 H. Halfmann, Epigrafia e ordine senatorio. Atti del Colloquio internazionale A.I.E.G.L. (Roma 1981), coll. « Tituli » 5, Roma 1982, t. II, p. 626 : « cos. suff. um 170-190 »";"Disciples connus : Aelius Aristide, Athénodore d’Ainos, Évodien de Smyrne, Rufus de Périnthe, Héraclide de Lycie (1 , 4).";; 294;"Aristoclès de Messène";A369;-33;34;Péripatéticien;;"Grèce → Messène";;"IG V 1, 1432";"A.J. Festugière et L. Concetta, La révélation d'Hermès Trismégiste, 2014 A. Busine 2002, ""Des logia pour philosophie. À propos du titre de la Philosophie tirée des oracles de Porphyre"", Philosophie antique 4, p.151-168 A. Giovannini, Rome et la circulation monétaire en Grèce propre au IIème siècle avant Jésus-Christ, coll. « Schweizerische Beiträge zur Altertumswissenschaft » 15, 1978, p. 115-122";;; 29;"Aristocléidès de Nicopolis";A365a;1;34;Autre;"? conférencier spécialisé dans les sciences naturelles ?";"Grèce → Delphes";;"FD III 1, 83";"H. Bouvier, « Hommes de lettres dans les inscriptions delphiques », ZPE 58, 1985";"Fils de Diogène";;"ϕυσικὸν ἐ[πι]στήμην, expression un peu obscure" 28;"Arideikès (Aridicas) de Rhodes";A330;-267;-235;Platonicien;Académicien;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes";;"BCH 36, 1912, p. 230-7434 (cf. Peek, GVI 1451) , mentionné dans l’Ind. Acad. Herc., col. XX, 7-8 (p. 73 Mekler = Arcesilas, T 16, 65 Mette) et par Athénée X, 420 d (= Arcesilas, T 23 a Mette)";;"Arideikès, fils d’Eumoireus, enterré à Rhodes.";;"Épigramme, Inscription funéraire" 293;"Archestratos (Avidius) de Thespies";A312;101;200;Autre;Philosohe;"Grèce → Thespies";;"IG VII, 2519";"A. Plassart, BCH 50, 1926, p. 433 , AE 1934-1935, χρον. 15, n° 184";"sa fille Avidia Iulia, fils du philosophe Avidius Parméneidès";"DPhA, s.v. Archestratos de Thespies (Avidius) : ""il s’était acquitté de ses devoirs d’évergète local en assumant à Thespies plusieurs liturgies, dont la plus célèbre et la plus coûteuse, l’agonothésie des Mouseia."""; 27;"Aquilinus (Iulius)";A296;101;200;Platonicien;"? platonicien : bon connaisseur de la philosophie platonicienne";"Afrique proconsulaire → Sicca Veneria (El Kef)";;"CIL VIII 27572";"S. Demougem, Épigraphie romaine et histoire sociale du monde romain. In: École pratique des hautes études. Section des sciences historiques et philologiques. Livret-Annuaire 14. 1998-1999. 2000. pp. 97-99 M.-L.,Lakmann, Platonici minores: 1. Jh.v.Chr. – 2. Jh.n.Chr. Prosopographie. Fragmente und Testimonien mit deutscher Übersetzung, 2016";;;"Lettre → Dans une lettre : « doctissimus vir… philosophiae disciplinis… eruditus » Iu]lio C(ai) [f(ilio) Quir(ina)] / [A]quilino / [e]quo publico ad/lecto in V decurias / praef(ecto) [" 26;"Apulée de Madaure";A294;101;200;Platonicien;"Représentant typique du moyen-platonisme, Il se plaît à revendiquer la qualité de « philosophus Platonicus »";"Afrique proconsulaire → Madaure";;"Inscription ILA I, 215";"M Lakhlif , La richesse et les stratégies matrimoniales en Afrique au haut-empire: Aemilia Pudentilla, épouse d'Apulée de Madaure, in J. González et al. (éd.), L'Afrique romana, 2008 M. Olsen, L’étude des auteurs classiques latins aux XIe et XIIe siècles, t. I : Catalogue des manuscrits latins copiés du IXe et XIIe siècle (Apicius-Juvénal), coll. « Documents, études et répertoires publiés par l’IRHT », Paris 1982.  W. A. Oldfather, H. V. Canter, B. E. Perry, ’Index Apuleianus, La chronologie de la vie et des œuvres d’Apulée : essai de synthèse et nouvelles hypothèses, 2014 B. Pottier Les bandits d’Apulée : une réflexion sur les rapports entre plèbe et notables dans les cités de l’Empire romain, dans H. Ménard, C. Courrier (dir)., Miroir des autres, reflet de soi : stéréotypes, politique et société dans le monde romain";"On sait que son père accéda à la plus haute charge municipale, celle de « duumvir », et qu’il légua à Apulée et à son frère un héritage de deux millions de sesterces (Apol. XXIII-XXIV)";;"Dédicace → […ph]ilosopho| [pl]atonico,| [Ma]daurenses | cives | ornament[o] suo. D(ecreto) d(ecurionum), p(ecunia) p(ublica). B. PUECH." 25;"Apollophanès de Pergame";A292;-100;0;Épicurien;;"Asie Mineure → Pergame";;"MDAI(A) 33, 1908, p. 408, n° 38";"Y. Benferhat, Épicurisme et monarchie à Rome de Sylla à Auguste, Vita Latina, n° 158, 2000. p. 59-63 A. Baudart, « Individualisme et cosmopolitisme », Revue de métaphysique et de morale, vol. 61, n°. 1, 2009, p. 5-18";"Fils d’un certain Démétrios";;Dédicace 343;Agamestor;"A29 (sans mention de l'inscription)";-241;-167;Platonicien;;"Grèce → Athènes";;"SEG XXV, 237.";"K. Fleischer, « Der Akademiker Agamestor in einem herkulanischen Papyrus und einer attischen Inschrift (PHerc. 1021 und SEG 25, 237 », ZPE, 213, 2000, p. 62-65.";"Fils de Polyxène.";; 24;"Apollonios (Cn. Artorius) de Pergé";A281;1;200;Stoïcien;;"Rome et Italie → Rome";;"L. Moretti, RFIC 86, 1958, p. 177 , SEG XVII 467 , IGUR 371 , cf. J. et L. Robert, BE 1959, p. 524";"Catherine Wolff, « Les Orientaux à Rome », in Y. Le Bohec éd., Rome, ville et capitale de César à la fin des Antonins, Paris, éditions du Temps, 2001.";;;Dédicace 23;"Apollonios (Avianius) d’Hadrianoi";A273;101;300;Stoïcien;"Philosophe ? Stoïcien comme son ami ?";"Asie Mineure → Pruse";;"BCH 33, 1909, p. 409";;;;"Inscription de statue → Statue" 22;"Apollonios, fils de Protarchos";A262;-27;330;Péripatéticien;;"Rome et Italie → Rome";;"Inscription de Rome : IG XIV 1088 (IGUR 361)";;"fils de Protarchos";;"Inscription funéraire" 21;"Apollodore de Séleucie, dit Éphillos/Apollodore du Pirée";A250/A252;-167;-135;Stoïcien;;"Grèce → Athènes";;"Apollodore du Pirée : IG II2 1938 (li. 63)";"M. Pohlenz, Die Stoa, t. I, p. 180-181. M. D. Boeri et S. Ricardo, Los Filósofos Estoicos: Ontología, Lógica, Física y Ética: Traducción, comentario filosófico y edición anotada de los principales textos griegos y latinos, 2014";"Apollodore de Séleucie sur le Tigre, condisciple chez Diogène de Babylone de Panétius de Rhodes, de Mnésarque, de Dardanos d'Athènes et de Boèce de Sidon."" (DPhA, s.v. Apollodore de Séleucie, dit Éphillos) Il doit être identifié à Apollodore du Pirée, hiérope des Ptolémaia vers 152-148, mentionné dans une inscription retrouvée en Attique.";;https://epigraphy.packhum.org/text/4172?&bookid=5&location=1365 20;"Apellicon de Téos";A235;-150;-84;Platonicien;"Il fut davantage admirateur des livres d'Aristote (philobyblos) que philosophe à proprement parler.";"Grèce → Athènes";;"IG II2 2461, col. A, l. 4 (mentionnant son fils, Apolèxis, sans indiquer la qualité de son père) Principalement connu grâce a un fragment de Posidonius (fr. 253 Edelstein-Kidd , fr. 247 Theiler), conservé chez Athénée (V, 211 e-215 b); Strabon, XIII 1, 54, 609 C.";"H. Lindsay, “Strabo on Apellicon’s library”, RhM, 140, 1997, p. 290-298 ; .P. Schubert, ""Strabon et le sort de la bibliothèque d’Aristote"", Les études classiques, 2002, 70, p. 225-237. J. Kirchner, Prosopographia Attica, t. I, Berlin 1901, p. 94 (stemma).";"Connu pour avoir acheté la fameuse bibliothèque d'Aristote que Nélée de Scepsis avait emportée avec lui en Troade après la mort de Théophraste et que Sulla avait à son tour emportée à Rome après sa prise d'Athènes en 86 av. J.-C.";; 19;"Apatourios de Chalcis en Eubée";A228;-200;-101;Platonicien;"Jeune étudiant en philosophie, élève de l’Académie";"Grèce → Chalcis";"Sous-région = Eubee.";"IG XII 9, 954  W. Peek, Griechische Versinschriften, I 755";;;;"Épigramme, Inscription funéraire" 339;"Antisthène d'Athènes";A211;-445;-366;Cynique;"Ἀντισθένης φιλόσοφος";"Rome et Italie → Ostie";;"F. Zevi, RPAA, 42, 1970, p. 110, fig. 20.";"M.L. Lazzarini, dans A.Gallina-Zevi, A.Claridge (éds.), Roman Ostia’ Revisited. Archaeological and Historical Papers in Memory of Russell Meiggs, Londres, 1996, p. 243-247 (SEG XLVI, 1325)";;"Statue exécutée par le sculpteur Phyromachos d'Athènes (IIIe ou IIe s. av. J.-C.), avec signature."; 18;Antipatros;A202a;101;134;Épicurien;;"Grèce → Athènes";;"Dédicataire d’une lettre de Diogene d’Oinoanda (D441) : la lettre est reproduite dans l’inscription que ce dernier fit graver sur la place du marche de sa ville natale. Dans son édition des fragments, M. F. Smith, Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Napoli 1993, 660 p., date l’inscription vers l’an 120 de notre ère (p. 35-48). La lettre (fr. 62-67 Smith) est éditée p. 251-260, traduite p. 397-399, commentée p. 507-512.";"C. W. Chilton (édit.), Diogenes of Oenoanda, The fragments, London 1971, p. 8-10, 59-63. R. Philippson, art. « Diogenes von Oinoanda » 47a, RESuppl. V, 1931, col. 160-161. D. Clay, « The philosophical Inscription of Diogenes of Œnoanda : New Discoveries 1969-1983 », ANRW II 36, 4, p. 2509-2514, principalement p. 2512-2513, et l’Épilogue écrit par Clay en 1980, p. 2550-2551.";;; 17;"Antiochos (P. Anteius) d’Aigéai";A199;101;300;Autre;"Élève de Dardanos d’Assyrie, inconnu par ailleurs, puis à Éphèse, de Denys de Milet. Il railla, à Antioche, l’amour excessif d’Alexandre Pèloplaton (A 121) pour la beauté du vocabulaire, et se moqua aussi d’Hermogène de Tarse.";"Grèce → Argos";;"L. Robert, BCH 101, 1977, p. 88-132";"W. Schmid, art. « Antiochos » 65, RE I 2, 1894, col. 2494 C. Hosius, RESuppl. V, 1931, col. 3 H. Dumrese, RESuppl VII, 1940, col. 39 K. Gerth, RESuppl. VIII, 1956, n° 19, col. 737 , 10 A. Stein, PIR 2 I, 1933, A 730, p. 135 G. W. Bowersock, Greek Sophists in the Roman Empire, Oxford 1969, p. 19, 27, 31, 89 et 113  I. Avotins, « Prosopographical and chronological notes ont some Greek sophists of the Empire, 1. The dates of the Cilician sophist Antiochus », CSCA 4, 1971, p. 67-71";"DPhA, s.v. Antiochos d’Aigéai : ""Antiochos appartenait à une famille noble d’Aigéai de Cilicie : ses descendants devinrent consuls. Il fut le bienfaiteur de sa patrie, bien que peu apte à la vie publique""";; 16;Anaxippos;A169;-300;-201;Autre;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Délos";;"IG XI 4, 624";"M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 253.";;;Décret 15;"Anaxagore de Clazomènes";A158;-500;-401;Socratique;"« Physicien » présocratique";"Asie Mineure → Lampsaque";"Sous-région = Ionie.";"Une épigramme érigée à Lampsaque, ville où il aurait trouvé la mort, citée par les sources littéraires : Diogène Laërce II, 15 ; Elien, V. H., VIII, 19 ; AP, VII, 94";"J. Brun 2019, Les présocratiques, PUF. A.-L. Therme & A. Macé, « Anaxagore et Homère? trier les moutons, trier les hommes, trier l’univers », in Desclos M.-L. et Fronterotta F. (éds.), La sagesse présocratique. Communication des savoirs en Grèce archaïque : des lieux et des hommes, Armand Colin, 2013, p. 235-261. G. Minois, Dictionnaire des athées agnostiques sceptiques et autres mécréants , 2012. E. Golfin, « Thucydide et Anaxagore ou une origine philosophique à la pensée de l'historien ? », Dialogues d'histoire ancienne, vol. 33/2, no. 2, 2007, p. 35-56. M. V. Garcia Quintela 2001, ""Anthropologie et colonisation chez Anaxagore"", Ancient Society 31, p. 329-341. A.-L. Therme, Les principes du devenir cosmique chez Empédocle d'Agrigente et Anaxagore de Clazomène à partir de leur critique aristotélicienne, ( thèse non publiée) C. J. Classen, art. « Anaxagoras », RESuppl. XII, 1970, col. 28-30 (jusqu’en 1968) L. Paquet, M. Roussel et Y. Lafrance, Les Présocratiques. Bibliographie analytique (1879-1980), coll. « Noêsis », Montréal/Paris, t. II (à paraître)";"Fils d’Hégésibule ou Eubule";"Une fête annuelle en son honneur aurait été instituée à sa demande et célébrée jusqu'au temps de Diogène Laërce ou de sa source."; 14;"Amynias (C. Iulius) de Samos";A150;-100;0;Épicurien;;"Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Samos";;"BCH 5, 1881, p. 496, n° 9 (IGR IV 997) MDAI(A) 75, 1960, p. 70-83";"A. Baudart, « Individualisme et cosmopolitisme », Revue de métaphysique et de morale, vol. 61, no. 1, 2009, p. 5-18. Y. Benferhat 2005, Ciues epicurei, p. 55. T. Curnow , 2006, The Philosophers of the Ancient World: An A-Z Guide, p. 21. P. Hadot , What is Ancient Philosophy, p. 337.";;;"C. Iulius Amynias de Samos" 1;Acrisios;A13;1;200;Stoïcien;"Consacra le buste de Chrysippe";"Grèce → Athènes";;"IG II², 3794.";"H. von Prott, « Zur griechischen Ikonographie, 2. Chrysippos », MDAI(A) 27, 1902, p. 297-300, avec photographie. W. Crönert, « Eine attische Stoikerinschrift », SPAW 1904, I, p. 471-483, en particulier n. 1, p. 471 (remarques onomastiques donnant à conclure qu’Acrisios n’était vraisemblablement pas Athénien). H. Ingholt, « Aratos and Chrysippos on a Lead Medallion from a Beirut Collection », Berytus 17, 1967-68, p. 143-177, en particulier p. 148, et pl. XL, 1 [référence due à B. Puech]. H. R. Goette, « Zum Bildnis des “Cicero”, Anhang : Porträtbüsten mit Inschriften », MDAI(R) 92, 1985, n° 40, p. 315.";;;"Dédicace → https://epigraphy.packhum.org/text/6078?bookid=5&location=1365 → τὸν Χρ[ύ]σιππον | Ἀκρίσιος | Μιθρῆ (ou Μίθρῃ) → Base de statue" 12;"Alexandros de Phalère";A123;1;100;Autre;"Attribution douteuse à l’école épicurienne.";"Grèce → Athènes";;"IG II2 3793";"A. E. Raubitschek, Hesperia 18, 1949, p. 99-100.";"Fils de Maron";;https://epigraphy.packhum.org/text/6077?&bookid=5&location=1365 11;"Alexandros de Tarse";A122;1;200;Autre;;"Rome et Italie → Rome";;"IGUR 320";;"Fils d’Athénodoros";; 9;"Alexandros d’Athènes";A112a;-200;-101;Autre;"École philosophique inconnue";"Grèce → Larissa";"Sous-région = Thessalie.";"A. Tziafalias et B. Helly, « Décrets inédits de Larissa [3] » BCH 131, 2007 (2009), p. 423-424, 428-450 = SEG LVII 510 II";"M. Haake, « Der Philosoph Alexander, Sohn des Alexander, aus Athen. Zu einem neuen hellenistischen Ehrendekret aus Larisa für einen bislang unbekannten Philosophen », Tyche 25, 2010, p. 39-47.";"fils d’Alexandros";; 13;"Alexandros (T. Aurelius), d’Aphrodisias";"A112 et 112 comp.";100;200;Péripatéticien;"Diadoque à Athènes, commentateur d'Aristote";"Asie Mineure → Aphrodisias";;"A. Chaniotis, ""New Inscriptions from Aphrodisias (1995-2001), AJA, 108, 2004, p. 377-415, n° 4 (p. 386-389) (SEG LIV, 1031).";"P.Thillet, Matérialisme et théorie de l'âme chez Alexandre d'Aphrodise, Revue de philosophie, t. CLXXI (1981), p. 5-24. R. B. Todd (édit.), Alexander of Aphrodisias on Stoic physics. A Study of the De mixtione with preliminary essays, text, translation and commentary, coll. « Philosophia Antiqua » 28, Leiden 1976, p. 254-263. G. Movia, Alessandro di Afrodisia tra naturalismo e misticismo, Padova 1970, p. 9-20. R. W. Sharples, « Alexander of Aphrodisias : Scholasticism and Innovation », ANRW II 36, 2, Berlin 1987, p. 1176-1243 (bibliographie : p. 1226-1243).";;; 340;"Alexandros (T. Aurelius), d'Aphrodisias, père de T. Aurelius Alexandros";A111a;100;200;Autre;"Peut-être péripatéticien, comme son célèbre fils.";"Asie Mineure → Aphrodisias";"Sous-région = Carie.";"A. Chaniotis, ""New Inscriptions from Aphrodisias (1995-2001), AJA, 108, 2004, p. 377-415, n° 4 (p. 386-389) (SEG LIV, 1031).";"Cf. DPhA Suppl. p. 61.";;; 326;Alexandros;A104;-27;330;Autre;"Très incertain";"Grèce → Athènes";;"IG II2 3819";;;"Il est difficile de préciser l’époque de ce philosophe. Parfois identifié au kathègètès Alexandros du Phalère ( Ier s)";https://epigraphy.packhum.org/text/6103?&bookid=5&location=1365 10;Alexandros;A103;-27;330;Autre;;"Grèce → Athènes";;"IG II2 4262";"E. Bodnar, Cyriacus of Ancona, Bruxelles 1960, p. 174.";;;"Épigramme → https://epigraphy.packhum.org/text/6546?bookid=5&location=1365 → σοϕίης ἡγήτωρ" 8;"Alexander (Ti. Claudius)";A101;1;100;Stoïcien;;"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI 9784";;"Sans indication de sa filiation ni aucune référence à sa famille";;"Dédicace → Ti. Claudius Alexander philosophus stoicus Di{i}s Manibus / Ti(beri) Claudii Quir(ina) / Alexandri / philosophi stoici / Bacchylus et / Ambrotus lib(erti) / patrono / bene merenti" 7;"Alexandros (Appius)";A100;101;300;Autre;"Porte le titre de « philosophe »";"Asie Mineure → Ephèse";;"Deux inscriptions d’Ephèse : (1) H. Engelmann – D. Knibbe, JŒAI 52, 1978-1980, p. 26, n° 16 (Ephesos Rep. III 616 , AnnEpigr 1982, n° 869) (2) JŒAI 52, 1978-1980, p. 26-28, n° 17 (Ephesos Rep. III 617)";"Christol Michel, Drew-Bear Thomas, Taşlıalan Mehmet. Appius Alexander, serviteur de l'État romain et philosophe. In: Anatolia Antiqua, Tome 13, 2005. p. 271-284 Julien Aliquot. Le gouverneur et le juriste : l’inscription de Béryte en l’honneur du consulaire Appius Alexander. Cahiers du Centre Gustave Glotz, De Boccard, 2015, 26, p.191-198 M. Christol, Th. Drew-Bear, M. Taslialan, ""Lucius Egnatius Victor Lollianus, pro- consul d'Asie"", Anatolia Antiqua 11 (2003), p. 343-359,Stein, Der römische Ritterstand, München 1927, p. 348-349 H. G. Pflaum, Les carrières procuratoriennes équestres, Paris 1961, t. III, p. 1101 T. Curnow 2006, The Philosophers of the Ancient World: An A-Z Guide,Michel Christol A.-V. Pont « Autour des Appii d’Asie : réseaux familiaux ascension sociale, carrières et cités au cours du IIIe siècle », Journal des Savants, p. 51-92,";;;"Dédicace → Statue" 345;"Apollonios de Gérasa";"A 287 (sans mention de l'inscription)";70;150;Platonicien;;"Proche Orient Ancien → Gérasa";;"Inscription inédite (publication par P.-L. Gatier)";;;;"Dédicace → Θεᾶι παρθένωι / Ἀληθείαι,/Ἀπολλώνιος / Πλατωνικὸς φιλόσοφος." 349;"Anonyme, philosophe ""du Musée""";;260;340;Autre;;"Asie Mineure → Panamara";;"I. Stratonicée 310 + II 2, p. 35 ; Syll. 3, 900.";;;;"[—]ί̣ου τοῦ ἀπὸ Μουσείου [φιλοσόφο]υ, ἱερέως τῶν θεῶν." 350;"Anonyme, philosophe de Mysie";;100;198;Autre;;"Asie Mineure → Poimanenon";"Sous-région = Mysie.";"I.Kyzikos 2076.";;;;"[---]ος φιλοσό[φου] [---] θυγατέρα [διὰ τὴν] [εἰς τὴ]ν πατρίδα εὔ[νοιαν] 5 [καὶ φιλ]οτειμίαν, ἐπ̣[ιδούσης] [εἰς τὴ]ν τοῦ ἀνδριά[ντος ἀνάσ]- [τασιν τ]ῆς μητρὸς αὐ[τῆς δηνάρι]- [α διακ]όσια, ἐπιμεληθ[έντος δὲ] [τῆς ἀν]αστάσεως το[ῦ ἀνδριάν]- 10 [τος]." 330;"Demetrius philosop(h)us";;201;300;Autre;;"Germanie Supérieure (France) → Argentorate (Strasbourg)";"Sous-région = Germania superior. Strasbourg / Strassburg / Argentorate";"AE 2016, 01160b";;;"matériau: tectorium";"Demetrius ilosop(h)us / et caldas ol(l)a bibet" 328;"Priscil(l)ianus (A. Egnatius)";;101;200;Autre;"Maître de philosophie";"Rome et Italie → Rome";;"CIL VI, 17106.";"Chr. Badel, ""Le thème de la nobilitas dans l’épigraphie latine impériale (Ier-Ve siècle)"", MEFRA, Antiquité, tome 114, n°2. 2002, p. 969-1009 (Cugusi 1985)";;;"Inscription funéraire → Aulus Palateina Egnatius Priscil(l)ianus, / arte su-per gemina nobilis e[x] sophia, / dum uixi, didici, quae mors, quae uita homini esset, /aeterna unde animae gaudia percipio" 338;Timotheos;;;;Autre;;"Rome et Italie";"Sous-région = Sicile.";"SEG XLIII, 1993, 616 (G. Manganaro, « Greco nel pagi et latino nelle città della Sicilia romana tra I et VI sec. d. C. »,, dans A. Calbi, A. Donati and G. Poma (éds), L’epigrafia del villaggio, Faenza, 1993, p. 568, fig. 29).";"G. Manganaro, « Greco nel pagi et latino nelle città della Sicilia romana tra I et VI sec. d. C. »,, dans A. Calbi, A. Donati and G. Poma (éds), L’epigrafia del villaggio, Faenza, 1993, p. 543-594, ici p. 568, fig. 29 : épigramme funéraire pour le φιλόσοφος Τιμόθεος. C. Wessel, Inscriptiones graecae christianae veteres Occidentis (Inscriptiones Christianae Italiae, Subsidia 1) Bari, 1989 , n° 162.";;;"Épigramme, Inscription funéraire"