Les philosophes antiques

ID Nom du philosophe DPhA Époque École φ Région(s) → Cité(s) Inscriptions φ Actions
221 Philératidas (Iulius) de Sparte P115 135 → 200 Autre Grèce → Sparte 1 IG V 1, 116, l. 14 fils d’Hippodamos,Parmi les gérontes lacédémoniens de la liste
220 Philagrios d’Athènes P111 301 → 400 Autre Égypte → Thèbes, Vallée des rois 1 J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, fasc. 2, n° 1298. E. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 494, n° 433. J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, fasc. 2, n° 1298 (É. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 494, n° 433 Les médecins de la même époque connus sous ce nom, comme le commentateur d’Hippocrate abondamment cité dans la littérature médicale qui, d’après la Souda (Φ 295 Adler), était établi à Thessalonique, ou comme l’ami de Grégoire de Nazianze (Anth. Pal. VIII 100), ne semblent pas s’être jamais installés à Athènes.
218 Phaidros d’Athènes P107 -138 → 0 Épicurien Grèce → Athènes 0 Les inscriptions relatives a Phedre sont repertoriées dans J.S. Trail, Persons of Ancient Athens, t. XVII, Toronto 2008, p. 50-51 (n° 912450) , elles sont présentées et commentées par 5 A. E. Raubitschek, « Phaidros and his Roman pupils », Hesperia 18, 1949, p. 96-103. R. Koch, Comment peut-on être dieu ? La secte d’epicure, coll. « L’Antiquité au présent », Paris 2005, dans son dossier épigraphique , Haake 2, p. 159-166. T. Dorandi, « Lucrèce et les Épicuriens de Campanie », dans K. Algra, M. Koenen et P. Schrijvers [édit.], Lucretius and his Intellectual Background, Amsterdam 1997, p. 35-48. M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 159-166). R. Koch, Comment peut-on être dieu ? La secte d’Épicure, coll. « L’Antiquité au présent », Paris 2005. Phèdre, membre d’une grande famille athénienne du dème des Bérénicides, éphèbe en 119/8, naquit vers 138. Petit-fils d’Agathoclès du dème des Bérénicides, fils de Lysiadès, sans doute l’archonte éponyme de 149/8, frère d’un certain Callithéos, et le père d’au moins deux enfants : Lysiadès et Chrysothémis.
312 Phèdre de Myrrhinonte P106 -434 → -368 Autre Grèce → Athènes 0 IG I2 325, mentionné dans trois dialogues de Platon : le Protagoras, le Banquet et le Phèdre (auquel il donne son nom). LGPN II 19, 1. D. Nails, The People of Plato, p. 232-234 , L. Brisson, Platon, Phèdre. Traduction inédite, introduction et notes, coll. GF 488, Paris 1989, 2004, Introduction, p. 19-22. P. Mureddu, « Φιλία: Dieci contributi per Gabriele Burzacchini / a cura di Mauro Tulli , con la collab. di Massimo Magnani e Anika Nicolosi. Ed. Tulli, Mauro, Magnani, Massimo & Nicolosi, Anika (Eikasmos. Studi, 25), Bologna : Pàtron, 2014. XXI-155 p. fils de Pythoclès DPhA s.v. Phèdre de Myrrhinonte : "Phèdre fut du nombre de ceux qu’on accusa s’avoir profané les Mystères d’Éleusis. En 415a, un métèque du nom de Teucros vint, après s’être assuré de l’impunité, dénoncer, devant le Conseil, un certain nombre de gens dans le cadre de deux affaires, l’une relative à une parodie des Mystères d’Éleusis à laquelle il avait lui-même pris part, et l’autre relative à la mutilation des Hermès, la veille du départ de l’expédition athénienne contre la Sicile. Mis en cause, Phèdre put s’enfuir avec ses complices."
208 Ouranios Kynikos O49 300 → 400 Cynique Égypte → Thèbes, Vallée des rois 1 J. Baillet, Tombeaux, n° 562
207 Ortyx de Parion O46 168 → 200 Autre Asie Mineure → Parion 1 IK 25, 53 Voir B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’époque impériale, Paris 2002, n° 190. fils de Gratus Sophos, catégorie à part, à utiliser pour l’introduction
206 Oppia (Aurelia) de Sparte O31 201 → 267 Autre Grèce → Sparte 1 IG V, 1 598 DPhA s.v. Oppia (Aurelia –) de Sparte : "son père Calli[cratès ?] (→C 18a) et à sa fille Aurelia Héracleia" Femme
205 Olympiodoros (M. Aurelius) O14 201 → 267 Autre Grèce → Trézène 1 IG IV 796 Müller, Helmut. “Marcus Aurelius Olympiodorus, Ἐϰγονοϛ ῾Ιπποδρόμου.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 3, 1968, pp. 197–220 Le développement de la double citoyenneté à Éphèse à travers quelques cas d’époque impériale,Francois Kirbihler Puech 2002 Lafond 2006 La mémoire des cités dans le Péloponnèse d'époque romaine,A. Heller & A.-V. Pont 2009, Patrie d'origine et patries électives curator par la cité de Trézène DPhA s.v. Olympiodoros (M. Aurelius —) : "Le même qualificatif est en effet appliqué à son père Calli[cratès ?] (→C 18a) et à sa fille Aurelia Héracleia (→H 44).,L’épigramme insistant, au-delà de la sophrosunè, sur sa sophia, montre que la famille revendiquait véritablement une supériorité intellectuelle et culturelle. Oppia est honorée par la cité du titre de « nouvelle Pénélope », dont héritera sa fille Héracleia, et de celui de « nouvelle Laodamie »."
204 Novius (P.) N65a Aucun(e) Autre Rome et Italie → Venafrum (Venafro) 1 CIL X, 4918 Il était probablement originaire de la région, car le gentilice Novius était courant en Italie centrale.
203 Nicostratos (Claudius) d’Athènes N55 135 → 167 Platonicien Grèce → Delphes 1 F. Delphes III 4, 34 (Syll. IIe 868 = Gaius T 2 Gioe) philosophe plusieurs fois cite dans le Commentaire de Simplicius (ID DPhA :S 92) sur les Categories d’Aristote (CAG VIII) Philosophie et philosophes a Chypre,entre hellénisme et l' époque romaine T. Dorandi, Platonici minores 1. Jh.v.Chr. - 2. Jh.n.Chr: Prosopographie Fragmente und Testimonien mit deutscher Übersetzung K. Praechter, « Nikostratos der Platoniker », Hermes 57, 1922, p. 481-517. Kleine Schriften, herausgegeben von H. Dörrie, coll. « Collectanea » 7, Hildesheim 1973, p. 101-137. K. von Fritz, art. « Nikostratos » 36, RE XVII 1, 1936, col. 547-551.,A. Gioè (édit.), Filosofi medioplatonici del II secolo D. C. Testimonianze e frammenti. Gaio, Albino, Lucio, Nicostrato, Tauro, Severo, Arpocrazione, coll. « Elenchos » 36, Napoli 2002, p. 155-219. DPhA s.v. Nicostratos d’Athènes (Claudius –) :"ses collègues Bacchius de Paphos [→B 2] (maître de Marc Aurèle [→M 39], cf. In semetipsum I 6), Zosime ou Sotime (→Z 41) et M. Sextius Cornelianus de Mallos (→C 188)"
202 Nicomédès N51b 101 → 200 Épicurien Rome et Italie → Rome 1 IGUR III 1283 , E. Samama, Les medecins dans le monde grec, Genève, 2003, p. 520-521, n° 476. E. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 520-521, n° 476. M. Kobayashi et A. Sartori, « I medici nelle epigrafi, le epigrafi dei medici », Acme 52, 1999, p. 249-258. N. Massar, « Les médecins dans la documentation épigraphique grecque : reflets changeants d’un métier honorable », AC 74, 2005, p. 257-266. J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », dans ANRW II 36, 4, Berlin 1990, p. 2298. Médecin mort à 44 ans et 23 jours d’après sa stèle funéraire retrouvée à Rome. Il a donc vécu dans cette ville. Voir Samama n° 476 et 477
347 Nicidion N40 -330 → -250 Épicurien Grèce → Athènes 0 SEG XVI, 300, l. 6. C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS 23, 1982, p. 51-57. Dédicace.
201 Nicétès (Iulius) de Bithynion N36 101 → 167 Autre Asie Mineure → Claudiopolis 0 IK 31, 67 Il était un notable de sa cité de Bithynion-Claudioupolis, qui l’honora d’une statue
200 Nicagoras (Ιunius) d’Athènes N29 201 → 400 Platonicien Égypte → Thèbes, Vallée des rois 1 IG II2 3814 , B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 180 OGIS 720 , J. Baillet, Tombeaux, n° 1265 OGIS 721 , J. Baillet, Tombeaux, n° 1889 Pour un arbre généalogique de cette famille, voir J. Schamp, notice « Himérius », H 136, DPhA III 2000, p. 721. DPhA s.v. Νicagoras (Ιunius –) d’Athènes : " Petit-fils du sophiste homonyme titulaire de la chaire athénienne, qui se disait lui-même « descendant de Plutarque (→P 210) et de Sextus » [→S 70],le fils du sophiste Minucianus qui était à son acmè sous Gallien et le beau-père du sophiste Himèrios [→H 136] (Or. VII, 4 et VIII, 21) Pour un arbre généalogique de cette famille, voir J. Schamp, notice « Himérius », H 136, DPhA III 2000, p. 721 Il était dadouque (principal ministre des mystères d'Éleusis) à Éleusis lorsqu’il visita les tombeaux de la Vallée des Rois, transformant cette visite en un pélerinage sur les traces de Platon (→P 195). Il était d’ailleurs apparemment accompagné d’autres philosophes platoniciens qui, comme lui, laissèrent leur signature dans la tombe de Ramsès VI, près du tableau de la Métempsycose (→B 29 et 57 , →I 43)."
188 Méléagre de Séleucie (Cilicie) M91 1 → 100 Stoïcien Asie Mineure → Séleucie du Calycadnos 0 S. Hagel et K. Tomaschitz, Repertorium der westkilikischen Inschriften, Wien 1998, n° 61, p. 358 fils d’Apollonios, de Séleucie du Calycadnos
187 Méléagre de Gadara M90 -130 → -60 Cynique Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Cos 1 Epigramme funéraire transmise par l'Anthologie Palatine VII 419. Qualifié de cynique par Athenée XI, 502 c (Μελέαγρος δ’ ὁ Κυνικός, et IV, 157 b (où la courtisane Nicion s’adresse a des cyniques qui participent au banquet et leur parle de leur « ancêtre » Méléagre : ὁ πρόγονος ὑμῶν Μελεάγρος ὁ Γαδαρεύς) P. Chiron 2001, Un rhéteur méconnu: Démétrios (ps.-Démétrios de Phalère) : essai sur les mutations de la théorie du style à l'époque hellénistique H. Ouvré, Méléagre de Gadara, Paris 1894 , 2 K. Radinger, Meleagros von Gadara, Innsbruck 1895. J. Geffcken, art. « Meleagros » 7, RE XV 1, 1931, col. 481-488 , 4 F. Susemihl, GGLA, t. I, p. 46-47 , t. II, p. 555-557. A. Wifstrand, Studien zur griechischen Anthologie, coll. « Lunds Universitets Årsskrift » 23, 3, Lund/Leipzig 1926. D. R. Dudley, A History of Cynicism, p. 121-122 . A. Cameron, The Greek Anthology from Meleager to Planudes, Oxford 1993 , 8 Kathryn J. Gutzwiller, Poetic Garlands. Hellenistic Epigrams in Context, coll. « Hellenistic Culture and Society ». Berkeley 1998. K. Döring, dans GGPh, Antike 2/1, Basel 1998, p. 314. DPhA s.v. Méléagre de Gadara : " Poète et épigrammatiste,fils d’Eucratès (VII 417, 3 et 418, 5-6), naquit dans la célèbre ville de Gadara (Γαδάρων κλεινὰ πόλις en VII 418, 1), « la nouvelle Attique des Syriens, Gadara » (VII 417, 2), mais qu’il fut élevé à Tyr (VII 417, 1 et 419, 5 , cf. XII 256, 11).,Méléagre devait côtoyer la communauté juive, à en juger par ses allusions quelque peu ironiques au sabbat (V 160).,Quand l’âge vint, il se retira à Cos, devenant ainsi concitoyen des Méropes (VII 418, 4-5). C’est à Cos qu’il mourut, selon ce que dit le lemmatiste du proème de la Couronne (Stadtmüller 10, t. I, p. 81)." L’épigramme se clôt sur une triple interjection : Σαλάμ en syrien, Αὐδονίς en phénicien et χαῖρε en grec, par laquelle le poète défunt interpelle les passants
186 Mélanion d’Iasos M81 -100 → 0 Autre Asie Mineure → Iasos 1 IK 28, 98 fils de Théodoros, d’Iasos,éphébarque DPhA s.v. Mélanion d’Iasos :"On ne sait pas si Mélanion se consacra à la philosophie une fois parvenu à l’âge adulte. Mais au temps de ses études, au Ier siècle avant notre ère, c’est dans cette discipline qu’il avait particulièrement brillé."
182 Maximus (T. Flavius) M73 -27 → 330 Autre Proche Orient Ancien → Césarée 0 ZPE 99, 1993, p. 291 Il était le patron de Varius Séleucos, curateur des bateaux à Césarée de Palestine, qui lui éleva à ce titre une statue, à une date inconnue entre 71 et 282
181 Maximus (T. Coponius) d’Hagnonte M72a 50 → 150 Stoïcien Grèce → Athènes 1 IG II2, 3571 Christoph Riedweg, Horn Christoph, Dietmar Wyrwa 2018, Grundriss der Geschichte der Philosophie. Begründet von Friedrich... / Die Philosophie der Kaiserzeit und der Spätantike: Die Philosophie der Antike / Teilband 1 PAA 12, 633035 et 633045. G. C. R. Schmalz, Augustan and Julio-Claudian Athens. A new epigraphy and prosopography, coll. « Mnemosyne Suppl. » 302, Leiden 2009, p. 91. Issu d’une famille de notables athéniens,fils d’un héraut sacré d’Éleusis Lors de son archontat, entre 96 et 102 (IG II2, 1072), Coponius n’exerce pas encore la fonction de prêtre du Dèmos et des Charites, mentionnée dans IG II2 3571
180 Maximus (Quinctilius) M72 68 → 134 Épicurien Asie Mineure → Alexandrie de Troade 0 CIL III 384 = ILS 1018 = I. Alex. Troas, 39 E. Groag, JÖAI 21-22, 1922-1924, Beiblatt, p. 435 sqq.,H. Halfmann, Die Senatoren aus dem Östlichen Teil des Imperium Romanum bis zum Ende des 2. Jahrhunderts n. Chr., coll. « Hypomnemata » 58, Göttingen 1979, n° 40, p. 136 , E. Guerber, « Les correctores dans la partie hellénophone de l’Empire romain du règne de Trajan à l’avènement de Dioclétien : étude prosopographique », AnatAnt 5, 1997, p. 211-248 , PIR2 Q 25. DPhA s.v. Maximus (Quinctilius –) :sénateur originaire de la colonie romaine d’Alexandrie de Troade Son fils homonyme (H. Halfmann, op. cit., n° 48 , PIR2 Q 26) fut notamment questeur et légat propréteur de la province d’Achaïe. Son cursus complet figure dans une inscription de Tusculum (CIL XIV 2609). Il est nommé à Sparte sur une statue de Trajan en 116/7 (IG V 1, 380). Deux de ses petits-fils, « les Quintilii », exerceront aussi des fonctions importantes en Achaïe (voir stemma dans PIR2 Q 25, p. 17), célèbres eux aussi pour leur richesse, leur culture et leur influence politique." DPhA s.v. Maximus (Quinctilius –) : "Selon Épictète, Maximus n’est pas un épicurien orthodoxe : il est marié et père d’un fils pour lequel il a fait en plein hiver la traversée jusqu’à Cassopée en Chalcidique, il est riche et il fait carrière au service des empereurs romains, le philosophe lui reproche donc seulement de professer une doctrine qui est en désaccord avec sa vie."
185 Maxime de Tyane M68 -27 → 330 Autre Grèce → Athènes 1 IG II2 3820 Connu uniquement par cet autel érigé à Athènes.
184 Maxime (T. Flavius) de Gortyne M65 101 → 200 Autre Afrique proconsulaire → Carthage 0 CIL VIII Suppl. 1, 12924 Il mourut à Carthage, à l’âge de quarante-huit ans Voir un homonyme honoré à Césarée de Palestine.
183 Maxime d’Antioche M61 101 → 300 Platonicien Grèce → Delphes 1 FD III 1, 199, completee par G. Daux, BCH 83, 1959, p. 493-494 S. Métivier , La Cappadoce (ive-vie siècle): Une histoire provinciale de l’Empire romain d’Orient H. Bouvier, « Hommes de lettres dans les inscriptions delphiques », ZPE 58, 2005, p. 119-135 M. Atilius Maximus d’Antioche.
179 Maxime M58 301 → 400 Autre Égypte → Thèbes, Vallée des rois 0 J. Baillet, Tombeaux, n° 150-151 A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.
178 Maximianus de Nicomédie M48 (Matinianus) -27 → 330 Autre Asie Mineure → Nicomédie 1 H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112 D. Dana, “Notices Épigraphiques Et Onomastiques III.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 198, 2016, pp. 145–161. J. Covel (J.-P. Grélois, Dr. John Covel. Voyages en Turquie 1675-1677, Paris 1998, p. 253-254 et n° 58 p. 384 , voir Bull. Épigr. 2000, 33. DPhA s.v. Matinianus de Nicomédie : " Le nom, sur la copie, se lit Mateinianos, H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112, exclut toute autre solution. L’épitaphe recommandait d’avoir « des amis et non de l’argent »."
172 Macedo (C. Calpurnius Collega) M4 301 → 400 Platonicien Asie Mineure → Antioche de Pisidie 1 SEG XXXVII 1302 ; B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 69, p. 178-180. Samama, n° 334. N. Massar, “Les Médecins Dans La Documentation Épigraphique Grecque : Reflets Changeants D'un Métier Honorable.” L'Antiquité Classique, vol. 74, 2005, pp. 257–266. M. Dana (2007), « Traditions de fondation dans l'épigraphie de Sinope », REG 120-2, p. 511-525. A.Laniado 2002, Recherches sur les notables municipaux dans l'Empire protobyzantin. C. P. Jones, « A Family of Pisidian Antioch », Phoenix 36, 1982, p. 264-271. F. R. Trombley, Hellenic religion and christianization c. 370-29, coll. « Religions in the Graeco-Roman world » 115, 1, Second edition, Leiden 1995, t. I, p. 172-174. E. Samama, p. 432. Mort à trente ans, appartenait à une famille aisée et cultivée d’Antioche de Pisidie,premier médecin de sa cité Voir aussi E. Samama
177 Marcellinus (Coelius) M25 101 → 200 Autre Asie Mineure → Ephèse 0 I. Ephesos 498 Elève du platonicien Secundinus de Tralles à Ephèse
309 Musonius Rufus (C.) M198 35 → 100 Stoïcien Grèce → Athènes
Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Délos
1 IG II2 2472 (Athenes); Delos : (F. Dürrbach, « Fouilles de Delos », BCH 28, 1904, p. 184 n. 60) Boeri et Salles 2014 Laurand, Lévy, et Musonius Rufus 2014 Dillon 1996, F. Dürrbach, « Fouilles de Délos », BCH 28, 1904, p. 184 n. 60. M.-O. Goulet-Cazé, L’ascèse cynique, coll. « Histoire des doctrines de l’Antiquité classique », 10, Paris 1986, p. 185-188. Philosophe stoïcien d’origine toscane, fils d’un certain Capito (Souda, M 1305, t. III, p. 416, 5 Adler), il faisait partie de l’ordre équestre (Tacite, Histoires III 81, 1 : « Musonius Rufus equestris ordinis »).
199 Musa (Antonius) M196a -100 → 0 Autre Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Samos 1 IG XII 6, 1, 363 ; E. Samama, Les medecins dans le monde grec, Geneve 2003, p. 292, n° 169. Médecin du Ier s. av. J.-C., contemporain d’Auguste. l avait un frère, Euphorbos, devenu médecin du roi Juba son nom laisse à penser qu’il s’agit d’un affranchi du triumvir Antoine
198 Mospos de Cirta M195 101 → 200 Autre Afrique proconsulaire → Cirta 1 ILA II, 823