221
|
Philératidas (Iulius) de Sparte
|
P115
|
135 → 200
|
Autre
|
Grèce
→
Sparte
|
1
|
IG V 1, 116, l. 14
fils d’Hippodamos,Parmi les gérontes lacédémoniens de la liste
|
|
220
|
Philagrios d’Athènes
|
P111
|
301 → 400
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, fasc. 2, n° 1298.
E. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 494, n° 433.
J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, fasc. 2, n° 1298 (É. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 494, n° 433
|
|
218
|
Phaidros d’Athènes
|
P107
|
-138 → 0
|
Épicurien
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
Les inscriptions relatives a Phedre sont repertoriées dans J.S. Trail, Persons of Ancient Athens, t. XVII, Toronto 2008, p. 50-51 (n° 912450) , elles sont présentées et commentées par 5 A. E. Raubitschek, « Phaidros and his Roman pupils », Hesperia 18, 1949, p. 96-103.
R. Koch, Comment peut-on être dieu ? La secte d’epicure, coll. « L’Antiquité au présent », Paris 2005, dans son dossier épigraphique , Haake 2, p. 159-166.
T. Dorandi, « Lucrèce et les Épicuriens de Campanie », dans K. Algra, M. Koenen et P. Schrijvers [édit.], Lucretius and his Intellectual Background, Amsterdam 1997, p. 35-48.
M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 159-166).
R. Koch, Comment peut-on être dieu ? La secte d’Épicure, coll. « L’Antiquité au présent », Paris 2005.
Phèdre, membre d’une grande famille athénienne du dème des Bérénicides, éphèbe en 119/8, naquit vers 138.
Petit-fils d’Agathoclès du dème des Bérénicides, fils de Lysiadès, sans doute l’archonte éponyme de 149/8, frère d’un certain Callithéos, et le père d’au moins deux enfants : Lysiadès et Chrysothémis.
|
|
312
|
Phèdre de Myrrhinonte
|
P106
|
-434 → -368
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
IG I2 325, mentionné dans trois dialogues de Platon : le Protagoras, le Banquet et le Phèdre (auquel il donne son nom).
LGPN II 19, 1.
D. Nails, The People of Plato, p. 232-234 , L. Brisson, Platon, Phèdre. Traduction inédite, introduction et notes, coll. GF 488, Paris 1989, 2004, Introduction, p. 19-22.
P. Mureddu, « Φιλία: Dieci contributi per Gabriele Burzacchini / a cura di Mauro Tulli , con la collab. di Massimo Magnani e Anika Nicolosi. Ed. Tulli, Mauro, Magnani, Massimo & Nicolosi, Anika (Eikasmos. Studi, 25), Bologna : Pàtron, 2014. XXI-155 p.
fils de Pythoclès
|
|
208
|
Ouranios Kynikos
|
O49
|
300 → 400
|
Cynique
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 562
|
|
207
|
Ortyx de Parion
|
O46
|
168 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Parion
|
1
|
IK 25, 53
Voir B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’époque impériale, Paris 2002, n° 190.
fils de Gratus
|
|
206
|
Oppia (Aurelia) de Sparte
|
O31
|
201 → 267
|
Autre
|
Grèce
→
Sparte
|
1
|
IG V, 1 598
DPhA s.v. Oppia (Aurelia –) de Sparte : "son père Calli[cratès ?] (→C 18a) et à sa fille Aurelia Héracleia"
|
|
205
|
Olympiodoros (M. Aurelius)
|
O14
|
201 → 267
|
Autre
|
Grèce
→
Trézène
|
1
|
IG IV 796
Müller, Helmut. “Marcus Aurelius Olympiodorus, Ἐϰγονοϛ ῾Ιπποδρόμου.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 3, 1968, pp. 197–220 Le développement de la double citoyenneté à Éphèse à travers quelques cas d’époque impériale,Francois Kirbihler Puech 2002 Lafond 2006 La mémoire des cités dans le Péloponnèse d'époque romaine,A. Heller & A.-V. Pont 2009, Patrie d'origine et patries électives
curator par la cité de Trézène
|
|
204
|
Novius (P.)
|
N65a
|
Aucun(e)
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Venafrum (Venafro)
|
1
|
CIL X, 4918
|
|
203
|
Nicostratos (Claudius) d’Athènes
|
N55
|
135 → 167
|
Platonicien
|
Grèce
→
Delphes
|
1
|
F. Delphes III 4, 34 (Syll. IIe 868 = Gaius T 2 Gioe) philosophe plusieurs fois cite dans le Commentaire de Simplicius (ID DPhA :S 92) sur les Categories d’Aristote (CAG VIII)
Philosophie et philosophes a Chypre,entre hellénisme et l' époque romaine
T. Dorandi, Platonici minores 1. Jh.v.Chr. - 2. Jh.n.Chr: Prosopographie Fragmente und Testimonien mit deutscher Übersetzung K. Praechter, « Nikostratos der Platoniker », Hermes 57, 1922, p. 481-517.
Kleine Schriften, herausgegeben von H. Dörrie, coll. « Collectanea » 7, Hildesheim 1973, p. 101-137.
K. von Fritz, art. « Nikostratos » 36, RE XVII 1, 1936, col. 547-551.,A. Gioè (édit.), Filosofi medioplatonici del II secolo D. C. Testimonianze e frammenti. Gaio, Albino, Lucio, Nicostrato, Tauro, Severo, Arpocrazione, coll. « Elenchos » 36, Napoli 2002, p. 155-219.
DPhA s.v. Nicostratos d’Athènes (Claudius –) :"ses collègues Bacchius de Paphos [→B 2] (maître de Marc Aurèle [→M 39], cf. In semetipsum I 6), Zosime ou Sotime (→Z 41) et M. Sextius Cornelianus de Mallos (→C 188)"
|
|
202
|
Nicomédès
|
N51b
|
101 → 200
|
Épicurien
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
IGUR III 1283 , E. Samama, Les medecins dans le monde grec, Genève, 2003, p. 520-521, n° 476.
E. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 520-521, n° 476.
M. Kobayashi et A. Sartori, « I medici nelle epigrafi, le epigrafi dei medici », Acme 52, 1999, p. 249-258.
N. Massar, « Les médecins dans la documentation épigraphique grecque : reflets changeants d’un métier honorable », AC 74, 2005, p. 257-266.
J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », dans ANRW II 36, 4, Berlin 1990, p. 2298.
Médecin mort à 44 ans et 23 jours d’après sa stèle funéraire retrouvée à Rome. Il a donc vécu dans cette ville.
|
|
347
|
Nicidion
|
N40
|
-330 → -250
|
Épicurien
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
SEG XVI, 300, l. 6.
C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS 23, 1982, p. 51-57.
|
|
201
|
Nicétès (Iulius) de Bithynion
|
N36
|
101 → 167
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Claudiopolis
|
0
|
IK 31, 67
Il était un notable de sa cité de Bithynion-Claudioupolis, qui l’honora d’une statue
|
|
200
|
Nicagoras (Ιunius) d’Athènes
|
N29
|
201 → 400
|
Platonicien
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
IG II2 3814 , B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 180 OGIS 720 , J. Baillet, Tombeaux, n° 1265 OGIS 721 , J. Baillet, Tombeaux, n° 1889
Pour un arbre généalogique de cette famille, voir J. Schamp, notice « Himérius », H 136, DPhA III 2000, p. 721.
DPhA s.v. Νicagoras (Ιunius –) d’Athènes : " Petit-fils du sophiste homonyme titulaire de la chaire athénienne, qui se disait lui-même « descendant de Plutarque (→P 210) et de Sextus » [→S 70],le fils du sophiste Minucianus qui était à son acmè sous Gallien et le beau-père du sophiste Himèrios [→H 136] (Or. VII, 4 et VIII, 21) Pour un arbre généalogique de cette famille, voir J. Schamp, notice « Himérius », H 136, DPhA III 2000, p. 721 Il était dadouque (principal ministre des mystères d'Éleusis) à Éleusis lorsqu’il visita les tombeaux de la Vallée des Rois, transformant cette visite en un pélerinage sur les traces de Platon (→P 195). Il était d’ailleurs apparemment accompagné d’autres philosophes platoniciens qui, comme lui, laissèrent leur signature dans la tombe de Ramsès VI, près du tableau de la Métempsycose (→B 29 et 57 , →I 43)."
|
|
188
|
Méléagre de Séleucie (Cilicie)
|
M91
|
1 → 100
|
Stoïcien
|
Asie Mineure
→
Séleucie du Calycadnos
|
0
|
S. Hagel et K. Tomaschitz, Repertorium der westkilikischen Inschriften, Wien 1998, n° 61, p. 358
fils d’Apollonios, de Séleucie du Calycadnos
|
|
187
|
Méléagre de Gadara
|
M90
|
-130 → -60
|
Cynique
|
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Cos
|
1
|
Epigramme funéraire transmise par l'Anthologie Palatine VII 419. Qualifié de cynique par Athenée XI, 502 c (Μελέαγρος δ’ ὁ Κυνικός, et IV, 157 b (où la courtisane Nicion s’adresse a des cyniques qui participent au banquet et leur parle de leur « ancêtre » Méléagre : ὁ πρόγονος ὑμῶν Μελεάγρος ὁ Γαδαρεύς)
P. Chiron 2001, Un rhéteur méconnu: Démétrios (ps.-Démétrios de Phalère) : essai sur les mutations de la théorie du style à l'époque hellénistique H. Ouvré, Méléagre de Gadara, Paris 1894 , 2 K. Radinger, Meleagros von Gadara, Innsbruck 1895.
J. Geffcken, art. « Meleagros » 7, RE XV 1, 1931, col. 481-488 , 4 F. Susemihl, GGLA, t. I, p. 46-47 , t. II, p. 555-557.
A. Wifstrand, Studien zur griechischen Anthologie, coll. « Lunds Universitets Årsskrift » 23, 3, Lund/Leipzig 1926.
D. R. Dudley, A History of Cynicism, p. 121-122 .
A. Cameron, The Greek Anthology from Meleager to Planudes, Oxford 1993 , 8 Kathryn J. Gutzwiller, Poetic Garlands. Hellenistic Epigrams in Context, coll. « Hellenistic Culture and Society ».
Berkeley 1998.
K. Döring, dans GGPh, Antike 2/1, Basel 1998, p. 314.
DPhA s.v. Méléagre de Gadara : " Poète et épigrammatiste,fils d’Eucratès (VII 417, 3 et 418, 5-6), naquit dans la célèbre ville de Gadara (Γαδάρων κλεινὰ πόλις en VII 418, 1), « la nouvelle Attique des Syriens, Gadara » (VII 417, 2), mais qu’il fut élevé à Tyr (VII 417, 1 et 419, 5 , cf. XII 256, 11).,Méléagre devait côtoyer la communauté juive, à en juger par ses allusions quelque peu ironiques au sabbat (V 160).,Quand l’âge vint, il se retira à Cos, devenant ainsi concitoyen des Méropes (VII 418, 4-5). C’est à Cos qu’il mourut, selon ce que dit le lemmatiste du proème de la Couronne (Stadtmüller 10, t. I, p. 81)."
|
|
186
|
Mélanion d’Iasos
|
M81
|
-100 → 0
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Iasos
|
1
|
IK 28, 98
fils de Théodoros, d’Iasos,éphébarque
|
|
182
|
Maximus (T. Flavius)
|
M73
|
-27 → 330
|
Autre
|
Proche Orient Ancien
→
Césarée
|
0
|
ZPE 99, 1993, p. 291
Il était le patron de Varius Séleucos, curateur des bateaux à Césarée de Palestine, qui lui éleva à ce titre une statue, à une date inconnue entre 71 et 282
|
|
181
|
Maximus (T. Coponius) d’Hagnonte
|
M72a
|
50 → 150
|
Stoïcien
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2, 3571
Christoph Riedweg, Horn Christoph, Dietmar Wyrwa 2018, Grundriss der Geschichte der Philosophie. Begründet von Friedrich... / Die Philosophie der Kaiserzeit und der Spätantike: Die Philosophie der Antike / Teilband 1 PAA 12, 633035 et 633045.
G. C. R. Schmalz, Augustan and Julio-Claudian Athens. A new epigraphy and prosopography, coll. « Mnemosyne Suppl. » 302, Leiden 2009, p. 91.
Issu d’une famille de notables athéniens,fils d’un héraut sacré d’Éleusis
|
|
180
|
Maximus (Quinctilius)
|
M72
|
68 → 134
|
Épicurien
|
Asie Mineure
→
Alexandrie de Troade
|
0
|
CIL III 384 = ILS 1018 = I. Alex. Troas, 39
E. Groag, JÖAI 21-22, 1922-1924, Beiblatt, p. 435 sqq.,H. Halfmann, Die Senatoren aus dem Östlichen Teil des Imperium Romanum bis zum Ende des 2. Jahrhunderts n. Chr., coll. « Hypomnemata » 58, Göttingen 1979, n° 40, p. 136 , E. Guerber, « Les correctores dans la partie hellénophone de l’Empire romain du règne de Trajan à l’avènement de Dioclétien : étude prosopographique », AnatAnt 5, 1997, p. 211-248 , PIR2 Q 25.
DPhA s.v. Maximus (Quinctilius –) :sénateur originaire de la colonie romaine d’Alexandrie de Troade Son fils homonyme (H. Halfmann, op. cit., n° 48 , PIR2 Q 26) fut notamment questeur et légat propréteur de la province d’Achaïe. Son cursus complet figure dans une inscription de Tusculum (CIL XIV 2609). Il est nommé à Sparte sur une statue de Trajan en 116/7 (IG V 1, 380). Deux de ses petits-fils, « les Quintilii », exerceront aussi des fonctions importantes en Achaïe (voir stemma dans PIR2 Q 25, p. 17), célèbres eux aussi pour leur richesse, leur culture et leur influence politique."
|
|
185
|
Maxime de Tyane
|
M68
|
-27 → 330
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2 3820
|
|
184
|
Maxime (T. Flavius) de Gortyne
|
M65
|
101 → 200
|
Autre
|
Afrique proconsulaire
→
Carthage
|
0
|
CIL VIII Suppl. 1, 12924
Il mourut à Carthage, à l’âge de quarante-huit ans
|
|
183
|
Maxime d’Antioche
|
M61
|
101 → 300
|
Platonicien
|
Grèce
→
Delphes
|
1
|
FD III 1, 199, completee par G. Daux, BCH 83, 1959, p. 493-494
S. Métivier , La Cappadoce (ive-vie siècle): Une histoire provinciale de l’Empire romain d’Orient H. Bouvier, « Hommes de lettres dans les inscriptions delphiques », ZPE 58, 2005, p. 119-135
M. Atilius Maximus d’Antioche.
|
|
179
|
Maxime
|
M58
|
301 → 400
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
0
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 150-151
A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.
|
|
178
|
Maximianus de Nicomédie
|
M48 (Matinianus)
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Nicomédie
|
1
|
H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112
D. Dana, “Notices Épigraphiques Et Onomastiques III.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 198, 2016, pp. 145–161.
J. Covel (J.-P. Grélois, Dr. John Covel. Voyages en Turquie 1675-1677, Paris 1998, p. 253-254 et n° 58 p. 384 , voir Bull. Épigr. 2000, 33.
|
|
172
|
Macedo (C. Calpurnius Collega)
|
M4
|
301 → 400
|
Platonicien
|
Asie Mineure
→
Antioche de Pisidie
|
1
|
SEG XXXVII 1302 ; B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 69, p. 178-180.
Samama, n° 334.
N. Massar, “Les Médecins Dans La Documentation Épigraphique Grecque : Reflets Changeants D'un Métier Honorable.” L'Antiquité Classique, vol. 74, 2005, pp. 257–266.
M. Dana (2007), « Traditions de fondation dans l'épigraphie de Sinope », REG 120-2, p. 511-525.
A.Laniado 2002, Recherches sur les notables municipaux dans l'Empire protobyzantin.
C. P. Jones, « A Family of Pisidian Antioch », Phoenix 36, 1982, p. 264-271.
F. R. Trombley, Hellenic religion and christianization c. 370-29, coll. « Religions in the Graeco-Roman world » 115, 1, Second edition, Leiden 1995, t. I, p. 172-174.
E. Samama, p. 432.
Mort à trente ans, appartenait à une famille aisée et cultivée d’Antioche de Pisidie,premier médecin de sa cité
|
|
177
|
Marcellinus (Coelius)
|
M25
|
101 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Ephèse
|
0
|
I. Ephesos 498
Elève du platonicien Secundinus de Tralles à Ephèse
|
|
309
|
Musonius Rufus (C.)
|
M198
|
35 → 100
|
Stoïcien
|
Grèce
→
Athènes
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Délos
|
1
|
IG II2 2472 (Athenes); Delos : (F. Dürrbach, « Fouilles de Delos », BCH 28, 1904, p. 184 n. 60)
Boeri et Salles 2014
Laurand, Lévy, et Musonius Rufus 2014
Dillon 1996, F. Dürrbach, « Fouilles de Délos », BCH 28, 1904, p. 184 n. 60.
M.-O. Goulet-Cazé, L’ascèse cynique, coll. « Histoire des doctrines de l’Antiquité classique », 10, Paris 1986, p. 185-188.
Philosophe stoïcien d’origine toscane, fils d’un certain Capito (Souda, M 1305, t. III, p. 416, 5 Adler), il faisait partie de l’ordre équestre (Tacite, Histoires III 81, 1 : « Musonius Rufus equestris ordinis »).
|
|
199
|
Musa (Antonius)
|
M196a
|
-100 → 0
|
Autre
|
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Samos
|
1
|
IG XII 6, 1, 363 ; E. Samama, Les medecins dans le monde grec, Geneve 2003, p. 292, n° 169.
Médecin du Ier s. av. J.-C., contemporain d’Auguste. l avait un frère, Euphorbos, devenu médecin du roi Juba
|
|
198
|
Mospos de Cirta
|
M195
|
101 → 200
|
Autre
|
Afrique proconsulaire
→
Cirta
|
1
|
ILA II, 823
|
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