95
|
Dionysios (Aelius) d’Halicarnasse
|
D178
|
135 → 167
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Halicarnasse
|
0
|
B. Haussoullier, BCH 4, 1880, p. 405
N. Lewis, « Literati in the service of Roman Emperors. Politics before culture », dans Numismatic and other studies in honour of B. L. Trell, Detroit 1981, p. 155 , C. Scherer, De Aelio Dionysio musico, Bonn 1886.
|
|
97
|
Dionsysios de Rhodes
|
D183
|
101 → 134
|
Épicurien
|
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Rhodes
|
0
|
M. F. Smith (edit.), Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Napoli 1993, 660 p., date l’inscription vers l’an 120 de notre ere (p. 35-48)
M. F. Smith (édit.), Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Napoli 1993, 660 p., date l’inscription vers l’an 120 de notre ère (p. 35-48)
DPhA s.v. Dionsysos de Rhodes : " Cet ami de Diogène d’Oinoanda [→D 141] (fr. 122 : Διονυσίου τοῦ | ἡμετέρου) faisait partie de la communauté épicurienne de Rhodes , il était également le dédicataire d’une autre lettre – de contenu philosophique – de Diogène (fr. 68-74 Smith). Lors d’un de ses séjours à Rhodes, Diogène avait été soigné par une dame à qui il avait été recommandé par Carus et Dionysios."
|
|
98
|
Dialogos d’Athènes
|
D92
|
101 → 200
|
Platonicien
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2 11140 = W. Peek, GVI 1971
G. Wolff, dans son édition de Porphyre, De philosophia ex oraculis haurienda, Berlin 1856 (réimpr. Hildesheim 1962), p. 178-180
|
|
99
|
Diaphanès de Temnos
|
D93
|
-267 → -201
|
Stoïcien
|
Asie Mineure
→
Ilion
|
0
|
P. Frisch, Die Inschriften von Ilion, coll. IK 3, Bonn 1975, p. 111-112 (n° 40)
M. Cébeillac-Gervasoni, Laurent Lamoine 2003, Les élites et leurs facettes: les élites locales dans le monde hellénistique et romain
P. Frisch, Die Inschriften von Ilion, coll. IK 3, Bonn 1975, p. 111-112 (n° 40)
W. Crönert, « Eine attische Stoikerinschrift », SBAW 1904, p. 471-472
T. Dorandi, « Epigraphica Philosophica », Prometheus 15, 1989, p. 37
DPhA s.v. Diaphanès de Temnos : " mentionné dans une section de l’Ind. Stoic. Herc., col. 46, 5-6 (p. 96 Dorandi), consacrée aux disciples de Chrysippe , W. Crönert, propose de l’identifier avec un certain Diaphénès de Temnos, fils de Pollès, hôte d’un souverain non identifié (διατρίϐων παρὰ τῶι βασιλεῖ), honoré par un décret gravé sur une stèle de marbre à Ilion"
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|
100
|
Diodoros Callimédès (M. Aurelius) d’Aphrodisias
|
D133
|
168 → 234
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Aphrodisias
|
1
|
MAMA VIII n° 400, p. 109-110 et pl. 20
L. Robert, Hellenica XI/XII, 1960, p. 551
DPhA s.v. Diodoros Callimédès (M. Aurelius) d’Aphrodisias : " Il appartenait à une famille de petits notables qui exerçaient régulièrement des responsabilités politiques mais qui n’étaient pas citoyens romains avant la génération de Diodoros. Comme cette accession à la civitas se traduit par les noms Marcus Aurelius, elle n’est sûrement pas antérieure au dernier tiers du IIe s. et pourrait bien être l’effet de la constitution de Caracalla : l’activité de Diodoros se place donc vers la fin du IIe siècle ou dans la première moitié du IIIe."
|
|
101
|
Diogène de Sinope
|
D147
|
-412 → -321
|
Cynique
|
Asie Mineure
→
Sinope
|
0
|
D. M. Bailey, A Catalogue of the Lamps in the British Museum, t. II, London 1980, nos Q 797 et 837)
J. Babelon, « Diogène le Cynique », RN 18, 1914, p. 14-19
J. Babelon, « Diogène et la monnaie », Démaréteion I, 1935, p. 63-66
H. Bannert, « Numismatisches zur Biographie und Lehre des Hundes Diogenes », Mélanges R. Goebe = LNV 1, 1979, p. 49-63 ,Consulter la bibliographie sur les socratiques contenue dans le t. III de Giannantoni 3, celle de Paquet 20, p. 312-315
M. Billerbeck, Die Kyniker in der modernen Forschung, coll. « Bochumer Studien zur Philosophie » 15, Amsterdam 1991, p. 303-317.
DPhA s.v. Diogène de Sinope : " En D. L. VI 75 sont mentionnés « un certain Onésicrite d’Égine » (→O 24) et ses deux fils : Androsthène (→A 182) et Philiscos (→P 133), et en VI 76 sont également cités l’homme politique bien connu Phocion Chrestos (→P 171), le philosophe mégarique Stilpon (→S 163) et « bien d’autres hommes politiques » Une autre liste commence en VI 82 , elle fait intervenir successivement Monime (→M 190), puis en VI 84 un second Onésicrite (→O 23), celui qui prit part à l’expédition d’Alexandre en Orient (certains le disent d’Égine, mais Démétrios de Magnésie le dit d’Astypalaea), enfin Ménandre surnommé « Bois de Chêne » (→M 104), Hégésias de Sinope surnommé « Collier de chien » (→H 19), Philiscos d’Égine déjà mentionné en VI 75, et en VI 85 Cratès de Thèbes (→C 205), le cynique le plus connu après Diogène Il faut ajouter encore les enfants de Xéniade (→X 5), dont Diogène fut le précepteur et à qui il faisait apprendre par cœur des passages de ses propres œuvres. , Son père passe pour avoir falsifié la monnaie (VI 20-21) et Diogène aurait été d’une façon ou d’une autre associé à cette falsification La biographie de Diogène fait état aussi des rencontres du philosophe avec Philippe de Macédoine et surtout avec le fils de celui-ci, Alexandre."
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|
102
|
Diogène d’Oinoanda
|
D141
|
50 → 150
|
Épicurien
|
Asie Mineure
→
Oinoanda
|
0
|
M. F. Smith, Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro », Suppl. 1, Naples, 1993.
J. Hammerstaedt, P.-M. Morel, R. Güremen (éds.), Diogenes of Oinoanda – Diogène d’Œnoanda. Epicureanism and Philosophical Debates – Épicurisme et controverses, Leuven, 2017.
A. Etienne, D. O'Meara, La philosophie épicurienne sur pierre: les fragments de Diogène d'Oinoanda, Fribourd-Paris, 1996.
Diogène, grand notable de sa patrie du IIe s. ap. J.-C., fut l'auteur de plusieurs traités épicuriens qu'il fit graver sur un mur, sur l'agora.
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|
103
|
Dion d’Ephèse
|
D163
|
-334 → -268
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
IG XIV 1149 = IGUR IV 1491
G. de Luca, Altertümer von Pergamon XI 4 : Das Asklepieion 4 Via Tecta und Hallenstraße, die Funde, 1984, p. 105, S 27, pl. 48
Chr. Habicht, Altertümer von Pergamon VIII 3 Die Inschriften des Asklepieions, 1969, p. 162 : Richter, Portraits II, p. 244.
DPhA s.v. Dion d’Ephèse : " pas connu par ailleurs,Le seul élément qui permette de le situer est la signature du sculpteur Sthennis : l’activité de cet artiste se place entre le règne d’Alexandre et les environs de 280a , voir G. Richter, Portraits, t. II, p. 244. Le philosophe que Sthennis avait représenté devait être l’un de ses contemporains, tombé ensuite dans l’oubli. La base était d’époque impériale mais, d’après G. Richter, elle devait porter non pas une copie mais l’œuvre originale de Sthennis"
|
|
104
|
Dionysodoros (Flavius Maecius Se[verus] ou Se[renus]), d’Antin…
|
D190
|
135 → 200
|
Platonicien
|
Égypte
→
Antinooupolis
|
1
|
Sammelbuch III 6012 ; IBM IV 1076.
P. Cauderlier et K. A. Worp, « Unrecognized evidence for a mysterious philosopher », Aegyptus 62, 1982, p. 72-79.
A. Bernand, Les portes du désert, Paris,1984, n° 14, p. 96-97 ; J. M. Dillon, The Middle Platonists., 80 B.C. to 220 A.D., Ithaca (NY), 1977, p. 262.
A. Gioè, Filosofi medioplatonici del II secolo D. C. Testimonianze e frammenti. Gaio, Albino, Lucio, Nicostrato, Tauro, Severo, Arpocrazione, coll. « Elenchos » 36, Napoli 2002, p. 377-393 (texte et traduction italienne), p. 395-433 (commentaire).
DPhA s.v. Dionysodoros (Flavius Maecius Se[verus] ou Se[renus]), d’Antinooupolis : " Bouleute de la cité, identique sans doute à Severus, commentateur de Platon.
Thomas Auffret, « Serenus d’Antinoë dans la tradition gréco-arabe des coniques », ASPh 24, 2014, p. 181-209, considère qu'il doit être identifié au géomètre et platonicien Serenus (DPhA, VI , S56; DPhA, VII, S56 comp.). Par conséquent, il suggère de restituer son cognomen sous la forme Se[renus]."
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|
105
|
Dorothéos d’Oropos
|
D222a
|
-100 → 100
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
P. Agallopoulou, ArchDelt 52, 1997, Chronika II 1, Athenès, 2002, p. 99.
B. Ch. Petrakos, Οἱ ἐπιγραφὲς τοῦ Ὠρωποῦ, coll. « Βιβλιοθήκη τῆς ἐν Ἀθήναις Ἀ ρχαιολογικῆς Ἑταιρείας » 170, Athenes, 1997, n° 584 α, p. 449.
P. Agallopoulou, ArchDelt 52, 1997, Chronika II 1, Athènes, 2002, p. 99.
B. Ch. Petrakos, Οἱ ἐπιγραφὲς τοῦ Ὠρωποῦ, coll. « Βιβλιοθήκη τῆς ἐν Ἀθήναις Ἀ ρχαιολογικῆς Ἑταιρείας » 170, Athènes, 1997, n° 584 α, p. 449.
DPhA s.v. Dorothéos d’Oropos : " Il était le fils d’un certain Pélopidès (ou –das) d’Oropos, et peut-être père d’un Symmachos d’Oropos sur une colonnette funéraire attribuée au Ier s. av. ou apr. J.-Chr. (IG II2 10520)."
|
|
106
|
Epicratès d’Héraclée
|
E32
|
-300 → -101
|
Péripatéticien
|
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Samos
|
1
|
MDAI(A) 44, 1919, n° 14 p. 29 , SEG I 368
P. Scholz, Peripatetic philosophers as wandering scholars: some remarks on the socio-political conditions of philosophizing in the third century BCE,In: Fortenbaugh, William W. , White, Stephen A. (Hrsgg.): Lyco of Troas and Hieronymus of Rhodes. Text, Translation, and Discussion. New Brunswick, London 2004, pp. 315-353 , 476-480
W. Ameling, « Prosopographia Heracleotica », dans Lloyd Jones, The Inscriptions of Heraclea Pontica, coll. IK, 47, Bonn 1994, p. 135
Fils de Démétrius.
|
|
107
|
Stéphanos (Aurelius) de Dorylaion
|
S154
|
201 → 267
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Dorylaion
|
0
|
IGR IV 527 , SEGO III 16/34/06
DPhA s.v. Stephanos (Aurelius) de Dorylaion : " fils de Stéphanos, citoyen de Dorylaion, s’occupa au nom de sa tribu, celle d’Apollon, de faire ériger, comme le firent aussi les autres tribus de la ville (six bases sont conservées), une statue de l’évergète Q. Voconius Aelius Stratonikos"
|
|
108
|
Euandros de Phocée
|
E65
|
-300 → -101
|
Platonicien
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2 886 , FGrHist 244 F 47 ap. Philod., Acad. hist. 28, 9 sq. = Lacydes T 2a 25 Mette
C. Habicht, Hellenistic Athens and her philosophers, Princeton 1988, p. 13 = Athen in hellenistischer Zeit, München 1994, p. 241
H. von Arnim, art. « Euandros » 8, RE VI,1, 1907, col. 842
H. J. Mette, Lustrum 27, 1985, p. 52 , T. Dorandi (édit.), Filodemo : Platone e l’Academia, p. 64-65
W. Görler, GGP Antike 4, 2, p. 834-836.
DPhA s.v. Evandros de Phocée : " disciple et successeur, avec Téléclès, de Lacydès comme scholarque de l’Académie (D. L. IV 60 = T 1a Mette). Euandros naquit à Phocée et il entra en contact avec les souverains de Pergame"
|
|
109
|
Evaretus (Q. Aelius Egrilius)
|
E186
|
135 → 167
|
Autre
|
Germanie Inférieure (Allemagne)
→
Wesseling
|
0
|
CIL XIII 8159 = ILS 7776
C. Raïos, De Smyrne à Philae: contacts et rencontres de P. Ælius Aristide en Égypte.Archimède: archéologie et histoire ancienne, UMR7044 - Archimède, 2019,: La République “ gréco-romaine ” des lettres: construction des réseaux savants et circulation des savoirs dans l’Empire romain,HS N°1, p. 68 à 81
M. Christol et T. Drew-Bear, The Greco-Roman East: Politics, Culture, Society, 2004, p. 99
J. Bodel, Epigraphic Evidence: Ancient History From Inscriptions, 2012, p. 90
Ami de Salvius Iulianus.
|
|
110
|
Eucratidas de Rhodes
|
E85
|
0 → 200
|
Épicurien
|
Rome et Italie
→
Brundisium
|
1
|
IG XIV 674 = CIL IX 48
Fils de Peisidamos, de Rhodes, enterré à Brindisi.
|
|
111
|
Eudoxios de Syrie
|
E99
|
335 → 400
|
Platonicien
|
Proche Orient Ancien
→
Villa de Soueidie, pres de Baalbek
|
1
|
I. Syrie VI, 2886
M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 235
M. Chéhab et R. Mouterde, Mosaïques du Liban, Bull. du Musée de Beyrouth 14-15, 1957, p. 43-46 et pl. 21 ,W. Peek, « Mosaik-Inschrift aus Heliopolis », ZPE 21, 1976, p. 188
|
|
112
|
Eugénès (C. Valerius) de Selgé
|
E109
|
168 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Selgé
|
1
|
I. Selge (IK 37), 17 et 19.
Son épouse : Poplia Plancia Aurelia Magnianè Motoxaris, qui est la sœur de Périclès.
|
|
113
|
Eumélos (M. Iulius)
|
E116
|
101 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Ancyre
|
1
|
RECAM II, n° 519
|
|
114
|
Eumènes (L. Vibius ) de Phocée
|
E118
|
101 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Phocée
|
0
|
?
DPhA s.v. Eumènes (L. Vibius ) de Phocée : " Le philosophe L. Vibius Euménès exerça à Phocée, sous le Haut-Empire, de nombreuses fonctions publiques : voir BE 1971, n° 553 et EA 18, 1991, p. 81 n° 4. Peut-être appartenait-il à la même famille de Vibii que la femme du philosophe Hermocratès de Phocée (→H 87)."
|
|
115
|
Euphrosynè de Rome
|
E136
|
Aucun(e)
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
CIL VI 33898
Morte à Rome à vingt ans.
|
|
116
|
Evagrius de Rome
|
E183
|
320 → 330
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
CIL VI 2153
|
|
117
|
Exuperantia (Concordia)
|
E188
|
268 → 334
|
Épicurien
|
Afrique proconsulaire
→
Hadrumete
|
1
|
BACTH 1955/6, p. 40-46
J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », ANRW II 36, 4, 1990, p. 2320
Son mari : M. Eustorgius Héraclamon Léonidès.
|
|
118
|
Flavianus Sulpicius (C. Aelius) d’Ancyre
|
F14
|
201 → 300
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Ancyre
|
1
|
IGR III 196 et 197 , Mordtmann, Marmora Ancyrana, Berlin 1874, p. 21, n° 8 , JHS 44, 1924, p. 42-43.
J.H. Mordtmann, Marmora Ancyrana, Berlin 1874, p. 21, n° 8.
|
|
119
|
Flavius [---] de Lilybée
|
F15
|
301 → 400
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Lilybée
|
1
|
IG XIV 278 (IGR I 500)
|
|
120
|
Flavius [---]cratès (Ti.) de Messène
|
F15a
|
101 → 200
|
Platonicien
|
Grèce
→
Messène
|
1
|
PraktAkadAth 158, 2003 [2006], p. 27-28, par A. P. Matthaiou, B. Bardani et A. Makri, d’où SEG LII, 406 , LIII 1, 404.
Ergon 50, 2003 (Athènai 2004), p. 31-32 et fig. 22 par P. Themelis, puis par B. Ch. Petrakos dans Ergon 52, 2005, Athènai 2006, p. 46.
|
|
121
|
Fronton d’Alexandrie
|
F20
|
101 → 300
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Maionia
|
0
|
TAM V 498
S. Aubert-Baillot, La philostorgia chez Fronton, une vertu sans équivalent latin ? Revue électronique "Aitia. Regards sur la culture hellénistique au XXIe siècle", n° 1, 2011
J. Keil et A. von Premerstein (Bericht über eine zweite Reise in Lydien II, Wien 1911, p. 107-108 n° 210.
|
|
122
|
Fronton (Domitius) d’Hippone
|
F21
|
Aucun(e)
|
Stoïcien
|
Afrique proconsulaire
→
Hippone
|
0
|
BACTH 1954, p. 188-189
P. Grimal, La civilisation romaine, coll. « Les grandes civilisations » 1, Paris 1960, p.184 et 185 (pl. 75).
|
|
124
|
Fundanus (C. Minicius) de Ticinum
|
F25 et 25 comp.
|
1 → 200
|
Stoïcien
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
CIL VI 16631 et 16632 , ILS 2002 et 3541 , CIL XIV 2242 , Gnomon 31, 1959, p. 515-516
J. Bodel, “Minicia Marcella: Taken before Her Time.” The American Journal of Philology, vol. 116, no. 3, 1995, p. 453–460.
M. Griffin, « The Younger Pliny's Debt to Moral Philosophy,« Harvard Studies in Classical Philology,Harvard Studies in Classical Philology »,Vol. 103 (2007), p. 451-481.
D. Babut, Plutarque et le stoïcisme, Paris 1969, p. 185 et 240.
C. P. Jones, Plutarch and Rome, Oxford 1971, p. 58 , R. Syme, Tacitus, Oxford 1958, p. 650 et 801.
A. N. Sherwin-White, The Letters of Pliny, Oxford 1966, p. 291 , W. Eck, Senatoren von Vespasian bis Hadrian, München 1970, p. 193, 218 et 223.
Il semble avoir été un élève de Musonius ,ami de Tacite et de Pline le Jeune.
|
|
125
|
Gellius (L.) de Corinthe
|
G11
|
101 → 167
|
Autre
|
Grèce
→
Corinthe
|
0
|
PIR2 C 670, 675
D. Dana, M. Dana, « Arrien avant Arrien : une jeunesse entre Bithynie, Grèce et Rome », dans A. Hostein, S. Lalanne (éds.), Le monde d’Arrien de Nicomédie. Actes de la journée d’études du 7 décembre 2012, Paris (Ktèma, 39, 2014), p. 19-35.
G. W. Bowersock, « A New Inscription of Arrian », GRBS 8, 1967, p. 279-280 , J. H. Oliver, « Arrian and the Gellii of Corinth », GRBS 11, 1970, p. 335-338
L. Moretti, « Epigraphica », RFIC 103, 1975, p. 182-186 ,B. D. Meritt, Corinth VIII 1, 82 et 83 , cf. B. Puech, « Grands prêtres et helladarques d’Achaïe », REA 85, 1983, p. 17-21
appartient sûrement à la grande famille corinthienne des Gellii, attestée du Ier au IIIe siècle , Avec L. Gellius Justus, qui est probablement son fils, il honore Cn. Cornelius Pulcher, futur archonte des Panhellènes (B. D. Meritt, Corinth VIII 1, 82 et 83 , cf. B. Puech, « Grands prêtres et helladarques d’Achaïe », REA 85, 1983, p. 17-21
|
|
126
|
Gellius Publicola (L.) de Rome
|
G12
|
-100 → 0
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
IG IX 483 = Dittenberger, Sylloge 327
J.M. Hellegouarc'h, La conception de la « nobilitas » dans la Rome républicaine. In: Revue du Nord, tome 36, n°142, Avril-juin 1954. Mélanges offerts à Louis Jacob à l'occasion de son 70e anniversaire. p. 129-140
C. Settipani 2000, Continuité gentilice et continuité familiale dans les familles sénatoriales romaines à l'époque impériale: mythe et réalité
F. Münzer, art. « L. Gellius Poplicola » 17, RE VII 1, 1910, col. 1001-1003, et RESuppl. III, 1918, col. 542
|
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