Les philosophes antiques

ID Nom du philosophe DPhA Époque École φ Région(s) → Cité(s) Inscriptions φ Actions
134 Héliodore H28 101 → 134 Épicurien Grèce → Athènes 1 IG II2 l099 S. Follet, « Lettres d’Hadrien aux épicuriens d’Athènes (14.2-14.3.125) : SEG III 226 + IG II2 1097 », REG 107, 1994, p. 158-171. Renée Koch 2005, Comment peut-on être dieu: La secte d'Epicure. Successeur de Popillios Théotimos.
135 Héraclamon Léonidès (M. Eustorgius) H42 201 → 400 Autre Afrique proconsulaire → Hadrumete 1 BACTH 1955-1956, p. 40-46 J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », ANRW II 36, 4, 1990, p. 2320 Sa femme : Concordia Exuperantia.
136 Héracleia (Aurelia) H44 201 → 300 Autre Grèce → Sparte 1 IG V 1, 599 J. A. Straus, L'achat et la vente des esclaves dans l'Egypte romaine, 2004. sa mère, Aurelia Oppia (→O 31), son grand-père maternel Aurelius Calli[cratès] (IG V 1, 598) Femme. Plutôt la sagesse qui convient à une femme, pas véritable philosophe,« nouvelle Pénélope », l’épigramme funéraire vante sa mètis et la sagesse de son esprit.
137 Héracleidès (Aurelius) d’Athènes H56 101 → 200 Stoïcien Grèce → Athènes 1 IG II2 3801 ; IG II2 3989 G. Romeyer-Dherbey, J.-B. Gourinat 2005, Les stoïciens . S. Follet, Athènes au II ème et au III ème siècle, Paris 1976, p. 9. R. W. Sharples, « The School of Alexander ? », dans R. Sorabji (édit.), Aristotle transformed, London 1990, p. 92-94. Dahan, Goulet, et Institut des Traditions Textuelles 2005 G. Vitelli, « Frammenti di Alessandro di Afrodisia nel cod. Ricard. 63 », SIFC 3, 1895, p. 379-381 , Id., « Due frammenti di Alessandro di Afrodisia », dans Festschrift Theodor Gomperz dargebracht zum siebzigsten Geburtstag am 29. März 1902, Wien 1902, p. 90-93. Traduction : R. W. Sharples (édit.), Alexander of Aphrodisias, Quaestiones 2.16-3.15, coll. ACA, London 1994, p. 92-93, avec la note 413 (p. 144-145). du dème des Eupyrides. Il aurait attaqué la doctrine du cinquième élément et montré qu’Aristote divergeait d’avis par rapport à Platon sur les dieux et l’immortalité de l’âme. DPhA s.v. Héraclide d’Athènes (Aurelius –) : "Ce pourrait être sous le règne de Marc Aurèle qu’avait eu lieu sa nomination, si le disciple qui a fait élever le monument, Symmachos de Phlya (→S 176), est bien, comme le supposait J. Kirchner, le père de deux éphèbes de 185/6" DPhA s.v. Héraclide : "R. W. Sharples, « The School of Alexander ? », dans R. Sorabji (édit.), Aristotle transformed, London 1990, p. 92-94, l’identifie à Aurelius Héracleidès, du dème athénien des Eupyrides (→H 56 A), titulaire d’une chaire de philosophie stoïcienne (τὸν διάδοχο[ν] τῶν ἀπὸ Ζήνωνο[ς] λόγων) à Athènes (IG II2 3801 : stèle élevée par son disciple Symmachus de Phlya (→S 176), Sharples envisage aussi de rattacher à ce personnage IG II2 3989, où on lit κατὰ τὰ δόξαντ[α τῇ] | ἐξ Ἀρείου [πάγου βουλῇ] | Αὐρ · Ἡρακλ[είδην …․] | Κλ Κ — — — — — — | [․]ην — — — — — —)."
138 Héraclite d’Ephèse H64 -600 → -401 Socratique Rome et Italie → Rome
Chypre → Paphos
1 IG XIV n° 1159 Buste à Paphos (250-200 av. J.-C.) : T. B. Mittford, "The Hellenistic Inscriptions of Old Paphos", BSA, 56, 1961, p. 1-41, ici n° 11 ; J.-B. Cayla, Les Inscriptions de Paphos. La cité Chypriote sou la domination lagide et à l’époque impériale, 2018, n° 239, fig. 241. Henk Kubbinga 2001, L'Histoire du concept de 'molécule R. Zaborowski 2008, « Sur le fragment DK 22 B 85 d'Héraclite d'Éphèse », Organon 32, E. N. Roussos, Heraklit-Bibliographie, Darmstadt 1971, et 20 F. De Martino, L. Rossetti, P. Rosati, Eraclito. Bibliografia 1970-1984 e complementi 1621-1969, Napoli 1986. L. Paquet, M. Roussel et Y. Lafrance, Les Présocratiques. Bibliographie analytique (1879-1980), t. 1, Montréal/Paris 1988, p. 444-555, et 22 L. Paquet et Y. Lafrance, Les Présocratiques. Bibliographie analytique (1450-1879), t. 3, Supplément, [Montréal], 1995 (cf. index). M. Marcovich, art. « Herakleitos », RESuppl. X, 1965, col. 246-320, Mouraviev 16, vol. I Numismatique : Bürchner dans ZN 9, 1882, p. 123-124, pl. IV, 21 , 94 H. von Fritze dans H. Diels 132 [cf. infra], 1re éd. p. XI-XII (avec description de huit émissions différentes) , cf. Id. ap. DK 4, vol. I, p. 144 , II, p. 3 , 95 J. J. Bernoulli, Griechische Ikonographie, t. I, München 1901, p. 84, n° 341, pl. II 4 , 96. R. Delbrück, Antike Porträts, pl. 16 , 97 K. Schefold, Die Bildnisse der antike Dichter, Redner und Denker, Basel 1943, p. 172-173 n° 16 , p. 220 n° 16 , 98 British Museum Catalogue, Ionia, p. 98 n° 341, pl. XIV 12 , 99 G. Richter, The Portraits of the Greeks, London 1965, t. I, p. 80 et n° 313.
139 Héraclite de Rhodiapolis H65 50 → 150 Épicurien Asie Mineure → Rhodiapolis 1 TAM II 910; E. Samama, n° 290 (cf. aussi n° 289). L. Robert, « Deux poètes grecs à l’époque impériale », dans Stèlè [Mélanges Kondoléon], Athènes 1977, p. 14 = Opera Minora VII, p. 582 P. Vesperini, La Philosophie antique, 2019 A. Bresson et al. , Scripta anatolica. Hommages à Pierre Debord, 2018. E. Samama, Les médecins dans le monde grec : sources épigraphiques sur la naissance d'un corps médical, Genève, 2003, n° 290 (cf. aussi 289) , p. 396-399. DPhA s.v. Héraclite de Rhodiapolis : "Médecin, poète et philosophe épicurien. Prêtre d’Asclépios dans sa cité natale de Rhodiapolis, ce médecin avait acquis une vaste célébrité : l’inscription de sa statue dans sa patrie précise qu’il avait été pareillement honoré à Rhodes (dont il avait été fait citoyen), à Alexandrie et à Athènes"
140 Herennianus de Dion H71a 101 → 300 Autre Grèce → Dion 0 SEG 49, 696 D. Pandermalis, Δῖον. Η ανακαλυψή, Athènes 1999, p. 158-159.
141 Hermarque de Mytilène H75 -400 → -201 Épicurien Rome et Italie → Herculanum 0 Richter 10, p. 204, n° 10 P. Ismard 2019, La cité des réseaux: Athènes et ses associations, VIe-Ier siècle av. J.-C. Épicure : Oeuvres majeures et annexes (annotées, illustrées): Lettre à Pythoclès, Lettre à Ménécée, Lettre à Hérodote, Maximes capitales, Testament, 2019. K. Krohn, Der Epikureer Hermarchos, Berlin 1921 , F. Longo Auricchio, Ermarco. Frammenti, Edizione, traduzione e commento, coll. « La Scuola di Epicuro » 6, Napoli 198 , 3 H. von Arnim, art. « Hermarchos » 1, RE VIII 1, 1913, col. 721-722 , 4 R. Philippson, PhW 43, 1923, col. 1-10 (c.-r. de Krohn 1). E. Bignone, L’Aristotele perduto e la formazione filosofica di Epicuro, Firenze 1936, 2e éd. 1973. I. Gallo, Ermarco e la polemica epicurea contro Ermarco, dans l’ouvrage collectif, Esistenza e destino nel pensiero greco arcaico, Napoli 1985, p. 33-50. D. Obbink, « Hermarchos, Against Empedocles », CQ 38, 1988, p. 428-435. P. A. Vander Waerdt, « Hermarchus and the Epicurean Genealogy of morals », TAPA 118, 1988, p. 87-106 . F. Longo Auricchio, Bilancio su Ermarco, dans l’ouvrage collectif, Ercolano 1738-1988 : 250 anni di ricerca archeologica, Roma 1993, p. 273-276. M. Erler, GGP, Antike 4, p. 227-234. 8. DPhA s.v. Hermarque de Mytilène : "Hermarque naquit à Mytilène, sur l’île de Lesbos, à une date non précisée (12 A. Angeli, CronErc 11, 1981, p. 91 n. 533, propose ca 325a). Il était, de toute façon, plus ou moins contemporain d’Épicure. Son père s’appelait Agémortos (D. L. X 24 = F 1 et D. L. X 14-15 = F 8). Dans sa jeunesse, Hermarque avait étudié la rhétorique. Il rencontra Épicure à Mytilène vers 310, pendant son séjour dans l’île de Lesbos, mais il n’adhéra probablement pas tout de suite à sa philosophie et il ne suivit Épicure que lorque ce dernier retourna à Athènes : c’est ce que l’on peut déduire du fait qu’Épicure lui écrivit encore pour le détourner de la rhétorique et l’inviter à se vouer définitivement à la philosophie (F 53 = Diog. Oen. F 127 Smith. Cf. 13 M. F. Smith, Diogenes of Oenoanda. The Epicurean Inscription, Napoli 1993, p. 559 sq.). Peut-être n’a-t-il rejoint Épicure à Athènes qu’après la fondation du Jardin (306)." DPhA s.v. Hermarque de Mytilène : "premier scholarque du Jardin à la suite d’Épicure , sur la graphie du nom, cf. 11 F. Longo Auricchio, dans Studi Gigante, Napoli 1994, p. 384 sq. n. 12 souvent mentionné dans les sources anciennes, avec Épicure, Métrodore (→M 152) et Polyen (→P 242), comme l’un des quatre ‘guides’ (καθηγεμόνες ou ἄνδρες) du Jardin La mort d’Hermarque représenta une ligne de partage des eaux dans l’histoire du Jardin, entre la première génération d’épicuriens, qui avaient écouté directement la parole du maître, et les suivants, y compris, peut-être, Polystrate lui-même (cf. T. Dorandi, Ricerche sulla cronologia dei filosofi ellenistici, p. 49. Sur la position d’Hermarque à l’intérieur du Jardin, cf. Longo 2, p. 27-32)."
142 Hermias d’Atarnée H80 -420 → -340 Péripatéticien Asie Mineure → Atarnée 1 SIG 3, 229 P. Debord 2019, L’Asie Mineure au IVe siècle: (412-323 a.C.) M. N. Tod, A Selection of Greek Historical Inscriptions, t. II, Oxford 1948, n° 165. H. Bengston, Die Verträge der griechisch-römischen Welt von 700 bis 338 v. Chr. München 1962, n° 322 P. Natorp, art. « Hermias » 11, RE VIII 1, 1912, col. 831-832. P. Von der Mühll, art. « Hermias » 11, RESuppl. III, 1918, col. 1126-1130. D. E. W. Wormell, « The literary tradition concerning Hermias of Atarneus », YClS 5, 1935, p. 59-92. G. Pasquali, Le lettere di Platone, Firenze 1938, 2e éd. 1967, p. 210-225 , 5 I. Düring, Aristotle in the ancient biographical tradition, Göteborg 1957, p. 272-279. H. Berve, Die Tyrannis bei den Griechen, München 1967, t. I, p. 332-335. M. Isnardi Parente, Studi sull’Accademia platonica antica, coll. « Saggi filosofici » 1, Firenze 1979, p. 293-294. A. Wörle, Die politische Tätigkeit der Schüler Platons, Darmstadt 1981, p. 128-139 , 9 T. Dorandi (édit.), Filodemo : Platone e l’Academia, p. 32. R. D. Milns, « Hermias of Atarneus and the fourth Philippic speech », dans Studi F. della Corte, I, Urbino 1987, p. 287-302 . B. Meißner, Historiker zwischen Polis und Königshof, Göttingen 1992, p. 377-383. DPhA s.v. Hermias d’Atarnée : "Tyran d’Atarnée (en Mysie, face à Lesbos)., Inscription avec le traité qu’il signa Erythrées , Par la suite, Hermias entra en contact avec Philippe II de Macédonie et soutint son projet de rendre aux Grecs l’Asie Mineure. Le roi de Perse, Artaxerxès III Ochos, en apprenant le fait, ordonna au satrape Mentor de Rhodes de capturer Hermias. Hermias ne céda pas, même sous la torture, et il fut finalement exécuté"
143 Hermoclès d’Alexandrie H86a -100 → 0 Platonicien Rome et Italie → Neapolis 1 I. Napoli II 119 Voir l’article de M. Haake Fils d’Euphèmos, d’Alexandrie. Rien n’est connu de sa vie, mais il est probable qu’il enseignait la philosophie à Naples. inscription funéraire à Naples connue uniquement grâce à un manuscrit inédit d’un savant napolitain moderne ,l’épitaphe d’Hermoclès fournit actuellement l’unique attestation de l’adjectif ‘académicien’ dans les sources épigraphiques (Ἑρμοκλῆς Εὐφήμου | Ἀλεξανδρεὺς | φιλόσοφος ἀκαδημεικός).
144 Hermocratès (Flavius) de Phocée H87 135 → 167 Autre Asie Mineure → Phocée 0 IGR IV 1324 , plutot que IGR IV 1326, voir CIG Add. 3414 et Mouseion II 2, 1, 1875/76, p. 11, avec la correction d’H. Engelmann, ZPE 42, 1981, p. 202-208 J. Fournier, “LES ‘SYNDIKOI’, REPRÉSENTANTS JURIDIQUES DES CITÉS GRECQUES SOUS LE HAUT-EMPIRE ROMAIN.” Cahiers Du Centre Gustave Glotz, vol. 18, 2007, pp. 7–36. Campanile Domitilla. Athanasios D. Rizakis & Francesco Camia (Ed.), Pathways to Power. Civic Elites in the Eastern Part of the Roman Empire. Proceedings of the International Workshop held at Athens, Scuola archeologica italiana di Atene, 19 december 2005, 2008. In: L'antiquité classique, Tome 78, 2009. pp. 587-589. E. Ziebarth, Wiss. Beiläge zum Jahresber. Wilhelms-Gymnasiums Hamburg 1903, p. 10. Sa femme : Vibia Polla.
145 Hérodotos (Flavius?) de Smyrne H104 101 → 200 Autre Asie Mineure → Pergame 1 MDAI(A) 35, 1910, p. 485 n° 80 , IGR IV 1690 Sa fille : Flavia Apphion Cornèlianè.
146 Hestiaios de Milet H110 -300 → -201 Platonicien Asie Mineure → Milet 1 W. Peek, GVI 2018. W. Peek, GVI 2018 ; G. Petzl, “Furchterregende Götter? Eine Notiz Zu Diogenes Von Oinoanda NF 126.” ZPE, 153, 2005, p. 103–107. Fils de Ménandros. DPhA s.v. Hestiaios de Milet : "Son épigramme dénote un ton polémique, assez peu habituel dans les épitaphes, qui est une attaque contre les épicuriens : « Ce n’est pas selon de vaines doctrines qu’il a mené sa vie, celui qu’a accueilli ce tombeau ancestral, mais selon celles qui procèdent de la sagesse, les doctrines hautement inspirées reçues de Socrate et de Platon, et non l’hédonisme impie des épicuriens »."
147 Hiérax (Flavius) H117 135 → 167 Autre Égypte → Alexandrie 0 F. Kayser, Recueil des inscriptions grecques et latines d’Alexandrie imperiale, Le Caire 1994, n° 98 , voir APf 2, 1902/1905, n° 127 F. Kayser, Recueil des inscriptions grecques et latines d’Alexandrie impériale, Le Caire 1994, n° 98 , voir APf 2, 1902/1905, n° 127). H. Halfmann, Éphèse et Pergame. Urbanisme et commanditaires en Asie mineure romaine. Bordeaux, Ausonius - Paris, De Boccard, 2004. Comme l’a indiqué C. P. Jones, Démétrios est très vraisemblablement l’ami de Favorinus (→F 10) mentionné par Galien (t. XIV, p. 627 Kühn). Flavius Hiérax avait fait exécuter la statue offerte par les « philosophes » du Musée au rhéteur Aelius Démétrios
148 Hiéronymos de Rhodes H129 -300 → -201 Péripatéticien Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes 1 F. Hiller v. Gaertringen und C. Robert, « Relief von dem Grabmal eines rhodischen Schulmeister », Hermes 37, 1902, p. 121-146 (avec une planche et un appendice sur le patronyme et le demotique de Hieronymos) , Arrighetti 5, p. 123-127. Philosophie Antique n° 6 - Lire et interpréter Platon 2006 S. White 2004, Lyco of Troas and Hieronymus of Rhodes: Text, Translation, and Discussion F. Hiller v. Gaertringen und C. Robert, « Relief von dem Grabmal eines rhodischen Schulmeister », Hermes 37, 1902, p. 121-146. Arrighetti 5, p. 123-127. P. M. Fraser, Rhodian funerary monuments, Oxford 1977, p. 34-36 F. Wehrli, Hieronymos von Rhodos , Kritolaos und seine Schüler , Rückblick : Der Peripatos in vorchristlicher Zeit , Register, coll. « Die Schule des Aristoteles » 10, Basel/Stuttgart 19692, p. 9-23 (fragments) , p. 29-44. POxy. 3656 : 2 P. J. Parsons, dans H. M. Cockle, The Oxyrhynchus Papyri, vol. LII, coll. « Greco-Roman Memoirs » 72, London 1984, p. 47-50, repris dans 3 CPF I 1** (1992), p. 452-453 (F. Montanari).,R. Daebritz, art. « Hieronymos » 12, RE VIII 2, 1913, col. 1561-1564 , 5 G. Arrighetti, « Ieronimo di Rodi », SCO 3 [noté 2], 1955, p. 111-128 , 6 F. Wehrli « Der Peripatos bis zum Beginn der römischen Kaiserzeit », GGP, Antike 3, 1983, p. 575-576. A. J. Podlecki, « The Peripatetics as literary critics », Phoenix 23, 1969, p. 114-137. M. C. Dalfino, « Ieronimo di Rodi : la dottrina della vacuitas doloris », Elenchos 14, 1993, p. 277-304. T. Dorandi, « Varietà ercolanesi, 6-10 », CronErc 21, 1991, p. 105-109. C. Habicht, Untersuchungen zur politischen Geschichte Athens im 3. Jahrhundert v. Chr., coll. « Vestigia, Beiträge zur alten Geschichte » 30, München 1979, p. 72-73 , Id., « Hellenistic Athens and her philosophers », dans C. Habicht (édit.), Athen in hellenistischer Zeit, München 1994, p. 231-247 (p. 235) , (3) Ses relations (conflictuelles) DPhA s.v. Hiéronymos de Rhodes : "Hiéronymos a pu être introduit à la philosophie péripatéticienne par Praxiphane (→P 277) à Rhodes même, où une tradition aristotélicienne semble s’être développée après 322/1 sous l’impulsion de son compatriote Eudème [→E 93) (Wehrli 6, p. 575 , cf. R. Pfeiffer, History of classical scholarship, p. 266). Pour la chronologie, on se fonde principalement sur trois témoignages : (1) Ses relations avec Arcésilas de Pitane [→A 302] (fr. 4 et 6 Wehrli) , (2) Sa responsabilité dans l’organisation (avec Arcésilas [ ?], cf. Wehrli 1, p. 29 , mais les liens d’Arcésilas avec la cour de Pergame rendent sa participation active à l’organisation de ces festivités peu probable [→A 302, p. 329 Dorandi]) des fêtes annuelles organisées à Athènes à la mémoire d’Halcyoneus, fils d’Antigone Gonatas (→A 194), mort vraisemblablement en Attique au cours de la guerre de Chrémonidès (267/6-262 ?)"
149 Hippias de Ptolémaïs H146 301 → 400 Platonicien Égypte → Thèbes, Vallée des rois 0 J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, Le Caire 1923, n° 1984 B. Puech, art. « Bèsas de Panopolis », B 29, DPhA II, p. 106-107. DPhA s.v. Hippias de Ptolémaïs : "Une datation précise est impossible, mais c’est surtout au IVe siècle que le pèlerinage de Thèbes semble avoir été de tradition dans les milieux platoniciens (voir B. Puech, art. « Bèsas de Panopolis », B 29, DPhA II, p. 106-107)."
150 Hortensinus H168 101 → 200 Autre Rome et Italie → Rome 1 IGUR 835 P. Vesperini 2019, La Philosophie antique. Médecin, mort à Rome à 52 ans.
151 Hostilianus (C. Tutilius) de Crotone H172 et H171 35 → 100 Stoïcien Rome et Italie → Rome 1 CIL VI 9785 F. Bücheler, RhM 63, 1908, p. 194. B. Levick 1999, Vespasian Gillian Clark and Tessa Rajak 2002, Philosophy and Power in the Graeco-Roman World: Essays in Honour of Miriam Griffin Exilé par Vespasien en raison des positions qu’il avait exprimées sur le pouvoir monarchique (Dion Cassius LXVI 13, 2, résumé par Xiphilin LXV 11, 2) DPhA s.v. Hostilianus de Cortone (C. Tutilius –) : "Il fait partie des philosophes expulsés de Rome par Vespasien en 74. Il fut envoyé en même temps que Démétrios le Cynique dans les îles (Dion Cassius LXVI 13, 2)."
152 Iamblichos d’Apamée I2 335 → 400 Autre Grèce → Athènes 0 A. E. Raubitschek, « Iamblichos at Athens », Hesperia 33, 1964, p. 63-68 Henry J. Blumenthal, E. Gillian Clark, 1993, The Divine Iamblichus: Philosopher and Man of Gods. Fils d’un certain Himérius (PLRE I :3), il était le petit-fils du philosophe Sopatros d’Apamée [→S 107] (RE 11 , PLRE I :1) et le neveu du fils de ce dernier, Sopatros [→S 108] (RE 12 , PLRE I :2), correspondant de Libanios (→L 52). Il était également parent du rhéteur Libanios (Libanios, Ep. 571, 1 , 576, 1 , 801, 3). Contemporain de ce dernier, qui lui écrivit plusieurs lettres et le recommanda à un certain nombre de ses correspondants, il était encore vivant en 391 (Libanios, Ep. 1007, datée de 391 par O. Seeck, Die Briefe des Libanius zeitlich geordnet, Leipzig 1906). Une partie de sa vie s’est certainement déroulée à Antioche, où il fut en relation étroite avec Libanios : la séparation évoquée par les lettres de Libanios à partir du moment où Jamblique se met à voyager le laisse en tout cas penser. Ses voyages le conduisirent à Athènes, où il finit par s’installer pour un long séjour (Libanios, Ep. 801, datée de 362/3) Voir arbre généalogique de Jamblique d’Apamée. C’est sans doute lui que Symmaque (→S 177), dans une de ses lettres, range parmi les studiosos sapientiae viros (Ep. IX 2)
304 Iason (Jason) de Nysa I8 -67 → 35 Stoïcien Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes 0 IG XII 1, n° 46 A. Preus, Historical dictionary of ancient Greek philosophy, 2015. M. Haake 2007,A. Gercke, « War der Schwiegersohn des Poseidonios ein Schüler Aristarchs ? », RhM 62, 1907, p. 116-122 (arbre généalogique, p. 122) F. Jacoby, art. « Iason » RE IX 1, 1914, col. 780-781 , Rosa Giannattasio Andria, I frammenti delle “Successioni dei filosofi”, coll. « Università degli studi di Salerno – Quaderni del dipartimento di scienze dell’antichità » 5, Napoli 1989, p. 161-162 disciple et successeur de Posidonius [→P 267] (mort vers 50a) dans son école de Rhodes.,Il était également, par sa mère, petit-fils du philosophe (θυγατριδοῦς). Il était de Nysa par son père Ménécrate et Rhodien par sa mère (Souda, s. v. Ἰάσων, I 52 , t. II, p. 605, 7-11 = Posidonius T 40 Edelstein-Kidd). « Il écrivit des Vies d’hommes illustres (Βίοι ἐνδόξων), des Successions des philosophes (Φιλοσόϕων διαδοχαί), une Vie de la Grèce (Βίος Ἑλλάδος) en quatre livres – selon certains. Il écrivit également sur Rhodes ». Un ou plusieurs Jason, fils de Ménécrate, sont attestés dans une inscription de Rhodes du Ier siècle av. J.-C. (IG XII 1, n° 46).
153 Iollas de Sardes I17 -100 → 0 Platonicien Asie Mineure → Sardes 1 I. Sardis 27 W. H. Buckler, D.M. Robinson. “Greek Inscriptions from Sardes II Honorific Inscriptions.” American Journal of Archaeology, vol. 17, no. 1, 1913, pp. 29–52. A. Heller, Anne-Valérie Pont 2012, Patrie d'origine et patries électives: les citoyennetés multiples dans le monde grec d'époque romaine : actes du colloque international de Tours, 6-7 novembre 2009. P. Baker, G. Thériault. “Les Lyciens, Xanthos et Rome dans la première moitié du Iers, Revue Des Études Grecques, vol. 118, no. 2, 2005, pp. 329–366. C. Habicht, « Der Akademiker Iollas von Sardis », ZPE 74, 1988, p. 215-218. T. Dorandi (édit.), Filodemo : Platone e l’Academia, p. 80 n. 296. DPhA s.v. Iollas de sardes : "disciple d’un philosophe inconnu (Antiochos d’Ascalon [→A 200] ?), mentionné dans l’Academicorum historia de Philodème (→P 142), col. 34, 7, p. 171"
154 Isée l’Assyrien I27 68 → 134 Autre Grèce → Eleusis 1 IG II2 3632, 7 C. Jouanno, “Les Byzantins et la seconde sophistiques : étude sur Michel Psellos” Revue Des Études Grecques, vol. 122, no. 1, 2009, pp. 113–143. A. N. Sherwin-White, The Letters of Pliny. A historical and social commentary, Oxford 1966, p. 147-148 . P. Grimal, « Deux figures de la Correspondance de Pline : le philosophe Euphratès et le rhéteur Isée », Latomus 14, 1955, p. 381-383. J. Ferguson, A Prosopography to the Poems of Juvenal, coll. « Latomus » 200, Bruxelles 1987, p. 121-122 . G. Anderson, Philostratus. Biography and Belles Lettres in the Third Century A. D., London/Sydney/Dover 1986, passim (voir l’index). P. Graindor, Chronologie des archontes athéniens sous l’Empire, Gand 1922, p. 229-235 , Id., Marbres et textes antiques d’époque impériale, coll. « Université de Gand. Recueil de travaux publiés par la Faculté de Philosophie et Lettres » 50, Gand 1992, p. 69-72. J. H. Oliver, « Two Athenian Poets », Hesperia Suppl. 8, 1949, p. 243-258 , K. Clinton, The Sacred Officials of the Eleusinian Mysteries, coll. « Transactions of the American Philosophical Society » 64, 3, Philadelphia 1974, p. 88. S. Follet, Athènes au IIème et au IIIème siècle. Études chronologiques et prosopographiques, « Collection d’études anciennes », Paris 1976, p. 262-267. DPhA s.v. Isée l’Assyrien : " originaire de Syrie du Nord, il vint à Rome à plus de soixante ans. Vers 97-100, Pline le Jeune (Ep. II 3) recommande à son ami Nepos d’aller l’entendre. Juvénal (Sat. III 74) fait allusion à son éloquence torrentielle. Philostrate, dans la biographie qu’il lui consacre (V. soph. I 20, 2 , voir aussi I 22, l), loue son talent d’improvisateur et son art de concentrer une argumentation en une brève formule. Il eut pour disciples Denys de Milet (→D 182), Lollianus d’Éphèse (Philostrate, V. soph. I 23, 2 , Souda I 620), Marc de Byzance (V. soph. I 24, 1) et l’empereur Hadrien (IG II2 3632, 5-9). Philostrate le met aussi en relation avec le rhéteur Ardys. Plusieurs épigrammes d’Éleusis permettent de suivre ses descendants, dont deux hiérophantides, sur cinq générations (IG II2 3709, 3632, 3662) , son arrière-petite-fille Eunice épousa le frère du philosophe Fl. Callaischros (→C 13)." DPhA s.v. Isée l’Assyrien : " Isée mérite une place parmi les philosophes, malgré une vie consacrée surtout aux belles-lettres, en raison de sa conversion à l’ascétisme après une jeunesse vouée aux plaisirs (Philostrate, loc. cit., d’où Souda I 620), son allusion aux “jardins de Tantale”, ses formules “j’ai cessé d’avoir les yeux malades” (πέπαυμαι ὀϕθαλμιῶν) et “tous les plaisirs ne sont qu’ombres et songes” (σκιὰ καὶ ὀνείρατα αἱ ἡδοναὶ πᾶσαι) paraissent avoir été célèbres. Sa “sagesse” est confirmée par une épigramme d’Éleusis, le qualifiant de σοϕίαις ὑπάτου (IG II2 3632, 7) et une remarque de Pline, qui le présente comme un homme d’école (scholasticus), mais ajoute : quo genere hominum nihil aut sincerius aut simplicius aut melius (Ep. II 3, 5)."
155 Isidore de Thmouis I35 101 → 300 Platonicien Grèce → Delphes 1 FD III 2, 116 reçut le droit de cité à Delphes
305 Issos I39 -400 → -301 Platonicien Grèce → Epidaure 0 IG IV 2, n° 96 DPhA s.v. Issos : "Ce nom ne semble attesté en grec que pour la ville de Cilicie, lieu de la victoire d’Alexandre sur Darius en 333a. “Isos” est cependant le nom d’un fils de Priam tué par Agamemnon (Il. XI 101). Walzer (p. 54) signale que cette forme est employée par Flavius Josèphe, Antiquités juives X 8, 6, pour un nom d’origine juive. Il apparaît également dans une inscription de l’Asclépieion d’Épidaure (première moitié du IIIe s. av. J.-C.) comme le nom du père de deux proxènes d’origine crétoise (IG IV 2, n° 96). Comme l’Eroticos est un dialogue composé sans doute alors qu’Aristote était encore membre de l’Académie, Walzer en conclut que Is(s)os était un membre de l’Académie tardive d’origine crétoise."
156 Iulianus I43 301 → 400 Autre Égypte → Thèbes, Vallée des rois 1 J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, Le Caire 1923, n° 1255. J. Baillet n° 1265 et G. Fowden, « Nicagoras of Athens and the Lateran Obelisk », JHS 107, 1987, p. 51-57. Julianus faisait partie de ces intellectuels venus en nombre, au IVe siècle, faire le pèlerinage des Tombeaux des Rois, en souvenir de celui que la tradition prêtait à Platon
157 Iulianus (Iulius) I44 201 → 300 Autre Rome et Italie → Rome 1 CIL VI 9783 Dessau (ILS 7778) , J. Hahn, Der Philosoph und die Gesellschaft, Stuttgart 1989, p. 171. Il a trouvé la mort aux portes de Rome Il a trouvé la mort aux portes de Rome dans un conflit au cours duquel la ville avait été sinon assiégée, du moins menacée
158 Iulianus (Julien) l’Empereur I46 331 → 363 Autre Asie Mineure → Ephèse / Iasos / Pergame 1 OGIS 520 , CIL III, Suppl. 1, 7088 ,a Ephese, I. Ephesos II (IK 12) 313 A et VII (IK 17) 3021 , a Pergame, Inschr. von Pergamon 633 : domino, a Iasos, I. Iasos I (IK 28, 1) 14 , B. PUECH] E. Soler,D'Apollonios de Tyane à l'empereur Julien, l'importance d'Antioche comme lieu de pèlerinage et centre philosophique grecs. In: Topoi. Orient-Occident. Supplément 5, 2004. Antioche de Syrie. Histoires, images et traces de la ville antique Gauthier Nancy. Les initiations mystériques de l'empereur Julien. In: Mélanges Pierre Lévêque. Tome 6 : Religion. Besançon : Université de Franche-Comté, 1992. pp. 89-104. (Annales littéraires de l'Université de Besançon, 463). P. Célérier, L’ombre de l’empereur Julien: Le destin des écrits de Julien chez les auteurs païens et chrétiens du IVe au VIe siècle, 2014. J. Arce Martínez, Estudios sobre el Emperador Fl. Cl. Juliano. Fuentes literarias, epigraficas, numismaticas, coll. « Anejos de AEA » 8, Madrid 1984, 258 p P. Athanassiadi-Fowden, Julian and Hellenism, an Intellectual Biography, Oxford 1981. J. Bouffartigue, L’Empereur Julien et la culture de son temps, « Collection des Études Augustiniennes », Série Antiquité 133, Paris 1992, 752 p. L. Cohen, « Sur l’iconographie de Julien », dans Braun et Richer 23, p. 213-227, et 55 P. Lévêque, « De nouveaux portraits de l’empereur Julien », Latomus 22, 1963, p. 74-84 (trad. allemande dans Klein 22, p. 305-317). H. von Heintze, « Nordsyrische Elfenbeinstatuetten. Zu den Bildnissen des Kaisers Julian », dans O. Feld et Urs Peschlow (édit.), Studien zur spätantiken und byzantinischen Kunst, Friedrich Wilhelm Deichmann gewidmet, Bonn 1986, t. III, p. 31-41. DPhA s.v. Iulianus (Julien) l’Empereur : "Flavius Claudius Iulianus, né en 331 / 2, empereur romain du 3 novembre 361 au 26 juin 363 ,Désireux d’accomplir des études philosophiques, il se rendit d’abord, selon Eunape (loc. cit.), à Pergame pour y suivre l’enseignement d’Aidésios (→A 56), disciple de Jamblique, ainsi que de Chrysanthe de Sardes (→C 116) et Eusèbe de Myndos (→E 156), disciples d’Aidésios. Il finit par savoir qu’un autre disciple d’Aidésios, Maxime, enseignait à Éphèse, et que dans son enseignement entrait la théurgie, condamnée par Eusèbe. Il partit alors pour Éphèse et devint l’élève de Maxime. Chrysanthe vint lui aussi à Éphèse pour collaborer à l’éducation philosophique du prince." DPhA s.v. Iulianus (Julien) l’Empereur : "On note au contraire que Julien parle de lui-même comme d’un catéchumène de la philosophie. Il a, dit-il, la réputation de philosophe sans en avoir la qualité (Éloge d’Eusébie 13, 120 b), il n’est pas parvenu jusqu’à la philosophie (Lettre à Thémistios 12, 266 d). D’une manière encore plus significative, il affirme (Contre Héracleios 23, 235 a) qu’il n’a atteint que l’antichambre (τὰ πρόθυρα) de la philosophie : il fait sûrement allusion ici à son cursus d’études philosophiques (cf. Proclus, Commentaire sur l’Alcibiade 61, 16-17 Segonds). Julien n’a pas atteint, selon ses propres dires, le degré suprême de l’initiation philosophique. Il fut en effet obligé d’interrompre ses études lorsqu’à la fin de 354 Constance le fit placer sous surveillance avant de le convoquer à la Cour de Milan Julien reprit ses études l’année suivante à Athènes. Mais son séjour dans cette ville fut très bref : il n’a pu durer plus de cinq mois. Aucune de nos sources ne permet de dire qu’il s’inscrivit durant cette période à un cours de philosophie. Socrate (III 1, 379 C) est le seul à parler de philosophie à propos de ce séjour, en déclarant que Julien a reçu de Constance la permission d’aller à Athènes étudier la philosophie. En tout cas, Julien n’a pas fréquenté l’école de Priscos à Athènes puisqu’il déclare à ce dernier, dans la Lettre 12, p. 19, 16 Bidez, qu’il est son « disciple sans titre »."
160 Laetus (Ofellius) L13 1 → 100 Platonicien Grèce → Athènes
Asie Mineure → Ephèse
1 IG II2 3816 (Athenes); I. Ephesos 3901 (voir J. Nolle, ZPE 41, 1981, p. 197-206) Bull. Épigr. 1981, 481,J. Nollé, ZPE 41, 1981, p. 197-206. J. Nollé “Ofellius Laetus, Platonischer Philosoph.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 41, 1981, pp. 197–206. P. T. Keyser, Georgia L. Irby-Massie 2008, Encyclopedia of Ancient Natural Scientists: The Greek Tradition and its Many Heirs. DPhA s.v. Laetus (Ofellius –) : "ce personnage est très probablement identique à l’auteur Laitos, cité à deux reprises par Plutarque dans son traité Sur les causes physiques (911 F, 913 F), en des termes qui suggèrent qu’il avait pu l’entendre personnellement." Il appartenait à la famille d'Ofellii d'Ephèse. L'inscription d'Athènes est antérieure à celle d'Ephèse.
161 Lampon L15 101 → 167 Autre Égypte → Thèbes, Vallée des rois 1 J. Baillet, Tombeaux, n° 1548 Il paraît douteux qu’il puisse être identique, comme le proposait J. Baillet, à l’homonyme connu de Galien (Topiques I 1 et III 3), qui était médecin à Péluse (RE 5).
162 Leitè (Aurelia –) L27 268 → 300 Autre Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Paros 1 IG XII 5, 292 M. B. Fant, M. R. Lefkowitz, Women's Life in Greece and Rome: A Source Book in Translation, 2016. DPhA s.v. Leitè (Aurelia –) : "Évergète de la cité de Paros, dont elle avait notamment, en tant que gymnasiarque, fait restaurer l’un des gymnases, épouse d’un grand-prêtre municipal du culte impérial, Aurelia Leitè est honorée par sa patrie pour ses vertus familiales et son dévouement à la patrie." Femme, philosophie comme vertu de femme