Les philosophes antiques

ID Nom du philosophe DPhA Époque École φ Région(s) → Cité(s) Inscriptions φ Actions
90 Démétrios (Aurélius) de Nicomédie D53 300 → 300 Stoïcien Asie Mineure → Nicomédie 1 ZPE 47, 1982, p. 43-44
105 Dorothéos d’Oropos D222a -100 → 100 Autre Grèce → Athènes 1 P. Agallopoulou, ArchDelt 52, 1997, Chronika II 1, Athenès, 2002, p. 99. B. Ch. Petrakos, Οἱ ἐπιγραφὲς τοῦ Ὠρωποῦ, coll. « Βιβλιοθήκη τῆς ἐν Ἀθήναις Ἀ ρχαιολογικῆς Ἑταιρείας » 170, Athenes, 1997, n° 584 α, p. 449. P. Agallopoulou, ArchDelt 52, 1997, Chronika II 1, Athènes, 2002, p. 99. B. Ch. Petrakos, Οἱ ἐπιγραφὲς τοῦ Ὠρωποῦ, coll. « Βιβλιοθήκη τῆς ἐν Ἀθήναις Ἀ ρχαιολογικῆς Ἑταιρείας » 170, Athènes, 1997, n° 584 α, p. 449. DPhA s.v. Dorothéos d’Oropos : " Il était le fils d’un certain Pélopidès (ou –das) d’Oropos, et peut-être père d’un Symmachos d’Oropos sur une colonnette funéraire attribuée au Ier s. av. ou apr. J.-Chr. (IG II2 10520)."
104 Dionysodoros (Flavius Maecius Se[verus] ou Se[renus]), d’Antin… D190 135 → 200 Platonicien Égypte → Antinooupolis 1 Sammelbuch III 6012 ; IBM IV 1076. P. Cauderlier et K. A. Worp, « Unrecognized evidence for a mysterious philosopher », Aegyptus 62, 1982, p. 72-79. A. Bernand, Les portes du désert, Paris,1984, n° 14, p. 96-97 ; J. M. Dillon, The Middle Platonists., 80 B.C. to 220 A.D., Ithaca (NY), 1977, p. 262. A. Gioè, Filosofi medioplatonici del II secolo D. C. Testimonianze e frammenti. Gaio, Albino, Lucio, Nicostrato, Tauro, Severo, Arpocrazione, coll. « Elenchos » 36, Napoli 2002, p. 377-393 (texte et traduction italienne), p. 395-433 (commentaire). DPhA s.v. Dionysodoros (Flavius Maecius Se[verus] ou Se[renus]), d’Antinooupolis : " Bouleute de la cité, identique sans doute à Severus, commentateur de Platon. Thomas Auffret, « Serenus d’Antinoë dans la tradition gréco-arabe des coniques », ASPh 24, 2014, p. 181-209, considère qu'il doit être identifié au géomètre et platonicien Serenus (DPhA, VI , S56; DPhA, VII, S56 comp.). Par conséquent, il suggère de restituer son cognomen sous la forme Se[renus]." Voir DPhA, VI, s.v. Severos (S61).
97 Dionsysios de Rhodes D183 101 → 134 Épicurien Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Rhodes 0 M. F. Smith (edit.), Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Napoli 1993, 660 p., date l’inscription vers l’an 120 de notre ere (p. 35-48) M. F. Smith (édit.), Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro » Suppl. 1, Napoli 1993, 660 p., date l’inscription vers l’an 120 de notre ère (p. 35-48) DPhA s.v. Dionsysos de Rhodes : " Cet ami de Diogène d’Oinoanda [→D 141] (fr. 122 : Διονυσίου τοῦ | ἡμετέρου) faisait partie de la communauté épicurienne de Rhodes , il était également le dédicataire d’une autre lettre – de contenu philosophique – de Diogène (fr. 68-74 Smith). Lors d’un de ses séjours à Rhodes, Diogène avait été soigné par une dame à qui il avait été recommandé par Carus et Dionysios."
95 Dionysios (Aelius) d’Halicarnasse D178 135 → 167 Autre Asie Mineure → Halicarnasse 0 B. Haussoullier, BCH 4, 1880, p. 405 N. Lewis, « Literati in the service of Roman Emperors. Politics before culture », dans Numismatic and other studies in honour of B. L. Trell, Detroit 1981, p. 155 , C. Scherer, De Aelio Dionysio musico, Bonn 1886.
94 Dionysios (T. Pompeius) d’Athènes D176 201 → 267 Autre Grèce → Athènes 2 IG II2 3810; IG II2 1826 S. Follet, Athènes au II e et au III e siècle, Paris 1976, p. 518  N. Lewis, « Literati in the service of Roman Emperors. Politics before culture », dans Numismatic and other studies in honour of B. L. Trell, Detroit 1981, p. 149-166  Marcus Aurelius, coll. « Hesp. Suppl. » 13, 1970, p. 106 AJPh 98, 1977, p. 166 P. Graindor, « Le nom de l’Université d’Athènes sous l’Empire », RBPH 17, 1938, p. 207-212 J. P. Lynch, Aristotle’s school, p. 174-176 Son acmè se place vers le premier quart du IIIe s. : il est nommé dans une liste de prytanes des environs de 220
93 Dionysios d’Athènes D173 -200 → 0 Stoïcien Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Délos 1 ID 1801 Le document datant de l’époque de la colonie athénienne, l’activité de Dionysios se place soit vers la seconde moitié du IIe s. av. J.-C., soit vers le premier quart du Ier.
103 Dion d’Ephèse D163 -334 → -268 Autre Rome et Italie → Rome 1 IG XIV 1149 = IGUR IV 1491 G. de Luca, Altertümer von Pergamon XI 4 : Das Asklepieion 4 Via Tecta und Hallenstraße, die Funde, 1984, p. 105, S 27, pl. 48 Chr. Habicht, Altertümer von Pergamon VIII 3 Die Inschriften des Asklepieions, 1969, p. 162 : Richter, Portraits II, p. 244. DPhA s.v. Dion d’Ephèse : " pas connu par ailleurs,Le seul élément qui permette de le situer est la signature du sculpteur Sthennis : l’activité de cet artiste se place entre le règne d’Alexandre et les environs de 280a , voir G. Richter, Portraits, t. II, p. 244. Le philosophe que Sthennis avait représenté devait être l’un de ses contemporains, tombé ensuite dans l’oubli. La base était d’époque impériale mais, d’après G. Richter, elle devait porter non pas une copie mais l’œuvre originale de Sthennis"
101 Diogène de Sinope D147 -412 → -321 Cynique Asie Mineure → Sinope 0 D. M. Bailey, A Catalogue of the Lamps in the British Museum, t. II, London 1980, nos Q 797 et 837)  J. Babelon, « Diogène le Cynique », RN 18, 1914, p. 14-19  J. Babelon, « Diogène et la monnaie », Démaréteion I, 1935, p. 63-66 H. Bannert, « Numismatisches zur Biographie und Lehre des Hundes Diogenes », Mélanges R. Goebe = LNV 1, 1979, p. 49-63 ,Consulter la bibliographie sur les socratiques contenue dans le t. III de Giannantoni 3, celle de Paquet 20, p. 312-315 M. Billerbeck, Die Kyniker in der modernen Forschung, coll. « Bochumer Studien zur Philosophie » 15, Amsterdam 1991, p. 303-317. DPhA s.v. Diogène de Sinope : " En D. L. VI 75 sont mentionnés « un certain Onésicrite d’Égine » (→O 24) et ses deux fils : Androsthène (→A 182) et Philiscos (→P 133), et en VI 76 sont également cités l’homme politique bien connu Phocion Chrestos (→P 171), le philosophe mégarique Stilpon (→S 163) et « bien d’autres hommes politiques » Une autre liste commence en VI 82 , elle fait intervenir successivement Monime (→M 190), puis en VI 84 un second Onésicrite (→O 23), celui qui prit part à l’expédition d’Alexandre en Orient (certains le disent d’Égine, mais Démétrios de Magnésie le dit d’Astypalaea), enfin Ménandre surnommé « Bois de Chêne » (→M 104), Hégésias de Sinope surnommé « Collier de chien » (→H 19), Philiscos d’Égine déjà mentionné en VI 75, et en VI 85 Cratès de Thèbes (→C 205), le cynique le plus connu après Diogène Il faut ajouter encore les enfants de Xéniade (→X 5), dont Diogène fut le précepteur et à qui il faisait apprendre par cœur des passages de ses propres œuvres. , Son père passe pour avoir falsifié la monnaie (VI 20-21) et Diogène aurait été d’une façon ou d’une autre associé à cette falsification La biographie de Diogène fait état aussi des rencontres du philosophe avec Philippe de Macédoine et surtout avec le fils de celui-ci, Alexandre."
102 Diogène d’Oinoanda D141 50 → 150 Épicurien Asie Mineure → Oinoanda 0 M. F. Smith, Diogenes of Oinoanda. The Epicurean inscription. Edited with Introduction, translation, and notes, coll. « La Scuola di Epicuro », Suppl. 1, Naples, 1993. J. Hammerstaedt, P.-M. Morel, R. Güremen (éds.), Diogenes of Oinoanda – Diogène d’Œnoanda. Epicureanism and Philosophical Debates – Épicurisme et controverses, Leuven, 2017. A. Etienne, D. O'Meara, La philosophie épicurienne sur pierre: les fragments de Diogène d'Oinoanda, Fribourd-Paris, 1996. Diogène, grand notable de sa patrie du IIe s. ap. J.-C., fut l'auteur de plusieurs traités épicuriens qu'il fit graver sur un mur, sur l'agora.
100 Diodoros Callimédès (M. Aurelius) d’Aphrodisias D133 168 → 234 Autre Asie Mineure → Aphrodisias 1 MAMA VIII n° 400, p. 109-110 et pl. 20 L. Robert, Hellenica XI/XII, 1960, p. 551 DPhA s.v. Diodoros Callimédès (M. Aurelius) d’Aphrodisias : " Il appartenait à une famille de petits notables qui exerçaient régulièrement des responsabilités politiques mais qui n’étaient pas citoyens romains avant la génération de Diodoros. Comme cette accession à la civitas se traduit par les noms Marcus Aurelius, elle n’est sûrement pas antérieure au dernier tiers du IIe s. et pourrait bien être l’effet de la constitution de Caracalla : l’activité de Diodoros se place donc vers la fin du IIe siècle ou dans la première moitié du IIIe."
298 Damon d’Athènes D13 -467 → -435 Pythagoricien Grèce → Athènes 1 IG I2, 912 A. Leroi-Cortot, Influences croisées entre les traditions musicales perses et européennes. Les fondements d’une esthétique musicale commune, 2009 D. Laborde, Des passions de l'âme au discours de la musique, 1994 L. Brisson, Platon, Pythagore et les pythagoriciens, 2007 J. Carcopino, L’Ostracisme athénien, Paris 1909, 2e éd. 1935, p. 125-142 (reprise de REG 18, 1905, p. 415 DPhA s.v. Damon d’Athènes : "Comme musicien, Damon a suivi les leçons d’Agathoclès (→A 37), soit directement (Platon, Lach. 180 d), soit par l’intermédiaire d’un disciple de celui-ci, Lamproclès (Scholie à Platon, Alc. Maj. 118 c). Au dire de Plutarque (Péricl. 4), Aristote (fr. 401 Rose) lui attribuait comme maître l’aulète Pythoclidès de Céos [→P 337] (désigné par Platon, Protag. 316 e, comme un « grand philosophe » (μέγας σοϕιστής). Ce pythagoricien, inventeur de la musique noble (μουσικὴ σεμνή), aurait lui-même enseigné la musique à Agathoclès (Scholie à Platon déjà citée)."
77 Charilampianè Olympias (Aurelia) d’Héraclée du Pont C98 200 → 300 Autre Asie Mineure → Héraclée du Pont 1 I. Heracleia, 10 Beate Dignas, Kai Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus Parents : Aurelius Thrasymèdianos Hérakleidès, d’Héraclée du Pont & Aurelia Charilampianè Olympias.
76 Charax (A. Claudius) de Pergame C94 135 → 167 Autre Asie Mineure → Pergame 1 IG V 1, 71, col. III, li. 5, 18, 25 (Sparte) , (4) AvP VIII 3, n° 8 (Pergame) , (5) AvP VIII 3, n° 141 (Pergame) , (6) IGR IV 494, corrigée par H. Hepding, MDAI(A) 32, 1907, p. 354 (Pergame) , (7) IGR IV 283, corrigée par Chr. Habicht, MDAI(I) 9/10, 1959/60, p. 119 (Pergame) , (8) MDAI(I) 9/10, 1959/60, n° 1, p. 110 (SEG XVIII 557 : Pergame) , (9) Not. Scav. 15, 1939, p. 363 (A. Degrassi, Fasti consolari, Roma 1952, p. 42 : Rome). ,F. Jacoby (edit.), FGrHist II 103, p. 482-493. C. Habicht, „Iulius Maior aus Nysa, Eponym in Kyzikos“, Hyperboreus 11, 114-119 E. Schwartz, RE III 2, 1899, col. 2122-2123 F. Jacoby (édit.), FGrHist II, Berlin 1926, Komm. n° 103, p. 312-319 C. Habicht, « Zwei neue Inschriften aus Pergamon », MDAI(I) 9/10, 1959/60, p. 109-127 R. Hanslik, RESuppl. XII, 1970, col. 148 W. Eck, RESuppl. XIV, 1974, col. 99-100 H. Halfmann, Die Senatoren aus dem östlichen Teil, Göttingen 1979, n° 73, p. 161-162 O. Andrei, A. Claudius Charax di Pergamo. interessi antiquari e antichità cittadine nell’età degli Antonini, coll. «Opuscula philologica » 5, Bologna 1984 W. Ameling, compte rendu de Andrei 7 dans Gnomon 58, 1986, p. 465-468 A. Chaniotis, Historie und Historiker in den griechischen inschriften, Stuttgart 1988, p. 318-320 M. Le Glay, « Hadrien et l’Asklèpieion de Pergame », BCH 100, 1976, p. 369 DPhA s.v. Charax de Pergame : "Historien (et philosophe ?), dont l’acmè se situe sous le règne d’Antonin , Issu d’une famille de notables pergaméniens, l’historien fut membre du Sénat romain et les inscriptions, en mentionnant les principales étapes de son cursus, permettent de situer son activité à la fin du règne d’Hadrien et sous celui d’Antonin. Questeur de Sicile en 137 au plus tard"
62 Cailianos (T. Varius) C9 101 → 134 Autre Grèce → Athènes 1 J. H. Oliver, « Philosophers and Procurators. Relatives of the Aemilius Juncus of Vita Commodi 4, 11 », Hesperia 36, 1967, p. 42-56 H. Halfmann, Die Senatoren aus dem östlichen Teil des Imperium Romanum bis zum Ende des 2. Jahrhunderts n. Chr., coll. « Hypomnemata » 58, Göttingen 1979, n° 55, p. 145-146. DPhA s.v. Cailianos (T. Varius) : "Sa fille Varia Archélais, avait épousé L. Aemilius Juncus. Or ce sénateur originaire de Tripolis, consul suffect à la fin de 127, avait été, de 129 à 135 au moins, envoyé spécial d’Hadrien en Achaïe, avec le titre de legatus pro praetore, pour régler les litiges entre les cités libres ,Qu’il ait eu ou non le droit de cité à Athènes (dans une inscription privée, l’absence de démotique ne constitue pas la preuve absolue qu’y trouvait J. H. Oliver), Cailianos n’était peut-être pas d’origine athénienne."
75 Chabrias d’Athènes C86 -367 → -301 Platonicien Grèce → Athènes 3 Voir IG XIV 1222 , IG II2 21 , IG II2 1606, 1607 , A. P. Burnett et C. N. Edmonson, Hesperia 30, 1961, p. 74-91 , voir aussi AJA 67, 1963, p. 411-413 , Hesperia 41, 1972, p. 466-474 J. Kirchner, RE III 2, 1899, col. 2017-2021 J. Cargill, The Second Athenian League, Berkeley 1981 (p. 100-101 , 152-153 , 171 , 190-191)  A. Fol dans Studia in honorem Veselini Besevliev, Sofia 1978, p. 429-434 A. G. Woodhead, « Chabrias, Timotheus and the Aegean Allies », Phoenix 16, 1962, p. 258-266) Fils de Ctèsippos, d’Aixonè.
74 Censorinus, fils de Censorinus, d’Athènes C76 = le meme que C… 135 → 200 Platonicien Grèce → Athènes 1 J. Kirchner (IG II2 4200/01) et complétée par M. Th. Mitsos, ArchDelt 27, 1970, n° 3, p. 30 et pl. 14  S. Follet, Athènes au II e et au IIIe siècle. études chronologiques et prosopographiques, Paris 1976, p. 124 n. 5 SEG 26, 1976-1977, n° 260, p. 80-81, date d’avant 212 , mentionné par Alexandre d’Aphrodise (ID DPhA :A 112) dans ses Problèmes physiques I 13 (p. 25-26 ed. I. Bruns, « Supplementum Aristotelicum » II 2, Berlin 1892) L. Moretti, « Epigraphica 21 », RFIC 109, 1981, p. 259 n. 3 (= Tra epigrafia e storia. Scritti scelti e annotati, coll. « Vetera » 5, Roma 1990, p. 381
72 Celer (C. Artorius) C63 -27 → 330 Épicurien Afrique proconsulaire → Sicca Veneria (El Kef) 1 ILTun 1614 = AE 1937, 34 ILTun 1614 = AE 1937, 34. R.M.Q. Grant, Augustus to Constantine: The Rise and Triumph of Christianity in the Roman World, 2004. H. Temporini, Aufstieg und Niedergang der römischen Welt: Geschichte und Kultur Roms im Spiegel der neueren Forschung, 1900. DPhA s.v. Celer (C. Artorius) : "Il s'agit d'une double épitaphe affichée sur le même cippe funéraire : la première concerne un membre de la famille du philosophe, Artorius Celer Munatianus, décédé à 22 ans, la seconde est érigée pour notre personnage, C. Artorius Celer, tous les deux de la tribu Papiria, philosophe épicurien, mort à 32 ans. Un troisième membre de la famille, L. Artorius Florentinus, de la même tribu, avait son tombeau dans la même région (Lalla Dahlia, Afrique proconsulaire, CIL VIII, 27708). C. Artorius Celer, philosophus Epicureus pius phi/losophus / Epicureus
71 Carus C49 -100 → 200 Épicurien Rome et Italie → Rome 0 R. Heberdey et E. Kalinka, « Die philosophische Inschrift von Oinoanda », BCH 21, 1897, p. 346-443 ,cité par Diogène d’Oinoanda [ID DPhA :D 141] (fr. 122 Smith, II 7-10) L. Canfora, « Diogene di Enoanda e Lucrezio », RFIC 120, 1992, p. 52-53  R. Heberdey et E. Kalinka, « Die philosophische Inschrift von Oinoanda », BCH 21, 1897, p. 346-443  A. Körte, « Titus Lucretius Carus bei Diogenes von Oinoanda ? »
70 Carnéade de Cyrène C42 -300 → -101 Platonicien Grèce → Athènes 1 U. Kohler, « Basis des Karneades », MDAI(A) 5, 1880, p. 284-286 , Richter, Portraits II, p. 250, n° 8, fig. 1681. SIG3 666 , IG II2 3781 H. von Arnim, RE X 2, 1919, col. 1964-1985 A. Weische, RESuppl. XI, 1968, col. 853-856 B. Wiśniewski, Karneades. Fragmente. Text und Kommentar, coll. «rchivum Filologiczne » 24, Varsovie 1970 M. Dal Pra, Lo scetticismo greco, 2e éd., Roma/Bari 1975, p. 167-285 J. Glucker, Antiochus, passim A. Russo, Scettici antichi, Torino 1978, p. 215-383 T. Dorandi, La ‘Cronologia’ di Apollodoro nel PHerc. 1021, Napoli 1982, p. 23 sq. L. Ferraria et G. Santese, « Bibliografia sullo scetticismo antico 1880-1978 », dans les Actes du Congrès Lo Scetticismo antico publiés sous la direction de G. Giannantoni, Napoli 1981, t. II, p. 753-850 A. M. Ioppolo, Elenchos 1, 1980, p. 76-91 H. J. Mette, « Weitere Akademiker heute. Von Lakydes bis zu Kleitomachos », Lustrum 27, 1985, p. 53-141 H. Tarrant, Scepticism or Platonism ? The philosophy of the Fourth Academy, Cambridge 1985, p. 2-41, 89-94, 122 sq. A. M. Ioppolo, Opinione e scienza. Il dibattito tra Stoici e Accademici nel III e II secolo a. C., Napoli 1986 Dorandi (édit.), Filodemo : Platone e l’Academia, p. 68-71 , 14 Id., Cronologia, p. 11-16  H. B. Mattingly, Historia 20, 1971, p. 30-32 B. D. Meritt, Historia 26, 1977, p. 165-166 P. Gauthier, Les cités grecques et leurs bienfaiteurs (IV e–Ier siècle av. J.-C.). Contribution à l’histoire des institutions, coll. « BCH Suppl. » 12, Paris 1985, p. 209 P. Bernard, « Les rhytons de Nysa. I. Poétesses grecques », JS 1985, p. 81 n. 155 Qcholarque à la suite d’Hégésinos
69 Capito (Sex. Iulius) C39 135 → 167 Platonicien Asie Mineure → Pergame 1 IGR IV 386 , IGR IV 353, ligne 30 , MDAI(A) 37, 1912, p. 1911, n° 15 , AvP VIII 2, 327 , AvP VIII 2, 478 ,discours 47 d’Aelius Aristide C. A. Behr, Aelius Aristides and the Sacred Tales, Amsterdam 1968 J. S. Kloppenborg, S. G. WilsonRoutledge, Voluntary Associations in the Graeco-Roman World, 2002 DPhA s.v. Capito (Sextus Iulius) : "ami d’Aelius Aristide , Capito appartenait à une cité qui célébrait des Olympia, dont il semble avoir lui-même été agonothète (p. 423 Dindorf) ,fils de Mènophantès, boukôlos de Dionysos Kathègèmôn sous Trajan"
68 Callisthène d’Olynthe C36 -367 → -335 Péripatéticien Grèce → Delphes 0 SIG3 275 H. Berve, Das Alexanderreich auf prosopographischer Grundlage, München 1926, t. II, p. 191-199, 434 (n° 408)  W. Spoerri « Épigraphie et littérature : à propos de la liste des Pythioniques à Delphes », dans D. Knoepfler (édit.), Comptes et inventaires dans la cité grecque. Actes du colloque international d’épigraphie tenu à Neuchâtel du 23 au 26 septembre 1986 en l’honneur de Jacques Tréheux, coll. « Recueil de travaux publiés par la Faculté des Lettres de l’Université de Neuchâtel » 40, Neuchâtel/Genève 1988, p. 111-140  A.-H. Chroust, « Aristotle and Callisthenes of Olynthus », dans A.-H. Chroust, Aristotle. New light on his life and on some of his lost works, t. I, London 1973, p. 83-91, 330-336 P. Pédech, Historiens compagnons d’Alexandre. Callisthène – Onésicrite – Néarque – Ptolémée – Aristobule, « Collection d’Études anciennes », Paris 1984 (c.r. par 16 G. Wirth, Gnomon 58, 1986, p. 230-237) Callisthène vécut chez son parent Aristote.
67 Callisthène d’Olbia C35 -133 → -68 Autre Pont-Euxin → Olbia du Pont 1 B. Latyschev, IOSPE I n° 42 , voir les remarques de L. Robert, Hellenica II, 1946, p. 142 P. Veyne, Le pain et le cirque, Paris 1976, p. 306, n. 316 DPhA s.v.Callisthène d’Olbia : "fils de Callisthène ,Il était né dans une famille riche, l’une des plus influentes d’Olbia : ses ancêtres, qui avaient rendu de grands services dans des circonstances critiques et mérité le titre de « fondateurs de la cité », étaient « connus et estimés des empereurs », sans d’ailleurs être citoyens romains"
341 Taurus (L. Calvenus) C339 101 → 200 Platonicien Grèce → Delphes 1 Syll. 3, 868 ; FD III, 4, 91. BE1974, 297.
66 Callipos d’Athènes C31 -367 → -335 Platonicien Grèce → Athènes 0 IG2 1609, l. 96 ; Diogène Laërce III 46; Souda, s. v. Κάλλιππος, Κ 237, t. III, p. 20, 18-20. Stähelin, art. « Kallippos » 1, RE X 2, 1919, col. 1664-1666. A. Wörle, Die politische Tätigkeit der Schüler Platons, coll. « Göppinger Akademische Beiträge » 112 Darmstadt 1981, p. 88-97 J. Kirchner, PA I 536, 8065 , J. K. Davies, APF, n° 8065, p. 274-275 R. Develin, Athenian Officials 684-321 B. C., Cambridge 1989, p. 472
89 Cyrion (P. Aelius) d’Ancyre, frère de Cyrillos C232 101 → 300 Autre Asie Mineure → Ancyre 1 S. Mitchell, AS 27, 1977, n° 12, p. 81-82 Frère de Cyrillos.
88 Cyrilllos d’Ancyre C231 101 → 300 Autre Asie Mineure → Ancyre 1 S. Mitchell, AS 27, 1977, n° 12, p. 81-82 Frère de Cyrion.
86 Ctésiphon de Thasos C225a + C225a comp. 101 → 300 Autre Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Thasos 0 BCH 118, 1994, p. 407-410 J. Pouilloux, Recherches sur l’histoire et les cultes de Thasos, t. II : De 196 avant J.-C. jusqu’à la fin de l’Antiquité, coll. « Études thasiennes » 5, Paris 1958, p. 285. cf. T. IV, p. 870 (citer : DphA 2003, vol. Supplement, p. 86-87) Fils de Némonios, il appartenait à une famille de notables de Thasos.
332 Critolaos de Phasélis C219 (sans mention… -200 → -120 Péripatéticien Grèce → Olympie 1 Kl. Hallof, Kl. Herrmann, S. Prignitz, « Alte und neue Inschriften aus Olympia, I », Chiron 42 (2012), 213-238 . (BE 2013, 149). Le nom et l'affiliation du philosophe (Κριτόλαος, ἵστορ᾽ Ἀριστοτέλους) apparaît sur une base de statue d'Olympie, signée par le sculpteur [Εὔχειρ Εὐβου]λίδου Ἀθηναῖος ; il est possible que les deux autres membres de l’ambassade, Carnéade et Diogène, aient figuré sur le même monument.
297 Critobule d’Alopékè C217 -434 → -401 Socratique Grèce → Athènes 0 IG II2 ,1611. J. Laurent, La mesure de l'humain selon Platon, 2002 Frisch, Magnus, Die Tollkühnheit, einen schönen Menschen zu küssen: philosophische Ansätze bei der Textinterpretation am Beispiel von Xenophon, Memorabilia 1, 3, 8-15, 57:5 (2014) 42-49, ill Kirchner, PA I, 8802, cf. 8801 G. Giannantoni, SSR VI B 32-39, t. II, p. 634- L. Brisson Platon, Pythagore et les pythagoriciens, 2007 D. Laborde, Des passions de l'âme au discours de la musique, 1994 A. Leroi-Cortot Influences croisées entre les traditions musicales perses et européennes. Les fondements d’une esthétique musicale commune, 2009,635. DPhA s.V. Critobule d’Alopékè : " Critobule est le fils de Criton (→C 220), du dème d’Alopékè, et donc, si on veut bien en croire D. L. (II 121), le frère d’Hermogène (→H 94), d’Épigène (→E 38) et de Ctésippe (→C 227)." DPhA s.v. Critobule d’Alopékè: " Dans l’Économique, où il en fait l’interlocuteur principal de Socrate (→S 98) tout au long des six premiers chapitres, Xénophon nous apprend que la fortune de Critobule s’élevait à 500 mines (= 8 talents + 2 000 drachmes = 50 000 drachmes, 1 drachme représentant le salaire quotidien moyen d’un ouvrier qualifié à Athènes au Ve et au IVe siècle). Cette information, jointe au catalogue des liturgies auxquelles il était ou pouvait être astreint (Économique II 5 sq.), implique comme une quasi-certitude que ce Critobule est le même que celui qui fut victorieux comme chorège pour la tribu Antiochide à un concours de dithyrambe pour les hommes organisé lors des Dionysies (J. Kirchner, PA I 8801) au début du IVe siècle (IG II2 1611)."