Les philosophes antiques

ID Nom du philosophe DPhA Époque École φ Région(s) → Cité(s) Inscriptions φ Actions
136 Héracleia (Aurelia) H44 201 → 300 Autre Grèce → Sparte 1 IG V 1, 599 J. A. Straus, L'achat et la vente des esclaves dans l'Egypte romaine, 2004. sa mère, Aurelia Oppia (→O 31), son grand-père maternel Aurelius Calli[cratès] (IG V 1, 598) Femme. Plutôt la sagesse qui convient à une femme, pas véritable philosophe,« nouvelle Pénélope », l’épigramme funéraire vante sa mètis et la sagesse de son esprit.
140 Herennianus de Dion H71a 101 → 300 Autre Grèce → Dion 0 SEG 49, 696 D. Pandermalis, Δῖον. Η ανακαλυψή, Athènes 1999, p. 158-159.
144 Hermocratès (Flavius) de Phocée H87 135 → 167 Autre Asie Mineure → Phocée 0 IGR IV 1324 , plutot que IGR IV 1326, voir CIG Add. 3414 et Mouseion II 2, 1, 1875/76, p. 11, avec la correction d’H. Engelmann, ZPE 42, 1981, p. 202-208 J. Fournier, “LES ‘SYNDIKOI’, REPRÉSENTANTS JURIDIQUES DES CITÉS GRECQUES SOUS LE HAUT-EMPIRE ROMAIN.” Cahiers Du Centre Gustave Glotz, vol. 18, 2007, pp. 7–36. Campanile Domitilla. Athanasios D. Rizakis & Francesco Camia (Ed.), Pathways to Power. Civic Elites in the Eastern Part of the Roman Empire. Proceedings of the International Workshop held at Athens, Scuola archeologica italiana di Atene, 19 december 2005, 2008. In: L'antiquité classique, Tome 78, 2009. pp. 587-589. E. Ziebarth, Wiss. Beiläge zum Jahresber. Wilhelms-Gymnasiums Hamburg 1903, p. 10. Sa femme : Vibia Polla.
145 Hérodotos (Flavius?) de Smyrne H104 101 → 200 Autre Asie Mineure → Pergame 1 MDAI(A) 35, 1910, p. 485 n° 80 , IGR IV 1690 Sa fille : Flavia Apphion Cornèlianè.
147 Hiérax (Flavius) H117 135 → 167 Autre Égypte → Alexandrie 0 F. Kayser, Recueil des inscriptions grecques et latines d’Alexandrie imperiale, Le Caire 1994, n° 98 , voir APf 2, 1902/1905, n° 127 F. Kayser, Recueil des inscriptions grecques et latines d’Alexandrie impériale, Le Caire 1994, n° 98 , voir APf 2, 1902/1905, n° 127). H. Halfmann, Éphèse et Pergame. Urbanisme et commanditaires en Asie mineure romaine. Bordeaux, Ausonius - Paris, De Boccard, 2004. Comme l’a indiqué C. P. Jones, Démétrios est très vraisemblablement l’ami de Favorinus (→F 10) mentionné par Galien (t. XIV, p. 627 Kühn). Flavius Hiérax avait fait exécuter la statue offerte par les « philosophes » du Musée au rhéteur Aelius Démétrios
150 Hortensinus H168 101 → 200 Autre Rome et Italie → Rome 1 IGUR 835 P. Vesperini 2019, La Philosophie antique. Médecin, mort à Rome à 52 ans.
152 Iamblichos d’Apamée I2 335 → 400 Autre Grèce → Athènes 0 A. E. Raubitschek, « Iamblichos at Athens », Hesperia 33, 1964, p. 63-68 Henry J. Blumenthal, E. Gillian Clark, 1993, The Divine Iamblichus: Philosopher and Man of Gods. Fils d’un certain Himérius (PLRE I :3), il était le petit-fils du philosophe Sopatros d’Apamée [→S 107] (RE 11 , PLRE I :1) et le neveu du fils de ce dernier, Sopatros [→S 108] (RE 12 , PLRE I :2), correspondant de Libanios (→L 52). Il était également parent du rhéteur Libanios (Libanios, Ep. 571, 1 , 576, 1 , 801, 3). Contemporain de ce dernier, qui lui écrivit plusieurs lettres et le recommanda à un certain nombre de ses correspondants, il était encore vivant en 391 (Libanios, Ep. 1007, datée de 391 par O. Seeck, Die Briefe des Libanius zeitlich geordnet, Leipzig 1906). Une partie de sa vie s’est certainement déroulée à Antioche, où il fut en relation étroite avec Libanios : la séparation évoquée par les lettres de Libanios à partir du moment où Jamblique se met à voyager le laisse en tout cas penser. Ses voyages le conduisirent à Athènes, où il finit par s’installer pour un long séjour (Libanios, Ep. 801, datée de 362/3) Voir arbre généalogique de Jamblique d’Apamée. C’est sans doute lui que Symmaque (→S 177), dans une de ses lettres, range parmi les studiosos sapientiae viros (Ep. IX 2)
154 Isée l’Assyrien I27 68 → 134 Autre Grèce → Eleusis 1 IG II2 3632, 7 C. Jouanno, “Les Byzantins et la seconde sophistiques : étude sur Michel Psellos” Revue Des Études Grecques, vol. 122, no. 1, 2009, pp. 113–143. A. N. Sherwin-White, The Letters of Pliny. A historical and social commentary, Oxford 1966, p. 147-148 . P. Grimal, « Deux figures de la Correspondance de Pline : le philosophe Euphratès et le rhéteur Isée », Latomus 14, 1955, p. 381-383. J. Ferguson, A Prosopography to the Poems of Juvenal, coll. « Latomus » 200, Bruxelles 1987, p. 121-122 . G. Anderson, Philostratus. Biography and Belles Lettres in the Third Century A. D., London/Sydney/Dover 1986, passim (voir l’index). P. Graindor, Chronologie des archontes athéniens sous l’Empire, Gand 1922, p. 229-235 , Id., Marbres et textes antiques d’époque impériale, coll. « Université de Gand. Recueil de travaux publiés par la Faculté de Philosophie et Lettres » 50, Gand 1992, p. 69-72. J. H. Oliver, « Two Athenian Poets », Hesperia Suppl. 8, 1949, p. 243-258 , K. Clinton, The Sacred Officials of the Eleusinian Mysteries, coll. « Transactions of the American Philosophical Society » 64, 3, Philadelphia 1974, p. 88. S. Follet, Athènes au IIème et au IIIème siècle. Études chronologiques et prosopographiques, « Collection d’études anciennes », Paris 1976, p. 262-267. DPhA s.v. Isée l’Assyrien : " originaire de Syrie du Nord, il vint à Rome à plus de soixante ans. Vers 97-100, Pline le Jeune (Ep. II 3) recommande à son ami Nepos d’aller l’entendre. Juvénal (Sat. III 74) fait allusion à son éloquence torrentielle. Philostrate, dans la biographie qu’il lui consacre (V. soph. I 20, 2 , voir aussi I 22, l), loue son talent d’improvisateur et son art de concentrer une argumentation en une brève formule. Il eut pour disciples Denys de Milet (→D 182), Lollianus d’Éphèse (Philostrate, V. soph. I 23, 2 , Souda I 620), Marc de Byzance (V. soph. I 24, 1) et l’empereur Hadrien (IG II2 3632, 5-9). Philostrate le met aussi en relation avec le rhéteur Ardys. Plusieurs épigrammes d’Éleusis permettent de suivre ses descendants, dont deux hiérophantides, sur cinq générations (IG II2 3709, 3632, 3662) , son arrière-petite-fille Eunice épousa le frère du philosophe Fl. Callaischros (→C 13)." DPhA s.v. Isée l’Assyrien : " Isée mérite une place parmi les philosophes, malgré une vie consacrée surtout aux belles-lettres, en raison de sa conversion à l’ascétisme après une jeunesse vouée aux plaisirs (Philostrate, loc. cit., d’où Souda I 620), son allusion aux “jardins de Tantale”, ses formules “j’ai cessé d’avoir les yeux malades” (πέπαυμαι ὀϕθαλμιῶν) et “tous les plaisirs ne sont qu’ombres et songes” (σκιὰ καὶ ὀνείρατα αἱ ἡδοναὶ πᾶσαι) paraissent avoir été célèbres. Sa “sagesse” est confirmée par une épigramme d’Éleusis, le qualifiant de σοϕίαις ὑπάτου (IG II2 3632, 7) et une remarque de Pline, qui le présente comme un homme d’école (scholasticus), mais ajoute : quo genere hominum nihil aut sincerius aut simplicius aut melius (Ep. II 3, 5)."
156 Iulianus I43 301 → 400 Autre Égypte → Thèbes, Vallée des rois 1 J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, Le Caire 1923, n° 1255. J. Baillet n° 1265 et G. Fowden, « Nicagoras of Athens and the Lateran Obelisk », JHS 107, 1987, p. 51-57. Julianus faisait partie de ces intellectuels venus en nombre, au IVe siècle, faire le pèlerinage des Tombeaux des Rois, en souvenir de celui que la tradition prêtait à Platon
157 Iulianus (Iulius) I44 201 → 300 Autre Rome et Italie → Rome 1 CIL VI 9783 Dessau (ILS 7778) , J. Hahn, Der Philosoph und die Gesellschaft, Stuttgart 1989, p. 171. Il a trouvé la mort aux portes de Rome Il a trouvé la mort aux portes de Rome dans un conflit au cours duquel la ville avait été sinon assiégée, du moins menacée
158 Iulianus (Julien) l’Empereur I46 331 → 363 Autre Asie Mineure → Ephèse / Iasos / Pergame 1 OGIS 520 , CIL III, Suppl. 1, 7088 ,a Ephese, I. Ephesos II (IK 12) 313 A et VII (IK 17) 3021 , a Pergame, Inschr. von Pergamon 633 : domino, a Iasos, I. Iasos I (IK 28, 1) 14 , B. PUECH] E. Soler,D'Apollonios de Tyane à l'empereur Julien, l'importance d'Antioche comme lieu de pèlerinage et centre philosophique grecs. In: Topoi. Orient-Occident. Supplément 5, 2004. Antioche de Syrie. Histoires, images et traces de la ville antique Gauthier Nancy. Les initiations mystériques de l'empereur Julien. In: Mélanges Pierre Lévêque. Tome 6 : Religion. Besançon : Université de Franche-Comté, 1992. pp. 89-104. (Annales littéraires de l'Université de Besançon, 463). P. Célérier, L’ombre de l’empereur Julien: Le destin des écrits de Julien chez les auteurs païens et chrétiens du IVe au VIe siècle, 2014. J. Arce Martínez, Estudios sobre el Emperador Fl. Cl. Juliano. Fuentes literarias, epigraficas, numismaticas, coll. « Anejos de AEA » 8, Madrid 1984, 258 p P. Athanassiadi-Fowden, Julian and Hellenism, an Intellectual Biography, Oxford 1981. J. Bouffartigue, L’Empereur Julien et la culture de son temps, « Collection des Études Augustiniennes », Série Antiquité 133, Paris 1992, 752 p. L. Cohen, « Sur l’iconographie de Julien », dans Braun et Richer 23, p. 213-227, et 55 P. Lévêque, « De nouveaux portraits de l’empereur Julien », Latomus 22, 1963, p. 74-84 (trad. allemande dans Klein 22, p. 305-317). H. von Heintze, « Nordsyrische Elfenbeinstatuetten. Zu den Bildnissen des Kaisers Julian », dans O. Feld et Urs Peschlow (édit.), Studien zur spätantiken und byzantinischen Kunst, Friedrich Wilhelm Deichmann gewidmet, Bonn 1986, t. III, p. 31-41. DPhA s.v. Iulianus (Julien) l’Empereur : "Flavius Claudius Iulianus, né en 331 / 2, empereur romain du 3 novembre 361 au 26 juin 363 ,Désireux d’accomplir des études philosophiques, il se rendit d’abord, selon Eunape (loc. cit.), à Pergame pour y suivre l’enseignement d’Aidésios (→A 56), disciple de Jamblique, ainsi que de Chrysanthe de Sardes (→C 116) et Eusèbe de Myndos (→E 156), disciples d’Aidésios. Il finit par savoir qu’un autre disciple d’Aidésios, Maxime, enseignait à Éphèse, et que dans son enseignement entrait la théurgie, condamnée par Eusèbe. Il partit alors pour Éphèse et devint l’élève de Maxime. Chrysanthe vint lui aussi à Éphèse pour collaborer à l’éducation philosophique du prince." DPhA s.v. Iulianus (Julien) l’Empereur : "On note au contraire que Julien parle de lui-même comme d’un catéchumène de la philosophie. Il a, dit-il, la réputation de philosophe sans en avoir la qualité (Éloge d’Eusébie 13, 120 b), il n’est pas parvenu jusqu’à la philosophie (Lettre à Thémistios 12, 266 d). D’une manière encore plus significative, il affirme (Contre Héracleios 23, 235 a) qu’il n’a atteint que l’antichambre (τὰ πρόθυρα) de la philosophie : il fait sûrement allusion ici à son cursus d’études philosophiques (cf. Proclus, Commentaire sur l’Alcibiade 61, 16-17 Segonds). Julien n’a pas atteint, selon ses propres dires, le degré suprême de l’initiation philosophique. Il fut en effet obligé d’interrompre ses études lorsqu’à la fin de 354 Constance le fit placer sous surveillance avant de le convoquer à la Cour de Milan Julien reprit ses études l’année suivante à Athènes. Mais son séjour dans cette ville fut très bref : il n’a pu durer plus de cinq mois. Aucune de nos sources ne permet de dire qu’il s’inscrivit durant cette période à un cours de philosophie. Socrate (III 1, 379 C) est le seul à parler de philosophie à propos de ce séjour, en déclarant que Julien a reçu de Constance la permission d’aller à Athènes étudier la philosophie. En tout cas, Julien n’a pas fréquenté l’école de Priscos à Athènes puisqu’il déclare à ce dernier, dans la Lettre 12, p. 19, 16 Bidez, qu’il est son « disciple sans titre »."
161 Lampon L15 101 → 167 Autre Égypte → Thèbes, Vallée des rois 1 J. Baillet, Tombeaux, n° 1548 Il paraît douteux qu’il puisse être identique, comme le proposait J. Baillet, à l’homonyme connu de Galien (Topiques I 1 et III 3), qui était médecin à Péluse (RE 5).
162 Leitè (Aurelia –) L27 268 → 300 Autre Îles de l’Égée et de la Méditerranée → Paros 1 IG XII 5, 292 M. B. Fant, M. R. Lefkowitz, Women's Life in Greece and Rome: A Source Book in Translation, 2016. DPhA s.v. Leitè (Aurelia –) : "Évergète de la cité de Paros, dont elle avait notamment, en tant que gymnasiarque, fait restaurer l’un des gymnases, épouse d’un grand-prêtre municipal du culte impérial, Aurelia Leitè est honorée par sa patrie pour ses vertus familiales et son dévouement à la patrie." Femme, philosophie comme vertu de femme
164 Léon (P. Memmius) de Nicopolis L35 201 → 300 Autre Grèce → Iannina 0 BCH 1, 1877, p. 294 L. Moretti, Iscrizioni agonistiche greche, Roma 1953, p. 205-206. Dion Cassius LI 1 Beate Dignas, Kai Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus DPhA s.v. Léon (p. Memmius –) de Nicopolis :"Si la lecture de Cyriaque est exacte, l’activité de ce philosophe se place dans le deuxième et le troisième quarts du IIIe siècle, car les Actia, dont la première célébration doit dater de 27a, étaient un concours pentétérique" agonothète des Actia lors de la soixante-huitième célébration de ces concours
163 Léon Thrason de Stratonicée L37 101 → 200 Autre Asie Mineure → Stratonicée 1 IK 22, 1, 1028 L. Robert, BCH 102, 1978, n. 57 p. 402 = Documents d’Asie Mineure, Athènes 1987, p. 98. DPhA s.v. Léon de Stratonicée : "Léon Thrason, fils d’Hiéroclès, appartenait à une famille d’évergètes de Stratonicée , Comme son frère Thrason Léon (→T 121), il était encore adolescent lorqu’il fut qualifié de philosophe dans le décret de Stratonicée honorant son père, sous le règne d’Antonin" Il fut grand-prêtre municipal des empereurs et prêtre de Zeus Chrysaorieus.
168 Lupus (P. Cornelius) de Nicopolis L77 68 → 100 Autre Grèce → Delphes 1 FD III 4, 115 J. Barnes 2011, Method and Metaphysics: Essays in Ancient Philosophy I. délégué de Nicopolis à l’Amphictionie delphique, comme l’avaient été auparavant deux de ses parents (FD III, 4, 114)
171 Lysis d’Aixoné L103 -500 → -401 Autre Grèce → Athènes 1 IG II2 7045, li. 5 : SEG 29, 203 , 34, 109 R. S. Stroud, « The Gravestone of Socrates’ Friend, Lysis », Hesperia 53, 1984, p. 355-360. DPhA s.v. Lysis d’Aixoné : "Lysis qui est du dème d’Aixoné est le fils de Démocrate, peut-être celui qui, aux alentours de 430, fut l’amant d’Alcibiade (Plutarque, Alcibiade 3, 1) et le petit-fils d’un Lysis (205 c) qui faisait remonter sa famille aux amours de Zeus avec la fille du fondateur de leur dème (pour un stemma hypothétique, voir Debra Nails, The People of Plato, s. v. « Lysis I » et « Lysis II »)."
173 Magnilla d’Apollonia M11 -27 → 330 Autre Asie Mineure → Apollonia de Mysie 0 IGR IV 125 B. Dignas, K. Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus femme et fille de philosophes,son père Magnus,son mari Mènios Femme
174 Magnus d’Apollonia M12 -27 → 330 Autre Asie Mineure → Apollonia de Mysie 0 IGR IV 125
177 Marcellinus (Coelius) M25 101 → 200 Autre Asie Mineure → Ephèse 0 I. Ephesos 498 Elève du platonicien Secundinus de Tralles à Ephèse
179 Maxime M58 301 → 400 Autre Égypte → Thèbes, Vallée des rois 0 J. Baillet, Tombeaux, n° 150-151 A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.
184 Maxime (T. Flavius) de Gortyne M65 101 → 200 Autre Afrique proconsulaire → Carthage 0 CIL VIII Suppl. 1, 12924 Il mourut à Carthage, à l’âge de quarante-huit ans Voir un homonyme honoré à Césarée de Palestine.
185 Maxime de Tyane M68 -27 → 330 Autre Grèce → Athènes 1 IG II2 3820 Connu uniquement par cet autel érigé à Athènes.
178 Maximianus de Nicomédie M48 (Matinianus) -27 → 330 Autre Asie Mineure → Nicomédie 1 H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112 D. Dana, “Notices Épigraphiques Et Onomastiques III.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 198, 2016, pp. 145–161. J. Covel (J.-P. Grélois, Dr. John Covel. Voyages en Turquie 1675-1677, Paris 1998, p. 253-254 et n° 58 p. 384 , voir Bull. Épigr. 2000, 33. DPhA s.v. Matinianus de Nicomédie : " Le nom, sur la copie, se lit Mateinianos, H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112, exclut toute autre solution. L’épitaphe recommandait d’avoir « des amis et non de l’argent »."
182 Maximus (T. Flavius) M73 -27 → 330 Autre Proche Orient Ancien → Césarée 0 ZPE 99, 1993, p. 291 Il était le patron de Varius Séleucos, curateur des bateaux à Césarée de Palestine, qui lui éleva à ce titre une statue, à une date inconnue entre 71 et 282
186 Mélanion d’Iasos M81 -100 → 0 Autre Asie Mineure → Iasos 1 IK 28, 98 fils de Théodoros, d’Iasos,éphébarque DPhA s.v. Mélanion d’Iasos :"On ne sait pas si Mélanion se consacra à la philosophie une fois parvenu à l’âge adulte. Mais au temps de ses études, au Ier siècle avant notre ère, c’est dans cette discipline qu’il avait particulièrement brillé."
190 Ménandros (T. Flavius) M106 50 → 120 Autre Grèce → Athènes 1 SEG XXI, 703 J. McK. Camp, dans S. Walker et A. Cameron, The Greek Renaissance in the Roman Empire, coll. « BICS Suppl. » 55, London 1989, p. 51). A. W. Parsons, Hesp. Suppl. VIII, 1949, p. 268-272. Son fils est T. Flavius Pantainos de Gargettos, dédicataire de la bibliothèque La bibliothèque pourrait d’ailleurs avoir été une adjonction à l’établissement où enseignait Ménandros
191 Ménéclès M109 1 → 100 Autre Asie Mineure → Cymè 1 IK 5, 48 Les Pyrrhoniastes devaient être comparables aux Diogénistes, Antipatristes et Panétiastes évoqués par Athénée (V, 186 a).
192 Ménécratès M111 1 → 100 Autre Asie Mineure → Sosandra (Marmara) 1 IGR IV 1359 (= TAM V 1, 650); Samama, n° 231. A. Gerhard et A. Baumeister, Bericht über die Verhandlungen der kön. Preuss. Akad. d. Wiss., 1855, p. 194, n. 16. J. Keil et A. von Premerstein, « Bericht über eine Reise in Lydien und der südlichen Aiolis », DAWW 53, 1908, p. 62, n. 126 (IGR IV, 1359). TAM V, 1 : Tituli Lydiae, Inscription n° 650, 1981, dernière édition de référence pour cette inscription. M. N. Tod, « Sidelights on Greek Philosophers », JHS 77, 1957, p. 139. J. et L. Robert, « Bulletin épigraphique », REG 71, 1958, n° 84, p. 199. L. Moretti, « Epigraphica », RFIC 103, 1975, n° 13, p. 189-190. V. Nutton, « Menecrates of Sosandra, doctor or vet ? », ZPE 22, 1976, p. 93-96. J. et L. Robert, « Bulletin épigraphique », REG 90, 1977, n° 455, p. 409. J. Benedum, « Zur lydischen Arztinschrift IGRR IV 1359 », ZPE 29, 1978, p. 115-121. Mentionné dans l’inscription en tant que héros (ἥρωα) ayant rempli d’éminentes fonctions civiques (stratège, gymnasiarque, prytane et agônothète). Voir Samama n° 231 = Ménécratès de Daldis, M114
175 Mènios d’Apollonia M128 -27 → 330 Autre Asie Mineure → Apollonia de Mysie 0 IGR IV 125 DPhA s.v. Mènios d’Apollonia : "Originaire d’Apollonia de Mysie, gendre du philosophe Magnus, de la même cité (→M 12), sa femme Magnilla d’Apollonia M11"