140
|
Herennianus de Dion
|
H71a
|
101 → 300
|
Autre
|
Grèce
→
Dion
|
0
|
SEG 49, 696
D. Pandermalis, Δῖον. Η ανακαλυψή, Athènes 1999, p. 158-159.
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|
144
|
Hermocratès (Flavius) de Phocée
|
H87
|
135 → 167
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Phocée
|
0
|
IGR IV 1324 , plutot que IGR IV 1326, voir CIG Add. 3414 et Mouseion II 2, 1, 1875/76, p. 11, avec la correction d’H. Engelmann, ZPE 42, 1981, p. 202-208
J. Fournier, “LES ‘SYNDIKOI’, REPRÉSENTANTS JURIDIQUES DES CITÉS GRECQUES SOUS LE HAUT-EMPIRE ROMAIN.” Cahiers Du Centre Gustave Glotz, vol. 18, 2007, pp. 7–36.
Campanile Domitilla. Athanasios D. Rizakis & Francesco Camia (Ed.), Pathways to Power. Civic Elites in the Eastern Part of the Roman Empire. Proceedings of the International Workshop held at Athens, Scuola archeologica italiana di Atene, 19 december 2005, 2008. In: L'antiquité classique, Tome 78, 2009. pp. 587-589.
E. Ziebarth, Wiss. Beiläge zum Jahresber. Wilhelms-Gymnasiums Hamburg 1903, p. 10.
Sa femme : Vibia Polla.
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|
145
|
Hérodotos (Flavius?) de Smyrne
|
H104
|
101 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Pergame
|
1
|
MDAI(A) 35, 1910, p. 485 n° 80 , IGR IV 1690
Sa fille : Flavia Apphion Cornèlianè.
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|
147
|
Hiérax (Flavius)
|
H117
|
135 → 167
|
Autre
|
Égypte
→
Alexandrie
|
0
|
F. Kayser, Recueil des inscriptions grecques et latines d’Alexandrie imperiale, Le Caire 1994, n° 98 , voir APf 2, 1902/1905, n° 127
F. Kayser, Recueil des inscriptions grecques et latines d’Alexandrie impériale, Le Caire 1994, n° 98 , voir APf 2, 1902/1905, n° 127).
H. Halfmann, Éphèse et Pergame. Urbanisme et commanditaires en Asie mineure romaine. Bordeaux, Ausonius - Paris, De Boccard, 2004.
Comme l’a indiqué C. P. Jones, Démétrios est très vraisemblablement l’ami de Favorinus (→F 10) mentionné par Galien (t. XIV, p. 627 Kühn).
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150
|
Hortensinus
|
H168
|
101 → 200
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
IGUR 835
P. Vesperini 2019, La Philosophie antique.
Médecin, mort à Rome à 52 ans.
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|
152
|
Iamblichos d’Apamée
|
I2
|
335 → 400
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
A. E. Raubitschek, « Iamblichos at Athens », Hesperia 33, 1964, p. 63-68
Henry J. Blumenthal, E. Gillian Clark, 1993, The Divine Iamblichus: Philosopher and Man of Gods.
Fils d’un certain Himérius (PLRE I :3), il était le petit-fils du philosophe Sopatros d’Apamée [→S 107] (RE 11 , PLRE I :1) et le neveu du fils de ce dernier, Sopatros [→S 108] (RE 12 , PLRE I :2), correspondant de Libanios (→L 52). Il était également parent du rhéteur Libanios (Libanios, Ep. 571, 1 , 576, 1 , 801, 3). Contemporain de ce dernier, qui lui écrivit plusieurs lettres et le recommanda à un certain nombre de ses correspondants, il était encore vivant en 391 (Libanios, Ep. 1007, datée de 391 par O. Seeck, Die Briefe des Libanius zeitlich geordnet, Leipzig 1906). Une partie de sa vie s’est certainement déroulée à Antioche, où il fut en relation étroite avec Libanios : la séparation évoquée par les lettres de Libanios à partir du moment où Jamblique se met à voyager le laisse en tout cas penser. Ses voyages le conduisirent à Athènes, où il finit par s’installer pour un long séjour (Libanios, Ep. 801, datée de 362/3) Voir arbre généalogique de Jamblique d’Apamée.
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|
154
|
Isée l’Assyrien
|
I27
|
68 → 134
|
Autre
|
Grèce
→
Eleusis
|
1
|
IG II2 3632, 7
C. Jouanno, “Les Byzantins et la seconde sophistiques : étude sur Michel Psellos” Revue Des Études Grecques, vol. 122, no. 1, 2009, pp. 113–143.
A. N. Sherwin-White, The Letters of Pliny. A historical and social commentary, Oxford 1966, p. 147-148 .
P. Grimal, « Deux figures de la Correspondance de Pline : le philosophe Euphratès et le rhéteur Isée », Latomus 14, 1955, p. 381-383.
J. Ferguson, A Prosopography to the Poems of Juvenal, coll. « Latomus » 200, Bruxelles 1987, p. 121-122 .
G. Anderson, Philostratus. Biography and Belles Lettres in the Third Century A. D., London/Sydney/Dover 1986, passim (voir l’index).
P. Graindor, Chronologie des archontes athéniens sous l’Empire, Gand 1922, p. 229-235 , Id., Marbres et textes antiques d’époque impériale, coll. « Université de Gand. Recueil de travaux publiés par la Faculté de Philosophie et Lettres » 50, Gand 1992, p. 69-72.
J. H. Oliver, « Two Athenian Poets », Hesperia Suppl. 8, 1949, p. 243-258 , K. Clinton, The Sacred Officials of the Eleusinian Mysteries, coll. « Transactions of the American Philosophical Society » 64, 3, Philadelphia 1974, p. 88.
S. Follet, Athènes au IIème et au IIIème siècle. Études chronologiques et prosopographiques, « Collection d’études anciennes », Paris 1976, p. 262-267.
DPhA s.v. Isée l’Assyrien : " originaire de Syrie du Nord, il vint à Rome à plus de soixante ans. Vers 97-100, Pline le Jeune (Ep. II 3) recommande à son ami Nepos d’aller l’entendre. Juvénal (Sat. III 74) fait allusion à son éloquence torrentielle. Philostrate, dans la biographie qu’il lui consacre (V. soph. I 20, 2 , voir aussi I 22, l), loue son talent d’improvisateur et son art de concentrer une argumentation en une brève formule. Il eut pour disciples Denys de Milet (→D 182), Lollianus d’Éphèse (Philostrate, V. soph. I 23, 2 , Souda I 620), Marc de Byzance (V. soph. I 24, 1) et l’empereur Hadrien (IG II2 3632, 5-9). Philostrate le met aussi en relation avec le rhéteur Ardys. Plusieurs épigrammes d’Éleusis permettent de suivre ses descendants, dont deux hiérophantides, sur cinq générations (IG II2 3709, 3632, 3662) , son arrière-petite-fille Eunice épousa le frère du philosophe Fl. Callaischros (→C 13)."
|
|
156
|
Iulianus
|
I43
|
301 → 400
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des tombeaux des rois ou Syringes, Le Caire 1923, n° 1255.
J. Baillet n° 1265 et G. Fowden, « Nicagoras of Athens and the Lateran Obelisk », JHS 107, 1987, p. 51-57.
|
|
157
|
Iulianus (Iulius)
|
I44
|
201 → 300
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
CIL VI 9783
Dessau (ILS 7778) , J. Hahn, Der Philosoph und die Gesellschaft, Stuttgart 1989, p. 171.
Il a trouvé la mort aux portes de Rome
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|
158
|
Iulianus (Julien) l’Empereur
|
I46
|
331 → 363
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Ephèse / Iasos / Pergame
|
1
|
OGIS 520 , CIL III, Suppl. 1, 7088 ,a Ephese, I. Ephesos II (IK 12) 313 A et VII (IK 17) 3021 , a Pergame, Inschr. von Pergamon 633 : domino, a Iasos, I. Iasos I (IK 28, 1) 14 , B. PUECH]
E. Soler,D'Apollonios de Tyane à l'empereur Julien, l'importance d'Antioche comme lieu de pèlerinage et centre philosophique grecs. In: Topoi. Orient-Occident. Supplément 5, 2004. Antioche de Syrie. Histoires, images et traces de la ville antique Gauthier Nancy. Les initiations mystériques de l'empereur Julien. In: Mélanges Pierre Lévêque. Tome 6 : Religion. Besançon : Université de Franche-Comté, 1992. pp. 89-104. (Annales littéraires de l'Université de Besançon, 463).
P. Célérier, L’ombre de l’empereur Julien: Le destin des écrits de Julien chez les auteurs païens et chrétiens du IVe au VIe siècle, 2014.
J. Arce Martínez, Estudios sobre el Emperador Fl. Cl. Juliano. Fuentes literarias, epigraficas, numismaticas, coll. « Anejos de AEA » 8, Madrid 1984, 258 p P. Athanassiadi-Fowden, Julian and Hellenism, an Intellectual Biography, Oxford 1981.
J. Bouffartigue, L’Empereur Julien et la culture de son temps, « Collection des Études Augustiniennes », Série Antiquité 133, Paris 1992, 752 p.
L. Cohen, « Sur l’iconographie de Julien », dans Braun et Richer 23, p. 213-227, et 55 P. Lévêque, « De nouveaux portraits de l’empereur Julien », Latomus 22, 1963, p. 74-84 (trad. allemande dans Klein 22, p. 305-317).
H. von Heintze, « Nordsyrische Elfenbeinstatuetten. Zu den Bildnissen des Kaisers Julian », dans O. Feld et Urs Peschlow (édit.), Studien zur spätantiken und byzantinischen Kunst, Friedrich Wilhelm Deichmann gewidmet, Bonn 1986, t. III, p. 31-41.
DPhA s.v. Iulianus (Julien) l’Empereur : "Flavius Claudius Iulianus, né en 331 / 2, empereur romain du 3 novembre 361 au 26 juin 363 ,Désireux d’accomplir des études philosophiques, il se rendit d’abord, selon Eunape (loc. cit.), à Pergame pour y suivre l’enseignement d’Aidésios (→A 56), disciple de Jamblique, ainsi que de Chrysanthe de Sardes (→C 116) et Eusèbe de Myndos (→E 156), disciples d’Aidésios. Il finit par savoir qu’un autre disciple d’Aidésios, Maxime, enseignait à Éphèse, et que dans son enseignement entrait la théurgie, condamnée par Eusèbe. Il partit alors pour Éphèse et devint l’élève de Maxime. Chrysanthe vint lui aussi à Éphèse pour collaborer à l’éducation philosophique du prince."
|
|
161
|
Lampon
|
L15
|
101 → 167
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 1548
Il paraît douteux qu’il puisse être identique, comme le proposait J. Baillet, à l’homonyme connu de Galien (Topiques I 1 et III 3), qui était médecin à Péluse (RE 5).
|
|
162
|
Leitè (Aurelia –)
|
L27
|
268 → 300
|
Autre
|
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Paros
|
1
|
IG XII 5, 292
M. B. Fant, M. R. Lefkowitz, Women's Life in Greece and Rome: A Source Book in Translation, 2016.
DPhA s.v. Leitè (Aurelia –) : "Évergète de la cité de Paros, dont elle avait notamment, en tant que gymnasiarque, fait restaurer l’un des gymnases, épouse d’un grand-prêtre municipal du culte impérial, Aurelia Leitè est honorée par sa patrie pour ses vertus familiales et son dévouement à la patrie."
|
|
164
|
Léon (P. Memmius) de Nicopolis
|
L35
|
201 → 300
|
Autre
|
Grèce
→
Iannina
|
0
|
BCH 1, 1877, p. 294
L. Moretti, Iscrizioni agonistiche greche, Roma 1953, p. 205-206.
Dion Cassius LI 1 Beate Dignas, Kai Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus
DPhA s.v. Léon (p. Memmius –) de Nicopolis :"Si la lecture de Cyriaque est exacte, l’activité de ce philosophe se place dans le deuxième et le troisième quarts du IIIe siècle, car les Actia, dont la première célébration doit dater de 27a, étaient un concours pentétérique"
|
|
163
|
Léon Thrason de Stratonicée
|
L37
|
101 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Stratonicée
|
1
|
IK 22, 1, 1028
L. Robert, BCH 102, 1978, n. 57 p. 402 = Documents d’Asie Mineure, Athènes 1987, p. 98.
DPhA s.v. Léon de Stratonicée : "Léon Thrason, fils d’Hiéroclès, appartenait à une famille d’évergètes de Stratonicée , Comme son frère Thrason Léon (→T 121), il était encore adolescent lorqu’il fut qualifié de philosophe dans le décret de Stratonicée honorant son père, sous le règne d’Antonin"
|
|
168
|
Lupus (P. Cornelius) de Nicopolis
|
L77
|
68 → 100
|
Autre
|
Grèce
→
Delphes
|
1
|
FD III 4, 115
J. Barnes 2011, Method and Metaphysics: Essays in Ancient Philosophy I.
délégué de Nicopolis à l’Amphictionie delphique, comme l’avaient été auparavant deux de ses parents (FD III, 4, 114)
|
|
171
|
Lysis d’Aixoné
|
L103
|
-500 → -401
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2 7045, li. 5 : SEG 29, 203 , 34, 109
R. S. Stroud, « The Gravestone of Socrates’ Friend, Lysis », Hesperia 53, 1984, p. 355-360.
DPhA s.v. Lysis d’Aixoné : "Lysis qui est du dème d’Aixoné est le fils de Démocrate, peut-être celui qui, aux alentours de 430, fut l’amant d’Alcibiade (Plutarque, Alcibiade 3, 1) et le petit-fils d’un Lysis (205 c) qui faisait remonter sa famille aux amours de Zeus avec la fille du fondateur de leur dème (pour un stemma hypothétique, voir Debra Nails, The People of Plato, s. v. « Lysis I » et « Lysis II »)."
|
|
173
|
Magnilla d’Apollonia
|
M11
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Apollonia de Mysie
|
0
|
IGR IV 125
B. Dignas, K. Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus
femme et fille de philosophes,son père Magnus,son mari Mènios
|
|
174
|
Magnus d’Apollonia
|
M12
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Apollonia de Mysie
|
0
|
IGR IV 125
|
|
177
|
Marcellinus (Coelius)
|
M25
|
101 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Ephèse
|
0
|
I. Ephesos 498
Elève du platonicien Secundinus de Tralles à Ephèse
|
|
179
|
Maxime
|
M58
|
301 → 400
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
0
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 150-151
A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.
|
|
184
|
Maxime (T. Flavius) de Gortyne
|
M65
|
101 → 200
|
Autre
|
Afrique proconsulaire
→
Carthage
|
0
|
CIL VIII Suppl. 1, 12924
Il mourut à Carthage, à l’âge de quarante-huit ans
|
|
185
|
Maxime de Tyane
|
M68
|
-27 → 330
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2 3820
|
|
178
|
Maximianus de Nicomédie
|
M48 (Matinianus)
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Nicomédie
|
1
|
H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112
D. Dana, “Notices Épigraphiques Et Onomastiques III.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 198, 2016, pp. 145–161.
J. Covel (J.-P. Grélois, Dr. John Covel. Voyages en Turquie 1675-1677, Paris 1998, p. 253-254 et n° 58 p. 384 , voir Bull. Épigr. 2000, 33.
|
|
182
|
Maximus (T. Flavius)
|
M73
|
-27 → 330
|
Autre
|
Proche Orient Ancien
→
Césarée
|
0
|
ZPE 99, 1993, p. 291
Il était le patron de Varius Séleucos, curateur des bateaux à Césarée de Palestine, qui lui éleva à ce titre une statue, à une date inconnue entre 71 et 282
|
|
186
|
Mélanion d’Iasos
|
M81
|
-100 → 0
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Iasos
|
1
|
IK 28, 98
fils de Théodoros, d’Iasos,éphébarque
|
|
190
|
Ménandros (T. Flavius)
|
M106
|
50 → 120
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
SEG XXI, 703
J. McK. Camp, dans S. Walker et A. Cameron, The Greek Renaissance in the Roman Empire, coll. « BICS Suppl. » 55, London 1989, p. 51).
A. W. Parsons, Hesp. Suppl. VIII, 1949, p. 268-272.
Son fils est T. Flavius Pantainos de Gargettos, dédicataire de la bibliothèque
|
|
191
|
Ménéclès
|
M109
|
1 → 100
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Cymè
|
1
|
IK 5, 48
|
|
192
|
Ménécratès
|
M111
|
1 → 100
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Sosandra (Marmara)
|
1
|
IGR IV 1359 (= TAM V 1, 650); Samama, n° 231.
A. Gerhard et A. Baumeister, Bericht über die Verhandlungen der kön. Preuss. Akad. d. Wiss., 1855, p. 194, n. 16.
J. Keil et A. von Premerstein, « Bericht über eine Reise in Lydien und der südlichen Aiolis », DAWW 53, 1908, p. 62, n. 126 (IGR IV, 1359).
TAM V, 1 : Tituli Lydiae, Inscription n° 650, 1981, dernière édition de référence pour cette inscription.
M. N. Tod, « Sidelights on Greek Philosophers », JHS 77, 1957, p. 139.
J. et L. Robert, « Bulletin épigraphique », REG 71, 1958, n° 84, p. 199.
L. Moretti, « Epigraphica », RFIC 103, 1975, n° 13, p. 189-190.
V. Nutton, « Menecrates of Sosandra, doctor or vet ? », ZPE 22, 1976, p. 93-96.
J. et L. Robert, « Bulletin épigraphique », REG 90, 1977, n° 455, p. 409.
J. Benedum, « Zur lydischen Arztinschrift IGRR IV 1359 », ZPE 29, 1978, p. 115-121.
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|
175
|
Mènios d’Apollonia
|
M128
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Apollonia de Mysie
|
0
|
IGR IV 125
DPhA s.v. Mènios d’Apollonia : "Originaire d’Apollonia de Mysie, gendre du philosophe Magnus, de la même cité (→M 12), sa femme Magnilla d’Apollonia M11"
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194
|
Métrophanès (Aelius) de Sparte
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M161
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201 → 267
|
Autre
|
Grèce
→
Sparte
|
1
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IG V 1, 63
B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’époque impériale, Paris 2002, n° 174.
Philosophari. Usages romains des savoirs grecs sous la République et sous l’Empire
Ephèbe qui avait particulièrement brillé dans ses études. Il appartenait à une famille influente de Sparte
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