157
|
Iulianus (Iulius)
|
I44
|
201 → 300
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
CIL VI 9783
Dessau (ILS 7778) , J. Hahn, Der Philosoph und die Gesellschaft, Stuttgart 1989, p. 171.
Il a trouvé la mort aux portes de Rome
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|
158
|
Iulianus (Julien) l’Empereur
|
I46
|
331 → 363
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Ephèse / Iasos / Pergame
|
1
|
OGIS 520 , CIL III, Suppl. 1, 7088 ,a Ephese, I. Ephesos II (IK 12) 313 A et VII (IK 17) 3021 , a Pergame, Inschr. von Pergamon 633 : domino, a Iasos, I. Iasos I (IK 28, 1) 14 , B. PUECH]
E. Soler,D'Apollonios de Tyane à l'empereur Julien, l'importance d'Antioche comme lieu de pèlerinage et centre philosophique grecs. In: Topoi. Orient-Occident. Supplément 5, 2004. Antioche de Syrie. Histoires, images et traces de la ville antique Gauthier Nancy. Les initiations mystériques de l'empereur Julien. In: Mélanges Pierre Lévêque. Tome 6 : Religion. Besançon : Université de Franche-Comté, 1992. pp. 89-104. (Annales littéraires de l'Université de Besançon, 463).
P. Célérier, L’ombre de l’empereur Julien: Le destin des écrits de Julien chez les auteurs païens et chrétiens du IVe au VIe siècle, 2014.
J. Arce Martínez, Estudios sobre el Emperador Fl. Cl. Juliano. Fuentes literarias, epigraficas, numismaticas, coll. « Anejos de AEA » 8, Madrid 1984, 258 p P. Athanassiadi-Fowden, Julian and Hellenism, an Intellectual Biography, Oxford 1981.
J. Bouffartigue, L’Empereur Julien et la culture de son temps, « Collection des Études Augustiniennes », Série Antiquité 133, Paris 1992, 752 p.
L. Cohen, « Sur l’iconographie de Julien », dans Braun et Richer 23, p. 213-227, et 55 P. Lévêque, « De nouveaux portraits de l’empereur Julien », Latomus 22, 1963, p. 74-84 (trad. allemande dans Klein 22, p. 305-317).
H. von Heintze, « Nordsyrische Elfenbeinstatuetten. Zu den Bildnissen des Kaisers Julian », dans O. Feld et Urs Peschlow (édit.), Studien zur spätantiken und byzantinischen Kunst, Friedrich Wilhelm Deichmann gewidmet, Bonn 1986, t. III, p. 31-41.
DPhA s.v. Iulianus (Julien) l’Empereur : "Flavius Claudius Iulianus, né en 331 / 2, empereur romain du 3 novembre 361 au 26 juin 363 ,Désireux d’accomplir des études philosophiques, il se rendit d’abord, selon Eunape (loc. cit.), à Pergame pour y suivre l’enseignement d’Aidésios (→A 56), disciple de Jamblique, ainsi que de Chrysanthe de Sardes (→C 116) et Eusèbe de Myndos (→E 156), disciples d’Aidésios. Il finit par savoir qu’un autre disciple d’Aidésios, Maxime, enseignait à Éphèse, et que dans son enseignement entrait la théurgie, condamnée par Eusèbe. Il partit alors pour Éphèse et devint l’élève de Maxime. Chrysanthe vint lui aussi à Éphèse pour collaborer à l’éducation philosophique du prince."
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|
160
|
Laetus (Ofellius)
|
L13
|
1 → 100
|
Platonicien
|
Grèce
→
Athènes
Asie Mineure
→
Ephèse
|
1
|
IG II2 3816 (Athenes); I. Ephesos 3901 (voir J. Nolle, ZPE 41, 1981, p. 197-206)
Bull. Épigr. 1981, 481,J. Nollé, ZPE 41, 1981, p. 197-206.
J. Nollé “Ofellius Laetus, Platonischer Philosoph.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 41, 1981, pp. 197–206.
P. T. Keyser, Georgia L. Irby-Massie 2008, Encyclopedia of Ancient Natural Scientists: The Greek Tradition and its Many Heirs.
DPhA s.v. Laetus (Ofellius –) : "ce personnage est très probablement identique à l’auteur Laitos, cité à deux reprises par Plutarque dans son traité Sur les causes physiques (911 F, 913 F), en des termes qui suggèrent qu’il avait pu l’entendre personnellement."
Il appartenait à la famille d'Ofellii d'Ephèse.
|
|
161
|
Lampon
|
L15
|
101 → 167
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 1548
Il paraît douteux qu’il puisse être identique, comme le proposait J. Baillet, à l’homonyme connu de Galien (Topiques I 1 et III 3), qui était médecin à Péluse (RE 5).
|
|
162
|
Leitè (Aurelia –)
|
L27
|
268 → 300
|
Autre
|
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Paros
|
1
|
IG XII 5, 292
M. B. Fant, M. R. Lefkowitz, Women's Life in Greece and Rome: A Source Book in Translation, 2016.
DPhA s.v. Leitè (Aurelia –) : "Évergète de la cité de Paros, dont elle avait notamment, en tant que gymnasiarque, fait restaurer l’un des gymnases, épouse d’un grand-prêtre municipal du culte impérial, Aurelia Leitè est honorée par sa patrie pour ses vertus familiales et son dévouement à la patrie."
|
|
163
|
Léon Thrason de Stratonicée
|
L37
|
101 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Stratonicée
|
1
|
IK 22, 1, 1028
L. Robert, BCH 102, 1978, n. 57 p. 402 = Documents d’Asie Mineure, Athènes 1987, p. 98.
DPhA s.v. Léon de Stratonicée : "Léon Thrason, fils d’Hiéroclès, appartenait à une famille d’évergètes de Stratonicée , Comme son frère Thrason Léon (→T 121), il était encore adolescent lorqu’il fut qualifié de philosophe dans le décret de Stratonicée honorant son père, sous le règne d’Antonin"
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|
164
|
Léon (P. Memmius) de Nicopolis
|
L35
|
201 → 300
|
Autre
|
Grèce
→
Iannina
|
0
|
BCH 1, 1877, p. 294
L. Moretti, Iscrizioni agonistiche greche, Roma 1953, p. 205-206.
Dion Cassius LI 1 Beate Dignas, Kai Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus
DPhA s.v. Léon (p. Memmius –) de Nicopolis :"Si la lecture de Cyriaque est exacte, l’activité de ce philosophe se place dans le deuxième et le troisième quarts du IIIe siècle, car les Actia, dont la première célébration doit dater de 27a, étaient un concours pentétérique"
|
|
165
|
Lépidus d’Amastris
|
L47
|
135 → 167
|
Épicurien
|
Asie Mineure
→
Amastris
|
0
|
CIG III 4149 = IGR III 88
M. Dana 2011, Culture et mobilité dans le Pont-Euxin: approche régionale de la vie culturelle des cités grecques.
C. Marek, Stadt, Ära und Territorium in Pontus-Bithynia und Nord-Galatia, coll. « Istanbuler Forschungen » 39, Tübingen 1993, Amastris n° 12 (p. 162).
U. Victor, Lukian von Samosata, Alexandros oder der Lügenprophet. Eingeleitet, herausgegeben, übersetzt und erklärt von U. V., coll. « Religions in the Graeco-Roman World » 132, Leiden 1997, p. 151.
Dans une autre inscription honorant sa fille Claudia Lepida (CIG III 4150), on apprend le nom de son épouse Claudia Marcianè et celui de son gendre L. Vidius Euphrôn.
|
|
166
|
Liberalis (Aebutius)
|
L54
|
1 → 100
|
Stoïcien
|
Rome et Italie
→
Rome
|
0
|
CIL III, suppl. 9973
A. Vitti, « Seneca ep. 91 : Liberale e l’incendio di Lione », Paideia 52, 1997, p. 397-406).
DPhA s.v. Liberalis (Aebutius –) : "ami de Sénèque (→S 43) dans les dernières années de la vie du philosophe, il est le dédicataire du De beneficiis, où son nom apparaît à plusieurs reprises, notamment en V 1, 3, où Sénèque fait son éloge et le qualifie de « nature d’élite portée à la bienfaisance » (homini natura optimo et ad beneficia propenso), VI 1, 1 , 12, 1 , 42, 1. Établi à Rome mais originaire de Lyon, il est très affecté par l’incendie qui, en une nuit, détruit entièrement sa ville natale en août 64, très peu de temps après celui qui a ravagé Rome thèmes stoïciens exposés dans cette lettre à l’intention de Liberalis à la suite de ce gigantesque incendie"
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|
167
|
Lupus
|
L76
|
168 → 234
|
Platonicien
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
G. Cordiano et G. L. Gregori, « Iscrizioni e materiali marmorei da Roma nella collezione di Carlo Borra a Trevignano Romano », Bullettino comunale archeologico di Roma 95, 1993, p. 153-157 (Bulletin épigraphique 1997, 24).
K. J. Rigsby, « A Roman Epigram for Asclepius », ZPE 134, 2001, p. 107-108 (Bulletin épigraphique 2003, 59).
G. Cordiano et G. L. Gregori, « Iscrizioni e materiali marmorei da Roma nella collezione di Carlo Borra a Trevignano Romano », Bullettino comunale archeologico di Roma 95, 1993, p. 153-157 (Bulletin épigraphique 1997, 24).
K. J. Rigsby, « A Roman Epigram for Asclepius », ZPE 134, 2001, p. 107-108 (Bulletin épigraphique 2003, 59).
Lupus ne paraît pas connu par ailleurs.
|
|
168
|
Lupus (P. Cornelius) de Nicopolis
|
L77
|
68 → 100
|
Autre
|
Grèce
→
Delphes
|
1
|
FD III 4, 115
J. Barnes 2011, Method and Metaphysics: Essays in Ancient Philosophy I.
délégué de Nicopolis à l’Amphictionie delphique, comme l’avaient été auparavant deux de ses parents (FD III, 4, 114)
|
|
169
|
Lycon d’Alexandrie de Troade
|
L83
|
-299 → -225
|
Péripatéticien
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
SIG t. I, n° 461 [Pomtow] , cf. Lefevre, p. 178, qui reprend la lecture proposee en 1929 par E. Bourguet dans FD III 1, p. 142-143 SIG3 n° 491 = SEG XXXII, 1982, n° 118 , cf. SEG XLVI, 1996, n° 138
G. M. A. Richter, The Portraits of the Greeks, t. II, p. 178 et les figures 1031-1036.
H. Sonnabend, Die Freundschaften der Gelehrten und die zwischenstaatliche Politik im klassischen und hellenistischen Griechenland, coll. « Altertumswissenschaftliche Texte und Studien » 30, Hildesheim 1996, p. 272-274.
Ch. Habicht, Athènes hellénistique. Histoire de la cité d’Alexandre le Grand à Marc Antoine, trad. M. et D. Knoepfler, Paris 2000,F. Wehrli, Lykon und Ariston von Keos, coll. « Die Schule des Aristoteles » 6, 2e éd., Basel/Stuttgart 1968.
P. Stork, W. W. Fortenbaugh, J. M. van Ophuijsen, T. Dorandi, « Lyco of Troas. The sources, text and translation », dans W. W. Fortenbaugh and St. A. White (édit.), Lyco of Troas and Hieronymus of Rhodes. Text, translation and discussion, coll. RUSCH 12, New Brunswick/London 2004, p. 1-78.
T. Dorandi, chap. « Chronology », dans K. Algra, J. Barnes, J. Mansfeld et M. Schofield (édit.), The Cambridge History of Hellenistic Philosophy, Cambridge 1999, p. 31-54.
M. Ricl, The Inscriptions of Alexandreia Troas, coll. IGSK 53, Bonn 1997.
DPhA s.v. Lycon d’Alexandrie (?) de Troade : "Successeur de Straton de Lampsaque (→S 171) à la tête du Péripatos à Athènes À partir de lui on constate une certaine décadence scientifique de l’école péripatéticienne (cf. la célèbre formule de Wilamowitz, sans doute excessive, selon laquelle, avec Lycon, commence pour deux siècles un « Totenschlaf der aristotelischen Philosophie », Wilamowitz-Moellendorff 6, p. 83).,fils d’Astyanax (Wehrli 1, fr. 2 et 14), était originaire de la Troade (Wehrli 1 fr. 1 , 2, 28). Il y a de bonnes chances pour que nous connaissions aussi sa cité d’origine : Alexandrie en Troade,SIG t. I, n° 461 [Pomtow] , cf. Lefèvre 10, p. 178, qui reprend la lecture proposée en 1929 par E. Bourguet dans FD III 1, p. 142-143 , Ricl 12, p. 250 Il demeura à la tête de l’École pendant 44 ans,Il appartient à une famille aisée, ce dont témoigne son style de vie, ses intérêts commerciaux et l’importance de ses biens,De ses maîtres, en dehors du Péripatos, nous ne connaissons qu’un nom, celui du “dialecticien” (ὁ διαλεκτικός) mal connu Panthoïdès"
|
|
170
|
Lysimaque
|
L99
|
201 → 400
|
Platonicien
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 1281
A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.
|
|
171
|
Lysis d’Aixoné
|
L103
|
-500 → -401
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2 7045, li. 5 : SEG 29, 203 , 34, 109
R. S. Stroud, « The Gravestone of Socrates’ Friend, Lysis », Hesperia 53, 1984, p. 355-360.
DPhA s.v. Lysis d’Aixoné : "Lysis qui est du dème d’Aixoné est le fils de Démocrate, peut-être celui qui, aux alentours de 430, fut l’amant d’Alcibiade (Plutarque, Alcibiade 3, 1) et le petit-fils d’un Lysis (205 c) qui faisait remonter sa famille aux amours de Zeus avec la fille du fondateur de leur dème (pour un stemma hypothétique, voir Debra Nails, The People of Plato, s. v. « Lysis I » et « Lysis II »)."
|
|
172
|
Macedo (C. Calpurnius Collega)
|
M4
|
301 → 400
|
Platonicien
|
Asie Mineure
→
Antioche de Pisidie
|
1
|
SEG XXXVII 1302 ; B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 69, p. 178-180.
Samama, n° 334.
N. Massar, “Les Médecins Dans La Documentation Épigraphique Grecque : Reflets Changeants D'un Métier Honorable.” L'Antiquité Classique, vol. 74, 2005, pp. 257–266.
M. Dana (2007), « Traditions de fondation dans l'épigraphie de Sinope », REG 120-2, p. 511-525.
A.Laniado 2002, Recherches sur les notables municipaux dans l'Empire protobyzantin.
C. P. Jones, « A Family of Pisidian Antioch », Phoenix 36, 1982, p. 264-271.
F. R. Trombley, Hellenic religion and christianization c. 370-29, coll. « Religions in the Graeco-Roman world » 115, 1, Second edition, Leiden 1995, t. I, p. 172-174.
E. Samama, p. 432.
Mort à trente ans, appartenait à une famille aisée et cultivée d’Antioche de Pisidie,premier médecin de sa cité
|
|
173
|
Magnilla d’Apollonia
|
M11
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Apollonia de Mysie
|
0
|
IGR IV 125
B. Dignas, K. Trampedach 2008, Practitioners of the Divine: Greek Priests and Religious Officials from Homer to Heliodorus
femme et fille de philosophes,son père Magnus,son mari Mènios
|
|
174
|
Magnus d’Apollonia
|
M12
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Apollonia de Mysie
|
0
|
IGR IV 125
|
|
175
|
Mènios d’Apollonia
|
M128
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Apollonia de Mysie
|
0
|
IGR IV 125
DPhA s.v. Mènios d’Apollonia : "Originaire d’Apollonia de Mysie, gendre du philosophe Magnus, de la même cité (→M 12), sa femme Magnilla d’Apollonia M11"
|
|
176
|
Mammarion
|
M16
|
-330 → -250
|
Épicurien
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
IG II2, 1534, l. 27.
Sur les hétaïres du Jardin, voir DPhA III, 2000, p. 169.
C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS, 23, 1982, p. 51-57
Hétaïre du Jardin d’Epicure.
|
|
177
|
Marcellinus (Coelius)
|
M25
|
101 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Ephèse
|
0
|
I. Ephesos 498
Elève du platonicien Secundinus de Tralles à Ephèse
|
|
178
|
Maximianus de Nicomédie
|
M48 (Matinianus)
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Nicomédie
|
1
|
H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112
D. Dana, “Notices Épigraphiques Et Onomastiques III.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 198, 2016, pp. 145–161.
J. Covel (J.-P. Grélois, Dr. John Covel. Voyages en Turquie 1675-1677, Paris 1998, p. 253-254 et n° 58 p. 384 , voir Bull. Épigr. 2000, 33.
|
|
179
|
Maxime
|
M58
|
301 → 400
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
0
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 150-151
A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.
|
|
180
|
Maximus (Quinctilius)
|
M72
|
68 → 134
|
Épicurien
|
Asie Mineure
→
Alexandrie de Troade
|
0
|
CIL III 384 = ILS 1018 = I. Alex. Troas, 39
E. Groag, JÖAI 21-22, 1922-1924, Beiblatt, p. 435 sqq.,H. Halfmann, Die Senatoren aus dem Östlichen Teil des Imperium Romanum bis zum Ende des 2. Jahrhunderts n. Chr., coll. « Hypomnemata » 58, Göttingen 1979, n° 40, p. 136 , E. Guerber, « Les correctores dans la partie hellénophone de l’Empire romain du règne de Trajan à l’avènement de Dioclétien : étude prosopographique », AnatAnt 5, 1997, p. 211-248 , PIR2 Q 25.
DPhA s.v. Maximus (Quinctilius –) :sénateur originaire de la colonie romaine d’Alexandrie de Troade Son fils homonyme (H. Halfmann, op. cit., n° 48 , PIR2 Q 26) fut notamment questeur et légat propréteur de la province d’Achaïe. Son cursus complet figure dans une inscription de Tusculum (CIL XIV 2609). Il est nommé à Sparte sur une statue de Trajan en 116/7 (IG V 1, 380). Deux de ses petits-fils, « les Quintilii », exerceront aussi des fonctions importantes en Achaïe (voir stemma dans PIR2 Q 25, p. 17), célèbres eux aussi pour leur richesse, leur culture et leur influence politique."
|
|
181
|
Maximus (T. Coponius) d’Hagnonte
|
M72a
|
50 → 150
|
Stoïcien
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2, 3571
Christoph Riedweg, Horn Christoph, Dietmar Wyrwa 2018, Grundriss der Geschichte der Philosophie. Begründet von Friedrich... / Die Philosophie der Kaiserzeit und der Spätantike: Die Philosophie der Antike / Teilband 1 PAA 12, 633035 et 633045.
G. C. R. Schmalz, Augustan and Julio-Claudian Athens. A new epigraphy and prosopography, coll. « Mnemosyne Suppl. » 302, Leiden 2009, p. 91.
Issu d’une famille de notables athéniens,fils d’un héraut sacré d’Éleusis
|
|
182
|
Maximus (T. Flavius)
|
M73
|
-27 → 330
|
Autre
|
Proche Orient Ancien
→
Césarée
|
0
|
ZPE 99, 1993, p. 291
Il était le patron de Varius Séleucos, curateur des bateaux à Césarée de Palestine, qui lui éleva à ce titre une statue, à une date inconnue entre 71 et 282
|
|
183
|
Maxime d’Antioche
|
M61
|
101 → 300
|
Platonicien
|
Grèce
→
Delphes
|
1
|
FD III 1, 199, completee par G. Daux, BCH 83, 1959, p. 493-494
S. Métivier , La Cappadoce (ive-vie siècle): Une histoire provinciale de l’Empire romain d’Orient H. Bouvier, « Hommes de lettres dans les inscriptions delphiques », ZPE 58, 2005, p. 119-135
M. Atilius Maximus d’Antioche.
|
|
184
|
Maxime (T. Flavius) de Gortyne
|
M65
|
101 → 200
|
Autre
|
Afrique proconsulaire
→
Carthage
|
0
|
CIL VIII Suppl. 1, 12924
Il mourut à Carthage, à l’âge de quarante-huit ans
|
|
185
|
Maxime de Tyane
|
M68
|
-27 → 330
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2 3820
|
|
186
|
Mélanion d’Iasos
|
M81
|
-100 → 0
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Iasos
|
1
|
IK 28, 98
fils de Théodoros, d’Iasos,éphébarque
|
|
187
|
Méléagre de Gadara
|
M90
|
-130 → -60
|
Cynique
|
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Cos
|
1
|
Epigramme funéraire transmise par l'Anthologie Palatine VII 419. Qualifié de cynique par Athenée XI, 502 c (Μελέαγρος δ’ ὁ Κυνικός, et IV, 157 b (où la courtisane Nicion s’adresse a des cyniques qui participent au banquet et leur parle de leur « ancêtre » Méléagre : ὁ πρόγονος ὑμῶν Μελεάγρος ὁ Γαδαρεύς)
P. Chiron 2001, Un rhéteur méconnu: Démétrios (ps.-Démétrios de Phalère) : essai sur les mutations de la théorie du style à l'époque hellénistique H. Ouvré, Méléagre de Gadara, Paris 1894 , 2 K. Radinger, Meleagros von Gadara, Innsbruck 1895.
J. Geffcken, art. « Meleagros » 7, RE XV 1, 1931, col. 481-488 , 4 F. Susemihl, GGLA, t. I, p. 46-47 , t. II, p. 555-557.
A. Wifstrand, Studien zur griechischen Anthologie, coll. « Lunds Universitets Årsskrift » 23, 3, Lund/Leipzig 1926.
D. R. Dudley, A History of Cynicism, p. 121-122 .
A. Cameron, The Greek Anthology from Meleager to Planudes, Oxford 1993 , 8 Kathryn J. Gutzwiller, Poetic Garlands. Hellenistic Epigrams in Context, coll. « Hellenistic Culture and Society ».
Berkeley 1998.
K. Döring, dans GGPh, Antike 2/1, Basel 1998, p. 314.
DPhA s.v. Méléagre de Gadara : " Poète et épigrammatiste,fils d’Eucratès (VII 417, 3 et 418, 5-6), naquit dans la célèbre ville de Gadara (Γαδάρων κλεινὰ πόλις en VII 418, 1), « la nouvelle Attique des Syriens, Gadara » (VII 417, 2), mais qu’il fut élevé à Tyr (VII 417, 1 et 419, 5 , cf. XII 256, 11).,Méléagre devait côtoyer la communauté juive, à en juger par ses allusions quelque peu ironiques au sabbat (V 160).,Quand l’âge vint, il se retira à Cos, devenant ainsi concitoyen des Méropes (VII 418, 4-5). C’est à Cos qu’il mourut, selon ce que dit le lemmatiste du proème de la Couronne (Stadtmüller 10, t. I, p. 81)."
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