172
|
Macedo (C. Calpurnius Collega)
|
M4
|
301 → 400
|
Platonicien
|
Asie Mineure
→
Antioche de Pisidie
|
1
|
SEG XXXVII 1302 ; B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 69, p. 178-180.
Samama, n° 334.
N. Massar, “Les Médecins Dans La Documentation Épigraphique Grecque : Reflets Changeants D'un Métier Honorable.” L'Antiquité Classique, vol. 74, 2005, pp. 257–266.
M. Dana (2007), « Traditions de fondation dans l'épigraphie de Sinope », REG 120-2, p. 511-525.
A.Laniado 2002, Recherches sur les notables municipaux dans l'Empire protobyzantin.
C. P. Jones, « A Family of Pisidian Antioch », Phoenix 36, 1982, p. 264-271.
F. R. Trombley, Hellenic religion and christianization c. 370-29, coll. « Religions in the Graeco-Roman world » 115, 1, Second edition, Leiden 1995, t. I, p. 172-174.
E. Samama, p. 432.
Mort à trente ans, appartenait à une famille aisée et cultivée d’Antioche de Pisidie,premier médecin de sa cité
|
|
178
|
Maximianus de Nicomédie
|
M48 (Matinianus)
|
-27 → 330
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Nicomédie
|
1
|
H. Solin, Arctos, 36, 2002, p. 112
D. Dana, “Notices Épigraphiques Et Onomastiques III.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 198, 2016, pp. 145–161.
J. Covel (J.-P. Grélois, Dr. John Covel. Voyages en Turquie 1675-1677, Paris 1998, p. 253-254 et n° 58 p. 384 , voir Bull. Épigr. 2000, 33.
|
|
179
|
Maxime
|
M58
|
301 → 400
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
0
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 150-151
A. Calderini, « Arti liberali in documenti dell’Egitto romano », dans Studi in onore di Ugo Enrico Paoli, Firenze 1956, p. 155.
|
|
183
|
Maxime d’Antioche
|
M61
|
101 → 300
|
Platonicien
|
Grèce
→
Delphes
|
1
|
FD III 1, 199, completee par G. Daux, BCH 83, 1959, p. 493-494
S. Métivier , La Cappadoce (ive-vie siècle): Une histoire provinciale de l’Empire romain d’Orient H. Bouvier, « Hommes de lettres dans les inscriptions delphiques », ZPE 58, 2005, p. 119-135
M. Atilius Maximus d’Antioche.
|
|
184
|
Maxime (T. Flavius) de Gortyne
|
M65
|
101 → 200
|
Autre
|
Afrique proconsulaire
→
Carthage
|
0
|
CIL VIII Suppl. 1, 12924
Il mourut à Carthage, à l’âge de quarante-huit ans
|
|
185
|
Maxime de Tyane
|
M68
|
-27 → 330
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2 3820
|
|
180
|
Maximus (Quinctilius)
|
M72
|
68 → 134
|
Épicurien
|
Asie Mineure
→
Alexandrie de Troade
|
0
|
CIL III 384 = ILS 1018 = I. Alex. Troas, 39
E. Groag, JÖAI 21-22, 1922-1924, Beiblatt, p. 435 sqq.,H. Halfmann, Die Senatoren aus dem Östlichen Teil des Imperium Romanum bis zum Ende des 2. Jahrhunderts n. Chr., coll. « Hypomnemata » 58, Göttingen 1979, n° 40, p. 136 , E. Guerber, « Les correctores dans la partie hellénophone de l’Empire romain du règne de Trajan à l’avènement de Dioclétien : étude prosopographique », AnatAnt 5, 1997, p. 211-248 , PIR2 Q 25.
DPhA s.v. Maximus (Quinctilius –) :sénateur originaire de la colonie romaine d’Alexandrie de Troade Son fils homonyme (H. Halfmann, op. cit., n° 48 , PIR2 Q 26) fut notamment questeur et légat propréteur de la province d’Achaïe. Son cursus complet figure dans une inscription de Tusculum (CIL XIV 2609). Il est nommé à Sparte sur une statue de Trajan en 116/7 (IG V 1, 380). Deux de ses petits-fils, « les Quintilii », exerceront aussi des fonctions importantes en Achaïe (voir stemma dans PIR2 Q 25, p. 17), célèbres eux aussi pour leur richesse, leur culture et leur influence politique."
|
|
181
|
Maximus (T. Coponius) d’Hagnonte
|
M72a
|
50 → 150
|
Stoïcien
|
Grèce
→
Athènes
|
1
|
IG II2, 3571
Christoph Riedweg, Horn Christoph, Dietmar Wyrwa 2018, Grundriss der Geschichte der Philosophie. Begründet von Friedrich... / Die Philosophie der Kaiserzeit und der Spätantike: Die Philosophie der Antike / Teilband 1 PAA 12, 633035 et 633045.
G. C. R. Schmalz, Augustan and Julio-Claudian Athens. A new epigraphy and prosopography, coll. « Mnemosyne Suppl. » 302, Leiden 2009, p. 91.
Issu d’une famille de notables athéniens,fils d’un héraut sacré d’Éleusis
|
|
182
|
Maximus (T. Flavius)
|
M73
|
-27 → 330
|
Autre
|
Proche Orient Ancien
→
Césarée
|
0
|
ZPE 99, 1993, p. 291
Il était le patron de Varius Séleucos, curateur des bateaux à Césarée de Palestine, qui lui éleva à ce titre une statue, à une date inconnue entre 71 et 282
|
|
186
|
Mélanion d’Iasos
|
M81
|
-100 → 0
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Iasos
|
1
|
IK 28, 98
fils de Théodoros, d’Iasos,éphébarque
|
|
187
|
Méléagre de Gadara
|
M90
|
-130 → -60
|
Cynique
|
Îles de l’Égée et de la Méditerranée
→
Cos
|
1
|
Epigramme funéraire transmise par l'Anthologie Palatine VII 419. Qualifié de cynique par Athenée XI, 502 c (Μελέαγρος δ’ ὁ Κυνικός, et IV, 157 b (où la courtisane Nicion s’adresse a des cyniques qui participent au banquet et leur parle de leur « ancêtre » Méléagre : ὁ πρόγονος ὑμῶν Μελεάγρος ὁ Γαδαρεύς)
P. Chiron 2001, Un rhéteur méconnu: Démétrios (ps.-Démétrios de Phalère) : essai sur les mutations de la théorie du style à l'époque hellénistique H. Ouvré, Méléagre de Gadara, Paris 1894 , 2 K. Radinger, Meleagros von Gadara, Innsbruck 1895.
J. Geffcken, art. « Meleagros » 7, RE XV 1, 1931, col. 481-488 , 4 F. Susemihl, GGLA, t. I, p. 46-47 , t. II, p. 555-557.
A. Wifstrand, Studien zur griechischen Anthologie, coll. « Lunds Universitets Årsskrift » 23, 3, Lund/Leipzig 1926.
D. R. Dudley, A History of Cynicism, p. 121-122 .
A. Cameron, The Greek Anthology from Meleager to Planudes, Oxford 1993 , 8 Kathryn J. Gutzwiller, Poetic Garlands. Hellenistic Epigrams in Context, coll. « Hellenistic Culture and Society ».
Berkeley 1998.
K. Döring, dans GGPh, Antike 2/1, Basel 1998, p. 314.
DPhA s.v. Méléagre de Gadara : " Poète et épigrammatiste,fils d’Eucratès (VII 417, 3 et 418, 5-6), naquit dans la célèbre ville de Gadara (Γαδάρων κλεινὰ πόλις en VII 418, 1), « la nouvelle Attique des Syriens, Gadara » (VII 417, 2), mais qu’il fut élevé à Tyr (VII 417, 1 et 419, 5 , cf. XII 256, 11).,Méléagre devait côtoyer la communauté juive, à en juger par ses allusions quelque peu ironiques au sabbat (V 160).,Quand l’âge vint, il se retira à Cos, devenant ainsi concitoyen des Méropes (VII 418, 4-5). C’est à Cos qu’il mourut, selon ce que dit le lemmatiste du proème de la Couronne (Stadtmüller 10, t. I, p. 81)."
|
|
188
|
Méléagre de Séleucie (Cilicie)
|
M91
|
1 → 100
|
Stoïcien
|
Asie Mineure
→
Séleucie du Calycadnos
|
0
|
S. Hagel et K. Tomaschitz, Repertorium der westkilikischen Inschriften, Wien 1998, n° 61, p. 358
fils d’Apollonios, de Séleucie du Calycadnos
|
|
200
|
Nicagoras (Ιunius) d’Athènes
|
N29
|
201 → 400
|
Platonicien
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
IG II2 3814 , B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’epoque imperiale, Paris 2002, n° 180 OGIS 720 , J. Baillet, Tombeaux, n° 1265 OGIS 721 , J. Baillet, Tombeaux, n° 1889
Pour un arbre généalogique de cette famille, voir J. Schamp, notice « Himérius », H 136, DPhA III 2000, p. 721.
DPhA s.v. Νicagoras (Ιunius –) d’Athènes : " Petit-fils du sophiste homonyme titulaire de la chaire athénienne, qui se disait lui-même « descendant de Plutarque (→P 210) et de Sextus » [→S 70],le fils du sophiste Minucianus qui était à son acmè sous Gallien et le beau-père du sophiste Himèrios [→H 136] (Or. VII, 4 et VIII, 21) Pour un arbre généalogique de cette famille, voir J. Schamp, notice « Himérius », H 136, DPhA III 2000, p. 721 Il était dadouque (principal ministre des mystères d'Éleusis) à Éleusis lorsqu’il visita les tombeaux de la Vallée des Rois, transformant cette visite en un pélerinage sur les traces de Platon (→P 195). Il était d’ailleurs apparemment accompagné d’autres philosophes platoniciens qui, comme lui, laissèrent leur signature dans la tombe de Ramsès VI, près du tableau de la Métempsycose (→B 29 et 57 , →I 43)."
|
|
201
|
Nicétès (Iulius) de Bithynion
|
N36
|
101 → 167
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Claudiopolis
|
0
|
IK 31, 67
Il était un notable de sa cité de Bithynion-Claudioupolis, qui l’honora d’une statue
|
|
347
|
Nicidion
|
N40
|
-330 → -250
|
Épicurien
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
SEG XVI, 300, l. 6.
C. J. Castner, « Epicurean hetairai as dedicants to helping deities ? », GRBS 23, 1982, p. 51-57.
|
|
202
|
Nicomédès
|
N51b
|
101 → 200
|
Épicurien
|
Rome et Italie
→
Rome
|
1
|
IGUR III 1283 , E. Samama, Les medecins dans le monde grec, Genève, 2003, p. 520-521, n° 476.
E. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 520-521, n° 476.
M. Kobayashi et A. Sartori, « I medici nelle epigrafi, le epigrafi dei medici », Acme 52, 1999, p. 249-258.
N. Massar, « Les médecins dans la documentation épigraphique grecque : reflets changeants d’un métier honorable », AC 74, 2005, p. 257-266.
J. Ferguson, « Epicureanism under the Roman Empire », dans ANRW II 36, 4, Berlin 1990, p. 2298.
Médecin mort à 44 ans et 23 jours d’après sa stèle funéraire retrouvée à Rome. Il a donc vécu dans cette ville.
|
|
203
|
Nicostratos (Claudius) d’Athènes
|
N55
|
135 → 167
|
Platonicien
|
Grèce
→
Delphes
|
1
|
F. Delphes III 4, 34 (Syll. IIe 868 = Gaius T 2 Gioe) philosophe plusieurs fois cite dans le Commentaire de Simplicius (ID DPhA :S 92) sur les Categories d’Aristote (CAG VIII)
Philosophie et philosophes a Chypre,entre hellénisme et l' époque romaine
T. Dorandi, Platonici minores 1. Jh.v.Chr. - 2. Jh.n.Chr: Prosopographie Fragmente und Testimonien mit deutscher Übersetzung K. Praechter, « Nikostratos der Platoniker », Hermes 57, 1922, p. 481-517.
Kleine Schriften, herausgegeben von H. Dörrie, coll. « Collectanea » 7, Hildesheim 1973, p. 101-137.
K. von Fritz, art. « Nikostratos » 36, RE XVII 1, 1936, col. 547-551.,A. Gioè (édit.), Filosofi medioplatonici del II secolo D. C. Testimonianze e frammenti. Gaio, Albino, Lucio, Nicostrato, Tauro, Severo, Arpocrazione, coll. « Elenchos » 36, Napoli 2002, p. 155-219.
DPhA s.v. Nicostratos d’Athènes (Claudius –) :"ses collègues Bacchius de Paphos [→B 2] (maître de Marc Aurèle [→M 39], cf. In semetipsum I 6), Zosime ou Sotime (→Z 41) et M. Sextius Cornelianus de Mallos (→C 188)"
|
|
204
|
Novius (P.)
|
N65a
|
Aucun(e)
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Venafrum (Venafro)
|
1
|
CIL X, 4918
|
|
205
|
Olympiodoros (M. Aurelius)
|
O14
|
201 → 267
|
Autre
|
Grèce
→
Trézène
|
1
|
IG IV 796
Müller, Helmut. “Marcus Aurelius Olympiodorus, Ἐϰγονοϛ ῾Ιπποδρόμου.” Zeitschrift Für Papyrologie Und Epigraphik, vol. 3, 1968, pp. 197–220 Le développement de la double citoyenneté à Éphèse à travers quelques cas d’époque impériale,Francois Kirbihler Puech 2002 Lafond 2006 La mémoire des cités dans le Péloponnèse d'époque romaine,A. Heller & A.-V. Pont 2009, Patrie d'origine et patries électives
curator par la cité de Trézène
|
|
206
|
Oppia (Aurelia) de Sparte
|
O31
|
201 → 267
|
Autre
|
Grèce
→
Sparte
|
1
|
IG V, 1 598
DPhA s.v. Oppia (Aurelia –) de Sparte : "son père Calli[cratès ?] (→C 18a) et à sa fille Aurelia Héracleia"
|
|
207
|
Ortyx de Parion
|
O46
|
168 → 200
|
Autre
|
Asie Mineure
→
Parion
|
1
|
IK 25, 53
Voir B. Puech, Orateurs et sophistes grecs dans les inscriptions d’époque impériale, Paris 2002, n° 190.
fils de Gratus
|
|
208
|
Ouranios Kynikos
|
O49
|
300 → 400
|
Cynique
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
J. Baillet, Tombeaux, n° 562
|
|
312
|
Phèdre de Myrrhinonte
|
P106
|
-434 → -368
|
Autre
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
IG I2 325, mentionné dans trois dialogues de Platon : le Protagoras, le Banquet et le Phèdre (auquel il donne son nom).
LGPN II 19, 1.
D. Nails, The People of Plato, p. 232-234 , L. Brisson, Platon, Phèdre. Traduction inédite, introduction et notes, coll. GF 488, Paris 1989, 2004, Introduction, p. 19-22.
P. Mureddu, « Φιλία: Dieci contributi per Gabriele Burzacchini / a cura di Mauro Tulli , con la collab. di Massimo Magnani e Anika Nicolosi. Ed. Tulli, Mauro, Magnani, Massimo & Nicolosi, Anika (Eikasmos. Studi, 25), Bologna : Pàtron, 2014. XXI-155 p.
fils de Pythoclès
|
|
218
|
Phaidros d’Athènes
|
P107
|
-138 → 0
|
Épicurien
|
Grèce
→
Athènes
|
0
|
Les inscriptions relatives a Phedre sont repertoriées dans J.S. Trail, Persons of Ancient Athens, t. XVII, Toronto 2008, p. 50-51 (n° 912450) , elles sont présentées et commentées par 5 A. E. Raubitschek, « Phaidros and his Roman pupils », Hesperia 18, 1949, p. 96-103.
R. Koch, Comment peut-on être dieu ? La secte d’epicure, coll. « L’Antiquité au présent », Paris 2005, dans son dossier épigraphique , Haake 2, p. 159-166.
T. Dorandi, « Lucrèce et les Épicuriens de Campanie », dans K. Algra, M. Koenen et P. Schrijvers [édit.], Lucretius and his Intellectual Background, Amsterdam 1997, p. 35-48.
M. Haake, Der Philosoph in der Stadt. Untersuchungen zur öffentlichen Rede über Philosophen und Philosophie in den hellenistischen Poleis, Munich, 2007 (Vestigia 56), p. 159-166).
R. Koch, Comment peut-on être dieu ? La secte d’Épicure, coll. « L’Antiquité au présent », Paris 2005.
Phèdre, membre d’une grande famille athénienne du dème des Bérénicides, éphèbe en 119/8, naquit vers 138.
Petit-fils d’Agathoclès du dème des Bérénicides, fils de Lysiadès, sans doute l’archonte éponyme de 149/8, frère d’un certain Callithéos, et le père d’au moins deux enfants : Lysiadès et Chrysothémis.
|
|
220
|
Philagrios d’Athènes
|
P111
|
301 → 400
|
Autre
|
Égypte
→
Thèbes, Vallée des rois
|
1
|
J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, fasc. 2, n° 1298.
E. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 494, n° 433.
J. Baillet, Inscriptions grecques et latines des Tombeaux des rois, coll. « Mémoires de l’IFAO » 42, Le Caire 1923, fasc. 2, n° 1298 (É. Samama, Les médecins dans le monde grec, Genève 2003, p. 494, n° 433
|
|
221
|
Philératidas (Iulius) de Sparte
|
P115
|
135 → 200
|
Autre
|
Grèce
→
Sparte
|
1
|
IG V 1, 116, l. 14
fils d’Hippodamos,Parmi les gérontes lacédémoniens de la liste
|
|
222
|
Philétos de Limyra (Lycie)
|
P116
|
201 → 400
|
Autre
|
Rome et Italie
→
Rome
|
2
|
IGUR 1351 et 1352
G. H. R. Horsley, New Documents Illustrating Early Christianity 4, Macquarie 1987, p. 32-33.
Mort à Rome, où son épouse Abascantis a élevé son tombeau
|
|
223
|
Philidas de Milet
|
P117
|
-33 → 0
|
Épicurien
|
Asie Mineure
→
Didymes
|
1
|
Didyma II 285
J. Bergemann et K. Fittschen, Wissenschaft mit Enthusiasmus: Beiträge zu antiken Bildnissen und zur historischen Landeskunde: Klaus Fittschen gewidmet 2001, notice « Aurelius Bèlios Philippos », p. 129.
R. Koch Piettre, « Des épicuriens entre la vie retirée et les honneurs publics », dans V. Dasen et M. Piérart (édit.), Idia kai dèmosia. Les cadres « privés » et « publics » de la religion grecque antique, coll. « Kernos, Suppl. » 15, Liège 2005, p. 266-269.
Fils d’Héracléon, issu d’une famille aristocratique qui prétendait descendre d’Ajax, exerçait la fonction très prestigieuse de prophète de l’oracle de Didymes
|
|
224
|
Philinos (Τ. Flavius) de Τhespies
|
P119
|
68 → 100
|
Pythagoricien
|
Grèce
→
Thespies
|
1
|
IThesp, 381
B. Puech, « Prosopographie des amis de Plutarque », dans ANRW II 33, 6, Berlin 1992, p. 4869 IThesp, 367-393.
H. Müller, « Marcus Aurelius Olympiodorus ἔκγονος ἱπποδρόμου », ZPE 3, 1968, p. 197-220.
C. P. Jones, « A Leading Family of Roman Thespiae », HSCP 74, 1970, p. 223-255, et Id., « Prosopographical Notes on the Second Sophistic », GRBS 21, 1980, p. 377-379.
DPhA s.v. Philinos de Τhespies (Τ. Flavius –) : "il appartenait à une célèbre famille de la cité, dont 27 inscriptions permettent de suivre l’histoire au cours des trois premiers siècles de notre ère ,sa fille Flavia Eupraxis ami proche de Plutarque de Chéronée, qu’il considérait comme son bienfaiteur (Syll.3 843 B). Il intervient fréquemment dans les Moralia (Quaest. Conv. I 6, II 4, V 10, VIII 7, De soll. an. 976 B , De Pyth. or.). Plutarque souligne sa fidélité scrupuleuse à la discipline de vie pythagoricienne et son attachement un peu superstitieux à la religion traditionnelle."
|
|
226
|
Philippos (Domitius ?) de Macédoine
|
P128
|
-133 → -68
|
Pythagoricien
|
Rome et Italie
→
Suessa Aurunca
|
1
|
IG XIV, 888
Originaire de Macédoine, Philippos s’était installé en Italie, où il finit ses jours.
|
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